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Incident gréco-turque en Egée orientale


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L'armée de l'air turque perturbe une opération de sauvetage de clandestins en Egée orientale

http://www.info-grece.com/modules.php?name=News&file=article&sid=4650

Une vedette turque et deux F-16 turcs ont perturbé mercredi matin l'opération de recherche et sauvetage, à laquelle participaient la canonnière "Nikiforos" et un hélicoptère Super-Puma, entreprise dans la région de Farmakonissi pour repérer des immigrés clandestins, amenant le ministre des Affaires étrangères à dénoncer une "atteinte aux relations grecoturques".

L'intervention turque a eu lieu, vers 9h15 mercredi, malgré le fait que les opérations grecques avaient été notifiés, depuis mardi, et selon l'usage, par un NOTAM du ministère de la Marine marchande communiqué par le Centre unifié de Coordination de Recherche et de Sauvetage.

Les deux F-16 turcs, après avoir été interceptés par l'aviation grecque, ont quitté le FIR d'Athènes et survolé, à basse altitude, l'île de Farmakonissi pour recommencer plus tard au-dessus de Agathonissi.

Le ministre des Affaires étrangères, Dora Bakoyannis, a qualifié d'"inacceptables" les provocations de la Turquie dans la région de Farmakonissi et Agathonissi, en Egée orientale, précisant qu'elle a donné des instructions pour que les démarches afférentes soient effectuées.

"Ces actions de la part de la Turquie constituent une violation flagrante du droit international et portent atteinte aux efforts déployés pour l'amélioration des relations greco-turques", a-t-elle ajouté.

Mme Bakoyannis devait notamment référer des provocations turques en Egée, en insistant sur l'intensification de ce phénomène, auprès de Daniel Speckhard, l'ambassadeur des Etats-Unis à Athènes, qu'elle devait rencontrer dans la soirée.

La veille de l'incident, le président de la République, Carolos Papoulias, assistait aux cérémonies de l'Epiphanie, justement, à Agathonissi. Dans une de ses déclarations, M. Papoulias avait déploré "les provocations inconcevables et illogiques de la Turquie, comme les vols systématiques d'avions de combat au-dessus d'îles grecques".

"Le coeur du problème des relations greco-turques réside dans le rôle déterminant des forces armées turques dans la vie politique du pays voisin", avait encore souligné M. Papoulias, imputant à cet état de fait bien précis "l'émission constante de revendications, comme la construction de la théorie nouvelle des zones grises (en Egée) depuis 1996".

La réponse des militaires turcs n'a pas tardé…

Néanmoins, la démonstration de la capacité de nuisance turque arrive mal à un moment o le pays voisin est montré du doigt pour la permissivité dans la lutte contre le trafic d'immigrés clandestins qui a doublé au cours de l'année 2008, notamment sur les côtes de l'Egée orientale.

i-GR/ANA-MPA

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Il serait temps que l'Europe remete la Turquie à sa vrais place, un survol de téritoire c'est une provocation stupide et inutile, sanction économique + politique si sa continue et vous verrez qu'elle ne bougera plus le petit doigt...

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Ce sont des visites de courtoisie, je pense pas que les pilotes grecs y soit contre, ça leur permet de remplir leurs heures de vol avec autre choses que des opérations de "Ferry range" ou des simulations de combat entre amis. Les pilotes grecs et turcs se sont fait les dents avec ses incidents et je ne pense pas que ça dérange trop la hiérarchie, il faut simplement gueuler pour ne pas passer pour un mou de la bite devant la population ;)

PS: c'est quoi le FIR?

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ca depend, c'est pas lemoment de chatouiller la Grece qui a des problèmes internes a plus savoir qu'en faire. ILs pourraient reagier plus méchamment que d'habitude pour redorer leur blason

Ce n'est pas la première fois que des calculs de genre ont été fait.

Le pays trouve un bouc émissaire bien tentant dans ce cas.

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  • 2 weeks later...

Honnêtement je trouve qu'il y a Beaucoup trop d'îlots Grec très proche de la côte Turc, je ne trouve pas  cela normal mais bon c'est comme ça.

En quoi c'est pas normal? Ses ilots sont téritoires greques et donc c'est tout à fait logique...

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stgn le vrai gars anti-turc sa se voit à chaque fois que tu interviens sur un sujet en rapport avec la turquie tu les insultes presque lol quoi dans ta jeunesse tu t'es fait victimisé par des turcs ou bien tu n'es pas se que tu dis être sans rancunne mon pote

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Honnêtement je trouve qu'il y a Beaucoup trop d'îlots Grec très proche de la côte Turc, je ne trouve pas  cela normal mais bon c'est comme ça.

Oui et?

Est-ce un feu vert pour rependre les Iles Anglo Normandes?

Les Malouines aux Argentins etc..

Brefs si tu change la règle pour un tu risque de devoir la changer pour tous, et la je ne te parle pas du merdier.  ;)

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Toute façon on récupérera ses îlots et ses îles si une guerre éclate (qui est peu probable), c'est pour cela que l'armée Turque a fonder une Task force amphibie d'une dizaine milliers d'hommes pour des missions de débarquement et de parachutages sur les îles Grecques (Rhodes, Lesbos, Chios, Moudros, Samos, et l'annexions de la Thrace Occidentale)...

On appel cette task force: "L'armée Egéenne" au sein des forces armées Turques qui a était former pour lutter contre la Grèce..

C'est une armée indépendante de l'Otan...

Aegean Army - Armée Egéenne

From Wikipedia, the free encyclopedia

The Aegean Army or Fourth Army is one of the four main formations of the Turkish Army. It covers the entire west coast of the Anatolia peninsula and has its headquarters in İzmir. It was organised in the 1970s in response to political tensions with Greece - the ongoing Aegean dispute.

Its stated mission is to protect Turkey's territory on its western coast. This is directed against the perceived threat posed by Greece's armament of the Aegean Sea islands. Greece, on the other hand, perceives the presence of the Aegean Army as a threat to its islands, citing strong offensive capabilities ascribed to the Aegean Army as well as the exposed and isolated geographical position of the islands as reasons of concern. Greek sources particularly point to the strong amphibian forces maintained by the Aegean Army as an indicator of its offensive nature.[1] Turkey has countered such concerns by stating that besides being of a fundamentally defensive nature it is "basically a training army".[2]

Like the Second Army, the Aegean Army is not a NATO-assigned formation.[citation needed]

The Army has been reported to consist of:

57th Artillery Training Brigade (Izmir)

19th Infantry Brigade (Edremit)

11th Motorised Infantry Brigade (Denizli)

3rd Infantry Training Brigade (Antalya)

1st Infantry Training Brigade (Manisa).[3]

http://en.wikipedia.org/wiki/Aegean_Army

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Toute façon on récupérera ses îlots et ses îles si une guerre éclate (qui est peu probable), c'est pour cela que l'armée Turque a fonder une Task force amphibie d'une dizaine milliers d'hommes pour des missions de débarquement et de parachutages sur les îles Grecques (Rhodes, Lesbos, Chios, Moudros, Samos, et l'annexions de la Thrace Occidentale)...

On appel cette task force: "L'armée Egéenne" au sein des forces armées Turques qui a était former pour lutter contre la Grèce..

C'est une armée indépendante de l'Otan...

Vos voisins ont également une force de débarquement puissante avec une dizaine de bateaux de débarquement. Sans parler du soutien de l'Europe..

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Vos voisins ont également une force de débarquement puissante avec une dizaine de bateaux de débarquement. Sans parler du soutien de l'Europe..

Je sous-estime pas la force de nos chers voisins, mais je l'ai voit pas débarqué en Anatolie, car trop risqué, ils seront sur la défensive...

Je pense qu'ils seront sur l'offensive en Thrace..ils voudront récupéraient la Thrace, le pays de Spartacus...

et voudront avancer jusqu'a San Stefano et la banlieue d'Istanbul, mais là je crois pas, ils devront affronter les meilleurs chars de l'armée turc et la première armée Turque...

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Je sous-estime pas la force de nos chers voisins, mais je l'ai voit pas débarqué en Anatolie, car trop risqué, ils seront sur la défensive...

Je pense qu'ils seront sur l'offensive en Thrace..ils voudront récupéraient la Thrace, le pays de Spartacus...

A la base leurs force de débarquement n'est que pour reprendre des iles... cailloux qu'ils pourraient perdre. la Grèce n'a pas la puissance nécessaire et probablement pas l'envie de débarquer en Anatolie. Et en cas d'agression Grecque je pense que la aussi l'Europe leur remonterait les bretelles.

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stgn le vrai gars anti-turc sa se voit à chaque fois que tu interviens sur un sujet en rapport avec la turquie tu les insultes presque lol quoi dans ta jeunesse tu t'es fait victimisé par des turcs ou bien tu n'es pas se que tu dis être sans rancunne mon pote

Et toi tu vas pas commencer à jouer les trolls sinon c'est mise en orbite direct sans passer par la case excuse.

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Bonjour

Pour l’incident, rien de vraiment nouveau. Cela arrive régulièrement et les deux parties se rejettent mutuellement la responsabilité. Une semaine auparavant c’était à la Turquie de protester contre la violation de son espace aérienne et maritime par les Grecs. On peut voir ceci comme la réponse du berger à la bergère.

Je vois plusieurs possibilités d’utilisation de la force amphibie grecque. Un débarquement sur la côte anatolienne est quasi assuré d’un échec. On peut toutefois envisager des opérations coup de poing sur certaine cibles stratégiques à la manière des assauts anglais sur le Mur de l’Atlantique durant la Seconde Guerre Mondial. Bien entendu ces actions seraient très risquées mais restent du domaine du possible.

Une autre utilisation est le débarquement sur une île grecque déjà occupé par l’armée turque. Venant vers la fin des hostilités ou d’une cessez le feu, il n’aurait pas la nécessité de repousser entièrement l’envahisseur mais de juste marquer un point psychologique et politique.

Plus certainement, j’envisage un débarquement sur les îles de Gökçeada (Lembros) et de Bozcaada (Tenedos) Ces deux îles commandent l’accès au détroit de Dardanelles. Leur possession serait un atout lors de pourparlers à venir. Enfin, on peut aussi envisager un débarquement dans le golfe de Saroz. Soit au Sud, dans le but de couper en deux l’isthme de Bolayir et de bloquer le détroit, soit au Nord, pour prendre à revers les forces turques massées le long de la frontière. Quoique, ces deux derniers débarquements devraient être soutenu par une offensive terrestre victorieuse pour réussir.

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