capitao Posté(e) le 10 novembre 2008 Auteur Share Posté(e) le 10 novembre 2008 mr akhilleus lisez ce lien et je pense tu change d avis apres la lecture olivenca c est pas une enclave mais un morceau du portugal au meme titre que lisbonne que direz vous que la belgique annexe le nord pas de calais http://www.geocities.com/capitolhill/2382/indicef.htm Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 10 novembre 2008 Share Posté(e) le 10 novembre 2008 pfeeuu ce truc date de 2 siècleson a avancé depuis l'epoque des guerres continentales européennes pour des fifrelins de territoireset entre nous l'exemple de la Belgique est mal choisid'ailleurs si on devait reclamer tout ce qui a été français depuis 1800 on est pas sorti :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capitao Posté(e) le 10 novembre 2008 Auteur Share Posté(e) le 10 novembre 2008 excu moi mais t as pas compris la fontiere portugaise et espagnole et incomplete a cause du conflit Inexistence de frontière Dans la délimitation de la frontière entre le Portugal et l’Espagne il manque placer 100 bornes, de la borne n.º 801 à la borne n.º 901. Les deux traités de délimitation de frontière, de 1864 et de 1926 n’ont pas établis les limites de chaque État dans une bande de l’Alentejo coïncidant avec le Territoire d’Olivença, resultat du réfus du Portugal à reconnaître la souveraineté espagnole dans la région et du fait que l’Espagne continue à ajourner la rétrocession de cette partie du Portugal. Le Projet de Centre d’Etudes d’Architecture Transfrontalière, créé à Olivença en 1995, contient l’affirmation suivante, révélatrice de toute cette question : «D’un point de vue diplomatique, Olivença est une matière en ouvert entre les deux Etats, au point que la Comission Internationale chargée de la vérification des limites frontaliers entre les deux Pays laisse toujours sur la table la mise en place des bornes de frontière dans la région d’Olivença». Pour que le silence portugais ne puisse point être compris comme une reconnaissance tacite de l’occupation espagnole, la diplomatie du Portugal rappelle périodiquement à l’Espagne que nous sommes en droit à récupérer Olivença. Portes d’Alconchel (Olivença) Ouvrage édifié par le roi DinisNullité du Traité de Badajoz Dès la fin de la Campagne du Roussillon (1793-95), la France et l’Espagne avaient des plans pour envahir le Portugal et le partager entre eux. Les accords établis entre ces deux pays ont été suivis par l’invasion du Portugal par des troupes espagnoles, aidés par des forces françaises. Le 20 mai 1801, suite à l’investissement de la province de l’Alentejo, le gouverneur d’Armes de Olivença se rend sans résistance, ainsi comme le gouverneur de Juromenha. En situation de faiblesse diplomatique et militaire et sous la menace de force, le gouvernement portugais a dû céder aux éxigences de Napoléon Bonaparte et Charles IV d’Espagne et signa le double traité de Badajoz du 6 juin et de Madrid du 29 septembre 1801. Non seulement le Portugal a eu à se subordonner aux exorbitantes prétentions françaises mais il lui a fallut aussi reconnaître à l’Espagne la possession de «la Place d’Olivença, son territoire et ses peuples dès le Guadiana», ce fleuve délimitant dorénavant la frontière entre les 2 pays dans la dite région. Si l’Espagne aurait un quelquonque argument valide pour justifier son occupation du Territoire d’Olivença elle le justifierait par le biais du Traité de Badajoz de 1801. En fait, ce traité et avec lui le Traité de Madrid de la même année, a perdu sa valeur juridique, il est nul et dépourvu d’éfficacité. Le Traité de Badajoz a été accordé entre les deux parties du conflit : le Portugal, en tant que pays envahi ; la France et l’Espagne, conjointement, dans la qualité de pays envahisseurs. À la fin des pourparlers, un double traité de paix a été rédigé, traité qui allait êtré signé alternativement entre le Portugal et l’Espagne et le Portugal et la France, les deux traités ayant la valeur d’un seul, en tant que textes diplomatiques connexes. Ceci même est affirmé dans le Préambule du Traité, où on peut lire le suivant : «Les Plénipotentiaires des trois Puissances belligérantes ayant agréé entre eux, ils ont accordé a faire deux Traités, sans que dans la partie essentielle ils soient plus qu’un seul, puisque la garantie est réciproque et il n’y aura pas de validité dans aucun des deux quand on vienne a constater une infraction à un quelquonque des articles qui y sont énnoncés». Renforçant le principe de l’unicité des Traités de Badajoz et de Madrid et donnant fondament aux reivindications portugaises sur leur nullité, il y a l’Article IV qui stipule le suivant : «Dans le cas d’avoir infraction à cet article ou à un autre, on donnera comme nul le Traité qui maintenant s’établit entre les trois Puissances, incluant la garantie mutuelle, selon ce qui s’exprime dans les Articles du présent». La réciprocité de la validité ou invalidité des 2 traités est clairement exprimé dans l’Article VIII du texte français, quand on affirme que «toute infraction à ce Traité sera regardée para le Premier Consul comme une infraction au Traité actuel» c’est-à-dire, chaque infraction au traité franco-portugais serait une infraction au traité hispano-portugais, puisque les deux traités ne faisaient qu’un seul. Il y a plusieurs raisons pour la nullité du Traité de Badajoz. Hormis l’inobservance, par la France, de l’échéance de ratification, en observance de ce qui stipulait l’Article IX, ce qu’entraîna la signature du Traité de Madrid du 29 septembre 1801, les causes de la nullité du Traité de Badajoz sont les suivantes : Manque de manifestation de la libre volonté du Portugal Les circonstances dans lesquelles le Portugal a signé le Traité de Badajoz, avec les armées et françaises et espagnoles menaçant d’augmenter les actions de force contre le territoire portugais, dejà partiellement occupé, sont en violation du principe selon lequel les affaires juridiques sont valides seulement quand il y a libre manifestation de la volonté des deux parties. Le Portugal a signé ledit Traité, non pas dans l’exercice de sa pleine liberté mais sous menace de force. Le Traité de Fontainebleau et la violation de la Paix Le Traité de Badajoz de 1801 était un «Traité de Paix», selon ce qui a été expressément établit dans son Préambule. Dans l’Article I, on stipulait : «Il y aura paix, amitié et bonne correspondence entre Son Altesse Royale le Prince Régent du Portugal et des Algarves et Sa Majesté Catholique le Roy d’Espagne, par mer et par terre, en toute l’extension de ses Royaumes et Domaines». Agressé et envahi par des forces franco-espagnoles, sans autre motif que sa décision de se refuser à abandonner son alliance avec la Grande-Bretagne, le Portugal a dû se soumettre à accepter la Paix dans des conditions déshonorantes et humiliantes. En échange de l’acceptation de la Paix, qui se vérifia sous la menace des plus grandes représailles, le Portugal a obtempéré aux exigences et de l’Espagne et de la France, entre lesquelles se trouvait la reconnaissance de la possession d’Olivença par l’Espagne. Selon stipulait l’Article IV du Traité de Badajoz, la violation de la Paix aurait comme conséquence inévitable la nullité du même Traité. C’est ce qui arriva en 1807, quand l’Espagne et la France signent le Traité de Fontainebleau, selon lequel le Portugal serait partagé en trois parties ; ce projet connait sa mise en œuvre quelques mois après, avec l’invasion du Pays. Si l’Espagne pourrait citer en sa faveur un quelquonque droit à la possession du Territoire d’Olivença, elle l’aurait perdu irrévocablement quand elle a rendu nul, par sa seule responsabilité, le seul document de valeur juridique sur lequel elle pourrait fondamenter sa souveraineté sur ce morceau de terre de l’Alentejo. Suite à l’invasion du Portugal par des forces franco-espagnoles, qui motiva le transfert au Brésil du siège de la Monarchie Portugaise, Jean, le Prince Régent, fait publier, en date du 1er mai 1808, un Manifeste selon lequel les Traités de Badajoz et de Madrid de 1801 étaient déclarés «nuls et sans effets». Le Traité de Paris de 1814 Le 3 mars 1814 les troupes alliés entrent à Paris, forçant l’abdication de Napoléon. Les hostilités sont suspendus par une convention signé le 23 avril, à laquelle le Prince Jean adhère le 8 mai de la même année. Le 30 mai 1814 le Traité de Paris est signé ; il rend nuls les Traités de Badajoz et de Madrid de 1801. L’Article nº 3 déterminait : «Bien que les traités, conventions et actes conclus entre les deux puissances antérieurement à la guerre aient été rendus nuls, de facto, par l’état de guerre, les hautes parties contractantes ont, non-obstant, considéré convenable de déclarer encore une fois et expressément que lesdits traités de Badajoz et Madrid de 1801 et la convention signé à Lisbonne en 1804, sont nuls et d’aucun effet, en ce qui concerne le Portugal et la France et que les deux couronnes rennoncent mutuellement à tout droit et se dégagent de toute obligation qui en puisse résulter». Quoique le Traité de Paris n’oblige directement que la France, l’Espagne en est concerné puisque les deux traités ne font qu’un seul, comme dans leur propre texte est ineffaçablement exprimé. De cet Article Aditionnel on infère, également, la doctrine juridique selon laquelle l’état de guerre qui découle du Traité de Fontainebleau, rendait nul, par lui seul, les Traités de Badajoz et de Madrid, ce qui confirme l’inexistance de tout fondament qui puisse justifier la domination de l’Espagne sur Olivença. Porte du Calvair (17ème siècle)Résolution du Congrès de Vienne Vaincu Napoléon, en avril 1814, les puissances européennes ont essayé de rétablir, dans la mesure du possible, l’Ordre et les frontières de 1792. Si le Traité de Paris de 1814 a commencé le processus de paix, seul le Congrès de Vienne, dont les travaux démarrent le 27 septembre de la même année, vient tenter de résoudre la multitude de problèmes pendants. Parmi les questions d’importance majeure pour le Portugal, on trouvait celle de la frontière de la Guianne Française et celle de la rétrocession d’Olivença. L’Espagne, avec des promesses peu solides de restitution du territoire, essaya de dissuader le Portugal de présenter la Question d’Olivença au Congrès de Vienne. Le Portugal, se méfiant des intentions espagnoles, opta pour saisir le Congrès de cette affaire. Ayant confiance dans la possibilité d’une rétrocession d’Olivença, le Portugal tenta d’obtenir l’annulation du Traité d’Alliance anglo-portugais de 1810, selon lequel le Portugal cédait Bissau et Cacheu à la Grande-Bretagne, pour une période de 50 années, en échange de l’appui de ce pays à la rétrocession du territoire oliventanien. Les représentants portugais au Congrès — Pedro de Sousa Holstein, António Saldanha da Gama et Joaquim Lobo da Silveira — non seulement ont obtenu satisfaction en ce qui concerne ledit Traité d’Alliance, comme ils ont réussi à établir le droit du Portugal à la réincorporation d’Olivença, ce qui est précisé dans l’Article 105ème du traité : «Les Puissances, reconnaîssant la justice des réclamations formulées par Son Altesse Royale, le Prince Régent du Portugal et du Brésil, au sujet de la ville d’Olivença et des autres territoires cédés à l’Espagne par le Traité de Badajoz de 1801 et considérant la restituition de ces objets comme une de ces mesures adéquates a assurer entre les deux Royaumes de la Péninsule cette bonne harmonie, complète et stable, dont le maintien en toutes les parties de l’Europe a été le but permanent de leurs négotiations, formellement s’obligent à employer par des moyens conciliatoires leurs plus efficaces efforts afin que se réalise la rétrocession des dits territoires, au profit du Portugal. Et les Puissances reconnaissent, dans ce qui dépent de chacune d’elles, que ce pacte doit avoir lieu le plus brèvement possible.» Le Plénipotentiaire espagnol, D. Pedro Gómez Labrador, s’est réfusé, le 9 juin 1815, à souscrire le Traité de Vienne, dressant un acte de protestation envers plusieurs délibérations du Congrès, dont celle qui concernait la restitution d’Olivença. L’Espagne accepta finalement le Traité et le Comte de Fernán Nuñez le signa le 7 mai 1817, reconnaissant ainsi les droits portugais sur Olivença et s’engageant dans sa rétrocession, ce qu’elle n’a pas, en date, encore accompli. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gran Capitan Posté(e) le 10 novembre 2008 Share Posté(e) le 10 novembre 2008 la pologne a plus de poids que l espagne :lol: :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capitao Posté(e) le 10 novembre 2008 Auteur Share Posté(e) le 10 novembre 2008 mais bien sur Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 10 novembre 2008 Share Posté(e) le 10 novembre 2008 ecoute capitao, on tourne en rond.Si y'a un souci c'est aux instances internationales de le regleret c'est pas parceque c'est pas regler maintenant et tout de suite que le voisin se verrait bien manger le Portugalc'est de la paranoia pure et dureenfin bon tu es convaincu que l'Espagne vous en veux, tout ce qu'on pourra dire y changera rien, moi j'ai rien a ajouterje sors de ce thread ca sert à rien d'essayer de montrer que l'invasion du Portugal par l'Espagne n'arrivera jamais (ou en tout cas pas dans le monde tel qu'on le connait actuellement) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capitao Posté(e) le 10 novembre 2008 Auteur Share Posté(e) le 10 novembre 2008 je l espere pour toi Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
faze Posté(e) le 10 novembre 2008 Share Posté(e) le 10 novembre 2008 excu moi mais t as pas compris la fontiere portugaise et espagnole et incomplete a cause du conflit Inexistence de frontière Dans la délimitation de la frontière entre le Portugal et l’Espagne il manque placer 100 bornes, de la borne n.º 801 à la borne n.º 901. Les deux traités de délimitation de frontière, de 1864 et de 1926 n’ont pas établis les limites de chaque État dans une bande de l’Alentejo coïncidant avec le Territoire d’Olivença, resultat du réfus du Portugal à reconnaître la souveraineté espagnole dans la région et du fait que l’Espagne continue à ajourner la rétrocession de cette partie du Portugal. Le Projet de Centre d’Etudes d’Architecture Transfrontalière, créé à Olivença en 1995, contient l’affirmation suivante, révélatrice de toute cette question : «D’un point de vue diplomatique, Olivença est une matière en ouvert entre les deux Etats, au point que la Comission Internationale chargée de la vérification des limites frontaliers entre les deux Pays laisse toujours sur la table la mise en place des bornes de frontière dans la région d’Olivença». Pour que le silence portugais ne puisse point être compris comme une reconnaissance tacite de l’occupation espagnole, la diplomatie du Portugal rappelle périodiquement à l’Espagne que nous sommes en droit à récupérer Olivença. Portes d’Alconchel (Olivença) Ouvrage édifié par le roi Dinis Nullité du Traité de Badajoz Dès la fin de la Campagne du Roussillon (1793-95), la France et l’Espagne avaient des plans pour envahir le Portugal et le partager entre eux. Les accords établis entre ces deux pays ont été suivis par l’invasion du Portugal par des troupes espagnoles, aidés par des forces françaises. Le 20 mai 1801, suite à l’investissement de la province de l’Alentejo, le gouverneur d’Armes de Olivença se rend sans résistance, ainsi comme le gouverneur de Juromenha. En situation de faiblesse diplomatique et militaire et sous la menace de force, le gouvernement portugais a dû céder aux éxigences de Napoléon Bonaparte et Charles IV d’Espagne et signa le double traité de Badajoz du 6 juin et de Madrid du 29 septembre 1801. Non seulement le Portugal a eu à se subordonner aux exorbitantes prétentions françaises mais il lui a fallut aussi reconnaître à l’Espagne la possession de «la Place d’Olivença, son territoire et ses peuples dès le Guadiana», ce fleuve délimitant dorénavant la frontière entre les 2 pays dans la dite région. Si l’Espagne aurait un quelquonque argument valide pour justifier son occupation du Territoire d’Olivença elle le justifierait par le biais du Traité de Badajoz de 1801. En fait, ce traité et avec lui le Traité de Madrid de la même année, a perdu sa valeur juridique, il est nul et dépourvu d’éfficacité. Le Traité de Badajoz a été accordé entre les deux parties du conflit : le Portugal, en tant que pays envahi ; la France et l’Espagne, conjointement, dans la qualité de pays envahisseurs. À la fin des pourparlers, un double traité de paix a été rédigé, traité qui allait êtré signé alternativement entre le Portugal et l’Espagne et le Portugal et la France, les deux traités ayant la valeur d’un seul, en tant que textes diplomatiques connexes. Ceci même est affirmé dans le Préambule du Traité, où on peut lire le suivant : «Les Plénipotentiaires des trois Puissances belligérantes ayant agréé entre eux, ils ont accordé a faire deux Traités, sans que dans la partie essentielle ils soient plus qu’un seul, puisque la garantie est réciproque et il n’y aura pas de validité dans aucun des deux quand on vienne a constater une infraction à un quelquonque des articles qui y sont énnoncés». Renforçant le principe de l’unicité des Traités de Badajoz et de Madrid et donnant fondament aux reivindications portugaises sur leur nullité, il y a l’Article IV qui stipule le suivant : «Dans le cas d’avoir infraction à cet article ou à un autre, on donnera comme nul le Traité qui maintenant s’établit entre les trois Puissances, incluant la garantie mutuelle, selon ce qui s’exprime dans les Articles du présent». La réciprocité de la validité ou invalidité des 2 traités est clairement exprimé dans l’Article VIII du texte français, quand on affirme que «toute infraction à ce Traité sera regardée para le Premier Consul comme une infraction au Traité actuel» c’est-à-dire, chaque infraction au traité franco-portugais serait une infraction au traité hispano-portugais, puisque les deux traités ne faisaient qu’un seul. Il y a plusieurs raisons pour la nullité du Traité de Badajoz. Hormis l’inobservance, par la France, de l’échéance de ratification, en observance de ce qui stipulait l’Article IX, ce qu’entraîna la signature du Traité de Madrid du 29 septembre 1801, les causes de la nullité du Traité de Badajoz sont les suivantes : Manque de manifestation de la libre volonté du Portugal Les circonstances dans lesquelles le Portugal a signé le Traité de Badajoz, avec les armées et françaises et espagnoles menaçant d’augmenter les actions de force contre le territoire portugais, dejà partiellement occupé, sont en violation du principe selon lequel les affaires juridiques sont valides seulement quand il y a libre manifestation de la volonté des deux parties. Le Portugal a signé ledit Traité, non pas dans l’exercice de sa pleine liberté mais sous menace de force. Le Traité de Fontainebleau et la violation de la Paix Le Traité de Badajoz de 1801 était un «Traité de Paix», selon ce qui a été expressément établit dans son Préambule. Dans l’Article I, on stipulait : «Il y aura paix, amitié et bonne correspondence entre Son Altesse Royale le Prince Régent du Portugal et des Algarves et Sa Majesté Catholique le Roy d’Espagne, par mer et par terre, en toute l’extension de ses Royaumes et Domaines». Agressé et envahi par des forces franco-espagnoles, sans autre motif que sa décision de se refuser à abandonner son alliance avec la Grande-Bretagne, le Portugal a dû se soumettre à accepter la Paix dans des conditions déshonorantes et humiliantes. En échange de l’acceptation de la Paix, qui se vérifia sous la menace des plus grandes représailles, le Portugal a obtempéré aux exigences et de l’Espagne et de la France, entre lesquelles se trouvait la reconnaissance de la possession d’Olivença par l’Espagne. Selon stipulait l’Article IV du Traité de Badajoz, la violation de la Paix aurait comme conséquence inévitable la nullité du même Traité. C’est ce qui arriva en 1807, quand l’Espagne et la France signent le Traité de Fontainebleau, selon lequel le Portugal serait partagé en trois parties ; ce projet connait sa mise en œuvre quelques mois après, avec l’invasion du Pays. Si l’Espagne pourrait citer en sa faveur un quelquonque droit à la possession du Territoire d’Olivença, elle l’aurait perdu irrévocablement quand elle a rendu nul, par sa seule responsabilité, le seul document de valeur juridique sur lequel elle pourrait fondamenter sa souveraineté sur ce morceau de terre de l’Alentejo. Suite à l’invasion du Portugal par des forces franco-espagnoles, qui motiva le transfert au Brésil du siège de la Monarchie Portugaise, Jean, le Prince Régent, fait publier, en date du 1er mai 1808, un Manifeste selon lequel les Traités de Badajoz et de Madrid de 1801 étaient déclarés «nuls et sans effets». Le Traité de Paris de 1814 Le 3 mars 1814 les troupes alliés entrent à Paris, forçant l’abdication de Napoléon. Les hostilités sont suspendus par une convention signé le 23 avril, à laquelle le Prince Jean adhère le 8 mai de la même année. Le 30 mai 1814 le Traité de Paris est signé ; il rend nuls les Traités de Badajoz et de Madrid de 1801. L’Article nº 3 déterminait : «Bien que les traités, conventions et actes conclus entre les deux puissances antérieurement à la guerre aient été rendus nuls, de facto, par l’état de guerre, les hautes parties contractantes ont, non-obstant, considéré convenable de déclarer encore une fois et expressément que lesdits traités de Badajoz et Madrid de 1801 et la convention signé à Lisbonne en 1804, sont nuls et d’aucun effet, en ce qui concerne le Portugal et la France et que les deux couronnes rennoncent mutuellement à tout droit et se dégagent de toute obligation qui en puisse résulter». Quoique le Traité de Paris n’oblige directement que la France, l’Espagne en est concerné puisque les deux traités ne font qu’un seul, comme dans leur propre texte est ineffaçablement exprimé. De cet Article Aditionnel on infère, également, la doctrine juridique selon laquelle l’état de guerre qui découle du Traité de Fontainebleau, rendait nul, par lui seul, les Traités de Badajoz et de Madrid, ce qui confirme l’inexistance de tout fondament qui puisse justifier la domination de l’Espagne sur Olivença. Porte du Calvair (17ème siècle) Résolution du Congrès de Vienne Vaincu Napoléon, en avril 1814, les puissances européennes ont essayé de rétablir, dans la mesure du possible, l’Ordre et les frontières de 1792. Si le Traité de Paris de 1814 a commencé le processus de paix, seul le Congrès de Vienne, dont les travaux démarrent le 27 septembre de la même année, vient tenter de résoudre la multitude de problèmes pendants. Parmi les questions d’importance majeure pour le Portugal, on trouvait celle de la frontière de la Guianne Française et celle de la rétrocession d’Olivença. L’Espagne, avec des promesses peu solides de restitution du territoire, essaya de dissuader le Portugal de présenter la Question d’Olivença au Congrès de Vienne. Le Portugal, se méfiant des intentions espagnoles, opta pour saisir le Congrès de cette affaire. Ayant confiance dans la possibilité d’une rétrocession d’Olivença, le Portugal tenta d’obtenir l’annulation du Traité d’Alliance anglo-portugais de 1810, selon lequel le Portugal cédait Bissau et Cacheu à la Grande-Bretagne, pour une période de 50 années, en échange de l’appui de ce pays à la rétrocession du territoire oliventanien. Les représentants portugais au Congrès — Pedro de Sousa Holstein, António Saldanha da Gama et Joaquim Lobo da Silveira — non seulement ont obtenu satisfaction en ce qui concerne ledit Traité d’Alliance, comme ils ont réussi à établir le droit du Portugal à la réincorporation d’Olivença, ce qui est précisé dans l’Article 105ème du traité : «Les Puissances, reconnaîssant la justice des réclamations formulées par Son Altesse Royale, le Prince Régent du Portugal et du Brésil, au sujet de la ville d’Olivença et des autres territoires cédés à l’Espagne par le Traité de Badajoz de 1801 et considérant la restituition de ces objets comme une de ces mesures adéquates a assurer entre les deux Royaumes de la Péninsule cette bonne harmonie, complète et stable, dont le maintien en toutes les parties de l’Europe a été le but permanent de leurs négotiations, formellement s’obligent à employer par des moyens conciliatoires leurs plus efficaces efforts afin que se réalise la rétrocession des dits territoires, au profit du Portugal. Et les Puissances reconnaissent, dans ce qui dépent de chacune d’elles, que ce pacte doit avoir lieu le plus brèvement possible.» Le Plénipotentiaire espagnol, D. Pedro Gómez Labrador, s’est réfusé, le 9 juin 1815, à souscrire le Traité de Vienne, dressant un acte de protestation envers plusieurs délibérations du Congrès, dont celle qui concernait la restitution d’Olivença. L’Espagne accepta finalement le Traité et le Comte de Fernán Nuñez le signa le 7 mai 1817, reconnaissant ainsi les droits portugais sur Olivença et s’engageant dans sa rétrocession, ce qu’elle n’a pas, en date, encore accompli. Tu as l 'art pour remettre le couvert toi !!!!rrr...rrr...rrr Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capitao Posté(e) le 10 novembre 2008 Auteur Share Posté(e) le 10 novembre 2008 ???????? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 10 novembre 2008 Share Posté(e) le 10 novembre 2008 [move]:lol: :lol:MOI IL Y A LONGTEMPS QUE JE SUIS AILLEURS :lol: :lol: :lol:[/move] [move]JE GARDE LA FRONTIERE :lol: :lol: :lol:[/move] Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capitao Posté(e) le 10 novembre 2008 Auteur Share Posté(e) le 10 novembre 2008 ton silence dit tout ,merci la verite passe toujours Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 11 novembre 2008 Share Posté(e) le 11 novembre 2008 ton silence dit tout ,merci la verite passe toujours Mer...! Je suis démasqué :P Mon plan génial consistant a annexer le Portugal par la Galice (se fondant sur les droits du Royaume Sueve) est complétement éventé... :O Le problème est que du coup la suite du plan est compromise O0 En effet, l'étape suivante était : proclamer l'indépendance de l'Occitanie avec comme capitale Toulouse et ensuite annexer l'ensemble de la Peninsule au nom des droits du Royaume Wisigoth... =D En fait, c'est les proto-cathares qui téléguident tout ça... :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capitao Posté(e) le 11 novembre 2008 Auteur Share Posté(e) le 11 novembre 2008 toi non mais d autres plus haut placee aurait bien aimee , cella fait 900 ans depuis l indepandance que des francs macons iberistes voudrait faire du portugal partie de la grande espagne, ça jamais Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tomcat Posté(e) le 11 novembre 2008 Share Posté(e) le 11 novembre 2008 On est plus dans l'histoire militaire,mais la fiction militaire. Il faudrait déplacer ce sujet =) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 11 novembre 2008 Share Posté(e) le 11 novembre 2008 toi non mais d autres plus haut placee aurait bien aimee , cella fait 900 ans depuis l indepandance que des francs macons iberistes voudrait faire du portugal partie de la grande espagne, ça jamais Tout s'explique, les Francs-Maçons sont derrière tout ça. Maintenant que j'y pense, je crois même que la tendance maçonique - franquiste de l'Opus Dei, avait déjà écrit quelque chose là-dessus vers le 12eme siécle... O0 A ton avis; doit-on considérer les marranes comme des agents infiltrés, manipulés par le Saint Office et au service de l'Empire Castillan? :O De toutes manières c'est évident, même les Romains complotaient déjà contre le Portugal. La preuve ils avaient englobé la Lusitania dans l'Hispania Ulterior avec comme capitale Merida... Et ne parlons pas des Wisigoths qui avaient osé faire dependre ces territoires lusitaniens de Toledo....:lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capitao Posté(e) le 11 novembre 2008 Auteur Share Posté(e) le 11 novembre 2008 il faut etre serieux , les idees ne manque pas a certains pour vouloir changer l histoire Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
tattoo Posté(e) le 11 novembre 2008 Share Posté(e) le 11 novembre 2008 deux points m'interpèllent dans ce débat:d'une part il ne s'agit pas d'un débat mais d'une personne qui martèlle ses vues en tentant de les imposer:je sais que le forum n'est pas une démocratie mais....D'autre part les allusions à un complot Maçonnique:ça s'est déja entendus,il y a 60 ans Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 11 novembre 2008 Share Posté(e) le 11 novembre 2008 Je reviens sur ce fil ... et surpriseMaintenant nous avons les franc-mac. Donc normalement si tout va bien dans qq posts nous allons voir entrer les juifs en scène.N'empêche c'est assez drôle cette discussion, s'il y a un pays peinard en Europe c'est bien le Portugal: perdu au bout de sa péninsule partenaire européen de son voisin aussi démocratique que lui (UE, OTAN, la totale...)Et là crac: les Wisigoths, le comte de Toulouse, les initiés, la porte du Calvair ma soeur...C'est dur finalement d'être portugais Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capitao Posté(e) le 11 novembre 2008 Auteur Share Posté(e) le 11 novembre 2008 deux points m'interpèllent dans ce débat:d'une part il ne s'agit pas d'un débat mais d'une personne qui martèlle ses vues en tentant de les imposer:je sais que le forum n'est pas une démocratie mais.... D'autre part les allusions à un complot Maçonnique:ça s'est déja entendus,il y a 60 ansles pro esp vont dire que j impose mes idees mais ces pas les portugais qui parle d integration du portugal avec l espagne mais plutot le contraire ,c est pas moi qui a dit ça devant les cortes ,je cite -que le portugal etait la nation rebelle et que devrait revenir dans le giron espagnole ,ceci dit en 2006 par un senateur tu vas me dire il y a des fous partout ok mais pas un conentaire du roi qui etait present , alors que l ambassadeur portugais a demande des excuses au gouvernement espagnole , tous les jours on entand des commentaires comme ca contre le portugal de la part des politiques espagnoles Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jean-françois Posté(e) le 11 novembre 2008 Share Posté(e) le 11 novembre 2008 Il n'empêche : ça ne fera JAMAIS.Une démocratie n'envahit pas une autre démocratie. Point. Il n'y a pas de discussion possible sur ce point.Le reste n'est que du délire, que ce soit le "fantasme" d'un sénateur espagnol resté 500 ans en arrière ou les craintes infondées du petit pays envahis par le gros méchant voisin.L'Espagne n'a RIEN a gagné à envahir le Portugal. L'excuse que cela en ferait un géant européen ne tient pas. Le coup politique serait tellement important que les gains éventuels seraient complètement annulés.En plus, avec la crise que traverse l'Espagne actuellement et qui va durer un certain temps, elle n'a pas les moyens de faire cela. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capitao Posté(e) le 11 novembre 2008 Auteur Share Posté(e) le 11 novembre 2008 vous n aves rien compris a l heure actuel ces pas de guerre pure mais une guerre de mot c est economique pour demotiver les portugais , ils controle plus 40% des societes en generales 30% de la banque les medias ils nous difame a tout heure ,l allemagne na pas gagne la guerre ,mais la gagne economiquement contre la france et l angleterre Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jean-françois Posté(e) le 11 novembre 2008 Share Posté(e) le 11 novembre 2008 Et alors ? Est-ce que cela veut dire que l'Allemagne va prendre le contrôle de la France ? Bien sur que non.Même chose pour l'Espagne.Combien de sociétés américaines sont la propriété de sociétés étrangères, chinoises par exemple ? Est-ce que cela veut dire que la Chine est en train d'envahir les USA ?C'est la mondialisation. Il y a des sociétés qui passent sous contrôle étrangers dans le monde entier.C'est comme ça et c'est la vie. Il n'y a pas d'histoire de domination politique, surtout quand cela concerne deux démocraties. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capitao Posté(e) le 11 novembre 2008 Auteur Share Posté(e) le 11 novembre 2008 oui tu n as pas compris l economie, un pays qui est controle economiquement peut etre politiquement il faut juste placer les pions pour tout controler Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jean-françois Posté(e) le 11 novembre 2008 Share Posté(e) le 11 novembre 2008 Peux-tu me donner UN exemple valable ?Je demande bien le cas d'une démocratie, qui grâce à des entreprises privés, contrôle politiquement un autre pays et lui dicte sa politique ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capitao Posté(e) le 11 novembre 2008 Auteur Share Posté(e) le 11 novembre 2008 en france pas besoin d aller loin ,bouygues qui demande a sarkosy qui dit oui dans le cas de la pub sur les chaines publiques, parceque tf1 perd de l argent mr chirac a l epoque, financement du rpr toujous cause du lobby beton etc Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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