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Incidents/Accidents d'appareils civils - Crash aériens


alexandreVBCI

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Un automatisme minimal pour un avion de ligne pourrait être une sorte de suivi du terrain, l'ordinateur pouvant imposer un regain d'altitude juste avant que la trajectoire ne devienne irréversible. Un peu à la manière des missiles de croisière. Ca laisserait du sursis à l'équipage pour tenter de reprendre le contrôle du poste de pilotage. Le code de la porte pourrait être donné à partir du sol pourquoi pas ?

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Bonsoir ou plutôt bonjour :D vu l'heurs

Voilà en faite je me pose une question depuis un petit moment est je croit qu'elle n'a rien avoir avec ce sujets.

Alors voilà je voulais savoir à quoi sert le transpondeur sur l'avion je sait que c'est une question toutes bête mais voilà je la posé en espérant une réponse bien sur.

Sur ceux merci d'avance est bonne soiré ou bonne nuit si vous allez vous couchez :)

Ps: pour les modo désole pour ce tous petit HS :)

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Bonsoir ou plutôt bonjour :D vu l'heurs

Voilà en faite je me pose une question depuis un petit moment est je croit qu'elle n'a rien avoir avec ce sujets.

Alors voilà je voulais savoir à quoi sert le transpondeur sur l'avion je sait que c'est une question toutes bête mais voilà je la posé en espérant une réponse bien sur.

Sur ceux merci d'avance est bonne soiré ou bonne nuit si vous allez vous couchez :)

Ps: pour les modo désole pour ce tous petit HS :)

 

Il faut demander à l'ami Wiki : http://fr.wikipedia.org/wiki/Transpondeur_%28aviation%29

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Un automatisme minimal pour un avion de ligne pourrait être une sorte de suivi du terrain, l'ordinateur pouvant imposer un regain d'altitude juste avant que la trajectoire ne devienne irréversible.

 

Et on laisse un A320 s'écraser au lieu de lui permettre un amerrissage improbable sur l'Hudson ... ?

 

Avant d'envisager une solution technique contraignante, il faut raisonnablement penser à toutes les solutions humaines, procédurales, qui permettent d'éviter la reproduction de situations dangereuses en cas d'instabilité d'un membre de l'équipage.

 

Ainsi, toutes les solutions permettant un suivi longitudinal de l'état de santé des personnels, l'obligation de communication entre secteur médical et gestion des RH des compagnies (sans pour autant violer le secret médical, c'est possible), le fait de remplacer le personnel quittant le cockpit par une seconde personne pour qu'un pilote ne se puisse pas se retrouvé isolé, l'interdiction des propositions du PDG de Ryan Air poussant au pilotage par un seul opérateur, etc. Tout cela peut contribuer à limiter le risque qu'un tel drame survienne de nouveau et cela sans pour autant brider les capacités des équipages et notamment leur réactivité face à d'autres situations imprévues sur lesquelles ils peuvent avoir à mobiliser toutes les ressources de l'appareil.

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Et on laisse un A320 s'écraser au lieu de lui permettre un amerrissage improbable sur l'Hudson ... ?

 

Avant d'envisager une solution technique contraignante, il faut raisonnablement penser à toutes les solutions humaines, procédurales, qui permettent d'éviter la reproduction de situations dangereuses en cas d'instabilité d'un membre de l'équipage.

 

Ainsi, toutes les solutions permettant un suivi longitudinal de l'état de santé des personnels, l'obligation de communication entre secteur médical et gestion des RH des compagnies (sans pour autant violer le secret médical, c'est possible), le fait de remplacer le personnel quittant le cockpit par une seconde personne pour qu'un pilote ne se puisse pas se retrouvé isolé, l'interdiction des propositions du PDG de Ryan Air poussant au pilotage par un seul opérateur, etc. Tout cela peut contribuer à limiter le risque qu'un tel drame survienne de nouveau et cela sans pour autant brider les capacités des équipages et notamment leur réactivité face à d'autres situations imprévues sur lesquelles ils peuvent avoir à mobiliser toutes les ressources de l'appareil.

De toute façon on va continuer d'avancer comme avant:

- De plus en plus d'automatismes par petite touches a chaque génération d'avion permettant d'apprendre progressivement.

- Des interfaces qui donnent des informations plus pertinentes aux pilotes au meilleurs moments.

- Des avions suivit de plus en plus en temps réel depuis le sol

 

Maintenant si on pousse a fond le concept d'automatisme, rien ne t’empêche d’implémenter un atterrissage d'urgence dans les automatismes. Le pilote automatique évaluant la meilleur solution selon l’état de l'avion. Mais avant d'en arriver la on a encore du chemin a faire. Il faut pas oublier que si aujourd'hui le pilote automatique doit pouvoir tout faire depuis le départ jusqu’à l'arrivée sans intervention humaine, au moindre soucis ou incohérence le pilote auto rend les commandes aux pilotes humains.

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S'il faut aller vers autant d'automatisme et empêcher le pilote de faire "ce qu'il veut" parce qu'on n'a pas confiance en lui, il y a beaucoup plus simple: supprimons le pilote et faisons du transport aérien par drones!

 

Ce n'est pas que de la provoc': soit on prétend que la présence à bord se justifie pour faire face à ce qu'un système automatique ne peut gérer et il faut admettre que le pilote puisse largement avoir la main sur la machine; soit on pense que le pilot est plus un problème qu'autre chose et on le supprime. Le drone civil pour le transport de passagers, c'est envisagé et envisageable...

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Ce n'est pas que de la provoc': soit on prétend que la présence à bord se justifie pour faire face à ce qu'un système automatique ne peut gérer et il faut admettre que le pilote puisse largement avoir la main sur la machine; soit on pense que le pilot est plus un problème qu'autre chose et on le supprime. Le drone civil pour le transport de passagers, c'est envisagé et envisageable...

 

Mais là on perd l'avantage de la redondance.

 

Tout réfléchi, il est vrai que pour un seul barjot rencontré sur un million de vol, on ne va pas tout changer.

Donc pour être moins ambitieux, et sans remplacer le pilote du tout, est il possible de communiquer avec le contrôle aérien de l’extérieur de la cabine de pilotage?

La compagnie pourrait détenir un code de secours, le donner au contrôle aérien pour ouvrir la porte de l’extérieur. Le fait de savoir que l'on ne peut plus s'enfermer pourrait dissuader les éventuels autres cas pathologiques.

Modifié par MontGros
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Donc pour être moins ambitieux, et sans remplacer le pilote du tout, est il possible de communiquer avec le contrôle aérien de l’extérieur de la cabine de pilotage?

La compagnie pourrait détenir un code de secours, le donner au contrôle aérien pour ouvrir la porte de l’extérieur. Le fait de savoir que l'on ne peut plus s'enfermer pourrait dissuader les éventuels autres cas pathologiques.

 

Ce serait possible techniquement.

 

Toutefois, un opérateur, au sol, pas forcément au courant de la situation réelle dans l'avion - il ne sait que ce que les communications lui permettent de savoir - fournira t'il ce code, sachant que son usage peut provoquer plus de tort que de bien (en cas de détournement, de pression sur un personnel pour se faire communiquer de quoi s'introduire dans le cockpit, etc).

 

 

Une autre solution pourrait être toute bête : localiser les toilettes - voire l'espace de repos des longs courriers - à l'intérieur de la section cloisonnée par la porte de sécurité. Ainsi, la porte pourrait être ouverte pour laisser entrer quelqu'un (livraison des plateaux repas, par exemple), mais en aucun cas un des pilotes ne quitterait l'espace sécurisé pour accomplir un besoin physiologique.

 

Il est vrai que privatiser ces toilettes au bénéfice des pilotes augmente le poids de l'appareil (par rapport à des toilettes mutualisées avec les passagers), mais si c'est pour répondre de manière sure à un problème identifié, un tel aménagement reste possible.

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Comme je l'avais sous-entendu plus haut, ça ne sert à rien de développer des systèmes de sécurité invraisemblable et risqués pour prévenir un cas de figure rarissime et qui est surtout le fait d'erreurs de la dans la gestion de son personnel. C'est pas comme si une telle chose se produisait une fois par an.

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Mais là on perd l'avantage de la redondance.

 

Tout réfléchi, il est vrai que pour un seul barjot rencontré sur un million de vol, on ne va pas tout changer.

Donc pour être moins ambitieux, et sans remplacer le pilote du tout, est il possible de communiquer avec le contrôle aérien de l’extérieur de la cabine de pilotage?

La compagnie pourrait détenir un code de secours, le donner au contrôle aérien pour ouvrir la porte de l’extérieur. Le fait de savoir que l'on ne peut plus s'enfermer pourrait dissuader les éventuels autres cas pathologiques.

 

Sauf que si on peut ouvrir la porte a l'insu du personnel dans la cabine, ça baisse le niveau de sureté anti terroriste, alors que justement le système a été maximisé en ce sens.

 

Après on peu décréter que la porte blindé était une connerie, et empêcher le verrouillage manuel... le détenteur du digicode pouvant alors rentrer quoiqu'il arrive. Mais ça fait retomber le risque terroriste sur le détenteur du digicode...

 

Il est au sens de tous infiniment plus simple de laisser un "portier" dans le cockpit plutôt que de s'emmerder avec des truc ultra compliqué qui introduiront a leur tour de nouvelle faille. La complexité est l'ennemi de la fiabilité toujours.

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Et on laisse un A320 s'écraser au lieu de lui permettre un amerrissage improbable sur l'Hudson ... ?

 

Avant d'envisager une solution technique contraignante, il faut raisonnablement penser à toutes les solutions humaines, procédurales, qui permettent d'éviter la reproduction de situations dangereuses en cas d'instabilité d'un membre de l'équipage.

 

Ainsi, toutes les solutions permettant un suivi longitudinal de l'état de santé des personnels, l'obligation de communication entre secteur médical et gestion des RH des compagnies (sans pour autant violer le secret médical, c'est possible), le fait de remplacer le personnel quittant le cockpit par une seconde personne pour qu'un pilote ne se puisse pas se retrouvé isolé, l'interdiction des propositions du PDG de Ryan Air poussant au pilotage par un seul opérateur, etc. Tout cela peut contribuer à limiter le risque qu'un tel drame survienne de nouveau et cela sans pour autant brider les capacités des équipages et notamment leur réactivité face à d'autres situations imprévues sur lesquelles ils peuvent avoir à mobiliser toutes les ressources de l'appareil.

 

bonjour

 

 

comme j'ecrivais plus haut, un décollage par seconde dans le monde !

combien de pilotes suicidaires ou déviants ? combien de cas de suicides en avion pour combien de vols accomplis normalement ? combien de morts causés par des suicidaires pour combien de passagers transportés ?

est ce que la probabilité n'est pas supportable ?

150 morts, c'est (trop) cher, mais, c'est le bilan de 15 jours d'accidents sur nos routes (sans compter ceux qui meurent 3 jours et plus apres l'accident)..

 

 

bref, pas de quoi en faire une généralité

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S'il y a des volontaires parmi les Praticiens errant sur AD, je cherche à clarifier les hypothèses tournant autour d'un état de somnolence voir de léthargie causée par une prise de médicament (anxiolytiques, corticoïdes,Beta blocker).

 

L'une des hypo est que le copi multipliait les prescriptions pour se booster (habitude qu'il aurait pu prendre dans les courses de fonds au vu de son expérience angoissante de Burn-out). Il peut très bien dans cette hypo avoir une réelle faiblesse mentale ou phy mais il en aurait joué.

 

Merci par avance 

 

Un doc de référence (utiliser ggl): Drug use and Misuse in Mountaineering 2014

 

Double postez sur Keypub si vous en avez le courage (ici).   

 

Notez le possible impact de l'usage de l'oxygène de bord dans le cas des beta limiters.

Modifié par TomcatViP
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Sauf que si on peut ouvrir la porte a l'insu du personnel dans la cabine, ça baisse le niveau de sureté anti terroriste, alors que justement le système a été maximisé en ce sens.

 

Après on peu décréter que la porte blindé était une connerie, et empêcher le verrouillage manuel... le détenteur du digicode pouvant alors rentrer quoiqu'il arrive. Mais ça fait retomber le risque terroriste sur le détenteur du digicode...

 

Il est au sens de tous infiniment plus simple de laisser un "portier" dans le cockpit plutôt que de s'emmerder avec des truc ultra compliqué qui introduiront a leur tour de nouvelle faille. La complexité est l'ennemi de la fiabilité toujours.

 

Mais ça c'est un salaire en plus, et à la longue ça reviens plus cher qu'une grosse dépense en capital faite en une fois (plus quelques révisions régulières). Entre l'humain et la machine, comme souvent c'est la machine qui gagne la course au coût. Le choix est vite fait pour la compagnie aérienne. 

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Mais ça c'est un salaire en plus, et à la longue ça reviens plus cher qu'une grosse dépense en capital faite en une fois (plus quelques révisions régulières). Entre l'humain et la machine, comme souvent c'est la machine qui gagne la course au coût. Le choix est vite fait pour la compagnie aérienne. 

 

Que le stewart se branle en cabine ou dans le cockpit ça change quoi a la masse salarial? Surtout que la substitution pilote contre PNC dur le temps de l'absence du pilote soit quelques minutes a chaque pipi/popo ... Pour les vol long il y a de toute façon un pilote "spare".

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Du nouveau dans l’enquête:

 

Une vidéo filmée par un Téléphone mobile dévoile le déroulement du crash en cabine:

 

http://www.parismatch.com/Actu/International/Derniers-instants-avant-le-crash-736762 

 

 

Source

Paris Match

 

Mis à jour 22h heure française, à la même adresse :

 

 

Lt. Col. Jean-Marc Menichini, a French Gendarmerie spokesman in charge of communications on rescue efforts around the Germanwings crash site, told CNN that the Paris Match and Bild reports of a video recorded in the final seconds before the crash were "completely wrong" and "unwarranted." He explained that cell phones have been collected on the site but that they "hadn't been exploited yet."

 

Après le pilote islamiste, voila qu'on nous promettait le snuff movie...

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Que le stewart se branle en cabine ou dans le cockpit ça change quoi a la masse salarial? Surtout que la substitution pilote contre PNC dur le temps de l'absence du pilote soit quelques minutes a chaque pipi/popo ... Pour les vol long il y a de toute façon un pilote "spare".

 

 

Le stewart fait quoi ?  ???  Si c'est juste ça, sans ajouter un membre d'équipage, il n'y a pas de blême. C'est à se demander par contre pourquoi ce n'est pas encore pratiqué ?

Modifié par Shorr kan
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Le stewart fait quoi ?  ???  Si c'est juste ça, sans ajouter un membre d'équipage, il n'y a pas de blême. C'est à se demander par contre pourquoi ce n'est pas encore pratiqué?

 

Résumons ... le pilote veut quitter le cockpit. Il appel en cabine pour faire venir un PNC diponible. Le PNC rentre dans le cockpit, le pilote sort et ferme la porte. Il fait ce qu'il a faire, revient, sonne, le PNC en cockpit lui ouvre, le pilote reprend sa place le PNC reprend son service. Difficile de faire plus simple comme mesure convivial évitant a un pilote de se retrouver seul enfermé dans le cockpit. Le PNC servant alors de larbin au PF de sorte qu'il n'ai pas a lâcher les commandes s'il a besoin de quoique ce soit en cabine par exemple.

 

C'est pratiqué dans de nombreuse compagnie ... ca ne coute rien ... c'est probablement trop simple.

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Résumons ... le pilote veut quitter le cockpit. Il appel en cabine pour faire venir un PNC diponible. Le PNC rentre dans le cockpit, le pilote sort et ferme la porte. Il fait ce qu'il a faire, revient, sonne, le PNC en cockpit lui ouvre, le pilote reprend sa place le PNC reprend son service. Difficile de faire plus simple comme mesure convivial évitant a un pilote de se retrouver seul enfermé dans le cockpit. Le PNC servant alors de larbin au PF de sorte qu'il n'ai pas a lâcher les commandes s'il a besoin de quoique ce soit en cabine par exemple.

 

C'est pratiqué dans de nombreuse compagnie ... ca ne coute rien ... c'est probablement trop simple.

 

 

Comme dans l'armée quoi  O0 ...

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C'est pratiqué dans de nombreuse compagnie ... ca ne coute rien ... c'est probablement trop simple.

 

Ahlala, c'est trop simple.

D'abord, c'est une mesure de défiance à l'égard des pilotes, et ensuite c'est une charge de travail supplémentaire pour l'équipage en cabine. Ca se paye. Je plaisante à moitié.

 

Par contre, concernant ce que les compagnies aériennes devraient faire pour éviter les pilotes suicidaires, les questions éthiques et juridiques semblent assez ardues.

 

Ca fleure bon la science molle, et en fait on parle d'art médical pour une bonne raison : le flair a sa part !

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Ahlala, c'est trop simple.

D'abord, c'est une mesure de défiance à l'égard des pilotes, et ensuite c'est une charge de travail supplémentaire pour l'équipage en cabine. Ca se paye. Je plaisante à moitié.

 

J'ai expliqué plus haut l’intérêt évident d'avoir deux personne dans le cockpit. Les pilotes de centaines de compagnie le pratique tous les jour, les autres le réclame! Depuis le début de la mise en place des porte "blindé" les piloté explique que ça crée un probleme de sécurité. Il y a eu des aménagement de fait mais de nombreuse compagnie continuent a penser qu'il est nécessaire d'avoir deux personne dans le cockpit pour éviter des emmerdes qui peuvent être évité facilement de la sorte. Un bête malaise du PF peu virer a la catastrophe avec le système actuel, même chose une avarie des masques comme c'est déjà arrivé etc. Il y a mille chose qui peuvent rendre brutalement le PF "incapable de piloter ... et l'avion livré a lui même.

 

Tu pilotes t'es seul en cabine, tu as un truc a regarder la le pare-brise de l'autre coté tu fais comment tout seul?! Tu lâches les commandes tu te lèves et tu va voir?! Même chose si tu as un truc a attraper du cockpit.

 

Les cockpit sont pas conçu pour piloter seul, ne serait ce qu'a cause du champ de vision très partiel lié a la position latérale des sièges.

 

Si les cockpit étaient dédiés a un pilotage en solo ils ressembleraient a ceux des chasseur, avec une bulle qui permet une vision périphérique suffisante.

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