Akhilleus Posté(e) le 29 août 2009 Share Posté(e) le 29 août 2009 les chars a faux et les elephants ce sont pour grossir le trait des gadgetsa la base ils doivent servir d'armes de rupturemais les chars a faux ont le defaut de tout les chars .... faible manoeuvrabilité et grande dependance a un terrain lisse et platet les elephants utilisés pour le choc frontal (par les romains, les seleucides, les lagides, les byzantins) sont quand même très vulnerables aux effets de panique par le feu et le tir (même si ils ont aussi un gros effet psychologique aussi bien sur l 'infanterie que su la cavalerie adverse)un elephant c'est plus intelligent qu'un cheval et de loin et ca a tendance a etre plus stressable....note que certains peuples (les Khmers et Thais) les ont aussi aussi utilisés comme post de tirs mobiles pour archers montés dans les howdahs .... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fenrir Posté(e) le 29 août 2009 Share Posté(e) le 29 août 2009 J'avais cru lire que certaines armées antiques orientales aimé bien utilisé des chameaux comme cavalerie pour faire fuir les cheavaux adverses rien qu'à l'odeur.Mythe ou réalité? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 29 août 2009 Share Posté(e) le 29 août 2009 certaines armées orientales tardives ont effectivement utilisé les dromadaires comme monture de cavalerie (avec effectivement un effet sur la cavalerie adverse dont les chevaux non entrainés a cela supportaient mal le bruit et l 'odeur des camelidés)voir notamment certaines bataille de l'Empire byzantin et les expeditions de Belissairemais aussi les conflits berbères-vandales et goths en afrique du Nordca reste quand même de l'ordre de l'anecdotiqueles domadaires faisant semblent ils des plates formes de cavalerie assez moyenne (mais d'excellent animaux de bas) c'est comme charger a dos de mulet ....a ce stade question cavalerie gadget il y a mention de Princes indiens qui equipaient quelques rhinos asiatiques de cornes metalliques avant de les lacher sur les lignes adverses (la encore avec le risque que le rhino assez ombrageux et myope comme animal, ne se retourne vers sa propre ligne) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 29 août 2009 Share Posté(e) le 29 août 2009 Comme je l'ai dit dans un autre sujet, l'armée romaine tardive a eu 3 turmae de dromadaires dans le comitatus: 1 en occident (Afrique du Nord), 2 en orient (Egypte). Et il faut y ajouter un nombre indéterminé de turmae, ou plus simplement de dotations en dromadaires à plus petit échelon, dans les unités de limitanei situées en zones désertiques.C'étaient des unités légères destinées avant tout à la patrouille, à la reco et à l'escarmouche. Les dromadaires ne peuvent assurer une charge de cavalerie lourde: la position du cavalier ne permet pas de développer une grande force d'impact, et cette plate-forme reste trop mouvementée. Bien évidemment, cela reste un vecteur pratique pour la patrouille longue dans les confins arides, et la défense en filtrage qui caractérise le limès romain en Afrique (contrôle des quelques axes de pénétration qui dépendent totalement des rares points d'eau existants). En terme de combat, on doute que ce vecteur ait pu servir à autre chose que l'archerie montée et le transport de combattants. Les éléphants, eux, sont difficilement assimilables à de la cavalerie lourde: ce sont plus des sortes de "pré-blindés", un système d'armes complexe: ils emportent plusieurs hommes dans leur nacelle, en plus du cornac. Cette nacelle emporte des archers ou des piquiers chargés de veiller aux flancs des éléphants et de maintenir la bête dans le cadre d'une mêlée. En fait, la capacité de rupture des éléphants dans la charge ne repose et n'est possible que dans le premier choc: une fois le contact établi, ce ne sont pas des animaux manoeuvriers, et il ne vont pas retraiter, faire la caracole et revenir à la charge sous un autre angle, surtout en formation. Une fois l'éléphant planté dans une formation adverse, s'il y parvient (c'est à ce moment qu'il y a le plus de tactiques de contre), il y a mêlée si la formation adverse ne craque pas, et il passe ou il casse. On imagine quand même que les armées orientales (séleucide, grands domaines indiens autour de l'époque d'Açoka) qui avaient plusieurs milliers d'éléphants de guerre pouvaient produire leur petit effet, même sur des unités pros, lors d'une première charge. Rappelons que la période où l'éléphant fut le plus employé fut celle des royaumes issus de l'Empire d'Alexandre: du Proche Orient méditerranéen jusqu'au Sud-Est asiatique, tout le monde en avait. Après, l'usage se cantonne à l'Inde et au Sud-Est asiatique. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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