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Situation politique en Amérique Centrale et en Amérique du Sud


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Cuba : L'armée cubaine va lancer mardi un site internet dédié à "la conception de la défense cubaine, l'histoire politico-militaire et les Forces armées révolutionnaires" (FAR), a annoncé dimanche le quotidien de la jeunesse communiste Juventud Rebelde. Développé par des spécialistes de l'Université de Sciences informatiques de La Havane, le site internet proposera notamment une galerie d'images du guérillero cubano-argentin Ernesto "Che" Guevara (1928-1967).

Le portail  www.cubadefensa.cu sera "le premier site internet entièrement consacré à la thématique de la défense nationale" cubaine, a souligné Juventud Rebelde.

Il expliquera notamment ce que fait Cuba "pour se défendre" et "quel est sa conception de la défense", avec pour objectif de "contrer quelques médias internationaux qui essaient de saper le prestige" des FAR, a déclaré le colonel Jorge Galvan, directeur de Verde Olivo, journal de l'armée.

(AFP)

Bolivie : Evo Morales s'oppose à l'interdiction des feuilles de coca.

Le président bolivien Evo Morales a défendu lundi le droit des Boliviens à mâcher les feuilles de coca, ingrédient principal de la cocaïne, en faisant valoir qu'il s'agissait d'une vieille tradition et que son pays luttait par ailleurs contre le trafic de drogue.

Brandissant dans une main une feuille de coca pour illustrer son message, lors d'une réunion des Nations unies consacrée à la drogue, à Vienne, le président socialiste, Indien et lui-même ancien planteur de coca, a souligné que les producteurs de ces feuilles n'étaient pas des «trafiquants de drogue» et que ce n'était pas la même chose que la cocaïne.

La feuille de coca a été déclarée narcotique illégal lors de la «Convention unique des Nations unies sur les stupéfiants», au même titre que la cocaïne, l'héroïne, l'opium, la morphine et une série de drogues chimiques. La Bolivie a dénoncé cette convention l'an dernier mais espère la réintégrer, moyennant une réserve -la reconnaissance du droit de mâcher les feuilles de coca.

(Reuters)

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  • 2 weeks later...

En Colombie, riposte de l'armée à la dernière attaque des FARC :

"C'est sans doute l'un des coups les plus durs portés aux Farc (Forces armées révolutionnaires de Colombie, ndlr) depuis cinq ans", s'est félicité le ministre colombien de la Défense, Juan Carlos Pinzon. Une déclaration qui fait suite à d'intenses combats durant lesquels les autorités colombiennes ont tué 36 hommes de la guérilla marxiste mercredi 21 mars. Une opération de grande envergure qui durait depuis mardi dans la province d'Aurauca, située à la frontière avec le Venezuela quelques jours après une embuscade subie par l'armée. Une réponse cinglante aux Forces armées révolutionnaires de Colombie, qui avaient tendu samedi une embuscade à une patrouille militaire, provoquant la mort de onze soldats dans la région, l'attaque la plus meurtrière depuis le début de l'année.

Ce nouveau coup survient alors que les Farc ont annoncé le 26 février dernier l'arrêt des enlèvements contre rançon dans un message diffusé sur leur site Internet. Même si plus d'une centaine de civils sont toujours retenus, la guérilla a affirmé vouloir relâcher les dix policiers et militaires encore otages. Une promesse qui pourrait rapidement être tenue.

Selon le collectif "Colombiens pour la paix" qui agit comme médiateur dans le conflit, les Farc devraient en effet commencer à relâcher ces hommes, en captivité depuis plus de douze ans, à partir de lundi prochain. "Le 26 mars prochain débuteront les libérations", a déclaré à l'AFP la responsable du collectif, Marleny Orjuela, désignée pour aller récupérer les otages avec une délégation du Comité international de la Croix-Rouge (CICR).

Fondée en 1964, l'organisation Farc, qui compte encore 9000 combattants, ne cessent d'essuyer des revers comme la mort de leur chef militaire Jorge Briceño en 2010, puis celle de son numéro un Alfonso Cano l'an dernier. Repliées dans les montagnes et les forêts, leurs troupes ont fondu de moitié en dix ans.

(metrofrance.com)

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Voyage politique du pape Benoît XVI à Cuba : Les thèmes chauds - prisonniers politiques, allègement de l'embargo américain contre Cuba, droits élargis pour les catholiques dans des domaines comme l'enseignement - devraient être abordés à cette occasion.

http://www.liberation.fr/monde/01012398526-le-voyage-tres-politique-de-benoit-xvi-a-cuba

Le pape Benoît XVI a appelé les Cubains à construire une société ouverte et rénovée. Ses propos n'ont pas plu au gouvernement cubain qui a répliqué ne pas vouloir faire de réforme politique.

« À Cuba, il n'y aura pas de réforme politique. À Cuba, nous parlons d'une actualisation du modèle économique cubain, qui rende notre socialisme durable et qui satisfasse au bien-être de notre peuple », a affirmé Marino Murillo, un des vice-présidents cubains.

Le pape avait estimé vendredi que le marxisme « ne répond plus à la réalité ».

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Les derniers policiers et militaires otages des FARC libérés.

Une mission humanitaire a récupéré lundi dans la jungle en Colombie les dix derniers policiers et militaires encore séquestrés par les Farc, les plus anciens otages de la guérilla marxiste.

Ces otages, en captivité depuis 12 à 14 ans, ont embarqué à bord de deux hélicoptères de transport de l'armée brésilienne, mis à la disposition du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et du collectif civil "Colombiens pour la paix". Les autorités colombiennes s'étaient engagées de leur côté à suspendre les opérations militaires dans la zone de libération. Les policiers et militaires devaient être transférés en fin de journée vers la capitale pour y passer des examens médicaux. Une vingtaine d'otages ont déjà été relâchés dans des conditions similaires, avec l'aide du Brésil, dont les rebelles ont demandé la médiation en gage de neutralité. Dix ans après l'échec de négociation avec le gouvernement, la libération des policiers et des militaires pourrait constituer un tournant pour les Farc qui les ont toujours considérés jusqu'ici comme une monnaie d'échange pour les rebelles emprisonnés. Le groupe rebelle, qui détiendrait aussi plus d'une centaine d'otages civils, s'est également engagé à renoncer aux enlèvements contre rançon, une pratique qui assurait une partie de son financement. En dépit de leurs appels à la paix, les Farc continuent de s'opposer régulièrement sur les modalités d'un dialogue avec les autorités qui réclament en préalable l'arrêt des violences et la libération de toutes les personnes séquestrées. Fondée en 1964 pour défendre les petits paysans, la guérilla compte encore 9.000 combattants, repliés dans les montagnes et les forêts, à la suite d'une série de revers militaires qui ont divisé ses troupes par deux en 10 ans et provoqué la mort de plusieurs de ses chefs.

(AFP)

Le Brésil semble être un médiateur très efficace !  Est-ce bientôt la fin des FARC ?

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  • 2 weeks later...

Pérou: 40 travailleurs enlevés par des rebelles du Sentier lumineux

(AP) LIMA, Pérou - De présumés rebelles du Sentier lumineux réclament une rançon de 10 millions $US pour libérer les 40 employés péruviens d'une centrale de gaz naturel enlevés lundi dans le centre du Pérou, a annoncé une responsable de la région mardi.

Un porte-parole de l'entreprise de construction suédoise Skanska, Edvard Lind, a indiqué que 29 des personnes enlevées travaillaient pour cette entreprise. M. Lind, joint en Suède, a indiqué que les ravisseurs avaient relâché deux femmes lundi.

M. Lind a précisé n'avoir aucune information sur les ravisseurs ni sur la raison pour laquelle ils demandent une rançon.

Fedia Castro, la mairesse de la ville de Convencion, a raconté que les travailleurs avaient été rassemblés avant l'aube lundi par des ravisseurs armés qui sont allés les chercher dans leur hôtel et qui les ont emmenés. Selon elle, aucun coup de feu n'a été tiré.

«Les véhicules ont (ensuite) ramené une infirmière et une femme médecin» et les rebelles ont présenté leur demande de rançon, a indiqué Mme Castro. En plus des 10 millions $US, les ravisseurs réclament un versement annuel de 1,2 million $US, a-t-elle dit.

Les otages travaillaient à la construction d'une nouvelle usine de traitement du gaz naturel, où les travaux ont commencé il y a un an, a précisé M. Lind.

De tels enlèvements sont rares au Pérou, mais l'enlèvement de lundi pourrait signaler une menace grandissante posée par le Sentier lumineux.

Le groupe rebelle qui se finance par le trafic de cocaïne n'est qu'une petite faction du groupe maoïste fanatique du même nom qui a terrorisé le Pérou dans les années 1980 et 1990.

Le groupe, qui ne compterait que de 300 à 500 membres, est installé dans la région des vallées de l'Ene et de l'Apurimac, où est concentrée la culture de coca au Pérou. Au cours des derniers mois, le groupe a étendu ses attaques à l'extérieur de sa zone habituelle, notamment dans la région où l'enlèvement de lundi s'est produit.

Depuis 2008, plus de 50 soldats péruviens ont été tués dans des attaques du Sentier lumineux.

Les rebelles n'avaient pas commis d'enlèvement de masse depuis 2003, quand 60 employés d'une entreprise argentine avaient été enlevés dans la région de Camisea. Les employés ont été libérés deux jours plus tard. Selon les autorités, aucune rançon n'a été versée.

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L'Amérique latine conteste Washington.

À Carthagène, les chefs d'État latino-américains interpelleront Obama samedi sur la politique antidrogue des États-Unis et sur l'exclusion de Cuba des instances régionales.

Le sixième sommet des Amériques qui s'ouvre samedi à Carthagène en Colombie s'annonce délicat pour le président Obama, en campagne électorale pour sa réélection. Au programme de cette rencontre figurent deux sujets qui mettent Washington mal à l'aise: le trafic de drogue, avec ses conséquences sur la sécurité des pays d'Amérique centrale, et l'exclusion de Cuba des instances régionales. «Depuis l'abandon de la création d'une vaste zone de libre-échange continental à Mar del Plata en Argentine au quatrième sommet en 2005, Washington semble ne plus avoir le moindre projet pour la région», déplore Juan Gabriel Tokatlian, spécialiste argentin des relations internationales.

La suite très intéressante sur le trafic de drogue et la perte d'influence américaine en amérique du sud :

http://www.lefigaro.fr/international/2012/04/13/01003-20120413ARTFIG00553-l-amerique-latine-conteste-washington.php

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Le sommet des amériques se conclut sur un constat d'échec total.

CARTHAGÈNE-DES-INDES, Colombie (Reuters) - Les divisions sur l'hostilité des Etats-Unis envers le régime communiste cubain ont empêché dimanche l'adoption d'un communiqué final sanctionnant le sommet des Amériques de Carthagène-les-Indes, a annoncé l'hôte de la réunion, le président colombien Juan Manuel Santos.

"Il n'y a pas eu de déclaration parce qu'il n'y a pas eu d'accord", a annoncé le président colombien Juan Manuel Santos, à l'issue de cette rencontre qui réunissait depuis samedi une trentaine de dirigeants des pays de l'Organisation des Etats Américains (OEA) dans le port caribéen de Carthagène.

Soulignant que "la majorité des pays soutient la participation de Cuba", M. Santos, qui avait qualifié d'"anachronisme" l'exclusion, a appelé à lancer un "processus pour que cela devienne réalité" lors de la prochaine édition.

Dans la journée, de nombreux gouvernements sud-américains avaient menacé de ne pas signer de déclaration finale si Washington ne mettait pas fin à l'exclusion de Cuba de l'Organisation des Etats américains.

L'exclusion de Cuba est une épine qui met en péril l'avenir même de cette conférence continentale.

La Havane avait été exclue en 1962 de l'OEA et les Etats-Unis et le Canada ne veulent pas depuis infléchir leur position.

Les Etats-Unis et le Canada s'opposent aussi au soutien sud-américain à l'Argentine pour la souveraineté de l'archipel des Malouines, trente ans après la guerre contre la Grande-Bretagne.

Un autre sujet explosif qui a empêché la signature d'un accord final.

Depuis La Havane, le vieux leader cubain Fidel Castro a ironisé sur la mise en minorité du président américain Barack Obama qu'il a jugé "pensif et parfois absent" lors des débats, dans un article publié dimanche par la presse officielle.

La survie du sommet des Amériques se trouve désormais clairement posée depuis la réunion de Carthagène.

Les pays de l'Alba (Alliance bolivarienne pour les Amériques), un bloc rassemblant notamment Cuba et ses alliés du Venezuela, d'Equateur et de Bolivie, ont lancé un ultimatum, brandissant la menace d'un boycottage.

Le président équatorien Rafael Correa et nicaraguayen Daniel Ortega ont boudé le sommet en Colombie, auquel était aussi abstent le dirigeant vénézuélien Hugo Chavez, retenu à Cuba pour son traitement contre le cancer.

Une autre pomme de discorde a marqué le sommet où les dirigeants latino-américains ont critiqué l'efficacité du programme de lutte contre la drogue financé par les Etats-Unis à hauteur de 8 milliards de dollars depuis 2000.

M. Obama a jugé le débat "utile" mais exclu toute idée de dépénalisation promue notamment par certains dirigeants d'Amérique centrale, endeuillée par la mort de 20.000 personnes, l'an dernier, liées aux cartels.

A la tête du premier pays producteur de cocaïne, le président colombien a toutefois assuré que le sommet avait permis de s'accorder sur la "nécessité d'explorer de nouvelles pistes".

Avant son départ, M. Obama participe à des réunions bilatérales avec M. Santos et la dirigeante brésilienne Dilma Rousseff, axées sur les relations économiques entre les Etats-Unis et l'Amérique latine, qui absorbe 40% de ses exportations.

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Au Salvador, le samedi 14 avril 2012 a été le premier jour sans assassinats depuis ces trois dernières années, a indiqué le Président Mauricio Funes dans un communiqué, rapporte El Mundo : «Après des années où le nombre de meurtres ont atteint des niveaux alarmants de 18 par jour, nous n'avons pas vu un seul homicide dans le pays.»

Un «fait inédit», selon Davis Rivas, le secrétaire de la communication du président.

Depuis juin 2009 et l'arrivée de Mauricio Funes à la tête de ce pays d'Amérique centrale peuplé de sept millions d'habitants, la violence des gangs n'a eu de cesse d'augmenter, la moyenne de meurtres par jour étant de 12 au début de son mandat.

Le site El Comercio rapporte que la mise en place d'un plan de sécurité pour surveiller les élections municipales et législatives du dimanche 11 mars avait déjà permis une réduction des violences, avec une moyenne de cinq homicides par jour entre le 9 et le 12 mars et seulement deux meurtres la veille de l'échéance électorale.

En réalité, cet apaisement est davantage dû à un appel à la trêve lancé le mois dernier par les deux gangs rivaux les plus puissants du pays, la Mara Salvatrucha et Mara 18, à la suite d'un «dialogue» et d'une «négociation» entre l'Église catholique et les deux chefs de bandes emprisonnés à la prison de Zacatecoluca.

Le gouvernement a nié pendant deux semaines le fait d'être intervenu, puis a fini par déclarer avoir fait un travail de «logistique» dans cette rencontre en transférant trente chefs de gangs dans des prisons où les contrôles sont moins «rigoureux» qu'à Zacatecoluca, d'ailleurs surnommée «Zacatraz», en référence à «Alcatraz», la célèbre prison américaine. Un accord qui a donc permis l'arrêt des massacres entre les deux gangs et contre les civils.

Le Salvador est une plaque tournante du trafic de drogue où sévissent notamment des cartels mexicains.

Selon les données de l'Organisation des nations unies, il y a 66 meurtres pour 100.000 habitants dans ce pays, un des taux d'homicides les plus élevés au monde, rapporte Reuters.

http://www.slate.fr/lien/53425/salvador-premier-jour-sans-meurtres-trois-ans

Punaise, on voit qui dirige vraiment ce pays !  >:(

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L'armée péruvienne prête à l'offensive contre le Sentier lumineux.

L'armée péruvienne a commencé ce vendredi à évacuer des centaines de villageois dans la jungle du sud-est du Pérou en prélude à ce qu'elle annonce comme une vaste offensive contre la guérilla maoïste du Sentier lumineux.

Des milliers de soldats sont en cours de déploiement, ont précisé des officiers, en réponse à l'enlèvement par les rebelles de 36 ouvriers le 9 avril et à une embuscade qui a coâté la vie à six soldats le week-end dernier.

Le chef du Sentier lumineux, Martin Quispe Palomino, qui n'était jamais apparu dans les médias auparavant, a déclaré mercredi dans une interview diffusée par la chaîne TV Panamerica que l'enlèvement des ouvriers, relâchés par la suite, n'avait été qu'un piège pour attirer les soldats et «les anéantir».

«Cela a été un revers pour nous», a commenté un officier de haut rang. «Il y a eu des morts et nous avons perdu un hélicoptère. Une offensive militaire très intense se prépare donc parce qu'il y a des pressions politiques très fortes pour obtenir des résultats.»

Le président Ollanta Humala «a exigé des résultats parce qu'il veut pacifier la région», a ajouté cet officier.

(Reuters)

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Un journaliste français otage des FARC ?

Roméo Langlois, correspondant de la chaîne d'information France 24 en Colombie, est porté disparu depuis samedi.  Alors qu'il accompagnait -  pour les besoins d'un reportage - une brigade de l'armée dans le département de Caqueta, dans le sud du pays, la patrouille a été attaquée par les rebelles marxistes des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc). «Le journaliste était inséré dans une unité militaire qui réalisait une opération anti-drogue, lorsqu'ils ont été lourdement pris à partie par les Farc, a expliqué un diplomate de l'ambassade de France à Bogota. Les autorités recherchent actuellement plusieurs personnes disparues lors de l'attaque, dont le journaliste».

Quatre membres des forces de l'ordre ont été tués par la guérilla lors de cette attaque sur la localité de la Union Peneya. «Il y a quatre morts, trois militaires et un policier, ainsi que six disparus, dont un journaliste, un policier et quatre soldats», a détaillé une source militaire.

L'opération anti-drogue de l'armée colombienne a permis de démanteler cinq laboratoires de fabrication de cocaïne, dotés d'une capacité de production de deux tonnes par semaine, et de saisir 400 kilos de pâte de coca.

http://www.leparisien.fr/international/colombie-un-journaliste-francais-disparu-apres-une-attaque-des-farc-29-04-2012-1976871.php

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(AFP) Le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, a indiqué que le journaliste français disparu samedi en Colombie après une attaque des Farc "a été fait prisonnier".

Roméo Langlois, correspondant de la chaîne d'information France 24 en Colombie, "a été enlevé à l'occasion d'un affrontement entre les troupes colombiennes et les Farc" et "le journaliste a été fait prisonnier", a déclaré le ministre français en marge d'un meeting de l'UMP à Lyon.

"Le centre de crise (du ministère des Affaires étrangères, ndlr) est mobilisé, on est en liaison avec les autorités colombiennes", a ajouté M. Juppé, en précisant qu'il ne disposait pas d'autres informations.

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  • 4 weeks later...

Un attentat contre l'ancien président colombien Alvaro Uribe (2002-2010) a été déjoué mardi à Buenos Aires, où une bombe a été trouvée dans un théâtre du centre de la ville où il devait se trouver mercredi, a annoncé un magistrat.

"Le personnel de sécurité du théâtre à repéré l'engin au deuxième étage, à l'endroit où devait avoir lieu un cocktail en présence de l'ex-président Uribe après une conférence", a déclaré à la presse face au théâtre le juge Norberto Oyarbide.

"L'engin était conçu pour exploser autour de 16H30 (19H30 GMT) à l'heure où le deuxième étage devait être plein de monde", a-t-il dit. "L'engin était simple mais suffisamment puissant pour tuer des gens se trouvant à proximité", a-t-il précisé, ajoutant que la conférence aurait lieu ce mercredi comme prévu.

Une source judiciaire avait auparavant dit que la bombe avait été trouvée "dans une lampe lors d'une inspection effectuée par le personnel de sécurité". "Il s'agit d'un engin qu'on déclenche à partir d'un téléphone cellulaire", avait-elle ajouté, soulignant qu'"il n'y a pas eu d'appel pour prévenir".

(AFP)

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(AFP) Après un mois de captivité, le journaliste français Roméo Langlois a été libéré mercredi par la guérilla des Farc dans le sud de la Colombie, où il a été remis à une mission humanitaire.

Escorté en voiture par des guérilleros, le correspondant de France 24 a été relâché dans le village de San Isidro, situé dans la forêt du département de Caqueta, non loin du lieu où il avait été capturé le 28 avril au cours d'un reportage avec l'armée.

"A part le fait d'avoir été détenu durant un mois, tout le reste s'est bien passé. Je ne peux pas me plaindre", a déclaré à la presse M. Langlois, salué par une foule de villageois et les membres de la délégation humanitaire du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) venue le récupérer.

"On m'a toujours traité comme un invité. Ils ont toujours été respectueux", a ajouté le journaliste, portant une chemise grise et pantalon noir, à propos des rebelles marxistes.

Correspondant depuis une dizaine d'années en Colombie, M. Langlois avait été enlevé au moment de l'attaque d'une brigade militaire qu'il accompagnait pour filmer une opération antidrogue dans le fief de cette guérilla.

Blessé au bras par un tir dans cette embuscade, qui a provoqué la mort de quatre militaires et en a blessé huit autres, le reporter a assuré être en bonne santé.

"Je reste avec la conviction qu'il faut continuer à suivre ce conflit", a souligné Roméo Langlois, qui avait initialement été qualifié de "prisonnier de guerre" par ses geôliers.

Une qualification pour laquelle un guérillero a publiquement présenté ses excuses au cours d'une longue cérémonie dans ce village de 300 habitants, où une estrade avait été montée et un barbecue organisé pour l'occasion

"J'accepte les excuses, mais je ne partage pas la décision de m'avoir retenu trente-trois jours", a rétorqué le journaliste.

Fondée en 1964, la guérilla des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) compte encore 9.200 combattants, repliés dans des régions de montagnes et de forêts. Elle s'était engagée en février à renoncer à la pratique des enlèvements contre rançon.

"Nous avons besoin de la présence de l'Etat. Pas avec ses armes ou ses bombes, mais avec ses investissements", proclamait une banderole dans les rues.

"La détention du journaliste a été positive pour nous. Non parce qu'il a été privé de liberté, ce n'est pas bien. Mais parce que cela a attiré l'attention des journalistes nationaux et étrangers", a confié à l'AFP Nelson Cardenas, un des responsables de la municipalité.

La délégation du CICR, qui comprend un émissaire du ministère français des Affaires étrangères, Jean-Baptiste Chauvin, et l'ex-sénatrice colombienne Piedad Cordoba, médiatrice auprès des Farc, doit ramener le journaliste à l'aéroport de Florencia, capitale du Caqueta, situé à une centaine de kilomètres.

"C'est un moment d'intense soulagement car Roméo va pouvoir continuer son travail et retrouver sa famille", a commenté à l'AFP M. Chauvin, tandis que Mme Cordoba appelait à "bâtir la paix" pour une "Colombie meilleure".

Une fois revenu à Florencia, le journaliste "sera remis officiellement aux fonctionnaires de l'ambassade de France" et "il partira ensuite à Bogota", a indiqué à l'AFP Maria Cristina Rivera, une porte-parole du CICR.

Aussitôt la nouvelle connue, le président français François Hollande a exprimé sa "très grande joie", remerciant les autorités colombiennes, l'ambassade de France et le CICR de "cet heureux dénouement". Selon lui, M. Langlois "rejoindra rapidement la France".

A Paris, ses parents se sont également déclarés "très heureux". "On y croit maintenant qu'on le voit. Je croise les doigts depuis le début (...) maintenant, on est sûr que c'est fait", a expliqué son père.

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Le Canal du Nicaragua.

C'est un vieux rêve nicaraguayen, qui fait un pas de plus vers sa possible réalisation. La percée d'un nouveau canal international qui traverserait le sud de cet Etat latino-américain a fait l'objet, mardi 5 juin, d'un projet de loi déposé par le président, Daniel Ortega, devant le Parlement. Parlement détenu aux deux tiers par le parti du chef de l'Etat, le Front sandiniste de libération nationale.

Le canal, un serpent de mer depuis des siècles au Nicaragua, représenterait un chantier pharaonique qui coûterait autour de 350 millions de dollars (280 millions d'euros), en comptant les seules études de faisabilité et d'impact. L'investissement nécessaire à la construction de l'ordre de 30 milliards de dollars (24 milliards d'euros) serait partagé à 50-50 entre les Etats-Unis et le Nicaragua, précise le quotidien El Nuevo Diario. Le pays tient toutefois à garder la main-mise sur sa grand oeuvre, en gardant le contrôle majoritaire du capital de la compagnie du canal.

Car si le Nicaragua mise gros dans ce chantier, il espère bien profiter de ses fruits. Le projet officiel rendu en 2006 évoque la création de 40 000 emplois. Dans La Prensa, un ancien coordinateur de la commission de travail du grand canal envisage déjà que le futur canal 'accélérera significativement le développement du Nicaragua, multipliant par deux ou trois son PIB (sans compter les investissements et changements qu'il impulsera, en termes d'énergie, d'irrigation, d'agro-industrie, de tourisme, de ports intérieurs, de centres financiers...

Le tracé exact du canal interocéanique n'est pas encore déterminé parmi une poignée de possibilités. Mais les experts penchent pour la solution la moins coûteuse économiquement, mais aussi du point de vue de l'impact sur l'environnement et les populations locales, qui suscite des inquiétudes.

La suite : http://fr.news.yahoo.com/rêve-grand-canal-nicaragua-refait-surface-120420569.html

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  • 2 weeks later...

:O Hein, les impérialistes Yankees qui ont un accord avec Ortega :lol:

Le canal de Panama aux mains des compagnies chinoises doit donner vraiment de l'urticaire a Washington pour que cela se concrétise. Il s'agit d'une entreprise publique/privée qui en charge du dossier ?

Sinon, il y a des fusillades dont nos médias ne parlent presque pas :

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hryZycdwydRP_n1vwDf8Quiss3fw?docId=CNG.4dd8708767f0d0e900ef4f1c5ec17691.741

7 poliiciers et 9 paysans sans terre tués lors d'affrontements. Les dits paysans avaient des armes automatiques...

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Le Venezuela rappelle son ambassadeur et cesse d'approvisionner le Paraguay en pétrole

Le président vénézuélien Hugo Chavez a rappelé dimanche son ambassadeur au Paraguay, et a décidé de ne plus approvisionner ce pays en pétrole, en guise de protestation contre l'éviction de l'ancien président paraguyen Fernando Lugo.

S'exprimant devant les caméras de la télévision d'Etat, M. Chavez a déclaré qu'il ne reconnaîtrait pas le gouvernement du nouveau président Federico Franco, qui vient d'être investi.

Considérant la destitution de M. Lugo comme un "coup d'Etat", M. Chavez a déclaré que le nouveau gouvernement faisait partie de "l'oligarchie qui menace le Venezuela et d'autres pays de la région".

Le ministère argentin des Affaires étrangères a déclaré le même jour que le bloc commercial sud-américain, le Mercosur, avait suspendu la participation du Paraguay au sommet prévu la semaine prochaine.

Le Sénat paraguayen a voté vendredi dernier en faveur de la destitution du président Lugo, accusé d'avoir "mal exercé ses fonctions".

L'opposition a appelé à la destitution de M. Lugo après un litige foncier entre des paysans sans terre et la police, affaire qui s'est soldée par la mort de 17 personnes le 15 juin dernier.

Le vice-président Franco a été investi vendredi, devenant le nouveau président du Paraguay. Mais de nombreux pays sud-américains, comme le Venezuela, l'Equateur, la Bolivie, Cuba, la République dominicaine, l'Argentine, le Brésil et le Pérou, ont refusé de le reconnaître.

http://french.cri.cn/621/2012/06/25/461s285766.htm

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(AFP) Quand le malheur des uns fait le bonheur des autres …

Le Mercosur, marché commun du cône sud-américain, a décidé vendredi de suspendre la participation du Paraguay, la place désormais libérée étant désormais occupée par le Vénézuela.

Un jeu de chaises musicales en quelque sorte, issu de la réunion au sommet qui s’est tenue vendredi dernier en Argentine.

La mesure fait suite à la destitution du président Fernando Lugo, le 22 juin dernier, considérée comme une « rupture de l’ordre démocratique ». « Nous avons décidé de suspendre temporairement le Paraguay, en attendant qu’un processus électoral installe un nouveau président issu d’élections libres dans ce pays », a ainsi déclaré Mme Kirchner en présence de ses homologues du Mercosur, les présidents du Brésil, Dilma Roussef et de l’Uruguay, José Mujica.

S’il échappe pour le moment aux sanctions commerciales, le Paraguay devrait toutefois subir un isolement politique jusqu’en avril 2013, date des prochaines élections présidentielles.

Mme Kirchner a également indiqué que le 31 juillet prochain, le Venezuela sera intégré comme membre à part entière du Mercosur.

Rappelons que le Venezuela avait déjà été admis dans le Mercosur à titre provisoire en 2006, mais sa candidature n’avait jamais été formellement ratifiée, en raison de l’opposition du parlement paraguayen, à majorité de droite. La suspension du Paraguay a de fait ouvert la voie à l’admission du Venezuela dans le bloc.

Si les présidents du Chili Sebastian Piñera et de la Bolivie Evo Morales étaient également présents en Argentine, ainsi que le président du Pérou, Ollanta Humala et de l’Equateur, Rafael Correa, aucun représentant du Paraguay ne participait au sommet.

Accusé par le Parlement d’avoir mal rempli ses fonctions, M. Lugo (gauche) a été chassé du pouvoir vendredi dernier au terme d’un procès politique de très courte durée, mené devant le Congrès. Il a été remplacé en suivant par son vice-président, le libéral Federico Franco.

Un départ précipité qui fait suite notamment à des affrontements sanglants entre la police et des paysans expropriés, provoquant la mort de 17 personnes.

A noter également que le Mercosur a souligné l’importance de promouvoir ses relations avec la Chine et avec les autres économies asiatiques, invitant l’ambassadeur de Chine en Argentine, Yin Hengmin, à se joindre au sommet et à y représenter le gouvernement chinois.

C’est la première fois que la Chine est invitée à un sommet du Mercosur.

Au sein d’un communiqué conjoint, la Chine et le Mercosur se sont engagés à continuer de promouvoir la coopération économique et commerciale, se fixant pour objectif d’atteindre un volume de commerce bilatéral de 200 milliards de dollars d’ici 2016.

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Et ça continue avec la Chine.....

(AFP) Cuba: en visite à Pékin, Raul Castro reçoit de l'aide de la Chine.

Le numéro un cubain Raul Castro a été reçu jeudi à Pékin par son homologue chinois Hu Jintao, obtenant de l'aide économique de la part de la Chine, qui est devenue une source importante de crédits et d'investissements et son deuxième partenaire commercial.

"Je suis très heureux que durant les dernières années, les relations entre la Chine et Cuba aient continué à s'approfondir et à se développer", a déclaré M. Castro à son hôte chinois après avoir été reçu avec les honneurs militaires au Grand Palais du Peuple, sur la place Tiananmen.

Pour sa première visite en Chine en tant que chef d'Etat, M. Castro a rappelé à son hôte avoir au total "effectué trois visites en Chine, le même nombre de fois que (Hu Jintao s'est) rendu à Cuba".

Hu Jintao a pour sa part espéré que la visite de quatre jours de Raul Castro "permettrait de promouvoir efficacement les échanges bilatéraux et la coopération" entre les deux Etats communistes.

Huit accords ont été signés suite à cette rencontre au sommet mais peu de détails ont filtré sur leur contenu.

L'un d'entre eux prévoit "une aide du gouvernement chinois au gouvernement cubain pour la coopération économique et technologique".

La "China Development Bank" a pour sa part consenti un "prêt sans intérêts" à La Havane pour moderniser des installations médicales sur l'île, sans en spécifier le montant.

D'autres accords portent sur une coopération entre les douanes des deux pays et sur les télécommunications.

Avec cette visite, Cuba et la Chine "vont pouvoir renforcer leurs relations dans des domaines comme la construction de routes et de voies ferrées, le développement des transports maritimes et la prospection pétrolière, ainsi que dans l'agriculture", avait estimé avant la rencontre Xu Shicheng, un spécialiste de l'Amérique latine à l'Académie chinoise des sciences sociales.

Raul Castro était arrivé à Pékin mercredi mais n'avait pas eu d'entretien avec des dirigeants chinois à son programme le premier jour de sa visite.

L'an dernier, dix accords bilatéraux visant à soutenir les réformes économiques à Cuba avaient été signés durant une visite du vice-président chinois Xi Jinping à La Havane.

Ces accords comprenaient déjà une ligne de crédit et une aide financière pour moderniser le système de santé cubain, avaient rapporté les médias officiels sans préciser les montants de ces soutiens.

Cuba a été le premier pays du continent américain à établir des relations diplomatiques avec la Chine, en 1960, suite à la prise du pouvoir par la rébellion castriste l'année précédente à La Havane.

Les liens entre les deux pays se sont renforcés après la désintégration de l'Union soviétique en 1991, qui a provoqué une série de difficultés économiques dont l'île essaye toujours de se remettre.

La Havane envisage d'introduire des éléments de capitalisme et d'économie de marché, un processus que la Chine a mis en oeuvre avec succès au cours des trois dernières décennies.  :lol:

"Cuba peut beaucoup apprendre d'autres pays socialistes qui ont eu du succès sur le plan économique, comme la Chine", a déclaré à l'AFP Yang Jianmin, un autre chercheur de l'Académie des sciences sociales.

"Ils peuvent s'inspirer de certaines expériences chinoises en matière de réformes économiques, dans des domaines comme la stabilité du marché, les exportations, les investissements ou les conditions pour créer des entreprises", selon M. Yang.

La Chine était en 2010 le deuxième partenaire commercial de Cuba après le Venezuela, avec des échanges s'élevant à 1,8 milliard de dollars (1,4 milliard d'euros). Le pays investit dans l'île dans les transports, le pétrole, l'électroménager ou les télécommunications, en plus d'être une importante source de crédits.

Vendredi, Raul Castro doit rencontrer Xi Jinping et Li Keqiang, très probablement respectivement futurs chef de l'Etat et Premier ministre à l'issue de la phase de transition politique qui doit démarrer cet automne en Chine pour s'achever en mars 2013.

Samedi, il doit se rendre au Vietnam, grand fournisseur de riz à Cuba.

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Cuba: Raul Castro à Moscou pour renforcer la coopération avec la Russie.

Le numéro un cubain, Raul Castro, va discuter mercredi à Moscou avec le président russe, Vladimir Poutine, du renforcement de la coopération économique entre Cuba et la Russie, a annoncé le Kremlin dans un communiqué.

Les deux hommes vont évoquer "le développement de la coopération bilatérale, en particulier commerciale, économique et dans le domaine des investissements", ainsi que de "projets-clés communs dans les secteurs de l'énergie, des transports et des télécommunications", ajoute la présidence russe.

Raul Castro a entamé dimanche une série de rencontres au Vietnam pour renforcer les liens entre ces alliés communistes.

Auparavant, il avait effectué une visite de quatre jours en Chine où il a signé plusieurs accords. L'un d'entre eux prévoit une aide chinoise à Cuba "pour la coopération économique et technologique". (AFP)

Fini l'isolement, le marché économique cubain s'ouvre à tous les investisseurs étrangers. Viva el capitalismo !  =)

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  • 3 weeks later...

Cuba : offre de dialogue avec les USA

Le régime communiste cubain a célébré jeudi sa fête nationale en offrant à Washington de discuter de tous leurs problèmes "d'égal à égal" et en dénonçant les "groupuscules" qui veulent reproduire à Cuba ce qui se passe en Libye ou en Syrie.

Présidant les célébrations organisées à Guantanamo, à quelques kilomètres de la base navale américaine dans le sud-est de l'île, le chef de l'Etat Raul Castro n'a en revanche pas fait référence à la mort controversée dimanche d'un des plus célèbres dissidents cubains, Oswaldo Paya, sur laquelle Washington a demandé mercredi une enquête "approfondie et transparente".

"Le jour où ils (les Américains) le voudront, nous nous assoirons à la table des négociations", a assuré le président cubain, en uniforme militaire, lors d'un discours improvisé à la conclusion des célébrations.

"Nous discuterons de nos désaccords, nous discuterons de tout ce qui concerne Cuba, mais d'égal à égal, nous discuterons aussi des sujets qui concernent les Etats-Unis, nous sommes semblables", a souligné Raul Castro.

La suite : http://fr.news.yahoo.com/cuba-c%C3%A9l%C3%A8bre-f%C3%AAte-nationale-offrant-usa-dialogue-d%C3%A9gal-152508108.html

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  • 2 weeks later...

Isaac Humala, père et pourfendeur du président péruvien Ollanta Humala

Un de ses fils est président du Pérou, l'autre détenu dans une prison de haute sécurité, "une double fierté" pour Isaac Humala, le patriarche haut en couleurs d'une tribu de sept enfants élevés avec le pouvoir en ligne de mire.

"C'est une double fierté, un fils est président, l'autre au fond d'un cachot", déclare dans un entretien à l'AFP cet avocat, ancien militant communiste, fervent nationaliste andin, père du président Ollanta Humala et un de ses critiques les plus virulents.

Dans sa grande maison de Surco, une banlieue huppée de Lima où ont grandi ses enfants, Isaac Humala, 82 ans, cravate et veste de tweed, évoque Antauro, le fils emprisonné, qui purge une peine de 19 ans dans la prison de haute sécurité de la base navale de Callao pour un soulèvement en 2005 qui exigeait la démission du président d'alors, Alejandro Toledo.

(...) Humala père, que tout le monde appelle Don Isaac, prône la supériorité de "la race cuivrée" andine sur la race blanche et a donné des prénoms quechua, sa langue maternelle, à plusieurs de ses enfants, dont certains étaient pour lui prédestinés à la présidence.

"Tout ce dont nous avons rêvé pour le Pérou, Ollanta devait le mener à bien et s'il échouait, il y avait Antauro", dit-il de ses deux fils, respectivement âgés de 50 et 49 ans, tous deux anciens commandants de l'armée.

"Mais on peut aller du cachot à la présidence, si Ollanta gouverne mal, (son frère) Antaura serait un remplaçant possible" relève-t-il, évoquant un plan "conçu avant même leur naissance".

"J'ai toujours pensé que mes fils devaient être militaires pour arriver au pouvoir et transmettre l'ethnonationalisme", dit-il évoquant cette doctrine indienne et socialiste faisant référence à l'empire inca et au droit des peuples indigènes.

La suite : http://fr.news.yahoo.com/isaac-humala-p%C3%A8re-pourfendeur-pr%C3%A9sident-p%C3%A9ruvien-ollanta-humala-085401746.html

Bonjour le dingo !  :O

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  • 4 weeks later...

Après le socialisme vénézuélien, voici le libéralisme hondurien  :lol:

Et le Honduras créa les villes privées

http://www.lepoint.fr/monde/et-le-honduras-crea-les-villes-privees-06-09-2012-1503388_24.php

...Les trois "régions spéciales de développement" (RED) disposeront chacune de leurs propres lois, tribunaux, police, gouvernement, écoles et autres infrastructures médicales, tout en jouissant d'un système fiscal autonome de celui du reste du pays. Des exceptions à la Constitution approuvées par le gouvernement l'année dernière. Seules les règles qui régissent les relations extérieures subsisteront dans ces zones...

On verra si cela tient sans aucun investissement public, ils vont bâtir leur propre centrale électrique ou quoi ?  :rolleyes:

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