Philippe Top-Force Posté(e) le 19 décembre 2008 Share Posté(e) le 19 décembre 2008 "Thales : accord définitif entre Dassault Aviation et l'Etat en vue de la reprise des titres détenus par Alcatel-Lucent" 19 décembre 08 - Communiqué du Ministère de l'Economie et Dassault Aviation En vue de l'entrée de Dassault Aviation au capital de Thales en remplacement d'Alcatel-Lucent, l'Etat et Dassault Aviation ont conclu, aujourd'hui, un accord permettant à Dassault Aviation de se substituer à Alcatel-Lucent aux côtés de l'Etat comme actionnaire industriel de référence de Thales. A l'issue de l'opération, et après acquisition par Dassault Aviation des 5,1% du capital de Thales actuellement détenus par le Groupe Industriel Marcel Dassault, le "secteur public" et Dassault Aviation détiendront ensemble 53 % du capital et 61 % des droits de vote de Thales. Sera ainsi constitué un pôle français de dimension mondiale dans le domaine des technologies stratégiques, de l'aéronautique et de l'espace, de la défense et de la sécurité. La transaction porte sur une valeur totale évaluée à 1,57 milliard d'euros. La réalisation de l'opération est prévue pour le printemps 2009, une fois obtenues les diverses autorisations administratives, dont celles relatives au contrôle des concentrations. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 19 décembre 2008 Share Posté(e) le 19 décembre 2008 Dassault buys $2.2b Stake in Systems Company Thales By pierre tran, PARIS Published: 19 Dec 07:27 EST (12:27 GMT) Alcatel-Lucent and Dassault Aviation said Dec. 19 they have signed a final agreement for the aircraft maker to buy Alcatel Lucent's 21 percent stake in defense systems company Thales for about 1.57 billion euros ($2.2 billion). The acquisition anchors Thales' shareholder base and signaled the government's determination to forge a national and European champion on which to develop a world class defense and technology base. In a separate Dec. 18 announcement, Dassault Aviation said Louis Gallois, CEO of EADS, had resigned from Dassault's board of directors. EADS holds a 46 percent stake in Dassault and Gallois is reported to have asked unsuccessfully the government for approval to buy the Thales stake from Alcatel Lucent, a telecommunications company. The government rejected Gallois's request, Le Monde has reported. "Alcatel-Lucent and Dassault Aviation today announced that they have signed the definitive agreement regarding the acquisition by Dassault Aviation of Alcatel-Lucents's shares in Thales, namely 41,262,481 shares," the companies said in a joint statement. "This transaction will be based on a price of 38 euros per share, representing a total value of about 1.57 billion euros," the companies said. A market analyst said he could not understand why Dassault was paying such a high price for the Thales stake. Thales shares were trading at 29.39 euros in late morning, down 1.05 percent in a weaker broader market, and had been at 38 euros in September. Acquiring the Thales stake helped Dassault diversify its portfolio of economic interests, given uncertainty over future combat aircraft programs, defense economist Jean-Paul Hébert of the higher institute of learning Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales has said. Dassault also said Dec. 18 that annual sales would be 10 percent lower than those of 2007 The deal will need regulatory approval and was expected to close in the spring 2009. The Dassault purchase signaled French industrial policy to create a national champion in the defense sector. The finance ministry and Dassault said in a joint statement, "The strengthening of the partnership between Thales and Dassault will allow the creation of a French center of world standing in the domain of strategic technology, aeronautics, space, defense and security, similar to the actions in Great Britain, Italy and Sweden around their industrial actors." The government and Dassault renewed their confidence in Thales's strategy of developing in international markets and in civil and military sectors, the joint statement said. Dassault Aviation also committed to supporting prospective acquisitions by Thales to developing its business activities. "As part of a common strategic vision with the state, if the French companies in the sector and Thales developed industrial plans in optronics, inertial navigation, electrical generation and missile systems, Dassault undertakes to allow the subsequent changes in perimeter of Thales," the joint statement said. "These changes will permit a strengthening of the industrial and technological base in French and European defense," the ministry and Dassault said. Dassault also committed to back Thales's plan to increase its stake in naval systems company DCNS to 35 percent from 25. ""The state and Dassault Aviation will equally continue to support Thales in its plan to grow its stake in DCNS to 35 percent," the joint statement said. Under the deal, Dassault Aviation and the government will between them hold 53 percent of the shares and 61 percent of voting rights in Thales, which will ensure "a stable shareholder base and backed by a long term vision," the ministry and Dassault said. Dassault is buying Alcatel Lucent's 21 percent and a 5.1 percent held by the family holding company Groupe Industrial Marcel Dassault in Thales. Thales spokeswoman Sylvie Dumaine welcomed the agreement, which removed months of uncertainty on the overhang of stock held by Alcatel Lucent. "This is excellent news which stabilizes the shareholder base and renews confidence in Thales' strategy in international development and in the civil and military." ____________ Comme Gallois s'est fait sortir du comité éxecutif conseil d'administration de Dassault Aviation je me demandais quel était l'avenir d' EADS en tant qu'actionnaire de Dassault Aviation? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 19 décembre 2008 Auteur Share Posté(e) le 19 décembre 2008 Dassault Aviation signe un accord définitif pour le rachat de 20,8% de Thales[ 19/12/08 - 08H18 - actualisé à 09:01:00 ] L'avionneur va acquérir cette part du capital de Thales pour un montant de 1,57 milliards d'euros. l'AMF admet que Dassault ne sera pas obligé de lancer une OPA sur tout le capital de l'électronicien. Dassault Aviation va acquérir les 20,8% de Thales actuellement détenus par Alcatel-Lucent pour un montant de 1,57 milliards d'euros. L'avionneur achètera les 41 millions d'actions à un prix unitaire de 38 euros. De plus, dans un communiqué distinct, Dassault Aviation et la ministre de l'Economie Christine Lagarde annoncent qu'un accord a été signé entre eux pour que Dassault Aviation puisse se "substituer à Alcatel Lucent aux côtés de l'Etat comme actionnaire industriel de référence de Thales".Les relations entre l'Etat, qui détient 26,5% du capital de Thales, et Dassault Aviation "seront régies par un pacte d'actionnaires sensiblement identique à celui liant actuellement l'Etat et Alcatel-Lucent, dans le cadre duquel l'Etat reste prédominant par rapport à Dassault Aviation", explique le communiqué."A l'issue de l'opération, et après acquisition par Dassault Aviation des 5,1% du capital de Thales actuellement détenus par le groupe industriel Marcel Dassault, le "secteur public" et Dassault Aviation détiendront ensemble 53% du capital et 61% des droits de vote de Thales", est-il enfin précisé.Dassault Aviation et Alcatel-Lucent avaient annoncé le 18 novembre être entrés en négociation pour cette opération.Hier soir, jeudi, l'Etat - qui détient 38 % des droits de vote du groupe d'électronique de défense - a signé avec l'avionneur le pacte d'actionnaires appelé à se substituer à celui qui le lie avec l'équipementier de télécoms. Le montage financier retenu n'obligera pas Dassault, qui détiendra au total 26% de l'électronicien de défense, à lancer une OPA sur l'ensemble du capital de Thales, a indiqué l'AMF. Pour être conclue, la transaction de 1,6 milliard d'euros doit encore recevoir le feu vert de Bruxelles.Par ailleurs, Dassault a annoncé que Louis Gallois, le président exécutif d'EADS, ne siègerait désormais plus à son conseil d'administration. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 22 décembre 2008 Auteur Share Posté(e) le 22 décembre 2008 Amsterdam, le 22 décembre 2008Louis Gallois a remis sa démission de ses fonctions d’administrateur de Dassault Aviation le 26 novembre 2008 dernier, pour éviter tout conflit d’intérêt dès lors que Dassault Aviation devenait l’actionnaire industriel de Thales. EADS reste actionnaire à hauteur de 46,3% de Dassault Aviation.(CercleFinance.com) - Le grand mécano industriel visant à créer un géant français de la Défense est bien en marche, avec à ses commandes l'Etat. L'objectif pour la France est de venir concurrencer ses homologues européens comme l'Italie et la Grande Bretagne... en bâtissant un groupe de dimension mondiale. Alcatel-Lucent et Dassault Aviation ont ainsi annoncé ce vendredi la signature de l'accord définitif portant sur l'acquisition par Dassault Aviation des titres de Thales détenus par Alcatel-Lucent. Cette transaction menée sur la base d'un prix de 38 euros par action s'élèvera à une valeur totale d'environ 1,57 milliard d'euros. Cette cession est prévue pour le printemps 2009. L'Etat et Dassault aux commandesA l'issue de l'opération, et après l'acquisition par Dassault Aviation des 5,1% du capital de Thales actuellement détenus par le Groupe Industriel Marcel Dassault, l'Etat et Dassault Aviation détiendront ensemble 53% du capital et 61% des droits de vote de Thales. Les deux partenaires entendent ainsi assurer à Thales une base actionnariale stable et reposant sur une vision de long terme. " Cette opération permettra aux deux sociétés de renforcer leur excellence dans les activités systèmes et de haute technologie. Le renforcement du partenariat entre Thales et Dassault Aviation permettra de créer ainsi un pôle français de dimension mondiale dans le domaine des technologies stratégiques, de l'aéronautique et de l'espace, de la défense et de la sécurité, à l'instar de ce qui s'est fait en Grande-Bretagne, en Italie ou en Suède autour d'autres acteurs industriels " estiment les responsables de Dassault Aviation.La DCNS toujours convoitéeMais cette opération n'est pas une fois en soit. D'autres mutations sont de fait à prévoir. Dassault Aviation n'a d'ailleurs pas caché son intention d'épauler Thales dans sa volonté de se renforcer au capital de la DCNS." L'Etat et Dassault Aviation continueront à soutenir Thales dans son projet d'accroissement à 35% de sa participation au capital de DCNS " indique également le nouvel actionnaire de ThalesPlus généralement, Dassault Aviation indique que " dans le cadre d'une vision stratégique commune avec l'Etat, si les entreprises françaises du secteur et Thales développaient des projets industriels dans les activités d'optronique, de navigation inertielle, de génération électrique et des systèmes de missiles, Dassault Aviation s'est engagé à permettre les rectifications de périmètres de Thales qui en découleraient. Ces évolutions permettraient un renforcement de la base industrielle et technologique de défense française et européenne ".Des rumeurs de contacts entre Thales et Safran ont d'ailleurs été rapportées fin novembre par le journal Les Echos concernant les activités optroniques et la navigation inertielle. Ce jeu de mécano devrait ainsi s'articuler autour de groupes français (Dassault Aviation, DCNS) et se faire au détriment d'EADS qui de longue date n'a pourtant pas caché son intérêt pour Thales. Mais les tiraillements et luttes d'influence franco-allemands au sein d'EADS ont justement peut-être conduit l'Elysée à écarter une telle solution...Dans un tout autre domaine, Thales a par ailleurs officiellement annoncé avoir déposé un projet d'offre publique d'achat sur CMT Medical Technologies, une société israélienne spécialisée dans les systèmes de production d'images numériques pour diagnostics médicaux.L'électronicien français s'est à ce titre engagé à acquérir à un prix unitaire de 5,65 euros la totalité des 3.754.124 actions composant le capital de CMT et la totalité des 520.966 actions susceptibles d'être émises dans le cadre du programme d'options de souscription d'actions existantes.Des objectifs 2008 confirmés...mais fin octobreSur le terrain financier, Thales s'est par ailleurs montré relativement confiant dans ses perspectives 2008 fin octobre. Mais depuis l'activité mondiale a accusé un sérieux coup de frein.En attendant, le groupe de Denis Ranque - profitant de la résistance de son activité sur les neuf premiers mois de l'année et d'un solide carnet de commandes - , avait confirmé son objectif d'une croissance organique de son chiffre d'affaires de 6% pour l'ensemble de l'année.L'objectif d'un EBIT (résultat opérationnel courant après charges de restructuration) d'au moins 7,25% des revenus sur l'ensemble de l'année 2008 a également été renouvelé.Sur les neuf premiers mois de l'année, Thales avait réalisé un revenu consolidé de 8 303 millions d'euros, en croissance organique de 7% sur un an. De leur côté, les nouvelles commandes entrées en carnet au cours des 9 premiers mois avaient atteint 9 060 millions d'euros contre 7 570 millions d'euros un an auparavant, soit une hausse organique de 23%. Mais au troisième trimestre 2008, les nouvelles commandes entrées en carnet se sont élevées à 3 009 millions d'euros, en hausse de 34% et en progression de +41% à change et périmètre identiques Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 12 janvier 2009 Auteur Share Posté(e) le 12 janvier 2009 Dassault-Thales : les raisons d'un mariage[ 12/01/09 ] Attention, mouvement de capitaux dans le paysage français de la haute technologie. Résumé de l'affaire : à court d'argent, Alcatel-Lucent a décidé de vendre ses 21 % dans Thales, et a topé avec Dassault Aviation pour les lui vendre. L'accord n'attend plus que le feu vert des autorités de la concurrence pour entrer en application. Au passage, l'avionneur va reprendre les 5 % détenus pas sa maison mère ce qui portera sa participation à 26 % du capital de l'un des plus importants fournisseurs des armées françaises. A quasi égalité avec l'Etat.A ce stade, une question demeure sans réponse : qu'est-ce qui motive Dassault à dépenser 2 milliards d'euros - soit un peu moins de la moitié de sa trésorerie - pour se retrouver certes en position d'actionnaire privé de référence de Thales, mais avec des droits rognés par rapport à ceux dont disposait Alcatel-Lucent ? Surtout qu'en ces temps de crise, qui fragilise les ventes de Falcon, la prudence impose de conserver ses réserves bien au chaud.Le mieux placé pour nous éclairer, serait bien sûr son PDG. Mais Charles Edelstenne est resté silencieux jusque là. Dans son communiqué du 19 décembre annonçant la conclusion du nouveau pacte d'actionnaires, Bercy évoque bien pour Dassault et Thales la possibilité de « renforcer leur excellence dans les activités systèmes et de haute technologie ». Ou encore de « créer un pôle français de dimension mondiale dans le domaine des technologies stratégiques, de l'aéronautique et de l'espace, de la défense, et de la sécurité à l'instar de ce qui s'est fait en Grande-Bretagne, en Italie ou en Suède autour d'autres acteurs industriels ». Alléchant, mais trop vague pour convaincre. Faute de mieux, explorons quelques pistes.La première a le mérite de la simplicité : puisqu'il y avait un vendeur, il fallait trouver un acheteur, la crise ayant enterré la solution d'une cession sur le marché. Compte tenu de la nature stratégique des activités de Thales, le nombre de candidats était réduit. EADS, qui veut se renforcer dans le militaire, a bien proposé plus d'argent que Dassault. Mais de part son droit de veto, l'Elysée a dit niet, déclenchant aussitôt une vague de commentaires critiques sur le cadeau fait par Nicolas Sarkozy à son ami Serge Dassault, lequel fait en plus une bonne affaire au cours actuel. Et pour le verni industriel de l'opération, se référer au communiqué de Bercy. Avantage collatéral de la transaction, le capital de Thales en ressortira stabilisé, ce qui devrait mettre fin à une longue période d'incertitudes.Ceux que cette hypothèse minimaliste ne satisfait pas diront que l'opération permettra à Dassault et Thales de peser plus lourd commercialement et techniquement sur certains marchés. On pense par exemple aux drones, ces avions sans pilotes, pour lesquels les deux groupes agissent déjà de concert. Et plus si affinités, selon la formule consacrée. L'Etat a en outre imposé à l'avionneur qu'il ne remette pas en cause les grands axes de la stratégie de Thales - international, diversification dans la sécurité ou le naval. Il ne pourra pas non plus bloquer un certain nombre de projets dans les cartons, comme celui qui devrait voir un redécoupage de frontières avec l'équipementier aéronautique Safran. Cette deuxième explication est plus prometteuse, même si à ce stade, on reste dans le qualitatif, loin des synergies chiffrées dont raffolent les analystes.Mais en cherchant plus loin, une troisième piste vient à l'esprit, plus stratégique, qui ferait du Rafale le mobile premier de l'opération. Conçu et construit par Dassault, l'avion de combat est motorisé par Snecma (groupe Safran), et équipé par Thales. Le groupe d'électronique fournit l'avionique, le radar, ou encore les systèmes de communication. Soit un tiers de la valeur de l'appareil, hors missiles. A y regarder de plus près, la relation entre les deux partenaires est... perfectible en matière de prix, de délais, ou de conformité des équipements fabriqués par rapport au cahier des charges. En se positionnant comme l'actionnaire industriel privé de référence, le client Dassault pourra donc peser plus fort auprès de son fournisseur Thales.Après tout, avec un peu moins de 5 % « seulement » de son chiffre d'affaires concernés, Thales aurait pu, avec le temps, ne pas porter à Dassault la même attention qu'à d'autres clients. Inconcevable alors que se profile à l'horizon de possibles augmentations des cadences de production. Avec des prospections très avancées aux Emirats arabes unis ou au Brésil, l'année 2009 devrait en effet être celle du décollage à l'export pour le Rafale. L'Elysée est mobilisé comme jamais pour cela. Pour Charles Edelstenne, décrit comme excessivement prudent et méfiant, investir 2 milliards d'euros dans Thales, ce serait le prix à payer pour écarter tous risques, commerciaux et industriels. Car, sans contrat Rafale à l'export, c'est la survie de la branche militaire de Dassault qui est en jeu.Les échos. 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P4 Posté(e) le 15 janvier 2009 Share Posté(e) le 15 janvier 2009 Thales: Dassault souhaiterait le départ de Denis Ranque.- Le groupe Dassault demanderait selon Les Echos de ce matin le remplacement de Denis Ranque, PDG de Thales. Il aurait posé comme condition dans le cadre de se montée au capital de Thales que le président du groupe électronique de défense soit changé. L'Etat, premier actionnaire de Thales, et plusieurs membres du conseil d'administration ne sembleraient pas cependant souhaiter selon le quotidien le départ de Denis Ranque. Le président de Thales se serait opposé au rachat de la participation d'Alcatel-Lucent dans Thales par Dassault Aviation. Ce qui expliquerait la volonté du groupe Dassault de le faire partir. Le mandat de Denis Ranque porte normalement jusqu'à 2010.Thales a déjà annoncé hier que Jean-Georges Malcor, directeur général adjoint de Thales, responsable de la Division Naval, a pris en charge la Division Aéronautique en remplacement de François Quentin. ' Il s'agit de donner un nouvel élan à cette activité, à la suite de la performance économique insuffisante de cette division, en particulier concernant la gestion de certains grands programmes. François Quentin se verra proposer ultérieurement une autre fonction dans le Groupe ' a indiqué la direction du groupe.Marc Darmon, actuellement directeur général de Thales Communications au sein de la Division Systèmes Terre et Interarmées, devient également directeur général adjoint de Thales en charge de la Division Naval, en remplacement de Jean-Georges Malcor.____________le 15/01/2009 à 09:10 ReutersDassault ferait pression pour remplacer le P-DG de ThalesDassault Aviation fait pression pour obtenir le remplacement du P-DG de Thales Denis Ranque, écrit le quotidien économique Les Echos."Le fabricant du Rafale souhaiterait que son renforcement au capital du groupe d'électronique de défense, à la faveur de l'achat imminent, pour 1,6 milliard d'euros, des 21% détenus par Alcatel-Lucent, s'accompagne d'un changement de dirigeant", selon Les Echos qui citent "plusieurs sources concordantes".L'Etat - aujourd'hui premier actionnaire de Thales - n'est pas convaincu et "plusieurs membres du conseil d'administration soutiennent fermement Denis Ranque", ajoute le quotidien économique, qui explique que le P-DG de Thales a eu "le tort" de préférer une mise sur le marché des 21% d'Alcatel.Alcatel-Lucent et Dassault Aviation ont annoncé le 19 décembre la signature de l'accord définitif de cession à l'avionneur de la participation détenue par l'équipementier télécoms dans Thales. La transaction est prévue pour le printemps 2009.Dassault Aviation s'est notamment engagé à "permettre les rectifications de périmètres de Thales" qui découleraient de projets industriels dans les activités d'optronique, de navigation inertielle, de génération électrique et des systèmes de missiles.Personne n'était disponible dans l'immédiat chez Dassault et Thales pour commenter l'article des Echos.Benjamin Mallet, édité par Jacques Poznanskile point.fr Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 20 janvier 2009 Share Posté(e) le 20 janvier 2009 Ranque: No Disagreement With Dassault By pierre tran Published: 19 Jan 15:26 EST (20:26 GMT) Print Print | Print Email Paris - Thales CEO Denis Ranque said Jan. 18 that he faces no opposition from his firm's new shareholder, Dassault Aviation, which had signed an agreement expressing confidence in the strategy of the French defense systems company. "There is no opposition," he said. "Maybe I am naïve, but there is an agreement. I take that agreement at face value." Ranque's remarks at a New Year's press conference sought to play down talk of a threat of removal by Dassault in a putative clash over Thales' strategic direction. Dassault and the French Finance Ministry said Dec. 19 in a joint statement that the purchase by the aircraft company of a 26 percent stake in Thales at 38 euros ($50.46) per share showed their support for the company's policy. "The move also underlines the confidence of the French government and Dassault Aviation in Thales' strategy, which is based on a strong international industrial presence and the development of both civil and military products, guaranteeing its international development," the joint statement said. In a separate shareholders' agreement published Nov. 27 by the AMF, the French government's financial market regulator, Dassault waived a veto over strategic operations. Ranque said of Dassault and Thales that the companies are "extremely complementary," and there are no overlaps except in a small area of flight simulation, where Dassault has a system for training pilots of the Rafale fighter jet, which the company produces for the French military. "Thales is a good investment," Ranque said. "They paid a substantial premium over the market share price; personally, I think Thales is worth much more." He added, "We aren't merging :lol:; there will be a harmonious cohabitation between the two groups." Asked whether the British government had a say in the Dassault stake purchase, Ranque said: "France is a shareholder, Britain is a stakeholder." Thales seeks an internal balance of serving "the interests of HMG [Her Majesty's Government] while looking for synergies with the rest of the group." Ranque said a committee that advises the Thales board on executive appointments will decide on his successor, expected in mid-2010. "We want to work with the new shareholder, but the chairman and chief executive is also responsible for protecting the interests of all shareholders," he said. "Strategy evolves over time, and it's up to Thales management to convince." Thales met its 2008 revenue forecast and booked a strong flow of new orders, he said. "The book-to-bill [orders to revenue] ratio ended the year well above 1," Ranque said. The company will pursue growth in 2009, setting "more ambitious targets" for profits compared with 2008. More detailed guidance will be given in February, he said. On the troubled A400M military airlifter program, Thales has made provisions totaling 80 million euros. Thales is supplying the flight management system, among other equipment, on the Airbus aircraft. The A400M is a complex program, specifications are extremely difficult, and Thales will have to discuss the program with Airbus and the European client countries, he said. In defense markets, Britain outstripped France in new orders to the tune of 2.8 billion euros last year, 100 million more than from France. The CVF aircraft carrier, FSTA air tanker lease and the Watchkeeper tactical aerial drone were three big British programs. The United States contributed 1.1 billion euros in orders, including helicopter-borne sonars delivered through a joint venture with Raytheon, and sales of the Liberty software programmable radio, a civil version of the tactical Multiband Inter/Intra Team Radio (MBITR). In France, Thales will be helped by the government's defense and security white paper that identifies force protection, C4ISR, space and security infrastructure as areas of spending priorities. In the present economic crisis, defense is well supported, but the company aims at a "good management of our cash," Ranque said. Good management tools and staff training will help bring programs back under control, he said. Ranque also said French naval company DCNS is not simply a shipyard but a naval systems integrator, and that is where synergy could be found with Thales. The company will back DCNS in a European consolidation, even if it means Thales' stake is diluted in any deal, he said. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 20 janvier 2009 Share Posté(e) le 20 janvier 2009 Dassault Aviation signe l’accord définitif visant à l’acquisition des titres de Thales détenus par Alcatel-Lucent - 19/12/2008 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SPARTAN Posté(e) le 29 janvier 2009 Share Posté(e) le 29 janvier 2009 Le regroupement des "gros" français les mettra a l'abris d'achats exterieurs vous pensez?Est il aussi possible que EADS éclate (et que la france recupere "aerospatiale"...?)? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 29 janvier 2009 Share Posté(e) le 29 janvier 2009 S'il n'y a pas d'accord sur des projets communs dans le militaire et le spatial c'est pas impossible, Airbus et Eurocopter sont grands. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 2 février 2009 Share Posté(e) le 2 février 2009 Dassault risque de voir l'AMF lui imposer une OPA sur ThalesEn tentant d'imposer un changement de dirigeant à la tête de Thales, Dassault prend le risque que l'AMF revoie son avis le dispensant d'une OPA sur Thales. Il était spécifié que l'OPA n'était pas obligatoire dès lors que l'Etat restait l'actionnaire dominant. Problème supplémentaire : le closing en mars du rachat de la participation d'Alcatel dépend de l'agrément par Dassault du nom du PDG de Thales. challenges.fr Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 26 février 2009 Share Posté(e) le 26 février 2009 Dassault veut passer en force sur ThalesSerge Dassault n'en démord pas : c'est François Quentin, l'ex-patron de la division aéronautique, qu'il souhaite pour diriger le groupe électronique dont il aura les clés en mars. Dassault ne veut entendre parler ni de Denis Ranque, l'actuel PDG, ni d'Alexandre de Juniac, que les lobbys internes poussaient. Problème : Quentin a été démis de ses fonctions après un audit catastrophique sur les résultats de sa division. Challenges.fr Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 10 mars 2009 Share Posté(e) le 10 mars 2009 Feux vert de Bruxelle pour la prise de controle de thales par dassaulthttp://www.lesechos.fr/info/aero/reuters_00128191-bruxelles-donne-son-feu-vert-a-la-prise-de-controle-de-thales-par-dassault-aviation.htmBRUXELLES (Reuters) - La Commission européenne annonce qu'elle autorise Dassault Aviation à racheter à Alcatel-Lucent sa participation de 20,8% dans Thales, une opération évaluée à 1,57 milliard d'euros. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 11 mars 2009 Auteur Share Posté(e) le 11 mars 2009 Bruxelles autorise le rapprochement entre Dassault et Thales[ 11/03/09 ] Dassault se rapproche un peu plus de Thales. La Commission européenne a autorisé hier soir le projet de rachat par l'avionneur des 21 % du groupe d'électronique de défense détenus par Alcatel-Lucent. Montant de la transaction : 1,6 milliard d'euros environ. Les services de la concurrence n'y ont rien trouvé à redire, comme on pouvait s'y attendre. Pour le concepteur du Rafale, il faut désormais attendre le verdict des autorités de la concurrence des principaux pays dans lesquels opère Thales, Etats-Unis et Royaume-Uni en tête, ce qui devrait demander quelques semaines supplémentaires. Ce qui pourrait durer jusqu'en avril.L'avenir de Denis RanqueAvec quatre administrateurs au conseil d'administration, Dassault sera alors à même de recevoir une partie des clefs de l'un des tout premiers fournisseurs des armées françaises. Les 21 % rachetés à Alcatel-Lucent, qui s'ajouteront aux 5 % détenus par sa maison mère, GIMD, feront de l'avionneur l'actionnaire industriel de référence, lié par un pacte avec l'Etat, qui possède 38 % des droits de vote. Au point de débarquer dans la foulée Denis Ranque, le PDG de Thales depuis onze ans ? Les avis sont partagés. Pour les uns, l'homme risque de payer son manque de soutien au renforcement de Dassault dans le capital de Thales. Pour les autres, rien ne sert d'accélérer les choses, à un an de la fin de son mandat. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 18 mai 2009 Auteur Share Posté(e) le 18 mai 2009 Luc Vigneron : un homme de confiance de l'Etat[ 18/05/09 ] Soutenu par Matignon, le PDG de Nexter se voit confier la destinée du champion français de l'électronique de défense.« Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse... » Au moment où il va prendre les rênes de Thales, Luc Vigneron pensera peut-être à ces vers d'Alfred de Musset. Qu'importe en effet si sa nomination n'a pas reçu l'onction du comité de sélection des administrateurs, lequel a émis des « réserves » après l'avoir auditionné. Au point que Matignon a été obligé de souligner son expérience industrielle « reconnue », et d'afficher sa « confiance » dans la capacité de l'intéressé à poursuivre le développement du groupe. Qu'importe aussi que l'Etat ait pensé à lui par défaut pour se sortir d'une situation où il s'est lui-même empêtré, cherchant à réconcilier un Dassault fâché de ne pas pouvoir imposer son poulain et un Denis Ranque décidé à tenter un baroud d'honneur. Qu'importe enfin si, en interne, il va devoir s'imposer face à certains barons de Thales, à qui on a fait miroiter le sceptre du pouvoir.Bâton de maréchalQu'importe la forme donc. Car, à cinquante-cinq ans, le PDG de Nexter se voit confier la destinée du champion français de l'électronique de défense : 68.000 salariés, pour un peu moins de 13 milliards d'euros de chiffre d'affaires, quand l'ex-Giat Industries n'aligne « que » 2.700 personnes et moins de 600 millions. Indiscutablement la récompense a tout du bâton de maréchal pour cet X-Ponts, très mesuré dans ses prises de parole publiques.Né en 1954 à Kaolack, au Sénégal, d'un père magistrat, Luc Vigneron a commencé sa carrière à l'Equipement à la fin des années 1970, puis au Budget. Avant de passer près de quinze ans chez Alcatel Alsthom. Mais son fait d'armes restera la réussite de la très douloureuse restructuration de Nexter. Qui eût cru en effet que le fabricant du char Leclerc dégagerait un jour des bénéfices, même si c'est au prix de milliers de suppressions de postes ? « D'un point de vue stratégique, il n'y a rien à dire, même s'il a bénéficié d'un soutien sans faille du ministère de la Défense », reconnaît un élu, qui, en revanche, lui reproche un certain autoritarisme. Il va devoir apprendre à composer chez Thales. » Et à ceux qui souligneront son inexpérience en dehors de l'armement terrestre, Luc Vigneron peut rétorquer qu'il a été nommé en 2008 président du conseil d'administration de la Société de gestion de participations aéronautiques, la Sogepa, qui porte les 15 % de l'Etat dans EADS. Un autre signe fort de confiance de l'Etat. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tactac Posté(e) le 24 mai 2009 Share Posté(e) le 24 mai 2009 Mais son fait d'armes restera la réussite de la très douloureuse restructuration de Nexter. Qui eût cru en effet que le fabricant du char Leclerc dégagerait un jour des bénéfices, même si c'est au prix de milliers de suppressions de postes ? :lol: Je rit, mais jaune .... Mettre 10 000 personnes à la rue pour présenter un bilan positif. (réduire la masse salariale, c'est plus facile, au sens moins risqué, que de faire des investissements structurels) Faire d'une R&D méca et ensemblier, ayant un savoir-faire, une entreprise boite-à-lettres quelconque Changer de nom pour passer inaperçu, ce qui eclipse sa propre médiocrité ... Un seul contrat export (dizaine de Caesars). Bref, en France, on promouvoie la nullité dans le cercle de ses amis. Tant pis pour Thales, l'état a décidé. =( Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Darkjmfr Posté(e) le 24 mai 2009 Share Posté(e) le 24 mai 2009 Mouais, espérons que les Dassault seront assez près de leurs ronds pour l'éjecter aux premier signe de réédition de ses exploits... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 24 mai 2009 Share Posté(e) le 24 mai 2009 Bref, en France, on promouvoie la nullité dans le cercle de ses amis. Promeut. ... oui mais c'est pas nouveau ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 26 mai 2009 Share Posté(e) le 26 mai 2009 Dassault chief to take active role in Thales Published: May 25 2009 23:22 | Last updated: May 25 2009 23:22 Dassault Aviation has no intention of taking a back seat in decision-making at Thales, after the maker of the Falcon business jet invested more than €1.6bn ($2.2bn) to buy 26 per cent of the French defence electronics group. Charles Edelstenne, chief executive of Dassault Aviation, told the Financial Times in his first interview since closing the Thales deal that he expected to hold frequent meetings with the new management installed at last week’s annual meeting. “I don’t intend to be a sleeping partner. We will have to talk to each other frequently so we can follow what’s going on,” Mr Edelstenne said. Dassault, which along with its main business jet activities makes the Rafale combat aircraft, has moved into Thales with the strong support of the group’s largest shareholder, the French government, which has a 27 per cent stake. However, the investment has provoked controversy after 11-year veteran Denis Ranque was forced to quit early to make way for Luc Vigneron, the former head of state-owned tank builder Nexter Systems. Mr Ranque’s mandate was terminated last week by the two shareholders after he initially opposed Dassault’s arrival. Mr Edelstenne rejected suggestions that his active involvement with new management represented a back-door takeover by the family-controlled Dassault group, as was suggested by a shareholder who has complained to the market regulator in an attempt to force a full bid. Dassault, which is bound by a shareholder pact with the French government, was exonerated from launching a bid, as under the accord it does not have management control. “So this shareholder has lodged a complaint . . . he should do it,” said a bullish Mr Edelstenne from Dassault’s headquarters on the riverside quay named for the group’s founder. “We will be in total harmony with the pact. We (Dassault) are not taking control. The two shareholders are taking control. We are the industrial partner. That means that we have to bring the knowledge of industry that we have to the pact.” What Dassault brings to the pact has never been in doubt. By encouraging the aviation group to buy the stake being sold by Alcatel-Lucent, the French government has reinforced the domestic hold on a national defence champion, with almost 60 per cent of voting rights controlled by the pact. For Dassault too the investment has obvious benefits. It will consolidate 26 per cent of Thales profits, a welcome boon from the relatively stable defence market at a time when the business jet sales are stalling. Yet, many have questioned the upside of a new active French shareholder for a company like Thales, which has become a key supplier to foreign defence ministries. Mr Edelstenne insists, however, that there is a real strategic vision and says fears that French-based Dassault’s presence could imperil Thales’ position with foreign government clients are exaggerated. “Our aim is to create a major European actor in the field of advanced strategic technologies, similar to BAE Systems in Britain, to Finmeccanica in Italy and Saab in Sweden,” he says. “This actor will base its strategy on a strong international industrial presence and a wide range of products, both civilian and military.” Mr Edelstenne says he is ready to support acquisitions, if they make sense. Finally, he argues that Dassault’s mode of management can bring real benefits to Thales and its other minority shareholders, without the need to run the risks of a full merger. Thales’ profitability is just 15 per cent better than Dassault’s, he says, but on three times the sales. “I think we can do better.” The Dassault formula starts with getting the two companies to work more closely together in research, technology and even in selling products abroad. Although Dassault has so far failed to find an export customer for its Rafale aircraft, Mr Edelstenne says the Thales deal will also help him to improve the group’s combat jet offer. Closer collaboration further upstream, for example using Dassault’s software subsidiary Dassault Systems, could help to improve returns for both partners. Mr Edelstenne refuses to quantify the benefits he believes Thales and Dassault could extract from a closer partnership. But he is determined to make it work, even to the point of forcing the management changes, which were initially resisted by the French government. The Dassault boss is clearly irritated that his activist approach has stirred up a debate over corporate governance at Thales. “It is a storm in a teacup,” he says brusquely. “The company belongs to its shareholders and it is up to them to decide, not the management. That is how I understand good governance.” http://www.ft.com/cms/s/0/c1ea4eea-4969-11de-9e19-00144feabdc0.html?nclick_check=1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) le 26 avril 2022 Share Posté(e) le 26 avril 2022 Patrice Caine va rempiler à la tête de Thales Près de huit ans après son arrivée à la tête de Thales, Patrice Caine va être renouvelé à l'issue de l'assemblée générale mixte, qui se tiendra le 11 mai. Michel Cabirol 25 Avr 2022, 9:25 Depuis l'arrivée de Patrice Caine à la tête de Thales, le cours de l'action du groupe de technologies a augmenté de près de 180% Patrice Caine va rester à la tête de Thales. Réuni fin février, le conseil d'administration du groupe de technologies a acté le renouvellement du PDG pour un nouveau mandat de quatre ans. La logique a été respectée, Patrice Caine (52 ans), à la tête de Thales depuis décembre 2014, présentant un bilan financier et économique très positif... Edit: Ca montre aussi l'entente entre Dassault, l'Etat et Thales ... ce qui n'a pas toujours été le cas! 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 26 avril 2022 Share Posté(e) le 26 avril 2022 En tant qu'actionnaire de thales, j'approuve ! :D 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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