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Une confrontation Indo-Pakistanaise ?


Invité barbaros pacha

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Invité barbaros pacha

La défense anti-aérienne Indienne serait en état d'alerte...Le Pakistan pourrait retirer ses soldats da sa frontière ouest...

Indian puts air defence on high alert: Military sources

Indian puts air defence on high alert: Military sources

Updated at: 1823 PST, Saturday, November 29, 2008

Indian puts air defence on high alert: Military sources ISLAMABAD: The Chief of Army Staff (COAS) and the Director General of the Inter Services Intelligence (ISI) met here on Saturday to discuss the situation prevailing due to the recent incidents of terrorism in Mumbai.

Geo News senior correspondent Hamid Mir has said that Pakistan army officials held an important briefing session with a group of senior journalists. The military officials said that after Mumbai attacks, the Indian External Affairs Minister, Pranab Mukherjee called senior Pakistani officials and gave threats. The officials said that it seems as if Indian authorities wanted to escalate the already fragile situation.

Considering the gravity of situation, Pakistan has made it clear to the United States of America and its allies in Europe that if India keeps blaming Pakistan for Mumbai attacks, Pakistan would have no option but to pull back its troops from the Western border to Eastern border. India has also put its air defence on high alert, they added.

According to well-placed sources, it has been made clear to the US and European Union (EU) that in case of any eventuality, India will have to suffer more than Pakistan. Mir said there are indications suggesting that Pak army is being pulled out from the Western border. Military sources also said that instead of pointing fingers at neighbours, India should address the root causes of terrorism inside its own territory.

>>> http://www.geo.tv/11-29-2008/29773.htm

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Invité barbaros pacha

La Pakistan pourrait placer 100 000 soldats a sa frontière orientale....le chef du ISI n'ira pas en Inde, après les déclarations du ministre des affaires étrangères Indien...

'Pak may relocate 100,000 army personnel to border'

Pakistan may relocate around 100,000 military personnel from its restive border area with Afghanistan if there is an escalation in tension with India,which has hinted at the involvement of Pakistani elements in the Mumbai carnage, a media report said today.

Private channel Geo News reported that Pakistan's military and intelligence sources told a select group of journalists today that NATO and American command had been told

that Islamabad [images] would be forced to relocate its military from the borders with Afghanistan if there is escalation in tension with India, where nearly 200 people were killed in the multiple terror attacks on the Indian financial capital.

"These sources have said NATO and the US command have been told that Pakistan would not be able to concentrate on the war on terror and against militants around the Afghanistan border as defending its borders with India was far moreimportant," Geo News quoted senior Pakistani journalist Hamid Mir as saying.

He also said the sources had briefed the media that the decision not to send the ISI chief Lt Gen Shuja Pasha to India was taken after Indian foreign minister Pranab Mukherjee used a very aggressive tone with Pakistani officials on telephone after the Mumbai attacks.

"The decision to not send the ISI DG to India was taken because Mukherjee used strong words with Pakistani officials and warned of consequences," Mir quoted the military sources as saying.

>>> http://www.rediff.com/news/2008/nov/29mumterror-pakistan-relocating-army-to-border.htm

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bon je crois que je vais aller me creuser un abri anti-atomique et re-assembler mon fusil d'assaut (on sait jamais...) :lol:

Vous avez encore les munitions à la maison ?

Il n'y a pas eu une loi il y a deux ans la dessus ?

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Une guerre entre les deux pays est improbable à cause de la présence des Américains en Afghanistan et de plus ils vont renforcer leur contingent militaire.

WASHINGTON, 2 décembre (Xinhua) -- Un important  commandant américain a quitté Washington pour l'Inde et le  Pakistan en vue de calmer la tension régionale après les attentats terroristes survenus à Bombay, en Inde, a indiqué mardi le  secrétaire américain à la Défense, Robert Gates. 

"L'amiral Michael Mullen, chef d'Etat-major interarmes  américains, se trouve dans la région, comme la secrétaire Rice",  a déclaré M. Gates lors d'une conférence de presse au Pentagone. 

Cette visite coïncide avec la celle de la secrétaire d'Etat,  Condoleezza Rice, qui a prévu d'arriver mercredi en Inde. 

Le chef du Pentagone n'a pas révélé davantage de détails sur  la visite de l'amiral Mullen qui se produit après trois jours de  violence à Bombay, qui ont fait 183 morts et des centaines de  blessés. 

L'Inde a demandé mardi matin au gouvernement pakistanais  d'agir sans hésitation pour attaquer les militants qui devraient  être tenus responsables pour les attentats ou bien elle suspendra un processus de paix avec le Pakistan débuté en 2004. 

M. Gates a félicité mardi les autorités indiennes "pour leur  retenue". 

Répondant à la question sur le programme du président  américain nouvellement élu, Barack Obama, pour le retrait des  troupes de l'Irak, M. Gates a indiqué "qu'il était moins occupé  par cet agenda". 

M. Gates s'est opposé au plan Obama de redéployer tous les  soldats américains en Irak dans les 16 premiers mois après son  entrée en fonction. 

L'actuel secrétaire à la Défense, nommé par le gouvernement  républicain dirigé par le président George W. Bush, a été invité à rester dans la prochaine administration.

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Vous avez encore les munitions à la maison ?

Il n'y a pas eu une loi il y a deux ans la dessus ?

non il n'y en a plus (enfin, certains soldats ne doivent pas avoir encore rendu leurs munitions, le délais de réditition n'étant pas encore passé je crois).

Perso j'en ai pas (et c'est temps mieux...).

Se procurer des balles n'est pas bien difficile, soit dit en passant, mais c'est illégal...

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  Inde : les services secrets pakistanais auraient trempé dans les attentats de Bombay, selon les médias locaux. Le gouvernement détiendrait des preuves, fournies par les services de renseignements américains, que les services secrets pakistanais ont contribué à l'entraînement des terroristes de Bombay.  (Guysen.International.News)

03:45  L'armée pakistanaise serait impliquée dans l'attentat qui a coûté la vie à 14 personnes dont 11 français à Karachi en 2002, selon un responsable français de la lutte antiterroriste.  (Guysen.International.News)

Ma foie, le Pakistan commence à se créer des problèmes sérieux là...

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Si l'Inde et le Pakistan ne s'affrontent pas militairement et directement, c'est à cause que les Américains les surveillent de près et n'hésiteraient pas à menacer les bélligérants de riposte militaire foudroyante.

Voici un article  intéressant :

Après Bombay, l’inéluctable riposte indienne ?

Par le colonel Jean-Louis Dufour

Notre consultant militaire est officier de carrière dans l’Armée française, ex-attaché militaire au Liban, chef de corps du 1er Régiment d’infanterie de marine. Il a aussi poursuivi des activités de recherche: études de crises internationales, rédacteur en chef de la revue Défense… et auteur de livres de référence sur le sujet, dont «La guerre au XXe siècle» (Hachette 2003), «Les crises internationales, de Pékin à Bagdad» (Editions Complexe, 2004)

La crise internationale amorcée par l’attaque de Bombay, le 26 novembre, est singulière. Tout évènement de ce genre suit d’ordinaire un schéma précis dont les phases, de durées variables, suivent un ordre quasi immuable et logique: précrise, rupture, escalade, détente ou… guerre(1). Entre l’Inde et le Pakistan, la phase d’escalade semble escamotée. La réaction de New Delhi paraît très modérée, le Pakistan ayant reconnu très vite la participation de cadres subalternes de ses Services (Inter Services Intelligence ou ISI) à l’action menée par les militants de l’organisation cachemirie Lakhdar-e-Taiba. Dans chacun des deux pays, rien de spectaculaire n’intervient, guère de bruit de bottes, pas de mouvement de troupes, aucune mobilisation. Tout juste les Indiens ont-ils renforcé la surveillance de leurs aéroports et mis leur armée de l’air en alerte après avoir intercepté le 5 décembre divers signaux indiquant de possibles détournements d’avions liés à des attaques suicide.

Normalement, tout pays agressé par des terroristes venus de l’étranger réagit sans tarder. La riposte ne doit pas intervenir des semaines, voire des mois, après l’offense. On ne gronde pas un enfant des heures après la faute commise. C’est un peu la même chose s’agissant de représailles antiterroristes.

Pourtant l’Inde ne saurait se dispenser de frapper. Pour deux raisons: la situation électorale du gouvernement Singh est catastrophique, le Pakistan semble politiquement hors d’état de mettre hors d’état de nuire ses Islamistes et plus encore les membres de l’ISI, coupables pourtant d’une forfaiture.

La question n’est donc pas de savoir si l’Inde va employer la force mais comment elle va le faire. Les options militaires ne sont pas légion. L’Inde doit imaginer une frappe puissante, spectaculaire et à peu près instantanée. La confrontation pourrait être terrestre, aérienne, voire navale, sous la forme d’un blocus.

New Delhi ne veut certainement pas d’une guerre de grande envergure contre le Pakistan. L’Inde ne souhaite ni la décomposition de son voisin, ni l’effondrement d’un gouvernement pakistanais plutôt modéré et avec lequel les mesures de confiance étaient en train de prendre leur essor. Les Indiens doivent veiller à ne pas entraîner une réaction trop massive du Pakistan. Celui-ci laisse les Américains viser quelques objectifs situés dans les zones tribales à l’ouest du Pakistan sans trop se formaliser. L’état-major indien peut être tenté d’en faire autant à l’est, au Cachemire, surtout s’il reçoit du Pentagone les informations précises nécessaires. Bien connaître son adversaire est évidemment essentiel. Or l’Inde ne dispose pas d’outils évolués d’acquisition du renseignement. Les images satellites lui font grandement défaut pour assurer un suivi quotidien de la situation prévalant au Cachemire. Les militaires indiens ne possèdent ni drones, ni Predator, ces engins sans pilote télécommandés capables d’attaquer et de détruire un objectif. L’hiver, enfin, est imminent, et ce n’est surement pas un hasard si les auteurs des tueries de Bombay ont œuvré à la fin de l’automne. La saison se prête fort mal à des opérations offensives menée sur un terrain caractérisé par des altitudes souvent supérieures à 5.000 mètres. Lors de la guerre dite du Kargil, les Pakistanais avaient profité des grands froids pour occuper des positions évacuées chaque hiver par les troupes indiennes. Celles-ci, au printemps 1999, s’étaient lancées à la reconquête du terrain perdu. Rudes, les combats étaient néanmoins demeurés limités.

Aujourd’hui, trois possibilités s’offrent aux stratèges indiens. La première est à dominante terrestre. Des actions d’infanterie appuyée par l’artillerie, et par l’aviation si le temps le permet, sont envisageables pour aller au contact des groupes islamistes pakistanais. L’armée indienne est entraînée pour ce type de combat en terrain montagneux contre des irréguliers. Des troupes à pied constituent le moyen le mieux adapté au milieu considéré. Un tel mode d’action risque pourtant d’être laborieux et les affrontements durer longtemps. Le succès n’est pas garanti compte tenu des fortifications installées de longue date par les Pakistanais, dans un terrain très propice à la défensive. Des opérations de forces spéciales mieux adaptées à une infiltration entre des positions pakistanaises trop fortes pour être attaquées de front pourraient aussi faire l’affaire. Le but serait la destruction d’installations et de cantonnements utilisés par les paramilitaires cachemiris. Il y faut des informations très précises, une logistique appropriée et des délais suffisants pour bien préparer l’entreprise. Toutefois, l’armée indienne a peu de forces spéciales et n’a pas l’habitude des coups de commandos, un mode d’action jamais encore employé pendant soixante ans de confrontation, directe ou non, entre les deux pays. New Delhi peut aussi vouloir privilégier l’artillerie, aux tirs si souvent déclenchés de part et d’autre de la ligne de contrôle, la LOC définie en 1972. Les derniers échanges d’artillerie sérieux ont eu lieu en 2003. Ils permettent de bombarder l’autre camp sans y mettre le pied. La portée maximum est de 40 kilomètres en utilisant les LRM, ces lance-roquettes multiples russes BM 30 dont est dotée l’armée indienne. Mais il lui faudrait soigneusement choisir ses objectifs et disposer d’observateurs bien placés pour régler les tirs.

La deuxième possibilité est l’emploi de la troisième dimension, autant dire l’armée de l’air et les missiles balistiques. Ainsi New Delhi pourrait-il frapper dans toute la profondeur du territoire adverse. Certains de ses engins bénéficient d’une précision très convenable tout en étant dotés de charges à explosifs conventionnels hautement performants. Pareille stratégie ne serait pas sans risque si elle devait être mal interprétée par les Pakistanais, tentés de voir là une attaque nucléaire. Pour s’éviter pareille méprise, l’Inde dispose de missiles de croisière supersoniques sol-sol, très récents, de type BrahMos. Ces engins n’ayant jamais encore été pratiquement utilisés, des questions se posent quant à leur efficacité opérationnelle. Et il y a les avions de combat, surtout les derniers Su-30MKI russes (Flanker selon la terminologie Otan), considérés comme les meilleurs chasseurs bombardiers du monde et qui ont fait la preuve de leurs capacités lors de récents exercices Red Flag, menés sur les champs de tir américains du Nevada. Ces appareils pénétreraient sans doute sans trop de dommage l’espace aérien pakistanais. Ils pourraient donc détruire des objectifs gouvernementaux symboliques, comme par exemple le siège de l’ISI, à l’aide de bombes guidées par laser (BGL), d’origine russe et israélienne, dont l’Inde disposerait. Cette façon d’agir entraînerait sans doute une réplique pakistanaise de même nature, avec cet avantage que l’aviation d’Islamabad est probablement moins performante que celle de son adversaire. La dernière option consiste en un blocus naval des côtes pakistanaises. L’Inde avait choisi de procéder ainsi en 1971 et y avait songé après l’attaque du Parlement de New Delhi, le 13 décembre 2001. Sa marine en est capable. La disposition d’une aviation embarquée lui permet d’appuyer au plus près ses bâtiments. L’inconvénient est qu’un blocus nuirait évidemment à l’économie pakistanaise sans spécialement atteindre les coupables cachemiris, même si les auteurs de l’attaque du 26 novembre sont venus du Pakistan par voie de mer. Toutefois, la présence à Karachi de bâtiments américains ou battant pavillon des pays membres de l’Otan serait de nature à compliquer l’opération. C’est en effet via le grand port pakistanais que le commandement US assure une grande partie du soutien logistique des unités engagées en Afghanistan.

Il va falloir encore attendre pour connaître le choix de New Delhi. Seul, semble-t-il, un bombardement précis d’un objectif majeur et symbolique pourrait ressembler à cette riposte rapidement mise en œuvre, spectaculaire et puissante qu’attend l’opinion indienne. A condition d’être économe en vies humaines et de ne pas multiplier les dommages collatéraux, la réplique de New Delhi pourrait également présenter le grand avantage de ne pas entraîner une quatrième guerre, peut-être dévastatrice celle-là, entre l’Inde et le Pakistan.

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Invité barbaros pacha

L'armée pakistanaise serait impliquée dans l'attentat qui a coûté la vie à 14 personnes dont 11 français à Karachi en 2002 :O ???

Cela me parait pas tellement crédible vu que les dis français travaillait justement à la modernisation de la Marine Pakistanaise :rolleyes:

Ils étaient la pour une affaire de sous-marin, peut être certain cadre de l'armée Pakistanaise n'ont pas vouluent de matériel Français dans la marine Pakistanaise...

Résultat: Le Pakistan vient d'acheter les U-214 Allemands...

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  • 2 weeks later...

Selon la presse indienne, les services de renseignements disposaient d'informations précises concernant la préparation par des militants du groupe Lashkar-e-Taïba, basé au Pakistan, d'une attaque sur des hôtels cinq étoiles de Bombay.

Un soldat indien devant l'hôtel Taj Mahal (Sipa)

Un soldat indien devant l'hôtel Taj Mahal (Sipa)

La presse indienne a affirmé, lundi 1er décembre, que des avertissements des services de renseignement, indiens notamment, sur la préparation d'attentats à Bombay, avant les attaques qui ont fait plus de 170 morts la semaine dernière, ont été ignorés.

Selon le Hindustan Times, les services de renseignements disposaient d'informations précises depuis au moins dix mois concernant la préparation par des militants du groupe Lashkar-e-Taïba, basé au Pakistan, d'une attaque sur des hôtels cinq étoiles de Bombay (ouest), la capitale économique de l'Inde.

L'information venait d'un membre du Lashkar arrêté en février dans le nord de l'Inde, selon le Times, qui cite un agent l'ayant interrogé.

"Le cargo est en route"

Selon ce dernier, le membre du Lashkar avait séjourné dans une pension à Bombay à la fin de l'année dernière, et "étudié précisément chaque étage" des hôtels de luxe qui ont été visés par les attaques de la semaine dernière, le Taj Mahal et l'Oberoi/Trident.

Il avait aussi révélé que les assaillants viendraient probablement par la mer.

Selon le Times of India, les services de renseignements avaient prévenu le Conseil de sécurité nationale indien en septembre que l'hôtel Taj Mahal pourrait être une cible et le 12 novembre qu'une attaque viendrait de la mer.

Citant des sources du RAW, le renseignement militaire indien, le Times indique que des conversations téléphoniques interceptées, dans lesquelles on entendait le chef du Lashkar-e-Taïba dire que "le cargo est en route", avaient été transmises à la marine et aux garde-côtes le 18 novembre.

Le conflit au Cachemire

Les assaillants sont arrivés à Bombay en canots pneumatiques, débarqués d'un bateau qu'ils avaient détournés, selon la presse indienne. Ils ont attaqué notamment les deux hôtels de luxe, un centre culturel juif, un hôpital et la gare, faisant au moins 172 morts et près de 300 blessés.

Le principal suspect est le Lashkar-e-Taïba, un groupe islamiste clandestin pakistanais qui refuse que le Cachemire, peuplé majoritairement de musulmans, fasse partie de l'Inde.

Le ministre indien de l'Intérieur Shivraj Patil a démissionné dimanche et d'autres hauts responsables, dont le conseiller à la sécurité nationale M.K. Narayanan, ont présenté leur démission.

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Invité barbaros pacha

Le Pakistan annule le congé de l'armée sur fond de tension avec l'Inde


ISLAMABAD, 26 décembre (Xinhua) -- Le Pakistan a annulé le congé de son armée sur fond de tension avec l'Inde, a rapporté vendredi la chaîne de télévision privée Geo TV.

L'armée de terre a été placée en alerte élevée et l'armée de  l'air reste en alerte pour protéger l'espace aérien du pays, selon des sources citées par Geo TV.

Selon la presse locale, le Pakistan et l'Inde ont déployé des troupes le long de la ligne de contrôle du Cachemire et de leurs frontières.

Les relations entre le Pakistan et l'Inde se sont détériorées après que New Delhi ait imputé à des groupes armés basés au Pakistan la responsabilité des attentats terroristes de Bombay du mois dernier qui ont fait plus de 170 morts.

Le Pakistan a démenti son implication dans les attentats de Bombay.

La tension entre les deux pays nucléaires d'Asie du Sud a gelé le processus de paix entamé il y a quatre ans.

>>> http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-12/26/content_786826.htm
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Le Pakistan annule le congé de l'armée sur fond de tension avec l'Inde

ISLAMABAD, 26 décembre (Xinhua) -- Le Pakistan a annulé le congé de son armée sur fond de tension avec l'Inde, a rapporté vendredi la chaîne de télévision privée Geo TV.

L'armée de terre a été placée en alerte élevée et l'armée de  l'air reste en alerte pour protéger l'espace aérien du pays, selon des sources citées par Geo TV.

Selon la presse locale, le Pakistan et l'Inde ont déployé des troupes le long de la ligne de contrôle du Cachemire et de leurs frontières.

Les relations entre le Pakistan et l'Inde se sont détériorées après que New Delhi ait imputé à des groupes armés basés au Pakistan la responsabilité des attentats terroristes de Bombay du mois dernier qui ont fait plus de 170 morts.

Le Pakistan a démenti son implication dans les attentats de Bombay.

La tension entre les deux pays nucléaires d'Asie du Sud a gelé le processus de paix entamé il y a quatre ans.

>>> http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-12/26/content_786826.htm

PLUS QU'UNE ALLUMETTE POUR METTRE LE FEU AU POUDRE ... ET...

QUE DIT LE LB ?  :-[

L’Inde recommande de ne pas aller au Pakistan

vendredi 26.12.2008, 14:59

L’Inde a recommandé à ses ressortissants de ne pas se rendre au Pakistan, dans un climat de tension entre les deux pays à la suite des attentats de Bombay.

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L'Inde a recommandé vendredi à ses ressortissants de ne pas se rendre au Pakistan tandis que le Premier ministre indien Manmohan Singh a réuni le même jour l'état-major inter-armées, dans un climat de tension entre les deux pays à la suite des attentats de Bombay, a-t-on appris de source officielle.

M. Singh a réuni les chefs de l'armée de l'air, de la marine et de l'armée de terre, forte de plus d'un million d'hommes, pour faire le point sur "l'état de préparation" du dispositif se défense de l'Inde, a précisé un responsable des services du Premier ministre, qui a requis l'anonymat.

Les chefs des trois armées lui ont présenté "les scénarios des menaces militaires conventionnelles" et les "mesures mises en place pour y faire face", a déclaré ce responsable à l'AFP.

Les relations entre les deux puissances nucléaires rivales sont au plus bas depuis les attentats de Bombay du 26 novembre, dont New Delhi rend responsable un groupe islamiste basé au Pakistan.

De son côté, le Pakistan a annulé les permissions de ses soldats et renforcé ses troupes près de sa frontière avec l'Inde, soupçonnant New Delhi d'avoir pris des mesures similaires, selon un haut responsable militaire pakistanais.

Tant New Delhi qu'Islamabad ont déclaré ne pas vouloir la guerre, tout en avertissant qu'ils riposteraient s'il y avait provocation de la part de l'autre partie.

Les deux pays se sont livré trois guerres au sujet du territoire du Cachemire depuis la partition de l'Inde en 1947 après l'indépendance de la puissance coloniale britannique.

Les attaques de Bombay, qui ont fait 172 morts dont neuf des assaillants, ont de facto gelé le laborieux processus de paix réamorcé en 2004 entre les deux pays.

QUE DIT LE LB ?

Pas de conflit majeur les 15 prochaines années  :lol:

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Pas de conflit majeur les 15 prochaines années  :lol:

C'était signé Mme Irma ?

Tensions Inde-Pakistan: le Premier ministre indien réunit l'état-major interarmées

il y a 25 min

L'Inde a recommandé vendredi à ses ressortissants de ne pas se rendre au Pakistan tandis que le Premier ministre indien Manmohan Singh a réuni le même jour l'état-major inter-armées, dans un climat de tension entre les deux pays à la suite des attentats de Bombay, a-t-on appris de source officielle. Lire la suite l'article

M. Singh a réuni les chefs de l'armée de l'air, de la marine et de l'armée de terre, forte de plus d'un million d'hommes, pour faire le point sur "l'état de préparation" du dispositif se défense de l'Inde, a précisé un responsable des services du Premier ministre, qui a requis l'anonymat.

Les chefs des trois armées lui ont présenté "les scénarios des menaces militaires conventionnelles" et les "mesures mises en place pour y faire face", a déclaré ce responsable à l'AFP.

Les relations entre les deux puissances nucléaires rivales sont au plus bas depuis les attentats de Bombay du 26 novembre, dont New Delhi rend responsable un groupe islamiste basé au Pakistan.

De son côté, le Pakistan a annulé les permissions de ses soldats et renforcé ses troupes près de sa frontière avec l'Inde, soupçonnant New Delhi d'avoir pris des mesures similaires, selon un haut responsable militaire pakistanais.

Tant New Delhi qu'Islamabad ont déclaré ne pas vouloir la guerre, tout en avertissant qu'ils riposteraient s'il y avait provocation de la part de l'autre partie.

Les deux pays se sont livré trois guerres au sujet du territoire du Cachemire depuis la partition de l'Inde en 1947 après l'indépendance de la puissance coloniale britannique.

Les attaques de Bombay, qui ont fait 172 morts dont neuf des assaillants, ont de facto gelé le laborieux processus de paix réamorcé en 2004 entre les deux pays.

Cela ne s'arrange pas...

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Pourquoi ''guerre'', si pour satisfaire l'opinion publique indienne, l'Inde tire un ou deux missiles sur la zone tribale, le Pakistan pourrait se prévaloir de faire sonner le canon sur une zone désertique du Cachemire et tout le monde sera longtemps, l'honneur sera sauf pour les Etats sans qu'il y ait de pertes humaines dans les armées concernées.

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