QuebecOne Posté(e) le 3 octobre 2008 Share Posté(e) le 3 octobre 2008 Le système eroc US(buffalo+cougar+husky) http://www.combatcamera.forces.gc.ca/netpub/server.np?preview=66930&site=combatcamera&catalog=photos&width=430&aspect http://www.combatcamera.forces.gc.ca/netpub/server.np?preview=66566&site=combatcamera&catalog=photos&width=430&aspect Le Rg-31 Nyala SudAf pour patrouiller http://www.combatcamera.forces.gc.ca/netpub/server.np?preview=67381&site=combatcamera&catalog=photos&width=430&aspect Le m113 modifié par le DRDC en station de contrôle http://www.combatcamera.forces.gc.ca/netpub/server.np?preview=59214&site=combatcamera&catalog=photos&width=430&aspect http://www.combatcamera.forces.gc.ca/netpub/server.np?preview=59215&site=combatcamera&catalog=photos&width=430&aspect Et le secret bien gardé du département de recherche et développement canadien(DRDC) déployé actuellement en Afghanistan le robot ILDS caractéristiques techniques: Le système comprend un radar à pénétration du sol, un détecteur de mini-métal, un radar thermique à balayage frontal et un détecteur d'activation de neutrons thermiques. Les quatre systèmes s'utilisent ensemble afin de maximiser la capacité de détection et de minimiser les fausses alarmes. Le SADMT indique l'emplacement de toutes les mines sur sa trajectoire de balayage (en vue d'une détonation ou d'un déminage ultérieur) à l'aide d'un marqueur biodégradable fluorescent. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tiger Posté(e) le 5 octobre 2008 Share Posté(e) le 5 octobre 2008 ça serait pas mal de modifier le titre parce qu'à la première lecture, j'ai compris que les canadiens posaient des IED ! :lol:en bon français on dit : dispositif CANADIEN de lutte contre les IED en Afghanistan et non IED canadien...en tout cas, ça montre bien que le canada est en guerre, et qu'elle prends la campagne afghane très au sérieux avec beaucoup d'achat d'urgence (dont les léopard2M (avec blindage de plancher et probablement bientot système d'ouverture de couloir miné) que tu peux inclure à cette liste), contrairement à la france qui n'aura effectué presque aucun achat de matériel pour l'afghanistan, si ce n'est 5 malhreureux cougar d'occase des marines et une soixantaine de tourelles téléopérées... bref une goutte d'eau à côté des quantités de matériel canadien achetés. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Service de semaine Posté(e) le 6 octobre 2008 Share Posté(e) le 6 octobre 2008 Faut pas oublier les treillis F3 Felin qui arriveront en 2009 ! >:( Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Zamorana Posté(e) le 6 octobre 2008 Share Posté(e) le 6 octobre 2008 Ca fait quand même très bricolage à la mad max tout ça. Au final on en revient à la seconde guerre mondiale, rien de bien nouveau. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 8 juin 2009 Share Posté(e) le 8 juin 2009 Un coup de balai aux IED :) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 14 octobre 2009 Share Posté(e) le 14 octobre 2009 http://feeds.wired.com/~r/WiredDangerRoom/~3/prYc9TyF4-k/ A year ago, the U.S. military promised to bring a lethal network of drones and helicopters and intelligence analysts to Afghanistan, to stop the rise of improvised bombs there. That network, Task Force ODIN-Afghanistan, is now up - but only barely so. The U.S. Army unit has just two Predator-like drones flying at a time. And “so far, the unmanned assets of Task Force ODIN-Afghanistan have only brought lethal fire to bear on one target — successfully eliminating three insurgents in an engagement in August,” Paul McLeary reports for Aviation Week. From February 2007 to January 2008, the original ODIN, based in Iraq, helped take out more than 2,400 enemy bombers. Many credit the group with being one of the decisive forces in drastically reducing what had been a horrific roadside explosive campaign in Iraq. ODIN brought together IT gurus, image analysts, and drone pilots with attack helicopter forces charged. The networked operation was able to spot bomb planters, transmit the coordinates quickly, and strike. So expectations were high, when ODIN-Afghanistan was announced last year. But for now, at least ODIN hasn’t yet become a major push in Afghanistan - despite a huge uptick in the number of improvised bombs. Last month, the jury-rigged weapons killed 36 coalition troops. For now, at least, ODIN-Afghanistan is a relatively modest program. Enlisted personnel operate a pair of Warrior drones. Trained pilots also fly some C-12 reconnaissance planes. They’re providing valuable reconnaissance to attack helicopters and ground forces. But it’s nothing on the scale of what ODIN did in Iraq. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 19 mai 2012 Share Posté(e) le 19 mai 2012 http://www.opex360.com/2012/05/18/les-blessures-invisibles-causees-par-les-engins-explosifs-improvises/ L’ancien chef militaire du mouvement taleb afghan, le mollah Baradar, arrêté en 2010, appelait à planter des « fleurs » le long des routes de l’Afghanistan, c’est à dire des engins explosifs improvisés (IED), qui sont en fait des bombes artisanales pouvant être déclenché à distance au passage d’un convoi de la Force internationale d’assistance à la sécurité (ISAF), sous commandement de l’Otan. De fait, ces IED sont responsables de la majorité des tués et des blessés de la coalition internationale déployée en Afghanistan. Ces bombes causent deux types de blessures : celles que l’on voit et qui se traduisent pour le militaire touché par une amputation et celles qui sont invisibles, les dégâts sur l’organisme se manifestant plus tardivement. Du moins, c’est ce qu’affirme une étude transdisciplinaire de la faculté de médecine de l’université de Boston qui s’est penchée sur les effets des IED sur les soldats qui y ont été exposés lors d’une mission en Afghanistan. Ainsi, des chercheurs américains et britanniques ont établi un lien l’exposition à la déflagration d’une bombe artisanale et une maladie dégénérative du cerveau, en l’occurrence une encéphalopathie traumatique chronique, semblable à celle qui a pu être diagnostiquée chez des joueurs professionnels de football américain, victimes de commotions cérébrales à répétition. Les symptômes de l’encéphalopathie traumatique chronique, qui a été décelée chez des militaires américains après l’analyse d’échantillons de tissu cervical, peuvent se traduire par des pertes de mémoires, des pensées suicidaires ou encore par de l’irritabilité. Et cette maladie est loin d’être anodine car, selon Patric Stanton, le directeur du Neural Systems Laboratory de New York, qui a fait partie de cette équipe de chercheurs, 3 soldats sur 4 chez qui une encéphalopathie traumatique chronique a été détectée sont aujourd’hui décédés. Selon ce scientifique, une seule exposition aux effets d’un IED suffit pour développer cette maladie. « Nos expériences en laboratoire montrent que l’exposition au souffle peut produire à la fois des dommages structurels et fonctionnels qui peuvent être de longue durée et avoir des effets sur le développement cognitif, la mémoire, l’humeur et peut-être sur les troubles de stress post-traumatique », a-t-il déclaré. « Nous devons maintenant identifier les événements neurochimiques qui produisent ces dommages, et de lancer une recherche rationnelle de traitements pour atténuer les effets dévastateurs de cette maladie sur la vie de nos anciens combattants » a-t-il ajouté. D’après ces chercheurs, le souffle de l’explosion d’un IED peut atteindre les 530 km/h, ce qui compresse plusieurs fois le cerveau d’une personne qui y est exposée. Les scientifiques ont reproduit cet effet sur des souris et toutes ont ensuite montré des signes encéphalopathie traumatique chronique deux semaines après. Il est estimé qu’environ 5% des militaires déployés en Afghanistan entre 2009 et 2011 ont été exposés à la déflagration d’un IED. Selon le colonel Rakesh Jetly, un psychiatre des Forces canadiennes, 6,4% des militaires envoyés sur le théâtre aghan ont souffert de traumatismes cérébraux., ce qui a justifié la création d’un groupe spécial en charge des conséquences que cela a pu produire. Pour la France, il est difficile d’avoir des chiffres. A l’occasion d’un déplacement du chef d’état-major des armées (CEMA), l’amiral Guillaud, en Afghanistan, l’on a appris que 700 militaires français ont été blessés sur ce théâtre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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