Tomcat Posté(e) le 21 mai 2009 Share Posté(e) le 21 mai 2009 Beaucoup d'observateurs disent que si le Gvt ne lache pas de lest pour la minorité tamoul, on vas se retrouver dans une nouvelle guerre d'ici quelques années, ou du moins des attentats encore et toujours... Pour les ''tigres des mers'', il est vrai que c'était la seule guérilla actuelle à ma connaissance qui avait une vraie ''flotte de guerre'' et qui affronté souvent avec succès la marine nationale du Sri Lanka. Au fait, que sont devenus ces vedettes ? Sur Liveleak il y avait la vidéo d'une de ces vedettes qui s'est fait pulvérisée par un 57mm de l'armée. Je vais voir si je la trouve http://www.liveleak.com/view?i=aeb_1240847246 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 21 mai 2009 Share Posté(e) le 21 mai 2009 Beaucoup d'observateurs disent que si le Gvt ne lache pas de lest pour la minorité tamoul, on vas se retrouver dans une nouvelle guerre d'ici quelques années, ou du moins des attentats encore et toujours... Pour les ''tigres des mers'', il est vrai que c'était la seule guérilla actuelle à ma connaissance qui avait une vraie ''flotte de guerre'' et qui affronté souvent avec succès la marine nationale du Sri Lanka. Au fait, que sont devenus ces vedettes ?gibbs les sri-lankais vont surement implanté de nouvelle base dans cette zone ,et à mon avis mené une campagne de "purge" (contrôle de la population un peu comme les chinois aux tibet )afin de limiter et compliquer les actions des tamoules dans la reprise des actes terroriste .la ou on pourrait se poser la question s'est étant donné que le mouvement des tigres tamoules est "détruit",si résistance est relancé (sans actes terroristes afin d'avoir une meilleur presse aux niveaux internationale)cela viendrait plutôt d'autres tamoules proche de l'inde ,et qui pourrait bénéficié de l'aide de l'Inde ,voir une possible intervention de celle-ci .qu'en pensez-vous ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 21 mai 2009 Share Posté(e) le 21 mai 2009 Comme celà a été dit ici, c'est une tamoule qui a assassiné gandi, les indiens se méfient de la minorité tamoule qui vit sur le continent et de l'extrémisme du LTTE, il faudrait qu'il fasse amende honorable et regagne la confiance de new dehli d'abord, avant d'espérer un soutien. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 21 mai 2009 Share Posté(e) le 21 mai 2009 s'est vrai que l'inde à aidé aussi le sri lanka face au terrorisme tamoule ,je l'avais précisé sur un post précédent ,mais s'est sa maniére de demander aux sri lankais d'y aller mollo avec les civils tamouls ,donc sa serait plus une maniére de calmé le jeu avec les tamouls vivant en inde qu'une possibilité d' aide avec des tamouls plus que modérés au sri lanka . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chronos Posté(e) le 29 mai 2009 Share Posté(e) le 29 mai 2009 Sri Lanka : comment faire taire les témoins des massacres Leur seul crime est d'avoir donné une voix aux victimes. Alors que les bombes gouvernementales pleuvaient sur les réfugiés tamouls, les docteurs Thurairaja Varatharajah, Thangamuttu Sathyamurthi et V. Shanmugarajah sont restés jusqu'au bout, soignant ceux qui pouvaient l'être avec les moyens du bord. En l'absence de journalistes ou d'observateurs internationaux, les médecins tamouls sont devenus les derniers témoins d'une tragédie à huis clos qui a fait des milliers de morts, de fin janvier à fin mai, dans l'offensive finale de l'armée sri-lankaise contre le mouvement séparatiste des Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE). Pour toute récompense, les docteurs, affiliés au ministère de la santé de Colombo, ont été emprisonnés, dès qu'ils ont pu quitter, le 15 mai, la bande de plage du Nord-Est, où l'armée a donné l'assaut final. Selon une source bien informée, ils sont au secret dans l'immeuble de la Criminal Investigation Division (CID) de Colombo, dans un centre d'interrogation "sordide". Selon un rapport de l'ONU de 2007, la torture y est une pratique "routinière". Seul le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a pu les rencontrer et constater qu'ils sont "OK". L'un d'eux, V. Shanmugarajah, a été soigné pour un éclat d'obus à la poitrine. "Si, un jour, on fait le procès du régime, ce seront des témoins clés, c'est pour ça qu'ils voulaient les tuer et ont été très déçus qu'ils s'en sortent", explique un responsable international. Ce responsable international a été en contact avec les docteurs mais refuse de donner son nom, de peur d'être expulsé. "Ces types sont des héros, on fait des films sur ce genre de personnes", ajoute-t-il. Durant le conflit, depuis des ordinateurs connectés à des téléphones satellitaires, au fur et à mesure qu'ils déplaçaient leurs hôpitaux de fortune, ils ont envoyé des courriels, comme des bouteilles à la mer. Le Monde s'est procuré certains de ces documents, souvent brefs, sobres, presque cliniques. Exemple : "29 avril 2009. Cher Monsieur, Madame, aujourd'hui, aux alentours de 16 heures, l'hôpital de Mullivaikkal a été attaqué au mortier. Le toit du pavillon a été très endommagé et des patients à l'intérieur sont morts. Neuf patients morts et quinze patients blessés. Beaucoup de patients ont quitté l'hôpital. Ce matin, un officier du CICR a visité l'hôpital aux alentours de 11 heures. Salutations. Docteur T. Sathiyamoorthy, directeur régional des services de santé." Les destinataires étaient un cercle de fonctionnaires de l'ONU, de responsables sri-lankais, de diplomates et de membres de la diaspora. Les photos numériques qui accompagnent chaque message, prises par les médecins ou des employés locaux de l'ONU, montrent crûment, au bord de la plage, corps démembrés, plaies béantes, femmes en larmes et enfants à l'agonie - le résultat de bombardements à l'arme lourde contre des civils sous des tentes en plastique, que les Tigres tamouls empêchaient de fuir, et dont l'armée n'avait que faire. "Les docteurs évitaient toujours les questions politiques, ils faisaient simplement leur boulot", se souvient le responsable international. Rarement trahissaient-ils le moindre sentiment. Sauf un jour. Au téléphone, Thangamuttu Sathiyamoorthy est au bord des larmes. Une femme, dont les deux jambes ont été sectionnées au niveau des cuisses par des éclats d'obus, est en train de se vider de son sang sous une bâche, qui frémit au rythme de ses derniers souffles. Sa petite fille, que des patients tentent de distraire, implore le docteur de la sauver. Elle a perdu son père et c'est toute la famille qu'il lui reste. Les médecins, qui n'ont plus de matériel depuis des mois, ne peuvent rien faire. "Sathiyamoorthy m'a dit : "J'ai toujours su que la guerre viendrait, mais je n'ai jamais pensé que ça finirait sous un tapis de bombes"", se souvient le responsable international. A plusieurs reprises, lorsque le bateau du CICR accostait sur la plage pour évacuer les blessés, les docteurs fournissaient à l'organisation les coordonnées GPS de leurs centres médicaux itinérants, pour qu'ils préviennent l'armée de leur position. "Quelques heures plus tard, l'armée bombardait ce point précis", rapporte cette source. Sur la fin, le ton des e-mails change. 13 mai : "Les combats à l'arme lourde ont commencé à 5 h 30 du matin. Beaucoup de civils blessés ont été amenés à l'hôpital, et l'hôpital ne fournit plus de soins parce qu'il est sous des tirs de mortier (...). Près d'un millier de patients attendent leur traitement quotidien.(...) Tant de blessés ont dû mourir. Dans le pavillon, il y a de nombreux cadavres parmi les patients. On peut voir et entendre les patients pleurer dans l'hôpital, c'est un vrai désastre." "Ce sont des médecins qui improvisent, qui font tout ce qu'ils peuvent, même s'il faut arrêter une hémorragie avec un bout de ficelle ou panser une plaie avec un drap", explique notre source. Mais les dernières semaines, "ils disaient qu'il était temps de partir, qu'ils ne pouvaient plus soigner les gens. C'était trop dangereux, ils ne pouvaient plus sortir des bunkers. Il n'y avait aucun matériel, ils étaient dépassés par le nombre de blessés. Ça tirait de tous côtés. L'armée était à 500 mètres. Il y avait des morts partout autour d'eux". Détenus en vertu des "régulations d'urgence" et du Prevention of Terrorism Act qui permettent de les garder enfermés un an avant de les inculper, les trois docteurs n'ont formellement été accusés de rien. Mais dans la presse aux ordres, ils sont "soupçonnés d'avoir fait des déclarations désobligeantes dans les médias et la communauté internationale en faveur des LTTE." "Le gouvernement ne va pas les laisser partir parce qu'ils peuvent témoigner des crimes de guerre commis par l'armée", prédit un défenseur des droits de l'homme, qui craint qu'ils soient, comme tant d'autres, soumis à la torture. Leurs familles ont été menacées par des paramilitaires tamouls progouvernement qui surveillent leurs maisons, les suivent dans la rue et posent des questions sur leur lieu de travail. "Si vous avez affaire à ces groupes, vous retrouverez le torse de votre fille dans un réservoir dans quelques jours", explique le responsable international. Les ONG et plusieurs missions diplomatiques tentent d'obtenir la libération des docteurs, pour qu'ils puissent s'installer dans un pays d'accueil. Dans un pays où plus de 60 employés humanitaires ont été tués en trois ans, et où des journalistes connus ou des défenseurs des droits de l'homme sont couramment enlevés en plein jour par des hommes en armes, parfois pour ne jamais réapparaître, rares sont ceux qui s'expriment. Il n'est qu'à lire les derniers titres de "une" des principaux journaux, The Island ou le Daily News : "Complicité avec les terroristes au prétexte du soutien des droits de l'homme" ; "Les journalistes payés par le LTTE seront dénoncés" (citation du comandant de l'armée, le général Sarath Fonseka) ; "L'expertise des ONG a aidé le LTTE"... "Ici, c'est pire qu'en Birmanie", affirme un fonctionnaire onusien, selon lequel les bureaux de l'ONU sont sur écoute. Le régime, dit-il, a repris à son compte le mantra bushien : "Vous êtes avec nous, ou contre nous". "Depuis la victoire, on ne peut plus les arrêter. C'est un Etat militaire et ça ne va faire qu'empirer", prévient le défenseur des droits de l'homme. Pour l'heure, les médecins, "héroïques" selon l'ONU, croupissent en détention. Mais ils pourraient un jour se retrouver dans le box des témoins, et leurs geôliers sur le banc des accusés. Philippe Bolopion http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2009/05/29/sri-lanka-comment-faire-taire-les-temoins-des-massacres_1199604_3216.html Semblent mal partis pour l'après Tamouls au gouvernement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tomcat Posté(e) le 29 mai 2009 Share Posté(e) le 29 mai 2009 Il faudrait changer le titre du sujet et ajouter 20.000 victimes de plus :-[ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 29 mai 2009 Auteur Share Posté(e) le 29 mai 2009 Pour le bilan final, cela va être le ''flou artistique'' Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
roland Posté(e) le 24 octobre 2009 Share Posté(e) le 24 octobre 2009 Y a il un retex de la repression de l'insurrection des tigres Tamoul quelque part ? on en entend plus parler, c'est pourtant une succès et comme tout succès il devrait etre analysé.Pourtant les Tigres Tamoul c'était quand meme un gros morceau: techno-guerilla, attentats suicide, marine, etc..En première analyse il semble quand meme que c'est une victoire qui ne doit rien au politiquement correcte ambiant: guerre au milieu des populations, win eart and mind bla bla blaC'est pour ça qu'on en parle pas beaucoup ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 24 octobre 2009 Share Posté(e) le 24 octobre 2009 le retex "officieux" c'est que ce qui a changé chez les Tamouls c'est la cohésion de la guerilla avec des luttes de pouvoir et d'influence à leur tête entrainant des defections de gros poissons qui se sont ralliés aux Sri LankaisSi tu ajoutes à cela le fait que le sanctuaire indien du Tamil Nadu n'etait plus autant facile à utiliser en raison d'une hostilité grandissante de l'etat central indien et des locauxet si tu ajoutes des conseillers israéliens pour les interceptions de com/ELINT/SIGINT/HUMINT voir le blocage des réseaux de financementtout cela a largement affaibli le LTTE et permis l'offensive continue de l'arméemais comme tu fais une fixette sur cet element, je te rassure les Sri Lankais n'ont jamais rien fait de politiquement correct, win hearth and mind etc depuis que cette guerilla dure (30 ans) et pourtant ca n'a pas empeché que cela dure toute cette durée justementen gros y'a pas de correlation contrairement à ce que tu crois entre prendre des pincettes et perdre ou ne pas prendre des pincettes et gagnerles Sri Lankais n'ont jamais pris de pincettes, ils ont juste gagné parceque la cohésion interne et les soutien en dehors des frontières du LTTE se sont reduits voir effondréje rappelerais Roland, que jamais une guerilla n'a été battue sur son sol (quelle la méthode employée fine ou pas fine) si *cette guerilla a pu garder une base arrière protégée pour le ravito/regroupement/entrainement/repos/remotivation politique/ethnique ou religieuse des troupes* si ses sources de financement n'etaient pas non plus attaquées à la base Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
roland Posté(e) le 24 octobre 2009 Share Posté(e) le 24 octobre 2009 le retex "officieux" c'est que ce qui a changé chez les Tamouls c'est la cohésion de la guerilla avec des luttes de pouvoir et d'influence à leur tête entrainant des defections de gros poissons qui se sont ralliés aux Sri Lankais Si tu ajoutes à cela le fait que le sanctuaire indien du Tamil Nadu n'etait plus autant facile à utiliser en raison d'une hostilité grandissante de l'etat central indien et des locaux et si tu ajoutes des conseillers israéliens pour les interceptions de com/ELINT/SIGINT/HUMINT voir le blocage des réseaux de financement tout cela a largement affaibli le LTTE et permis l'offensive continue de l'armée mais comme tu fais une fixette sur cet element, je te rassure les Sri Lankais n'ont jamais rien fait de politiquement correct, win hearth and mind etc depuis que cette guerilla dure (30 ans) et pourtant ca n'a pas empeché que cela dure toute cette durée justement en gros y'a pas de correlation contrairement à ce que tu crois entre prendre des pincettes et perdre ou ne pas prendre des pincettes et gagner les Sri Lankais n'ont jamais pris de pincettes, ils ont juste gagné parceque la cohésion interne et les soutien en dehors des frontières du LTTE se sont reduits voir effondré je rappelerais Roland, que jamais une guerilla n'a été battue sur son sol (quelle la méthode employée fine ou pas fine) si *cette guerilla a pu garder une base arrière protégée pour le ravito/regroupement/entrainement/repos/remotivation politique/ethnique ou religieuse des troupes * si ses sources de financement n'etaient pas non plus attaquées à la base ok, merci pour les infos. Pour ce qui est des bases arrières, je savais. Pour le fait que l'armée Sri Lankaise ne s'est jamais embarassé de politiquement correct, tu marque un point. ça prouve que la violence n'est pas suffisante. Maintenant est elle nécessaire ? pour le savoir, il faudrait prouver que dans la meme situation l'armée Sri Lankaise aurait perdue si elle avait laissé les médias internationaux dénoncer les exactions et s'était soumise à la pression internationale. Perso je pense que ça aurait encore trainé et que rien de décisif n'aurait été encore obtenu. Mais je ne connais pas assez le sujet et un retex plus détaillé serait bienvenu meme si ton point de vue est instructif. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 24 octobre 2009 Share Posté(e) le 24 octobre 2009 ok, merci pour les infos. Pour ce qui est des bases arrières, je savais. Pour le fait que l'armée Sri Lankaise ne s'est jamais embarassé de politiquement correct, tu marque un point. ça prouve que la violence n'est pas suffisante. Maintenant est elle nécessaire ? pour le savoir, il faudrait prouver que dans la meme situation l'armée Sri Lankaise aurait perdue si elle avait laissé les médias internationaux dénoncer les exactions et s'était soumise à la pression internationale. Perso je pense que ça aurait encore trainé et que rien de décisif n'aurait été encore obtenu. Mais je ne connais pas assez le sujet et un retex plus détaillé serait bienvenu meme si ton point de vue est instructif. la question est complexe et les résultats ne sont jamais transposables d'une situation à une autre juste pour rappel c'est parceque les forces Sri Lankaises se sont lancée de façon voliente (euphémisme) dans la répression (sur fond nationaliste religieux comme quoi les bouddhistes ne sont pas tous peace and love) du mouvement Tamoul demandant le respect des droits de cette minorité que la guérilla armée a commencé donc erreur à la base ..... (trop de violence engendre la violence, c'est pas une expression en l'air) ensuite il faut rappeler que le Sri Lanka est quand même divisé de façon homogène et qu'il est plus facile de matraquer de façon non discriminée une zone bien definie ou tout ce qui est là est " de race /religion/politique inferieure" .... l'idéologie qui va avec cette approche n'est heureusement pas non plus transposable partout et surtout pas par nous enfin l'élement déterminant à mon sens c'est quand même la defection d'un ou deux gros bonnets qui ont fournis des informations de première importance et ca c'est lié à la situation : le boss du LTTE devenant de plus en plus mégalomaniaque/paranoiaque/dictatorial y'en as qui y ont laissé la tete et d'autres qui sont allés voir l'adversaire pour la garder sur les epaules cette tete enfin ne pas oublier l'inversion de rapport de force financier avec les defections et les informations, les chaines de financement du LTTE se sont effondrées alors que dans le même temps l'armée Sri Lankaise recevait de nouveaux fonds (via les USA entre autre) du matériel lourd et surtout des conseillers qui ont fait de cette armée au plus fort taux de desertion de la planète, un ensemble plus homogène et plus efficace du point de vue opérationnel après la méthode hard ou pas hard eszt du detail vu que le COIN sur l'ile n'est pas à généraliser mais juste à appliquer dur un petit tiers nord homogène ethniquement ce qui rend les choses plus faciles c'est vrai que la méthode bourrin a permis d'accéler le succès militaire et de casser l'appareil militaire du LTTE mais si y'a rien qui change du point de vue politique/humanitaire/infrastructure tu peux parier que va y avoir un autre round d'ici quelques années, le temps que de nouveaux cadres d'un nouveau mouvement de resistance fassent leur armes .... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mani Posté(e) le 27 octobre 2009 Share Posté(e) le 27 octobre 2009 Racket:des Tigres Tamouls comparaissent AFP Des peines allant jusqu'à sept ans de prison ferme ont été requises aujourd'hui contre plus de 20 membres présumés des Tigres tamouls, soupçonnés d'avoir organisé un racket de la diaspora en France pour financer des opérations au Sri Lanka. La peine la plus forte a été requise contre le responsable présumé des Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE) en France, Nadaraja Matinthiran. Les autres peines requises s'étalent de 18 mois à six ans de prison ferme. Le procureur, Fanny Bussac, n'a demandé qu'une seule peine avec sursis (6 mois). Parmi les 23 prévenus, jugés depuis le 12 octobre au Tribunal correctionnel de Paris, figurait aussi une personne morale, le Comité de coordination tamoul en France (CCTF), considérée comme la "vitrine légale" du LTTE, dont elle a demandé la dissolution. Ce procès constitue "un dossier unique", a déclarée Bussac dans son réquisitoire, soulignant que c'était "la première fois" que des membres présumés des Tigres tamouls étaient poursuivis en France pour "financement du terrorisme" au Sri Lanka. Les prévenus sont soupçonnés d'avoir, pour la plupart jusqu'à avril 2007, collecté ou extorqué par la violence à leur compatriotes habitant notamment à Paris et dans plusieurs départements franciliens, des fonds destinés à financer l'organisation séparatiste au Sri Lanka. Le problème majeur de la guérilla tamoul : c'est son financement auprès de la diaspora. Si on lui prive de cela et elle ne peut plus payer ses achats d'armes, ses cadres, les familles de combattants et de kamikazes, ... sans compter qu'une partie de l'argent racketté est détournée par quelqu'uns au passage. Pour d'autres guérillas qui ne bénificient pas de diaspora importante et elles doivent se fier à une aide extérieure notamment d'un état ou de plusieurs états comme le hezbollah. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 21 septembre 2013 Share Posté(e) le 21 septembre 2013 http://www.southasiaanalysis.org/node/1360 (19 septembre 2013) » Des amis m'ont écrit pour me faire remarquer que quelques-uns des chauvinistes singhalais s'inquiètent maintenant du manque de démocratie et de liberté ; de l'absence d'une force de police pour appliquer le droit ou d'une justice indépendante dans l'« Île de la doctrine compatissante et morale du Bouddha ». Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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