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sarko et les violences urbaines


Philippe Top-Force

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Le 18 juin, c'est la victoire du bon sens ?

Exact! Le 18 Juin n'était pas un acte de "bon sens" mais un acte de courage

(et de clairvoyance aussi)

et toi t'es aussi enragé que les pire des heberistes

Heuuuu c'est quoi un heberiste :?:

Sinon les violences n'ont pas commencé à cause des vilains mots d'un ministre mais à cause de deux crétins qui se sont faits électrocuter dans un transformateur EDF.

Un maçon tombe du toit en faisant son travail, c'est triste.

Un camionneur se fait écraser par son camion en faisant son travail, c'est triste.

Deux "racailles" se font électrocuter en faisant leur travail de "racaille", rien à foutre.

Ensuite, par colère, les autres idiots ont foutu le feu aux bagnoles de leur parents :lol:

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C'était deux jeunes collégiens au casier judiciaire vierge qui ont fuient la police rien de plus.

exact, y'en avait un en plus qui avait de tres bonnes notes à l'école, un garcon modele

donc racaille hum hum

c'est pas comme si c'etait un dealer ou un multi recidiviste qui s'etait fait griller dans un transfo, dans ce cas alleluia

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Si ils vivent dans la misére dans le chômage c'est par ce qu'ils l'ont voulus, ils vivent tres bien de leur allocations, vous croyez qu'on va embocher des personnes qui passent tout les jour au JT pour divers acte de violence pour des gens qui font bruler des milliers de voitures sous pretextes que 2 boulets sont aller se cacher dans un transformateur EDF (a croire qu'il ne savait pas ce que c'était :rolleyes: ) bah moi je dis ils ont ce qu'ils ont cherchés et ce qu'ils meritent un point c'est tout, tant pis pour ceux qui veulent réussir aussi peu nombreux soient ils

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Si ils vivent dans la misére dans le chômage c'est par ce qu'ils l'ont voulus, ils vivent tres bien de leur allocations, vous croyez qu'on va embocher des personnes qui passent tout les jour au JT pour divers acte de violence pour des gens qui font bruler des milliers de voitures sous pretextes que 2 boulets sont aller se cacher dans un transformateur EDF (a croire qu'il ne savait pas ce que c'était :rolleyes: ) bah moi je dis ils ont ce qu'ils ont cherchés et ce qu'ils meritent un point c'est tout, tant pis pour ceux qui veulent réussir aussi peu nombreux soient ils

Salut,

il est clair qu'en touchant 420€ par mois on est super heureux et super riches, Mais en plus ils sont heureux d'etre riches. Non mais vous vous rendez compte de ce que vous dites?

voici un rapport sur l'etat des ZUS aujourd'hui

http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/BRP/054000698/0000.pdf

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Divisés au début des violences urbaines puis unis pour les faire cesser, Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy tirent de la crise des banlieues des enseignements différents, nouvelle illustration de l'opposition entre les deux rivaux potentiels de la présidentielle de 2007.

"A droite toute" semble être le mot d'ordre du ministre de l'Intérieur, cible de toutes les critiques au coeur de la crise mais qui a raflé la mise dans l'opinion publique, avec une progression remarquée dans un sondage Ipsos pour Le Point.

Nicolas Sarkozy, qui a vu sa popularité grandir à droite mais aussi à l'extrême droite et même à gauche, estime que les trois semaines d'"émeutes urbaines" valident sa théorie de la "rupture" en 2007.

Devant les nouveaux adhérents du parti, samedi à Paris, le président de l'UMP a donné sa vision des événements.

Le ministre de l'Intérieur, qui a proclamé que "la République est de retour" dans les quartiers difficiles, a attribué l'embrasement de ces trois dernières semaines à l'action de "démantèlement des bandes" menée depuis peu par les forces de l'ordre.

Il a une nouvelle fois employé les mots "Karcher" ou "racaille", estimant même que, "compte tenu d'un certain nombre d'individus", le vocable "racaille" était "sans doute un peu faible".

Nicolas Sarkozy a revendiqué le droit de parler de sujets comme le regroupement familial ou la mise sous tutelle des allocations familiales, confirmant la radicalisation de son discours.

Pour le président de l'UMP, "les problèmes d'intégration ont validé cette analyse: notre système est à bout de souffle".

"Nous devons changer notre pays profondément, rompre avec un système politique, social, économique, qui, depuis trente ans, a produit surtout du chômage, de la dette et de l'immobilisme.

"Devant ce modèle français, que je ne cherche pas à abattre puisqu'il s'est effondré tout seul, il y a ceux qui proposent des rustines et ceux qui proposent la rupture", a souligné Nicolas Sarkozy, semblant viser la gauche mais aussi son rival désigné, Dominique de Villepin.

Le Premier ministre, qui a lui aussi enregistré un net gain dans les sondages, agit sur un tout autre terrain que le ministre de l'Intérieur.

Peu connu des Français lorsqu'il a été nommé à Matignon, Dominique de Villepin s'est employé à asseoir dans l'opinion l'image d'un gaulliste social-libéral.

Si à chaque crise, il n'a pas hésité à recourir à une extrême fermeté - envoi du GIGN sur un ferry détourné par des grévistes de la SNCM, déclenchement de l'état d'urgence dans les banlieues - le chef du gouvernement a aussi promis la croissance sociale aux syndicats et la justice aux habitants des quartiers.

Vendredi, lors d'un déplacement à Strasbourg, Dominique de Villepin a mis en garde la droite contre la tentation des extrêmes, alors que plusieurs responsables UMP ont expliqué les violences urbaines par la polygamie et le regroupement familial.

"Il faut éviter certains amalgames (...) Une majorité des populations de ces quartiers ne veut pas être stigmatisée (...) Les habitants ne veulent pas que leur quartier soit frappé du sceau de l'infamie", a-t-il affirmé, mettant en garde contre la recherche d'une "cause unique" à la colère des banlieues.

"Je crois au rassemblement, pas à la suspicion, à la recherche de responsables", a insisté le chef du gouvernement, tenant la ligne fixée par Jacques Chirac.

Et Dominique de Villepin de livrer des événements une analyse radicalement différente de celle que fera le lendemain Nicolas Sarkozy. Pour le Premier ministre, le malaise des quartiers sensibles est dû à "la crise des valeurs", au chômage, à un "urbanisme inhumain" et au recul des services publics.

Pour un élu UMP, interrogé samedi à Paris, "Sarkozy parle aux tripes et Villepin à la raison". "En campagne électorale, c'est plutôt le premier qui gagne mais les Français vont tellement mal que, si on sait trouver les mots, la raison peut l'emporter", ajoutait-il.

Que tous les membres de ce forum en âge de voter ,le fassent en 2007.

Que tous les casseurs et incendiaires dans les banlieues s'inscrivent dans les maries et votent aussi ,plutôt que de brûler les voitures des pauvres gens qui vont travailler.

A méditer merci Philippe

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Ce n'est pas la societe francaise qui ne les a pas integé ce sont eux qui n'ont jamais fait l'éffort. On leur construit des MJC des gymnases, des terrains de sport...des mosqués ils ont tout pour bien vivre ces jeunes et Personnes ne les obligent a l'echec scolaire! Mais NON!!! ils brulent tout ; les bus ,les voitures, cabine telephonique ....pouquoi les citer son degueulase, les montées d'escalier irrespirables des acenseur tagger des odeur de pise... , c'est eux qui vivent la-bas ce sont pas des gens de l'exterieur qui on fait ca! c'est bien eux qui le veulent non ? et le pire dans tout ca c'est qu' on entend encore dire dans cette gauche de m...." les pauvres il faut les aider leur debloquer des fonds leur augmmenter encore leur aide social" celui qui veut s'en sortir le peut mais faut travailler (et oui c'est dur) est pas foutre la merde partout ou on passe ....apres du travail on peut en trouver (je suis dans le batiment et y en a du boulot sauf que personne ne veux ce salir les mains) mais si c'est pour gagner 100 ou 200 euros de plus que le chomage forcement... :evil: MERCI LE SOCIAL! "bah moi je dis ils ont ce qu'ils ont cherchés et ce qu'ils meritent un point c'est tout, tant pis pour ceux qui veulent réussir aussi peu nombreux soient ils" On a pas le droit d'oublier ce qui meritent et ce qui cherche a s'integrer ,imagine toi donc a leur places au milieu des autres racaill!! :evil:

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Salut, le tord est je pense partagée en deux les parents laxistes sur l'education des enfants et de l'autre l'Etat. Maintenant il faut responsabiliser les parents, sanctionner par des amendes et pas avec les alloc, la caisse d'alloc, n'est pas une institution de repression mais d'assistance. De l'autre l'etat n'etait pas present dans ces cités, des profs encore jeunes une police pas toujours aussi ouvertes, le racisme, les prejugés, le fait de parquer une population dans des cités souvent de meme origine ethnique et sociale, ce qui favorise le communautarisme. Ces cites sont des "pieges", quand vous y entrer vous ne pouvez plus y ressortir blanc ou noir. SDD, c'est pas le gymnase qui vont les nourrir ou leur donner un espoir de fondser une famille et d'elever dans de bonnes conditions leurs enfants, les mosquées je vois pas en quoi ça à un lien puisque la plupart de ceux qui cassaient ne frequentaient pas la mosquée, d'où l'erreur monumentale de l'UOIF avec sa fatwa a 2 balles. Maintnenat pour ce qui est du travail, pareil, les prejugés sur les gars des cités, ou des individus fouttent vraiment la m.... (impolitesse, bagarre avec la hierarchie, absenteisme...) Pour finier les tord son partagé, pour l'integration, la majorité se sentent integré, le probleme c'est de l'autee coté est ce que la societé considere que ces gens sont Français? je le craint, puisqu'on en est toujours a parler d'integration ou de maghrebins ou autre alors que ces gens là ne connaissent meme pas le pays de leurs parents.

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Maintenant il faut responsabiliser les parents, sanctionner par des amendes et pas avec les alloc Il est vraie que les parents sont les premiers fautifs, il n'y a aucune education dans ces familles, mais c'est normale me direz vous quand on a des parents suffisament betes pour faire 7 goss dans un 90m2 juste pour toucher les alloc!! Les parent n'on plus aucune autoritée sur leur enfants les ammendes n'y changeraient rien, d'autan plus qu'ils n'ont rien pour les payers! La supression des aides social devrait avoir un autre impact sur les mentalitées! "je le craint, puisqu'on en est toujours a parler d'integration ou de maghrebins ou autre alors que ces gens là ne connaissent meme pas le pays de leurs parents." Il est tout a fait normale qu'on en parle ainsi puisque ces gens ne ce disent pas francais, mais de leurs origines parentals....Ils ce diront francais pour obtenir les aides et n'ont aucune sympatie pour la France Ils auraient d'ailleur plus de respect si ils connaisaient la qualitée de vie dans ces pays et ainsi voir la chance qu'ils ont de vivre en France!

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Maintenant il faut responsabiliser les parents, sanctionner par des amendes et pas avec les alloc

Il est vraie que les parents sont les premiers fautifs, il n'y a aucune education dans ces familles, mais c'est normale me direz vous quand on a des parents suffisament betes pour faire 7 goss dans un 90m2 juste pour toucher les alloc!!

je pense pas que ces gens font beaucoups d'enfants pour les alloc, dans leurs pays d'origine il y a cette habitude de faire beaucoups d'enfants sans pour autant beneficier d'aides.

Les parent n'on plus aucune autoritée sur leur enfants les ammendes n'y changeraient rien, d'autan plus qu'ils n'ont rien pour les payers!

La supression des aides social devrait avoir un autre impact sur les mentalitées!

supprimer n'aura pas d'effet si ce n'est peut etre d'amplifier le probleme, des qu'on enlevera les alloc quels moyen de pression aura ton?

je suis pour des amendes type 15€ par delits etc...

"je le craint, puisqu'on en est toujours a parler d'integration ou de maghrebins ou autre alors que ces gens là ne connaissent meme pas le pays de leurs parents."

Il est tout a fait normale qu'on en parle ainsi puisque ces gens ne ce disent pas francais, mais de leurs origines parentals....Il ce diront francais pour obtenir les aides et n'ont aucune sympatie pour la France :evil:

Ils auraient d'ailleur plus de respect si ils connaisaient la qualitée de vie dans ces pays et ainsi voir la chance qu'ils ont de vivre en France!

Ils ne se disent pas francais car ils ne croient pas en ce mythes, moi meme y a des moment ou je doute si je suis francais ou non, combien de fois j'ai eu des reflexion du types "t'es de quelle origines?" ou "chez vous bla bla bla..."

Maintenant pour ce qui est de vivre en france y a pas de doute, tout le monde es fier de vivre en france, mais pas dans la precarité, d'où le fait qu'il faut se pencher reellement sur la question et changer les mentalités de part et d'autres.

l'orthographe ca me soule!

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"La première cause du chômage, de la désespérance, de la violence dans les banlieues, ce n'est pas la crise économique, ce ne sont pas les discriminations, ce n'est pas l'échec de l'école", a-t-il déclaré. "La première cause du désespoir dans les quartiers, c'est le trafic de drogue, la loi des bandes, la dictature de la peur et la démission de la République." dixit la petite crotte d'agité.

Philippe, la question n'est pas de savoir si c'est vrais ou pas. Les difficultés économique ont leur rôle évidemment.

C'est une question de pédagogie.

A l'extrème, si on leur tenait un discour assez injuste disant:

"vous êtes de vrais clochards, vous devriez avoir honte de ne pas arriver à trouver du travail, bande de looser!".

C'est pas vraiment ce que je pense, mais si ça pouvait en faire réagir quelqu'uns.... et ce serait une "rupture" complête de mentalité.

Le discourt de Villepin c'est:

"Pour le Premier ministre, le malaise des quartiers sensibles est dû à "la crise des valeurs", au chômage, à un "urbanisme inhumain" et au recul des services publics."

Bref: vous êtes des victimes, l'état n'a pas su vous aider.

Face aux difficultés, on leur a apris à chercher de l'aide et quels sont leur "droits". Et si ça marche pas (évidemment que ça marche pas), et bien c'est des "victimes".

On leur a mentis. On a pas arrêté de leur mentir.

Pour s'en sortir, c'est et ça a toujours été depuis toujours:

1- se retrousser les manches, s'organiser, inventer de nouveau moyen techniques, se serrer les coude et entreprendre quelque chose.

Bref: mettre en oeuvre l'intelligence.

2- chercher ou on pourrait trouver de l'aide, l'état, la famille,

Dans l'ordre. C'est à dire qu'on obtiendra le point 2 (de l'aide) uniquement si on a fait le point 1). On obtient de l'aide des gens que si ceux-ci considèrent qu'on le mérite (aide toi, le ciel t'aidera)

Actuellement c'est:

1- de l'aide, l'état, la faute de la situation économique, la faute du racisme, bref, la faute des autres,

2- on subit l'injustice, on est une victime, c'est les autres, l'extérieur, la cause de nos maleurs.

Revenir au monde réel entraine un changement fondamental de mentalité, une "rupture" comme dit sarko'.

Pourquoi.

Parce que le traitement social du chômage coute 15000€ par ans par chomeur Soit un smic chargé par chomeur. Et je ne parle pas de tout le reste qui est dépensé pour "aider" les gens!

Cette charge est payée in-finé par ceux qui produisent la valeur ajoutée. Donc les entreprises. Face à la compétition économique, elles doivent augmenter leur productivité pour assumer cette charge tout en étant compétitives. C'est ce qu'elle font. Donc plus de chomeurs et de gens laissé sur le bord de la route.

Donc plus de gens à aider, donc plus de dépense sociales. Donc plus de charges. Donc plus de productivité, donc plus de chomeurs, donc plus d'aide, etc, etc...

Il y a un raport direct entre le fait que les entreprises françaises ont le plus haut taux de productivité du monde, et le poids de l'état en France

On en sort pas, il faut donc une rupture comme dit sarko.

Il y a un excellent article la dessus. Je te le conseil philippe (et les autres).

Bonfire of the Vanities

By THEODORE DALRYMPLE

November 7, 2005; Page A20

When it comes to rioting, there's no 35-hour week in France.

It may be difficult nowadays to get people in what the French call the Hexagon to work on Friday afternoons, but not to riot, at least not in the "sensitive" quartiers that surround most towns and cities. The productivity of the rioters has been increasing rapidly of late, and France looks like it will be breaking its record for burnt-out cars: 1,295 on Saturday night alone and 750 on Friday night, 500 the night before, and 300 the night before that. This year so far, the tally is 29,000. If the trend of the last few days continues, geometric progression being what it is, it won't be long before the rioters will have to go to Germany or the Low Countries to express their social conscience in a practical way.

Its social conscience is something that the French elite has long taken pride in. The term "Anglo-Saxon" is now almost synonymous in the parlance of that elite with "savage liberalism," a state of affairs which is alleged to prevail on the other side of the Channel, and to an even greater and more terrible extent on the other side of the Atlantic, in which an economic free-for-all leads to mass discontent, grotesque economic inequalities, lawlessness and endemic instability punctuated by violent civil disturbances. Fortunately, the French social model avoids this miserable chaos, at least in theory (which, as every Cartesian intellectual will tell you, is what really counts).

*

No one should gloat over riots in other countries, since such Schadenfreude is usually soon punished by riots nearer home. After what happened recently in New Orleans or in Birmingham, who would dare to assert that what is happening in the suburbs of Paris could never happen chez les Anglo-Saxons? But at the very least, the events in the suburbs of Paris should puncture French complacency that they have developed a model of society vastly superior and more humane to that of supposedly savage economic liberalism.

In any case, the difference between France and other Western countries is smaller than is often claimed both by the French and by everyone else. The outskirts of most cities in France, including such venerable ones as Nimes and Montpellier, resemble small town Midwest America far more than they resemble their medieval or classical and historic centers. The state in France is certainly larger and more intrusive than elsewhere, leading to a dampening of economic activity, but it is a difference of degree rather than of kind.

A French employee works 30% fewer hours than a British worker, and a much smaller percentage of the French population than the British works at all, yet total French output is very nearly equal in value to British. In other words, the French are much more efficient economically than the British. But their relative efficiency has been bought at a price: the creation of a large caste of people more or less permanently unintegrated into the rest of society.

A Martian observing France dispassionately, without ideological preconceptions, would come to the conclusion that the French had accepted with equanimity a kind of social settlement in which all those with jobs would enjoy various legally sanctioned perks and protections, while those without jobs would remain unemployed forever, though they would be tossed enough state charity to keep body and cellphone together. And since there are many more employed people than unemployed people in France, this is a settlement that suits most people, who will vote for it forever. It is therefore politically unassailable, either by the left or the right, which explains the paralysis of the French state in the present impasse.

The only fly in the ointment (apart from the fact that the rest of the economies of the world won't leave the French economy in peace) is that the portion of the population whom the interior minister, Nicolas Sarkozy, so tactlessly, but in the secret opinion of most Frenchmen so accurately, referred to as the "racaille" -- scum -- is not very happy with the settlement as it stands. It wants to be left alone to commit crimes uninterrupted by the police, as is its inalienable right.

Unfortunately, to economic division is added ethnic and cultural division: For the fact is that most of Mr. Sarkozy's racaille are of North African or African descent, predominantly Muslim. And the French state has adopted, whether by policy or inadvertence, the South African solution to the problem of social disaffection (in the days of Apartheid): It has concentrated the great majority of the disaffected paupers geographically in townships whose architecture would have pleased that great Francophone (actually Swiss) modernist architect, Le Corbusier, who -- be it remembered -- wanted to raze the whole of Paris and rebuild it along the lines of Clichy-sous-Bois (known now as Clichy-sur-Jungle).

If you wanted to create and run a battery farm for young delinquents, you could hardly do better. But as one "community leader" put it when asked whether he thought that better architecture might help, there's no point in turning 15-story chicken coops into three-story chicken coops.

The French left, ever vigilant on behalf of the downtrodden privileged, won't consider a reform of the labor market that might just help to integrate the racaille into French society. The French right, by contrast, wants to deal with the problem first by ignoring it -- for, as the South African whites used to say about the rioting Africans, they are only fouling their own nest -- and then, if the worst comes to the worst and the violence spills over to where the decent people live, by repressing it with force. Anyone who has seen members of the Compagnies Republicaines de Securité, the CRS, in the streets of Paris, even on a good day, will not doubt their willingness to obey orders with something approaching overenthusiasm. As one officer in the force reportedly put it, "The more difficult it is, the calmer we are."

*

If push were ever to come to shove, the trains to the townships could be turned off, assuming they were not wrecked first by the inhabitants themselves, and the roads to the center of Paris (and other towns and cities) could be blocked with a few armored cars or a couple of tanks. A state of emergency could be declared, after which the CRS could go about its business in all calmness and serenity. The left would squeal and protest a bit, but secretly be relieved that, thanks to the CRS, the labor laws protecting their voters did not have to be changed after all, with the consequent introduction of "savage liberalism" into France.

A few years later, there would be a spate of books about the violence of the repression, and everyone would express his shock and horror that such a thing could have happened in the land of les droits de l'homme, but then everyone would forget it all again until a further 20 years had elapsed, when there would be another spate of such books to arouse the tender conscience of the French intelligentsia.

Of course, apocalypses have a habit of not happening. The present riots are only a temporary exacerbation of "normal" life in French lower-class and immigrant suburbs. (In all of Western society, not just France, social housing means antisocial behavior.) Even when there are no riots, such suburbs are strewn with the carcasses of burnt-out cars, like skeletons in a desert, and one can see the blackened remains of shops that have been put to the torch. Drug-trafficking goes on openly, and the hostility to outsiders is palpable.

The current interior minister, Nicolas Sarkozy, is the first French politician to suggest some approach to the problem other than building more community centers made of concrete and named after great French poets. As a result, he is both hated and feared, and the rioters must hope that if they burn enough cars and kindergartens he will be forced to resign and thus lose his chance of winning the presidency and letting the CRS loose. This will enable "les jeunes" to return to the life they know and understand, that of criminality without interference by the state.

The Paris stock exchange has every confidence that, in the end, Sarkozy or no Sarkozy, the French state will emerge victorious over the disorganized racaille, and everything can continue as before. The index has risen steadily -- or calmly, to quote the officer of the CRS -- throughout the disturbances.

Mr. Dalrymple, a contributing editor at City Journal, is the author, most recently, of "Our Culture, What's Left of It: The Mandarins and the Masses" (Ivan R. Dee, 2005). He lives in Le Vans, in the Ardèche, in France.

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c'est vrai franchement. Moi je suis d'accord pour qu'on renvoit les délinquants étrangers chez eux. Il faut aussi supprimer les allocation familiales pour les parents des racailles. La france on la respecte ou on s'en va.

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c'est vrai franchement.

Moi je suis d'accord pour qu'on renvoit les délinquants étrangers chez eux.

Il faut aussi supprimer les allocation familiales pour les parents des racailles.

La france on la respecte ou on s'en va.

Salut,

c'est un faux débat la plupart des "casseurs" sont français, il y a une minorité d'etranger, dont on ne peut savoir s'ils faisaient partie ou non des casseurs.

En tout cas il y a eu 120 expulsés, sur au moins 2000 interpellés.

D'autre part, je ne pense pas que la suppression des alloc, puisse regler les choses, il n'y a pas que le bâton qu'il faut. D'ailleurs ça risque même d'empirer les choses, où l'adolescent par vengeance pourrait commettre un crime ou autre délits.

Il faut affronter le problème avec intelligence et bien le cerner et le resoudre.

On pourra toujours envoyer les CRS, imposer un etat d'urgence et classer l'affaire, et ça se rallumera dans 5 ans et là çe sera peut etre pire avec des armes.

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en quois est ce un crime ??

t'as tout à fait le droit d'avoir une double nationalité, beaucoup de monde en france sont bi national, je vois pas en quois c'est genant ...

c'est pas un crime.

Mais les considérer uniquement comme des français, c'est nier une partie de leur identité puisqu'ils gardent généralement leur nationalité d'origine.

j'ai souvent entendu des maghrébins faire ce genre de remarques.

Ne soyons pas hémiplégiques.

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