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Economie et climat. CO2 or not CO2?


Jojo67

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Bien vu Berzerker. =) L'Arctique se refroidit à nouveau, l'Antarctique n'a jamais cessé de le faire (sauf sa petite péninsule qui vaut 10% de sa surface), les températures globales stagnent ou régressent depuis 1998, mais on nous bassine encore avec le réchauffement anthropique, le CO2, etc. Effarant! :lol:

Je rappelle ma présentation constamment remise à jour: http://astrosurf.com/astrocdf67/dossier_divers/climatJC.pdf

Dans la même veine sur les modèles climatiques pris à contre-pied par les observations, il y a ceci, qui est stupéfiant car c'est une étude faite par le grand climatologue Richard Lindzen:

Dans un article actuellement sous presse au GRL et intitulé "On the determination of climate feedbacks from ERBE" data Geophys. Res. Lett., doi:10.1029/2009GL039628, in press. (accepted 20 July 2009)(http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&ct=res&cd=4&url=http%3A%2F%2Fwww.seas.harvard.edu%2Fclimate%2Fseminars%2Fpdfs%2Flindzen.choi.grl.2009.pdf&ei=MiG-SqXoDNmrjAeh8cUa&rct=j&q=On+the+determination+of+climate+feedbacks+from+ERBE+data&usg=AFQjCNHwJfxSgPpPNAAee9EcJnzZVjxA_g) les climatologues Richard Lindzen, R. S., and Y.-S. Choi (2009), montrent un ensemble de graphiques qui en disent long sur les contradictions fondamentales qui existent entre les "prédictions" des modèles du GIEC et les mesures réelles des flux sortants effectués par ERBE (Earth Radiation Budget Experiment, Expérience sur le budget radiatif de la Terre) à bord du satellite ERBS de la NASA.

Image IPB

Sur les 12 graphiques ci-dessus, l'échelle horizontale est graduée en degrés celsius. Elle indique la température moyenne de la surface des océans (SST). L'échelle verticale indique la valeur du flux énergétique sortant de l'atmosphère en direction de l'espace. Les onze graphiques à fond blanc représentent les résultats des onze principaux modèles du climat utilisés (et financés) par le GIEC et les états participants. En particulier, on retrouve le modèle GISS-ER (de Hansen-Schmidt), le modèle UKMO-HadGEM1 (Hadley Center, UK) et, pour les lecteurs français, le modèle IPSL-CM4 de l'Institut Pierre Simon Laplace (M. Jouzel, le Treut)... Tous ces modèles numériques décident ou prévoient que lorsque la température des océans augmente, le flux s'échappant de l'atmosphère terrestre vers l'espace doit diminuer : Ce serait donc une rétroaction positive car un réchauffement de la planète conduirait encore à une augmentation du réchauffement par réduction de la fuite de chaleur vers l'espace. Ceci est l'argument N°1 qui permet au GIEC de prévoir des hausses de température de 2 à 6° C en 2100. Sans cet argument (mis ici en défaut), le réchauffement induit par le CO2 seul, serait insignifiant...

Mais que se passe-t-il en réalité ?

La réalité est indiquée sur le douzième graphique (colorié en jaune-vert, en haut à gauche) qui, lui, est tracé directement à partir des mesures de flux effectuées par la mission ERBE. En opposition avec tous les modèles d'ordinateurs du GIEC, le flux de chaleur émergent de la planète CROIT quand la température de surface de la planète (ici, la SST) augmente. Ce qui signifie que l'atmosphère devient plus transparente quand la Terre s'échauffe. Ceci évite que notre bonne vieille planète ne se réchauffe davantage et provoque même un refroidissement. Il s'agit donc d'une rétroaction négative qui, au contraire des prévisions catastrophiques du GIEC, thermostate gentiment notre planète si celle-ci vient à se réchauffer, comme l'ont d'ailleurs prévu plusieurs auteurs en accord avec Lindzen. Ceci signifie en clair que l'idée généralement propagée qu'un réchauffement des océans envoie plus de vapeur d'eau dans l'atmosphère et, donc, augmente l'effet de serre, est... fausse.

D'autre part, Lindzen et Choi ont, en outre, fait une observation essentielle : Les résultats montrent aussi que la rétroaction vue par ERBE résulte essentiellement de radiations à courtes longueurs d'onde (NDT : c'est à dire en lumière visible ou UV) tandis que la rétroaction introduite dans les modèles résulte essentiellement des grandes longueurs d'onde (c'est à dire des infrarouges). Bien que notre expérience ne puisse pas distinguer entre les mécanismes, ceci est important parce que l'incohérence des rétroactions climatiques constitue un problème fondamental en climatologie.

En fait cette dernière observation de Lindzen et Choi montre que non seulement les prédictions des ordinateurs du GIEC sont fausses mais, ce qui est encore beaucoup plus grave, que les prémisses du calcul sont erronées. En d'autres termes, les modèles du GIEC souffrent très certainement d'un ou de plusieurs défauts conceptuels (entre autres, de "l 'oubli" de l'albedo des nuages ce qui expliquerait que, dans la réalité, l'émission sortante est majoritairement à courte longueur d'onde et non à grandes longueurs d'onde comme dans les modèles). En bref, la théorie qui sous-tend ces modèles est très probablement (very likely) fausse.

Bref... Nous sommes lourdement désinformés sur le climat. Et il y a pour le moins matière à être plus prudents dans les affirmations le concernant! ;)

Article tiré de ce site: http://www.pensee-unique.eu/theses.html#evolution

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Collectionneur, on est bien d'accord. ;)

Mais il ne fait pas amalgamer le problème climatique avec ceux de la pollution ou des économie d'énergie, car c'est de l'escroquerie intellectuelle. On pollue notre environnement proche, c'est un fait, et les jours du pétrole sont comptés, c'est un autre fait. Mais le réchauffement est-il d'origine humaine ou naturelle, là le débat demeure parmi les spécialistes, sauf pour les médias qui ont choisi leur camp, mais ils peuvent en changer très vite... Car les preuves indiscutables que c'est l'homme qui pilote le climat manquent.

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Contrairement aux prévisions du GIEC, le nombre de typhons a baissé fortement depuis les deux pics de 1994 et de 1998.

Voici la courbe tenue à jour de l'université de Floride (et là ce ne sont pas des prévisions mais des observations...):

Image IPB

Mais je te comprends, j'étais comme toi, avant qu'un an et demi d'enquête personnelle obstinée ne m'ouvre les yeux. Une remarque: Il faut bien distinguer dans les études qui sortent celles qui traitent des causes du réchauffement de celles qui traitent des conséquences... Celle qui tu cites relève du 2° cas et considère la cause comme acquise ce qui est très loin d'être le cas!  ;)  Moi ce dont je traite ce sont les causes.

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N'y avait pas un rapport des assurances l'année derniére disant que le bilan financier des catastrophes climatiques à l'échelle mondiale étaient en hausse ?

J'ai lu cela en passant mais impossible de me rappeler les références  :-[

Il faut comprendre que réchauffement climatique attrait autant a chaleur - l'énergie - qu'a températeur. En fait le réchauffement c'est l'accumulation d'énergie en plus que d'habitude. Le probleme c'est que cette énergie en plus peut évoluer en fonction des effet météo. L'énergie colorifique, la chaleur, peut se transformer en énergie mécanique comme le vent ... etc. Elle peut etre accumuler dans certain élément comme les océans, impliquant l'augmentation de température. LE probleme etant alors que c'est systemes tampons on des seuils pour lesquels il tamponnent plus/moins/différement Par exemple l'eau dissoue le CO2 ... et donc les océan boivent une important quantité de CO2 atmosphérique, d'autant plus que l'eau est chaude. Que se passe t il par exemple si le seuil d'absobtion est atteint ...

Pareil pourt l'obscurcissement. Selon l'état de l'atmosphere celu ci est comme "fumé", comme els vitre de voiture, ce qui fait qu'une parti seulement du rayonnement solaire arrive sur terre le reste est dissipé/réflechi. On a beaucoup de mal a évaluer l'évolution de l'obscurcissement et donc a mesurer la quantité d'énergie entrante dans le systeme. Il se pourrait fort bien qu'il y ait moins d'énergie qui rentre que prévu ... et que donc l'effet réchauffement soit pire que prévu.

En fait le nombre de manisfestations climatiques "nefastes" n'est pas en augmentations, mais leur violence si. Donc plus dénergie dans le systeme se traduit pas des "orages" de meme nombre mais chacun beaucoup plus violent. Il aurait presque mieux value plus d'orage de moindre intensité ... qui n'aurait pas dépassé les seuil de vent impliquant des dégats important. Les petits orages ne causant presque pas de dégat ... alors que les orages plus fort peuvent raser une ville - selon la nature des construction -

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g4lly, on ne sait pas modéliser dans les modèles informatiques du climat dont le GIEC fait grand usage, deux facteurs très importants du climat et c'est très grave:

- les nuages avec leur albedo qui varie tout le temps en fonction de données complexes et ont un effet potentiel bien plus grand que l'effet de serre;

- les courants marins qui absorbent, et redistribuent la chaleur ici et là, absorbent et rejettent le CO2 etc.

D'où les problèmes que rencontrent les modèles pour coller avec les observations. Le GIEC a aussi fait le pari que le climat avait une rétroaction positive (qui tend à amplifier un mouvement climatique) alors que les sceptiques croient à une rétroaction négative (qui amortit un mouvement climatique). Les mesures de Lindzen dues au satellite ERBS de la NASA suggèrent une rétroaction négative du climat. Le climat se régulerait tout seul en somme, et ne basculerait pas naturellement. N'oublions pas non plus que le CO2 d'origine humaine compte pour 1,5% (diapo 56 de mon document), car c'est la Nature qui rejette 97% du CO2 rejeté annuellement et que sur les 3% rejetés par l'homme seule la moitié monte dans l'atmosphère. La vapeur d'eau est de très loin (75% au moins) le plus puissant agent à effet de serre. Sans la rétroaction positive de la vapeur d'eau qui s'ajoute à l'action du CO2, les prévisions du GIEC seraient de 0,65°C de plus en cas de doublement du taux de CO2 alors qu'avec le renfort de la vapeur d'eau on passe autour de +3°C...;)

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  • 5 weeks later...

http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/10/30/le-rechauffement-du-climat-cree-de-nouvelles-sources-de-conflits_1260569_3244.html

"Le réchauffement du climat crée de nouvelles sources de conflits"

D'ici à 2050, le changement climatique pourrait jeter sur les routes 200 millions de "réfugiés climatiques", selon l'Institut pour l'environnement et la sécurité humaine de l'université des Nations unies. Qu'il s'agisse des sécheresses qui réduisent les cultures et les pâturages, ou de la montée des eaux qui submerge les petits Etats insulaires... Les désastres environnementaux vont provoquer des catastrophes sociales et favoriser l'éruption de conflits.

Psychosociologue allemand, chercheur au Kulturwissenschaftlichen d'Essen, Harald Welzer travaille sur les causes de l'émergence de la violence, et sur la perception des évolutions de société par ceux qui les vivent. Dans l'ouvrage Les Guerres du climat (Gallimard), paru mi-octobre, il décrypte la manière dont les dérèglements environnementaux peuvent générer des conflits entre pays et à l'intérieur des sociétés ; et explique comment la perception du danger créé par le réchauffement climatique peut être faussée.

Vous soulignez dans votre livre l'ampleur des catastrophes sociales engendrées par le changement climatique, aujourd'hui et dans les années à venir. Comment les problèmes environnementaux peuvent-ils conduire à des violences et à des guerres ?

Les guerres proviennent, bien sûr, de causes multiples, mais le réchauffement climatique crée de nouvelles sources de violence, et amplifie les pénuries et les tensions existantes en matière de nourriture, d'eau ou de terres.

Prenez le cas du Darfour. Même si le conflit a des origines diverses, il est clair que la désertification progressive vers le sud a conduit à une compétition pour les terres entre les nomades éleveurs de bétail et les fermiers sédentaires, d'ethnies différentes. Et le Soudan, Etat en déroute, est incapable de réguler ce conflit, ou n'importe quel autre.

Des catastrophes peuvent aussi découler d'événements météorologiques extrêmes, comme ce fut le cas à La Nouvelle-Orléans, où l'ouragan Katrina a conduit à un effondrement total de l'ordre social. Et en provoquant la fonte de la glace arctique, le réchauffement ouvre la voie à un conflit autour des ressources naturelles du Grand Nord, qui n'étaient pas exploitables jusqu'à maintenant.

La tension provoquée par les dérèglements climatiques se retrouve aussi dans le face-à-face entre les réfugiés, qui fuient leur pays pour survivre, et les nations riches. La politique de protection des frontières des pays développés est-elle aussi facteur de violence ?

Il est évident que le nombre de "réfugiés climatiques" augmentera dans les années qui viennent. Comment les Etats développés les accueilleront-ils ? De la même manière, je crains, qu'ils reçoivent déjà ceux qui fuient la faim et la pauvreté. En Europe, la volonté actuelle des gouvernements est d'abord de rendre de plus en plus difficile le voyage des demandeurs d'asile. Résultat : les tentatives de traversée sont de plus en plus dangereuses et mortelles.

Les pouvoirs publics cherchent également les moyens de contenir les réfugiés sur le continent africain, "externalisant" alors la violence dans les pays d'Afrique du nord. D'où la création, par exemple, de camps de rétention au Maghreb, la police se chargeant ensuite de renvoyer brutalement les réfugiés dans leur pays d'origine. Cet éloignement du territoire européen permet d'occulter le fait que ces violences sont commises dans "notre" intérêt.

Qu'il s'agisse du traitement des réfugiés ou de celui des victimes de plus en plus nombreuses des dérèglements climatiques, les citoyens des pays riches ne semblent pas toujours percevoir l'ampleur du phénomène. A quoi l'attribuez-vous ?

L'observation des événements sociaux montre que ce qui était moralement inacceptable quelques années ou quelques décennies auparavant est admis lorsque la situation évolue. L'histoire du national-socialisme en Allemagne en témoigne : en très peu de temps, des gens ordinaires ont changé d'idée sur la manière dont les autres devaient être traités. Ce qui a été possible à l'encontre des juifs en 1941 n'aurait pas été accepté en 1933.

Cette dérive progressive du cadre normatif et moral, que les Anglo-Saxons appellent "shifting baselines", se retrouve dans la façon d'appréhender les dérèglements environnementaux, et leurs conséquences sur les populations des pays frappés par la sécheresse ou les inondations. Les choses finissent par se banaliser.

Comment nourrir la prise de conscience ?

Si l'on communique sur des événements qui se produiront en 2050, comme le nombre de centimètres d'élévation du niveau de la mer, les gens trouvent le message "respectable", mais s'en moquent un peu. L'information fait sens lorsque l'on peut la replacer dans un contexte d'action.

En Allemagne, par exemple, depuis quelque temps, une école de Fribourg gère au plus près son énergie pour générer "zéro émission". Cette première réalisation pousse maintenant les professeurs et les enfants à aller plus loin. Les élèves se tournent désormais vers leurs parents en disant "Pourquoi avons-nous cet énorme réfrigérateur ?", et refusent d'être amenés à l'école dans une grosse voiture. L'action a un effet "contagieux". Dès que l'on fait l'expérience concrète du changement, des dynamiques s'enclenchent.

Une des grandes faiblesses de nos démocraties est que les gens ne se sentent pas investis du pouvoir de faire bouger les choses. Face aux questions graves du changement climatique, nous avons besoin d'une "repolitisation" de la société civile, sous-tendue par des questions telles que "Quelle société voulons-nous pour 2020 ?", sans que celui qui s'interroge ainsi ne se fasse traiter d'utopiste ou de romantique.

Les dérèglements environnementaux sont provoqués, en grande partie, par un mode de vie et un type d'économie créés et promus par les pays occidentaux. Nous n'avons pas à chercher chez les autres, qu'ils soient Chinois ou Africains, ce qui a causé les problèmes actuels. Nous devons changer de mode de vie.

Cette incapacité à changer peut-elle créer des tensions et des violences entre générations ?

Oui, car l'injustice des dérèglements climatiques pèse non seulement sur les pays en développement, mais aussi sur les jeunes générations. Celles-ci subissent aujourd'hui une grande pression sociale. Elles savent que le futur ne les récompensera pas à la hauteur de leurs efforts, que ce soit en termes d'emploi ou de revenus. Nous sommes en train de consommer leur avenir financier et environnemental. D'où leur mobilisation parfois violente, et leur volonté d'agir afin de changer les règles.

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G4gally, cet article traitre des conséquences du réchauffement et pas de ses causes, comme si l'affaire était entendue... Ahurissant quand même...   ;)

Sinon à titre info, c'est un peu la panique en ce moment chez les "réchauffistes" tenants du GIEC qui croient que l'homme pilote le climat via le CO2. Comme les températures ne montent plus depuis 11 ans (depuis 1998), cela a fini par se voir malgré le tir de barrage médiatique, et la BBC a sonné le début du réveil par un article retentissant qui a fait des émules dans d'autres médias : What happened to global warming?

Depuis Le Monde a sorti un article schizophrène  dont le texte contredit le titre, futura-science joue les contre-feu, sur les blogs et les forums ça bouge, les sites sceptiques voient leur fréquentation exploser.

L'article de la BBC ici: http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/8299079.stm

L'article du Monde ici: http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/10/20/climat-et-si-le-rechauffement-faisait-une-pause_1256238_3244.html

Tout cela reprend les arguments des climatologues sceptiques connus depuis longtemps mais non relayés par les médias. C'est le Soleil qui pilote le climat, avec les océans comme relais et le CO2 compte pour très peu de chose.

Ici une conférence très pédago de Vincent Courtillot qui a fait un buzz sur internet et qui rencontre un certain succès dans le petit monde journalistique parisien. Je le sais de source sûre via un copain journaliste scientifique. http://www.canalc2.tv/video.asp?idEvenement=485

De plus cette tendance à la stagnation-baisse des températures que nous avons depuis 1998 va certainement durer car le cycle de 11 ans du Soleil qui commence est annoncé très faible (ce qui devrait favoriser l'arrivée des rayons cosmiques formateurs de nuages de basse altitude), et de plus les cycles PDO et NAO des courants marins sont devenus négatifs, ce qui converge vers un refroidissement  à attendre de 20 ans au moins.

C'est d'ailleurs ce que disent des experts du GIEC lui-même : Un des top modélisateurs du climat Mojib Latif, a déclaré que nous pourrions être proche d'entrer dans « une ou deux décennies de refroidissement climatique ». Latif a prévu qu’un refroidissement climatique naturel pendant les prochaines années, surpasserait le réchauffement anthropique. Ce refroidissement résulterait des variations cycliques des courants océaniques (PDO) et des températures de l'Atlantique Nord (NAO: oscillation Nord Atlantique).

Source: http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2009/09/un-pav%C3%A9-dans-la-mare-r%C3%A9chauff%C3%A9e-du-giec.html

Le 1er Mai 2008, deux chercheurs du GIEC (Noel Keenlyside et Al), ont annoncé un refroidissement de 10 ans. Les chercheurs ont pris en compte l’influence de la NAO sur le MOC, (Meridional Overturning Circulation), un courant circulaire dont fait partie le Gulf Stream.

Source: Article dans la revue Nature (453, 84-88 (1 May 2008) doi:10.1038/nature06921).

Bref avec certains experts du GIEC qui nous annoncent un refroidissement cela devrait faire réfléchir un peu dans les rédactions quand même... :lol:

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  • 3 weeks later...

Bien vu Collectionneur, car cette affaire fait un tabac sur la blogosphère anglo-saxonne en ce moment! Il y a encore ça en français :

http://www.rechauffementmediatique.org/wordpress/?p=1069

http://skyfal.free.fr/

http://www.lepost.fr/article/2009/11/20/1801544_du-rififi-chez-les-rechauffistes.html

La BBC en parle ici:

http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/8370282.stm

Le New York Times en parle ici: http://www.nytimes.com/2009/11/21/science/earth/21climate.html?_r=1&hp

Même en Alsace on en parle ici: http://presse.alsace-alsace.fr/web-internet-referencement/communique-703-mails-labo-giec-hackes-hackeurs-russes-cru-hadley

Mais... un silence assourdissant dans nos grands médias francophones... :rolleyes: Sans Internet que serions nous?  =)

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http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/11/23/les-courriels-de-climatologues-divulgues-pour-les-discrediter_1270700_3244.html

Jeter, à quelques jours de la conférence de Copenhague, le discrédit sur les sciences du climat. Les pirates informatiques qui se sont introduits, en début de semaine dernière, dans les serveurs de l'unité de recherche climatique (CRU) de l'université d'East Anglia (Royaume-Uni), n'ont pas fait longtemps mystère de leurs intentions. Ils ont publié, jeudi 19 novembre sur un serveur russe, les courriers électroniques privés échangés depuis plus de treize ans entre les climatologues du CRU et leurs collègues américains et européens.

L'affaire embrase littéralement la blogosphère "climato-sceptique", dont les principaux acteurs assurent détenir désormais les preuves de fraudes et de tricheries perpétrées par les chercheurs de la communauté des sciences du climat.

"ASTUCE"

En réalité, sur les quelque 1 073 échanges de courriels rendus publics, seule une expression, sortie de son contexte, peut jeter le trouble. Dans un message de 1999, Phil Jones, directeur du CRU, explique à son interlocuteur avoir utilisé une "astuce" ("trick", en anglais) permettant de "masquer" une divergence, dans certains jeux de données, entre épaisseur des cernes d'arbres et température.

Dans un communiqué, Phil Jones a reconnu l'authenticité du message, expliquant que le terme "astuce" signifiait, "dans un contexte familier", "quelque chose d'intelligent à faire".

Le CRU, institution-clé de la recherche climatique, se refuse à confirmer l'authenticité des quelque 200 mégaoctets de documents dérobés. Et si ces derniers apprennent quelque chose, c'est bien la violence inouïe de l'affrontement entre "climato-sceptiques" et climatologues.

Ces derniers enragent – en termes parfois très crus – de la faiblesse des arguments et des publications de leurs détracteurs et, surtout, de l'audience qu'ils obtiennent. C'est bien, dans l'esprit des protagonistes, d'une guerre qu'il s'agit. Un chercheur américain l'écrit sans ambages à ses collègues: "Le bien l'emportera finalement sur le mal."

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g4lly, le journaliste du Monde en charge du climat est un "réchauffiste" convaincu, auteur d'un bouquin alarmiste sur le réchauffement. Ce n'est pas dans Le Monde qu'on verrait ce genre d'article par exemple, écrit par un ex chercheur repenti du Hadley Center, l'organisme piraté ces derniers jours :

http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/8299079.stm

Ou encore ici:

http://www.mailonsunday.co.uk/sciencetech/article-1220052/Austria-sees-earliest-snow-history-America-sees-lowest-temperatures-50-years-So-did-global-warming-go.html

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Quand sur des mails, des savants discute se savoir comment mettre à la porte un journaliste anglais car il a été trop ''tiède'' envers le réchauffement climatique, je pense sérieusement que la liberté de la presse n'est pas au gout de tous  :P

quand les journalistes auront le niveau pour lire comprendre et tirer la substantifique moelle de travaux scientifiques sans les tourner en derision ou les transformer en Nobel systématiques, peut etre que les scientifiques changeront leur etat d'esprit par rapport aux journalistes (et je ne parle pas que du rechauffement climatique)  :P

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g4lly, le journaliste du Monde en charge du climat est un "réchauffiste" convaincu, auteur d'un bouquin alarmiste sur le réchauffement. Ce n'est pas dans Le Monde qu'on verrait ce genre d'article par exemple, écrit par un ex chercheur repenti du Hadley Center, l'organisme piraté ces derniers jours :

Si je puis me permettre c'est un argument réfragable a merci ça. Un sceptique affirmerait que l'autre et réchauffiste convaincu et vice-versa...

@Akhi : La presse manque cruellement de journalistes scientifique de qualité. D'un autre côté il me semble (je sais pas vraiment, juste une impression) que les rapports scientifiques (surtout dans ces matières aussi délicates), ne sont pas des plus lisibles et compréhensibles pour qui n'a pas fait les mêmes études que ceux qui les ont écrits (et c'est poussé dans certains domaines genre médecine).

Enfin la logique presse est a part, c'est le domaine de l'urgence et il faut vendre (même si le monde de la science semble prendre la même voie parfois).

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  • 2 weeks later...

Tiens, les anticapitalistes antisionistes sont convaincu que le réchauffement planétaire est une magouille visant renfloué les entreprises privé avant l'argent public grâce aux taxes  :lol: :P :

http://www.planetenonviolence.org/ClimatGate-Des-Donnees-Secretes-Derobees-Et-Publiees-Sur-Le-Net-Revelent-Le-Plus-Grand-Scandale-De-La-Science-Moderne_a2060.html

HS : Pour un site ''non violent'', leurs propos le sont, jetez pour rigoler un œil sur les entêtes des articles en ligne ... :rolleyes:

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http://www.lemonde.fr/le-rechauffement-climatique/article/2009/12/07/l-ampleur-du-rechauffement-climatique-semble-sous-estimee_1276863_1270066.html#ens_id=1271029

lors que s'ouvrent à Copenhague les négociations sur le climat, une étude souligne l'urgence à agir : le réchauffement à long terme dû à la hausse des concentrations de gaz à effet de serre pourrait en effet être de 30 à 50 % plus élevé que prévu actuellement, selon une étude publiée dimanche 6 décembre par Nature Geoscience.

Daniel Lunt, de l'université de Bristol, en Grande-Bretagne,  relève que les prévisions retenues par le Groupe intergouvernemental d'études sur le climat de l'ONU (GIEC) ne prennent pas en compte les changements d'éléments de notre système climatique, "dont les variations sont lentes, comme la calotte glaciaire et la végétation". Pour tenter d'évaluer l'impact de ces phénomènes très complexes, son équipe a analysé les températures et la concentration en de dioxyde de carbone (CO2) au pliocène moyen, il y a trois millions d'années.

Les chercheurs ont constaté que les températures étaient alors 3 à 5 degrés plus élevées qu'aujourd'hui, alors que l'atmosphère contenait 400 parties par millions (ppm) de CO2. Or le GIEC prévoit une élevation de seulement 1 degré si l'on arrivait à cette concentration, légèrement supérieure aux 387 ppm actuels.

Daniel Lunt et ses confrères estiment donc que les modèles actuels sous-estiment le réchauffement pour les siècles futurs. "Pour nous stabiliser à deux degrés [de hausse des températures], nous devrions nous fixer pour objectif à peu près 380 ppm", soit une réduction par rapport au niveau actuel, explique-t-il. Avant de préciser que même si l'homme cessait ses émissions de CO2, le niveau de ce gaz dans l'atmosphère ne commencerait à baisser qu'après plusieurs siècles.

L'article de l'étude

http://www.nature.com/ngeo/journal/vaop/ncurrent/full/ngeo706.html

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Bonsoir !

Immense travail que ce Ppt et j'en suis qu'à la moitié pour l'instant désolé : p.

J'ai survolé le reste , que je lirais plus tard, et il me semble qu'un point manque. Avant hier je crois sur "ce soir ou jamais" (au sujet du climat of course) le vice président (un français) du GIEC était face à un scientifique détracteur nommé Vincent Courtillot (géophysicien) (l'atmosphère était un peu chaude entre eux 2). Ce dernier parlait d'études récentes émettant l'hypothèse que le soleil connaitrait des cycles de variation de température qui expliquerait notamment le rechauffement du moyen-âge. Il contestait les 90% de certitude de l'influence du CO2 sur notre climat. Voici une de ses conférences (peut etre parle t il la aussi du soleil) :

http://www.objectifliberte.fr/2009/09/rechauffement-climatiquecourtillot-expose-erreurs-du-giec.html

Voilà je voulais apporter cette info jojo, peut-être es tu au courant pour le soleil.

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Voilà je voulais apporter cette info jojo, peut-être es tu au courant pour le soleil.

Il est au courant c'est d'ailleurs son principal suspect dans le réchauffement :)

Sinon pour coller a l'actu une liste des volume de co2 produit per capita et par pays, ca donne une idée de l'enjeu des accords sur les potentiels "quotas CO2" et aides afférantes.

http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_countries_by_carbon_dioxide_emissions_per_capita

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