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Guerre au Sri Lanka, plus de 70 000 morts...


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Les tamouls sont indouistes (d ou une proximité avec l'inde!), alors que le gouvernement central est boudhiste.

C'est une guerilla de minorité religieuse.

gibbs

d'ailleurs on parle beaucoup d'extémisme musulman ,mais les tamoules emploient souvent des kamikazes dans des attentats suicide au sri-lanka.

ils faut savoir que les combats sont extrémement violent ,le gouvernement sri-lankais dépense beaucoup d'argents et bénéficient de l'aide de certains pays qui ne s'ont pas de la région (services occidentaux spécialisé dans l'imagerie de source éléctronique pour se doter d'un systéme d'information géographique s'appuyant notamment sur les images satellitaires )permettant aux forces de l'armée sri-lankaise de procéder à un recoupement et à la validation des informations recueillies de source humaine avec celles fournies par les nouvelles technologie .

par contre il faut savoir que l'inde à fourni l'armée sri-lankaise en matériel d'interception permettant la localisation par triangulation .achat aussi de deux drônes nouvelle génération ,searcher MK2 fabriqué par Israeli Aerospaces Industries.

Ce conflit ethnique reste complexe, et est malheureusement peu exposé et peu expliqué. Les rebelles étant souvent rapidement réduits au qualificatif de « terroristes », suivant la position officielle des gouvernements indien et américain. Le gouvernement indien craint qu'un mouvement indépendantiste tamoul victorieux au Sri Lanka embrase les aspirations indépendantistes des Tamouls d'Inde du Sud. Aussi, l'Inde soutient puissamment le gouvernement Sri Lankais, aux mains des cinghalais, dans son projet de répression du mouvement. Le Sri Lanka, et l'Inde, qualifient les tamouls d'organisation terroriste. Les Etats-Unis, recherchant le soutient Indien dans leur « War on Terror », réduisent le conflit au terme de « terrorisme ». Les Etats-Unis ont également négocié des droits d'utilisation de bases militaires au Sri Lanka, en échange de cadres militaires américains pour la formation des troupes cinghalaises, et d'aide dans la lutte contre les réseaux de soutien financier pro-tamoul. Aussi, depuis 2006, les tamouls ont perdu 99 % de leur territoire, et semblent proches d'être défaits, posant la question du futur de la minorité tamoul dans cet état aux mains des cinghalais .

l'inde ne soutient pas les tamoules ,encore moin du fait de la même religion. ;)

pour les avions tamoules ,s'est pas exactement la Indian Air Force mais plutôt 2 avions de tourisme militarisé  ;)

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À noter que depuis quelques mois les tamouls sont sur la voie du terrorisme; Leur guerilla/armée bat de l'aile a connu plusieurs défaites importantes et n'est plus en mesure d'assurer des compétences souveraines (justice entre autre).

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Je m'étonne quand même sur l'armement des tamouls. Avoir des avions c'est pas donné.

Enfin des avions faut relativiser, c'est de vulgaires coucous plus ou moins armés, rien de bien méchant.

Pour les liens avec l'inde, j'avais souvenirs de soutiens plus francs que ca des indiens jusque dans les années 80, ou alors était ce seulement de la communuaté tamoul d'inde du sud à laquelle gibbs fait référence. Vers les années 90 new dehli avait pris ses distances avec un mouvement trés violent et un des premiers à avoir initier les opérations kamikazes.

Surement MANI pourrait nous éclairer de ses lumières.

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Encore une opération humanitaire des marines française et britanniques en vue d'évacuer les civils de la zone des combats ? :

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/04/22/01011-20090422FILWWW00316-sri-lanka-vers-une-operation-francegb.php

Combien de temps pour que les navires devant la corne de l'Afrique puisse se positionner au large du Sri Lanka ?

PS : Si un modo peut fusionner les divers topics sur le sujet merci d'avance ;)

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apparemment c'est qu'une question de temps avent la fin des tamouls

L'armée à l'assaut du dernier territoire des rebelles tamouls

Mercredi 22 avril 2009

L'armée sri-lankaise progresse dans le dernier bastion des Tigres tamouls, au nord-est de l'île. De leur côté, les rebelles accusent les militaires d'avoir tué 1 000 habitants de la région. Depuis lundi, 50 000 civils ont fui la zone.

AFP - L'armée du Sri Lanka grignotait mardi le dernier territoire des rebelles tamouls, en plein exode de dizaines de milliers de civils, tandis que les Tigres accusaient les militaires d'avoir tué la veille 1.000 habitants tamouls.

Lancées dans leur assaut final dans le nord-est de l'île, les troupes sri lankaises ont réussi à couper en deux la bande de terre de 15km2 toujours aux mains des Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE), s'est félicité le ministère de la Défense.

Dans le même temps, l'exode de dizaines de milliers d'habitants tamouls de cette région s'est poursuivi mardi, filmé par les forces armées et montrant des colonnes de femmes, enfants, hommes et vieillards hagards quitter à pied ou à la nage la dernière poche des Tigres pour se réfugier en territoire gouvernemental.

Depuis lundi, 50.000 civils ont fui la zone encore tenue par les insurgés, a évalué le porte-parole des forces armées, le général Udaya Nanayakkara.

Cet exode spectaculaire semble avoir été déclenché par le "sauvetage" ce week-end par l'armée de quelques milliers de Tamouls coincés avec le LTTE.

Ces civils seraient donc encore 20.000 selon Colombo, 50.000 d'après l'ONU, servant de "boucliers humains" aux Tigres.

Le gouvernement a d'ailleurs accusé la guérilla d'avoir tué lundi 17 réfugiés, tandis que le LTTE a affirmé que les militaires avaient massacré ce même jour dans des bombardements plus de 1.000 civils.

"Et aujourd'hui (mardi), un bain de sang est en cours", a ajouté la guérilla séparatiste, dans un rare communiqué, immédiatement démenti par le ministère de la Défense.

Aucune information n'est vérifiable dans ce nord-est coupé du monde auquel seule la Croix-Rouge a accès.

Celle-ci a ainsi jugé la situation humanitaire "catastrophique", disant redouter une "augmentation dramatique" du nombre de civils tués. L'organisation américaine Human Rights Watch a aussi déclaré "craindre un bain de sang", à l'occasion d'un dernier coup de butoir des militaires.

Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, a également dit lundi redouter "de nombreuses victimes" supplémentaires, en cas d'assaut final contre la rébellion. Le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) a "mis en garde contre d'effroyables conséquences pour les dizaines de milliers d'enfants".

Le département d'Etat américain a pressé l'armée srilankaise et les rebelles tamouls "de s'abstenir de tirs aveugles" et de "laisser les civils quitter la zone" du conflit.

Colombo est convaincu qu'au terme de 37 ans de conflit, l'insurrection séparatiste tamoule ne tient plus qu'à un fil, alors qu'elle régnait jusqu'en 2007 sur 18.000 km2 dans le nord et l'est, sur lesquels elle voulait fonder un Etat indépendant.

Acculé et invisible depuis 18 mois, le chef suprême des Tigres, Velupillaï Prabhakaran, avait jusqu'à mardi 06H30 GMT pour se rendre.

Mais comme "le LTTE n'a pas répondu à l'appel du gouvernement à déposer les armes, nous poursuivons notre opération de sauvetage des civils", a assuré le général Nanayakkara.

La diplomatie s'est toutefois fait entendre lundi lorsque le secrétaire d'Etat adjoint américain chargé de l'Asie du Sud, Michael Owen, a proposé que Colombo amnistie les combattants du LTTE en échange d'une reddition.

Mais le Sri Lanka --très jaloux de sa souveraineté-- rejette systématiquement les appels internationaux et ceux du LTTE à une trêve durable et reste sourd aux manifestations pro-tamoules en Occident.

D'après des experts, la guerre dans l'ex-Ceylan, peuplé de 20 millions d'âmes, s'explique en partie par le ressentiment de la majorité cinghalaise à l'égard de la minorité tamoule soupçonnée d'avoir été favorisée par le colonisateur britannique jusqu'à l'indépendance du 4 février 1948.

Confrontés par la suite à un régime sri lankais dominé par des Cinghalais, des Tamouls radicaux avaient fondé en 1972 les Nouveaux tigres tamouls devenus le LTTE en mai 1976.

http://www.france24.com/fr/20090422-sri-lanka-nord-est-ile-attaque-armee-rebelles-tigres-tamouls-militaires-exode-evacuation-civils-habitants

Deux chefs des Tigres tamouls se rendent à l'armée

Mercredi 22 avril 2009

Deux cadres des rebelles tamouls se sont livrés aux troupes de l'armée sri-lankaise qui encerclent le nord-est du pays. La communauté internationale s'inquiète de la situation des dizaines de milliers de civils qui fuient la région.

AFP - Deux cadres de la rébellion tamoule se sont rendus mercredi à l'armée du Sri Lanka, qui poursuit son offensive finale dans le nord-est, en plein exode chaotique de dizaines de milliers de civils qui inquiète la communauté internationale.

Le porte-parole des Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE), Velayudam Dayanidi, alias "Daya Master", et un responsable connu surnommé "George", se sont livrés aux troupes de Colombo à l'entrée de la bande de terre de 13 km2 toujours aux mains des insurgés, s'est félicitée l'armée.

Toute la journée, des images filmées par les forces armées ont montré des colonnes de femmes, enfants, hommes et vieillards hagards, chargés de bagages et quittant à pied, à la nage ou en bateau la dernière poche du LTTE pour se réfugier en territoire gouvernemental.

Plus de 100.000 civils ont fui depuis lundi le périmètre des Tigres, a assuré le porte-parole des forces armées, le général Udaya Nanayakkara.

"Nos opérations de secours pour les civils se poursuivent (...) Notre priorité est de les sortir" de la zone des combats, a complété son homologue du ministère de la Défense, Keheliya Rambukwella, en répétant que le LTTE était en passe de "perdre" le conflit.

Si l'on en croit les chiffres de Colombo, il ne resterait plus aucun habitant tamoul dans la zone de guerre puisque le gouvernement les évaluait à 70.000. Selon l'ONU, ils seraient encore des dizaines de milliers servant de "boucliers humains" aux Tigres.

Les gens qui ont pu s'échapper ont raconté leur calvaire à la télévision d'Etat contrôlée par le régime.

Les Tigres "nous tiraient dessus pour essayer de nous empêcher de partir", a ainsi dit un homme entouré de soldats. "Ils ouvraient le feu sur nous et ne nous laissaient pas nous en aller", a renchéri une adolescente d'un centre de rétention dans le nord, à Vavuniya.

Dans cette localité, Médecins sans frontières (MSF) s'est alarmé d'une situation "chaotique" dans un hôpital "saturé".

Aucune information n'est vérifiable dans ce nord-est coupé du monde, à laquelle seule la Croix-Rouge a accès.

Celle-ci a d'ailleurs jugé la situation humanitaire "catastrophique", redoutant une "augmentation dramatique" du nombre de civils tués. Des ONG craignent un "bain de sang" lors d'un dernier coup de butoir de l'armée.

Les morts et les blessés "se comptent certainement par milliers (...) ces derniers mois", a prévenu le porte-parole de l'ONU à Colombo, Gordon Weiss.

Les Tigres avaient accusé les militaires d'avoir massacré lundi plus de 1.000 civils dans des bombardements. L'armée a nié.

Mais le département d'Etat à Washington --bailleur de fonds au Sri Lanka-- l'a exhortée à cesser ses "tirs aveugles" et a sommé le LTTE, organisation "terroriste", à laisser partir les civils.

La France souhaite, elle, monter avec la Grande-Bretagne, ex-puissance coloniale, une opération pour aider ces populations à fuir, a dit le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner.

Mais le Sri Lanka --très jaloux de sa souveraineté-- rejette tous les appels internationaux et ceux du LTTE à une trêve et reste sourd aux manifestations de la diaspora tamoule en Occident.

Colombo est convaincu qu'au terme de 37 ans de conflit, l'insurrection séparatiste ne tient plus qu'à un fil, alors qu'elle régnait jusqu'en 2007 sur 18.000 km2 dans le nord et l'est, où elle voulait fonder un Etat indépendant.

Acculé et invisible depuis 18 mois, le chef suprême des Tigres, Velupillaï Prabhakaran, avait jusqu'à mardi pour se rendre. Il est probablement terré dans le nord-est, pense le gouvernement.

D'après des experts, la guerre dans l'ex-Ceylan, peuplé de 20 millions d'âmes, s'explique en partie par le ressentiment de la majorité cinghalaise bouddhiste à l'égard de la minorité tamoule hindoue, soupçonnée d'avoir été favorisée par les Britanniques jusqu'à l'indépendance du 4 février 1948.

http://www.france24.com/fr/20090422-sri-lanka-deux-chefs-rebelles-tamouls-reddition-situation-exode-civils-communaute-internationale

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Il ne faut pas sous-estimer la fin des Tamouls car ils vont se réorganiser autrement.

De plus, ils bénéficient du soutien de la diaspora à l'étranger et sans parler de l'Etat du Tamil Nadu (Inde) où les Tamouls sont +/- 65 millions d'habitants plus que les Cinghalais au Sri Lanka !

Les dirigeants politiques du Tamil Nadu ne restent pas indifférents au sort de leurs frères et soeurs au Sri Lanka. Ils ont déjà interpellé le gouvernement indien et certains ont même menacé d'une éventuelle scission de l'Etat du Tamil Nadu de l'Inde si le gouvernement national ne faisait rien pour arrêter la violence au Sri Lanka.

J'avais proposé une solution politique à mes compatriotes tamoules (confession hindoue) : le rattachement des Tamouls du Sri Lanka (l'Eelam) à l'Inde (Tamil Nadu) en échange d'une protection militaire indienne et la fin des exactions et discriminations cinghalaises. Que pourrait faire les Cinghalais (18 millions d'habitants) face à 1,1 milliards d'habitants indiens ! Vous obtenerez indirectement votre revanche ou vengeance sur les Cinghalais.

Certains ne partageaient pas du tout cette solution, maintenant ils doivent le regretter.

En Inde, les organisations hindoues s'émeuvent du sort des hindous tamouls au Sri Lanka mais les nationalistes indiens s'en méfient de ces indépendantistes violents et imprévisibles. Le Congrès de Sonia Gandhi a la dent dure contre les "Tigres tamouls" qui ont assassiné son feu mari Rajiv Gandhi.

Relatif au LTTE, les "Tigres tamouls" rackettent la diaspora tamoule, en brigadent les faibles d'esprit, les enfants, les femmes, .... pour en faire des kamikazes.

La DST en France surveillent de près les activités des "Tigres" et en a déjà arrêté quelques individus.

Il y a quelques années, je me suis disputé avec un de ces fanatiques séparatistes tamouls à Paris.

Il m'a menacé de mort car je l'ai insulté et envoyé promener son apologie du terrorisme indépendantiste et de la récolte de fonds de gré ou de force du LTTE auprès de la diaspora.

D'ailleurs, "Chien qui aboit ne mords pas" et je suis toujours vivant !  =)

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Il y a quelques années, je me suis disputé avec un de ces fanatiques séparatistes tamouls à Paris.

Il m'a menacé de mort car je l'ai insulté et envoyé promener son apologie du terrorisme indépendantiste et de la récolte de fonds de gré ou de force du LTTE auprès de la diaspora.

je me demande qu'es que ça devait étre comme insulte pour qu'il en arrive a te menacé de mort  :lol:

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Il m'énervait tellement ainsi que d'autres compatriotes tamoules en ne voulant pas reconnaître que le LTTE est une organisation terroriste et mafieuse avec ses multiples rackets auprès des familles tamoules

qu'ils appellent cela effort de guerre pour l'indépendance. Au sujet de l'enbrigadement des enfants soldats et femmes kamikazes, il considère qu'il faut savoir faire des sacrifices terribles pour nous libérer   !  :-\

Alors je lui ai montré une muselière en lui disant que ça va pour les chiens dangereux mais qu'il existe en modèle humain pour des individus comme lui :  :O

Image IPB

Sur cela, il a réagit violemment en me disant "tu es un homme mort" et j'ai encore rajouté du style :"c'est fou comme j'ai peur de toi, la mort ne m'effraie pas". Finalement, mes compatriotes sont intervenus pour nous calmer et éviter que ça ne dégénère en bagarre.

Je ne l'ai jamais plus revu soit il a été arrêté par la police française ou soit il s'est fait sauté là-bas ou ...

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L'Inde appelle le Sri Lanka au cessez-le-feu.

L'Inde a demandé jeudi aux autorités du Sri Lanka de mettre un terme à leur campagne militaire contre les séparatistes tamouls. "Nous sommes très préoccupés par les tueries qui se poursuivent au Sri Lanka. Toutes les tueries doivent cesser. Il doit y avoir cessation immédiate de toutes les autorités", indique le ministère indien des Affaires étrangères dans un communiqué.

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  • 4 weeks later...

Je ne comprends toujours pas comment l'armée sirilankaise qui étaient au bord du gouffre, ne pouvant même pas protéger sa capitale contre des attaques aérienne a pu vaincre les tigres tamoules.

Exact, il ya pas si longtemps que ca, les tigres infligeaint des revers sérieux aux troupes gouvernementales.

Il me semble avoir vaguement entendu que le frère de l'actuel président soit l'architecte de la victoire, l'armée a renouvelé ses tactiques s'est pas mal rééquipée notamment en armement lourd, char et artillerie. Je ne connais ni les fournisseurs (chinois surement) ni si il y a des conseillers extérieurs derrière ca, ca serait intéressant d'enquêter un peu sur le redressement de cette armée.

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Exact, il ya pas si longtemps que ca, les tigres infligeaint des revers sérieux aux troupes gouvernementales.

Il me semble avoir vaguement entendu que le frère de l'actuel président soit l'architecte de la victoire, l'armée a renouvelé ses tactiques s'est pas mal rééquipée notamment en armement lourd, char et artillerie. Je ne connais ni les fournisseurs (chinois surement) ni si il y a des conseillers extérieurs derrière ca, ca serait intéressant d'enquêter un peu sur le redressement de cette armée.

Ce sont les chinois qui ont aidés l'armée sri lankaise, pour plusieurs raisons évidentes:

- Le Sri lanka se trouve entre les puits de pétrole du golfe persique et du Soudan et la Chine, donc c'est de la transite le pétrole chinois..

- C'est pour aussi embêter un peu l'Inde, un allié en plus dans la région, sa se gagne...

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Exact, il ya pas si longtemps que ca, les tigres infligeaint des revers sérieux aux troupes gouvernementales.

Il me semble avoir vaguement entendu que le frère de l'actuel président soit l'architecte de la victoire, l'armée a renouvelé ses tactiques s'est pas mal rééquipée notamment en armement lourd, char et artillerie. Je ne connais ni les fournisseurs (chinois surement) ni si il y a des conseillers extérieurs derrière ca, ca serait intéressant d'enquêter un peu sur le redressement de cette armée.

70 000 mort civils dans la guerre civile quand meme, dont probablement 10 000 cette année ... il on surtout changé de méthode en passant de la contre guérilla a la guerre totale.

L'armée sri lankaise a fait comme la colombienne elle a doublé ses effectif en moins de 5 ans ... plus de 150 000 hommes ... contre 5 000 guerilleros tamouls ... a force ca paye.

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''Sri Lanka, défaite d'un insurrection'' par le colonel français Jean-Louis Dufour, ex boss du 1er régiment d'infanterie de marine :

http://www.leconomiste.com/article.html?a=93010

Le LTTE n'était pas un ''poisson dans l'eau'' dans l'ensemble de l'île, pas de gros soutiens internationaux et pas solution de repli... Mais ils n'empêchent qu'ils ont donné énormément de fil à retordre a l'armée gouvernementale qui dans les années 90 ne croyait pas pouvoir gagner.

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Entendu à la radio : Leur force a résidé longtemps sur leur flotte d'une centaine de vedettes et une dizaine de cargos armés, avec lesquels ils ont pu se ravitailler et bénéficier de soutien extérieur. Une fois cet atout perdu l'absence de sanctuaire leur a été fatal. Le gouvernement a en outre décidé la guerre totale en doublant les effectifs de l'armée, la supériorité matérielle et numérique a achevé la guerilla.

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Hum, on a vu de belles images de troupes venant des deux cotés de la zone des combats paradé oriflammes au vent mais attendant que l'on montre les chefs des Tigres tamouls hors de combat avant de conclure à la fin de la guerre.

Voila un petit cadeau (le chef des tamouls):

couick !!! pas de maccabé sur le forum merci

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Beaucoup d'observateurs disent que si le Gvt ne lache pas de lest pour la minorité tamoul, on vas se retrouver dans une nouvelle guerre d'ici quelques années, ou du moins des attentats encore et toujours...

Pour les ''tigres des mers'', il est vrai que c'était la seule guérilla actuelle à ma connaissance qui avait une vraie ''flotte de guerre'' et qui affronté souvent avec succès la marine nationale du Sri Lanka.

Au fait, que sont devenus ces vedettes ?

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