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Les archives déclassifiées et révélations historiques


alexandreVBCI

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Procès Carlos: Les archives de la Stasi révèlent les coulisses de la politique française.

Outre ces retranscriptions d'écoutes, des compte-rendus de surveillances, de filatures, de rencontres entre les membres du groupe de Carlos et les services secrets roumain, hongrois ou est-allemand figurent dans les archives de la Stasi dont les agents surveillaient étroitement ces remuants "camarades révolutionnaires" installés au début des années 1980 à l'abri du Rideau de fer.

Selon l'accusation, ces attentats sont survenus car l'organisation de Carlos menait une "sale guerre privée" contre la France pour obtenir la libération de deux des siens arrêtés à Paris en 1982: le Suisse Bruno Breguet et l'Allemande Magdalena Kopp, alors compagne de Carlos.

Selon plusieurs documents mis au jour au cours de l'enquête et tirés des archives de la Stasi, l'avocat français Jacques Vergès aurait été à l'époque en contacts officieux pour le compte de Carlos avec des émissaires du ministre de l'Intérieur Gaston Defferre et du Premier ministre Pierre Mauroy.

Son but: obtenir la libération de Kopp et Breguet parce que leur arrestation faisait craindre des représailles contre la France.

Si elles étaient avérées, ces négociations constitueraient une épine pour la défense. L'échec de ces pourparlers expliquerait les attentats des 29 mars et 22 avril 1982, respectivement dans le train Capitole Paris-Toulouse et au siège d’un journal arabe, rue Marbeuf à Paris, suivis de deux autres attentats en 1983.

http://www.20minutes.fr/societe/831776-proces-carlos-archives-stasi-revelent-coulisses-politique-francaise

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Si elles étaient avérées, ces négociations constitueraient une épine pour la défense. L'échec de ces pourparlers expliquerait les attentats des 29 mars et 22 avril 1982, respectivement dans le train Capitole Paris-Toulouse et au siège d’un journal arabe, rue Marbeuf à Paris, suivis de deux autres attentats en 1983.

Une épine de quelle taille ? Comme si cela diminuait la responsabilité des poseurs de bombes...
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Pour le FBI, Hitler était vivant jusqu’en 1956

Durant trente ans, le FBI (Federal Bureau of Investigation) a tenu à jour un dossier secret sur Adolf Hitler. Ce document de 734 pages, aujourd’hui déclassifié et disponible sur le net, contient des discours du Führer, des données relatives à un complot américain destiné à le supprimer dès 1933, des photographies, des coupures de presse, mais également le résultat des nombreuses enquêtes menées le Bureau fédéral américain afin de vérifier toutes les informations laissant croire que le chancelier du Reich avait survécu à la Seconde Guerre mondiale.

A sa lecture, on est stupéfait d’apprendre que jusqu’en 1956 les agents fédéraux et leur directeur, J. Edgar Hoover, ont cru que l’évasion du Führer avait été possible et se sont efforcés de le traquer tandis que le monde entier proclamait sa mort !

Les premiers doutes sur la mort du dictateur nazi apparaissent dès la conférence de Potsdam, en juillet 1945, lorsque Staline déclare au président américain Truman que Hitler s’est échappé de son bunker et se cache à l’Ouest. (Les Soviétiques vont régulièrement accuser leurs anciens alliés de chercher à « recycler » le chef du IIIe Reich dans le cadre de leur lutte contre le communisme.) Le maréchal Joukov, qui a conquis Berlin, a lui-même laissé entendre que Hitler a pu s’enfuir en Espagne par avion avant la reddition de la capitale allemande. Propagande ou inquiétude justifiée ?

Toujours est-il que diverses enquêtes, comme celle menée par le major Trevor-Roper du Renseignement britannique (il a sillonné l’Allemagne et interrogé les survivants du bunker de Berlin), semblent démontrer que Hitler s’est suicidé à la fin du mois d’avril 1945. Mais puisque nul n’est alors capable de produire une photo de son cadavre (les corps de Goebbels et de sa famille, eux, ont été filmés dans les décombres), une autre hypothèse demeure recevable, du moins théoriquement : celle de sa survie. Après son arrestation, Otto Abetz, ambassadeur d’Allemagne en France de 1940 à 1944, déclare d’ailleurs que le dictateur « n’est certainement pas mort » et qu’« un jour il reviendra ».

Le FBI va entreprendre une série de vérifications d’envergure.

Parmi les nombreuses lettres que le Bureau réceptionne, certaines proviennent à l’évidence de déséquilibrés. Ainsi un homme de 77 ans raconte avoir lu une lettre écrite par Hitler en 1947, soit deux ans après son présumé suicide, dans laquelle l’ex-dictateur se moque des naïfs qui croient à son décès. L’enquête démontre qu’il s’agit du délire d’un psychotique ayant seulement voulu faire sensation. En 1948, une dame aperçoit Hitler dans sa pension de famille et s’inquiète auprès des autorités des poursuites judiciaires qu’elle encourt du fait de son éventuelle complicité. Conclusion du FBI : « Elle est manifestement folle. » Blagueurs ou citoyens trop suspicieux, certains ont vu Hitler dîner à Washington en 1946 ; sauter dans un train pour La Nouvelle-Orléans en 1948 ; acheter des terres dans le Colorado ; ou encore s’installer comme maître d’hôtel à Londres.

Le 15 octobre 1945, un détective amateur, peu rompu aux exigences de l’administration de la preuve, fait le pari que Hitler s’est réfugié à New York, ajoutant : « Il n’existe aucune autre ville au monde où il peut être absorbé si facilement... Je vous donne l’information pour ce qu’elle vaut, évidemment. » Pendant ce temps, un autre limier dilettante le situe dans une ferme isolée de la Suisse allemande. En 1951, un informateur prétend que Hitler a changé de visage grâce à la chirurgie plastique (détail récurrent chez les correspondants du FBI) et ressemble dorénavant « davantage à un Juif qu’à un Gentil ». Le même mouchard croit que le dictateur a travaillé dans une cafétéria de Miami.

Malgré leur caractère fantaisiste, la plupart de ces dénonciations font l’objet d’une investigation de la part des fédéraux, loin de prendre ces allégations à la légère.

Car d’autres rumeurs, plus sérieuses, alimentent leur scepticisme. Un médecin prétend par exemple avoir soigné Hitler à Saint Louis pour un désordre intestinal. Or, d’après les dossiers médicaux de Hitler que le FBI s’est procuré, celui-ci a réellement souffert de troubles digestifs. De plus, l’information n’a pas été diffusée au public à cette époque.

Mais ce sont les « tuyaux » provenant de l’étranger qui vont pousser les services de Hoover à se lancer, aux quatre coins de la planète, dans une chasse à l’homme qui ne trouve son équivalent que dans la traque du kidnappeur du bébé Lindbergh, au début des années 1930.

Le lieu d’accueil le plus crédible du Führer est l’Amérique du Sud, une contrée devenue après guerre le paradis des anciens nazis en cavale. Selon El Tiempo, un journal publié en Colombie, Hitler s’est échappé avec six hommes habillés en civil dans un sous-marin en partance pour Bogotá. Attendus par des Indiens Guajidos, les exilés, voyageant de nuit, sont arrivés dans le petit port de Magdalena, d’où ils ont pris un cargo en troisième classe, puis une voiture qui s’est dirigée vers Bogotá, ne faisant jamais halte dans le moindre hôtel. D’après l’informateur, qui signe « Amigo, amigo, amigo » (et n’oublie pas au passage de demander 50 000 dollars pour donner davantage de précisions), Hitler porte des lunettes et s’est laissé pousser la barbe.

Bien que celui-ci soit également signalé au Brésil et au Mexique, les nouvelles en provenance d’Argentine tracassent particulièrement Hoover. Peut-être parce que Juan Perón, chef du gouvernement militaire, puis président à partir de 1946, cultive des idéaux proches de ceux des fascistes, et qu’il a été le partenaire de Fritz Mandl, le magnat pro-nazi des munitions. En tout cas, selon un mémorandum rédigé par un agent du FBI le 4 septembre 1944, c’est-à-dire six mois avant l’hypothétique suicide de Hitler, celui-ci aurait pu envisager de s’y réfugier en cas de défaite. La note précise même que les autorités argentines ont mis au point des rencontres clandestines avec le chef nazi dans le but d’importer des armes et des techniciens dans leur pays : des fabriques de bicyclettes seraient converties en usines de munitions.

L’opulente colonie allemande d’Argentine est susceptible d’offrir un refuge de choix à Hitler et ses lieutenants. L’un de ses membres, le comte Karl von Luxburg, chef des services secrets allemands en Argentine et proche de l’amiral Dönitz (désigné par Hitler comme son dauphin dans son testament politique), est soupçonné d’avoir « acquis un ranch qui pourrait être destiné à les accueillir ». L’unité des Services stratégiques (Special Service Unit) du département américain de la Guerre fait également parvenir à Hoover un dossier reprenant les déclarations d’une Mrs Eichhorn, propriétaire d’un hôtel à La Falda et nazie proclamée, qui prétend que sa propriété est l’endroit idéal pour assurer une retraite dorée à son idole.

D’autres témoignages paraissant confirmer la fuite de Hitler en Argentine ne tardent pas à affluer. Hoover reçoit une lettre qui lui précise que l’ancien chancelier du IIIe Reich se trouve à l’abri dans des souterrains aménagés sous une hacienda, à 450 miles au nord-ouest de Buenos Aires. Un rapport du FBI de Los Angeles, daté du 21 septembre 1945, affirme que Hitler a débarqué en Argentine environ deux semaines après la chute de Berlin et qu’il se cache dans un ranch, aux pieds de la cordillère des Andes. D’après l’informateur, ses acolytes séjournent dans les villages alentour. Il précise que Hitler souffre d’asthme et a coupé sa moustache. Le FBI déplore que l’histoire soit « impossible à vérifier ».

En juin 1946, une autre note fait état d’une lettre retrouvée dans un parking de Pennsylvanie et transmise par le procureur du comté de Lancaster, dont l’auteur (anonyme) écrit : « J’ai vu Adolf Hitler l’autre jour en Argentine. Il est très nerveux mais a arrêté de prendre des drogues. » D’après ce document, Hitler s’apprête à sortir de sa cachette et va prochainement signaler sa nouvelle adresse à une organisation secrète de 200 membres, tous issus « de la Mère patrie ». Affaire sans suite.

Une partie de ces témoignages provient d’articles de journaux qui avancent que l’ex-Führer attend tranquillement dans son refuge clandestin une guerre entre l’Union soviétique et les Etats-Unis pour se présenter comme le dirigeant du nouveau monde. Ces documents, soigneusement collationnés par le FBI, regorgent de précisions sur sa fuite en sous-marin. On rapporte notamment qu’un bateau brésilien a été coulé par un submersible non identifié transportant une femme ressemblant à Eva Braun, la compagne de Hitler, qui aurait ensuite débarqué sur la côte d’Argentine. Un autre sous-marin mystérieux a également été aperçu par des garde-côtes à environ 1 300 miles au nord de Catalina, en Californie, à l’endroit où un certain Theodore Donay, riche importateur de Detroit reconnu coupable d’avoir apporté son aide à un nazi évadé (affaire pour laquelle il a tâté du cachot), a mystérieusement disparu de son bateau quelques heures auparavant.

Las, ces informations sont toutes contradictoires. Pis : par leur nature, elles ne se distinguent guère des allégations situant Hitler sous les latitudes les plus excentriques. Un officier de la marine japonaise fournit ainsi des détails portant sur un plan d’évacuation de Hitler et Eva Braun vers le Japon. Un pilote prétend, lui, qu’il a transporté Hitler et sa femme au Danemark. Un autre correspondant affirme que l’ancien chancelier-président se fait soigner par un certain Dr Sthamer sous les cieux espagnols. Des informations parfaitement invérifiables.

De fait, aucun de ces rapports ne permet de remonter à Hitler. Le FBI est contraint de conclure qu’il ne s’agit que de rumeurs sans fondement ou de divagations destinées à vendre du papier. D’autant que l’honnêteté de certains informateurs est directement mise en cause. Ayant analysé un article du Chicago Times, un agent du FBI fait ce portrait de l’auteur : « Sa réputation est extrêmement médiocre et il est généralement considéré comme un journaliste à sensation peu fiable. » Puisque les enquêtes n’aboutissent qu’à des impasses, le FBI va peu à peu se désintéresser des bruits relatifs à l’évasion du Führer.

En 1956, après trois ans d’enquête, les magistrats allemands déclarent de leur côté que Hitler est officiellement mort le 30 avril 1945 dans son bunker de la Chancellerie, à Berlin. Un avis qui rejoint celui des fédéraux américains. Il faut attendre la fin des années 1960 et la traduction anglaise du livre du journaliste soviétique de Lev Bezymenski The Death of Adolf Hitler (voir En complément) pour que l’Ouest soit informé que l’autopsie de deux corps carbonisés retrouvés dans le bunker a été réalisée par les Soviétiques dès 1945 et s’est révélée positive. Les Etats-Unis se plaindront de la lenteur mise par les services soviétiques pour faire ces révélations ; ceux-ci leur répondront qu’ils ont voulu respecter le délai requis pour la déclassification des documents secrets.

Naturellement, le livre de Bezymenski ne va pas arrêter la rumeur publique. L’auteur a en effet mis en lumière certaines étrangetés de l’autopsie (Hitler y est décrit comme ne possédant qu’un seul testicule), qui vont faire le bonheur des professionnels de l’histoire mystérieuse. Mais le FBI leur abandonne volontiers ce terrain. Pour lui, l’affaire est définitivement close.

http://www.armees.com/Pour-le-FBI-Hitler-etait-vivant-jusqu-en-1956,709.html

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  • 2 weeks later...

Guerre de Vendée : De nouvelles archives consultables en ligne

La Guerre de Vendée, comme vous ne l'avez jamais lue ! Les archives départementales de la Vendée viennent de mettre en ligne plusieurs fonds exceptionnels et en grande partie numérisés, relatifs à cette période charnière. Vos ancêtres étaient "bleus" c'est à dire républicains ou "blancs", c'est à dire royalistes partisans de la contre-révolution ? Vous allez pouvoir vous pencher avec passion sur chacun des partis de cette guerre !

Theatrum-belli

Source:

http://geneinfos.typepad.fr/geneinfos/2011/12/guerre-de-vendee-des-archives-cote-bleus-et-cote-blancs.html

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  • 4 weeks later...
  • 2 weeks later...

Jonathan Powell, chef du cabinet de l’ex-Premier ministre britannique Tony Blair, reconnaît, dans un documentaire de la BBC, le bien-fondé des accusations d’espionnage portées contre Londres par la Russie en 2006, après la découverte à Moscou d’un faux rocher rempli d’équipements de surveillance. «L’affaire était embarrassante, confie-t-il, car les Russes nous ont pris la main dans le sac.» Le Kremlin avait alors saisi l’occasion pour limiter les activités des ONG russes, accusées d’entretenir des relations avec les services secrets occidentaux.

http://www.liberation.fr/monde/01012384555-powell-balance-un-rocher-sur-le-kremlin

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Rhâââ...

J'avais déjà signalé sur la page de la NSA sur Wikipédia que dans l'après-guerre, les services américains avaient pas mal ciblé la France, au point qu'en 1946, la moitié des rapports de l'Army Security Agency (le service cryptologique de l'US Army) étaient dérivés de l'interception de communications françaises.

Là, je viens de tomber sur cette référence dans un rapport déclassifié :

COUNTRY OF ORIGIN : FRANCE- VICHY, FREE FRANCE

SERVICE : Diplomatic

DESCRIPTION : CIPHER MACHINE, HAGELIN M-209. etc.

[...]

DATES OF USE : DURING SAN FRANCISCO CONFERENCE, 1945

[...]

STATUS OF THE SYSTEM AT ASA : (READ FRENCH HAGELIN DURING SAN FRANCISCO CONFERENCE.)

http://www.nsa.gov/public_info/_files/european_axis_sigint/volume_1_synopsis.pdf

Le genre de truc qui ne fait pas plaisir à lire  >:(

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Les Soviets ont trouvé un cadavre qu'ils ont pris pour celui d'Hitler, mais c'était juste une vague ressemblance qui se trouvait pas trop loin du bunker avant que les Soviets n'apprennent ce qui était réellement arrivé à Hitler.

Cette photo est sans doute celle de ce cadavre.

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L'article Wiki est très complet, je viens de le découvrir.

Le 5 mai 1945, lors d'une nouvelle fouille des jardins de la chancellerie, un soldat russe remarque un morceau de couverture grise dépassant de la terre qui comble un trou d'obus. Dans ce cratère sont découverts deux corps calcinés et les cadavres d'un berger allemand et d'un chiot110. Le lendemain, les deux corps transportés, toujours à l'insu des autorités militaires, à la base du SMERSH établie à Buch. Le corps de Hitler est identifié grâce à ses mâchoires : un membre de l'équipe de son dentiste confirme qu'il s'agit bien des mâchoires du Führer dont il reconnaît les prothèses. Le 7, le SMERSH envoie son rapport à Moscou.

En 1970, sur décision du directeur du KGB Iouri Andropov, et sans en informer le gouvernement de l'Allemagne de l'Est, les Soviétiques se débarrassent des restes. Ceux-ci sont incinérés, et leurs cendres jetées dans les égouts de Magdebourg, à l'exception du crâne et des mâchoires qui sont conservés par le KGB.

En 2000, le crâne et une photographie des mâchoires de Hitler sont présentés au public lors d'une exposition organisée à Moscou par les archives de l'État russe. En septembre 2009, l'hebdomadaire britannique The Observer affirme que ce fragment de crâne est en réalité celui d'une femme âgée de 20 à 40 ans.

Mais qui était ce cadavre ressemblant ? Juste un badaud ?

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Je n'en sais rien, le bouquin où j'ai lu ca n'en disait pas plus, je ne sais pas s'il a été identifié (vu le nombre de cadavres à Berlin, je doute que beaucoup aient été identifiés).

Peut-être bien un badaud en effet, la moustache devait être à la mode chez les Nazis à l'époque.

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Peut-être bien un badaud en effet, la moustache devait être à la mode chez les Nazis à l'époque.

De Gaulle la portait également...  ;)

Pour revenir à cette photo on remarque le trou d'une balle en plein front. Or Hitler s'est tiré une balle dans la tempe ce qui est plus compatible avec un suicide.

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  • 1 month later...

Procès de Galilée, excommunication de Martin Luther, "confession" des Templiers... Pour la première fois, le Vatican ouvre une partie de ses archives au public.

Procès de Galilée, excommunication de Martin Luther, "confession" des Templiers... Pour la première fois, le Vatican dévoile au grand public quelques-uns de ses innombrables secrets dans une exposition exceptionnelle qui s'est ouverte mercredi dans les musées du Capitole à Rome. Au total, plus de cent documents originaux ont été sélectionnés, à l'occasion du 400e anniversaire de la création de ces archives secrètes par le pape Paul V.

Intitulée "Lux in arcana" ("Lumière sur les secrets" en latin), l'exposition permet au visiteur de découvrir la requête en annulation du mariage d'Henry VIII et de Catherine d'Aragon, et le "Dictatus Papae" de Grégoire VII, un manuscrit du XIe siècle affirmant la suprématie des papes sur tout autre pouvoir sur terre. Outre les minutes du procès de Galilée et la bulle d'excommunication de Martin Luther figure un parchemin de 60 mètres, remontant à 1308 et contenant la confession des Templiers devant trois cardinaux envoyés par Clément V au château de Chinon (centre de la France).

"C'est la première fois dans l'histoire, et peut-être aussi la dernière, que ces documents quittent l'enceinte du Vatican", affirment les organisateurs. Signe de l'importance de l'événement, le numéro deux du Vatican, le cardinal Tarcisio Bertone, a ouvert l'exposition aux côtés du "ministre" de la Culture du Vatican, Gianfranco Ravasi, du maire de Rome Gianni Alemanno et du ministre italien de la Culture Lorenzo Ornaghi. Interrogé par la presse sur ce qui l'avait le plus marqué dans cette exposition, le cardinal Bertone a répondu : "Certainement la vérité historique."

L'exposition dévoile aussi des documents visant à défendre l'attitude du pape Pie XII, critiqué pour avoir gardé le silence face à la Shoah pendant la Seconde Guerre mondiale. Parmi eux, un rapport du nonce Francesco Borgongini-Duca qui avait visité sept camps de concentration en Italie en 1941 et une lettre de remerciements d'anciens détenus au pape. Parmi les autres documents figure la nomination au trône papal de l'ermite Pietro Morrone (XIIIe siècle), devenu Célestin V et seul pape de l'histoire à démissionner. Mais aussi un édit du XVe siècle où Alexandre VI partage le Nouveau Monde entre l'Espagne et le Portugal après la "découverte" de l'Amérique par Christophe Colomb. Ou encore le décret du pape Léon X qui a scellé le schisme avec les protestants, conduisant à des guerres de religions fratricides en Europe.

Autres trésors : des lettres de Michel-Ange sur la construction de la basilique Saint-Pierre ou une lettre sur soie de l'impératrice de Chine Helena Wang, convertie au christianisme. Plus insolite, la missive du chef de la tribu indienne Ojibwa au XIXe siècle à Léon XIII, qu'il appelle "grand maître des prières remplissant les fonctions de Jésus". Autre rareté, une lettre de Marie-Antoinette emprisonnée après la Révolution, dans laquelle on peut lire : "Les sentiments de ceux qui partagent mon chagrin (...) sont la seule consolation que je puisse recevoir dans ces tristes circonstances."

La sélection des documents, parmi des archives qui, si elles étaient alignées, "feraient 85 km de long, a été draconienne et dramatique", avait dit Mgr Pagano en présentant l'exposition en août dernier. Les archives "sont une réalité mystérieuse parce qu'inconnue", "sans compter les ambiances romanesques pseudo-historiques" qui les entourent, avait-il dit, une allusion limpide au romanesque Da Vinci Code. Très pédagogique, l'exposition, où les documents, ultraprotégés, sont projetés ou superbement éclairés, a été prise d'assaut dès son ouverture.

http://www.lepoint.fr/monde/le-vatican-devoile-ses-secrets-01-03-2012-1436848_24.php

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  • 2 months later...

Mort d'Oussama ben Laden: Une dizaine de documents retrouvés dans sa maison ont été déclassifiés.

L'ancien leader d'Al-Qaida avait perdu de son influence, mais envisageait tout de même de frapper les plus hauts responsables américains...

Si Oussama ben Laden «ne tirait pas les ficelles» de tous les groupes djihadistes à travers le monde, se plaignant même de l'incompétence de certaines cellules, il projetait toujours de tuer les plus hauts responsables américains, dont Barack Obama, a conclu un centre de recherches de l'armée américaine après l'étude de documents saisis dans l'ancien repaire du chef d'Al-Qaida.

Certains de ces 17 documents, déclassifiés un an après la mort d'Oussama ben Laden, tué le 2 mai 2011 par un commando américain dans sa villa d'Abbottabad, au Pakistan, ont été rendus publics et postés en ligne ce jeudi par le Combating terrorism center (CTC), un fonds de recherche privé financé par l'Académie militaire de West Point.

Jusqu’au bout, le leader d’Al-Qaida était resté concentré sur l’attaque d’intérêts américains dont quelques-uns des plus hauts responsables américains, rappelant les scénarios les plus sombres de la série 24h Chrono. «Il souhaitait particulièrement viser les avions transportant le général David Petraeus (ancien commandant des forces armées américaines en Afghanistan, ndr) et même le président Barack Obama, estimant qu’un assassinat mettrait le vice-président Joe Biden, pas du tout préparé, à sa place et plongerait les Etats-Unis dans la crise», rapporte ainsi CBS.

Ben Laden préoccupé par les attaques de ses propres «frères»

Mais Oussama ben Laden pouvait aussi montrer un minimum de compassion. Contrastant avec les déclarations publiques d'Al-Qaida contre les injustices infligées aux musulmans par les Occidentaux ou les régimes arabes «apostats», les documents internes montrent que l’ennemi public numéro un des Etats-Unis se préoccupe d'abord des souffrances infligées aux musulmans par ses «frères» djihadistes.

Par ailleurs, le chef d'Al-Qaida n'était «pas impressionné par le récent courant du djihad populiste américain» et ne portait pas en haute estime le prêcheur radical à la nationalité américaine Anouar al Aoulaki, chef d'Al-Qaida dans la Péninsule arabique (Aqpa), tué en septembre 2011 au Yémen dans un raid de drone américain. Il se désintéressait également des Shababs de Somalie, malgré leur soumission à Al-Qaida, les trouvant trop stricts dans leur manière d’appliquer la Charia, comme le fait de couper la main des voleurs.

Au total, ce sont 175 pages en arabe de communications internes à Al-Qaida (courriels, brouillons de lettres) que le centre de recherches a étudiées. Le document le plus ancien remonte à septembre 2006, le plus récent à avril 2011.

Le PDF :

http://www.cbsnews.com/htdocs/pdf/2012/CTC_LtrsFromAbottabad_WEB_v2.pdf?tag=contentMain;contentBody

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  • 2 months later...

Un document d'archives de la Gestapo de Düsseldorf, retrouvé par une historienne, établit qu'Adolf Hitler a accordé sa protection provisoire à un officier juif de son unité combattante pendant la Première Guerre mondiale, a-t-on appris samedi auprès de l'historienne.

Ce document qui porte l'en-tête du chef de la SS, Heinrich Himmler, a été retrouvé par Susanne Mauss, historienne et membre du comité de rédaction du journal "Jewish Voice from Germany", qui produit une copie de la lettre, dans son numéro de juillet.

On peut y lire qu'Ernst Hess, un juge du tribunal d'instance de Düsseldorf, "était pendant la guerre 1914/1918 dans la même compagnie que le Führer et provisoirement le chef de compagnie du Führer".

Le document fait remarquer que M. Hess "est Juif avec quatre grands-parents juifs" mais souligne qu'Adolf Hitler souhaiterait voir la demande du juge d'obtenir un traitement d'exception être prise en compte "avec bienveillance".

La lettre se termine par une invitation lancée aux autorités compétentes à "laisser tranquille à tous égards" l'intéressé.

La suite de cette histoire :  http://fr.news.yahoo.com/archive-r%C3%A9v%C3%A8le-quhitler-prot%C3%A9g%C3%A9-ancien-camarade-r%C3%A9giment-juif-135213873.html

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  • 4 weeks later...

Un geek de l'USAF a eu l'idée de créer une base de données de toutes les bombes larguées par l'aviation US depuis la première guerre mondiale, qui pourrait avoir des usages multiples.

Un affichage des zones bombardées en Asie du Sud-Est :

Image IPB

Maintenant, il faut vérifier la précision des archives utilisées. Par exemple, le rapport du bombardement atomique de Nagasaki avait mis un "9" au lieu d'un "0" dans la latitude, ce qui entraînait sur la carte une erreur de plus de 800 km !  :lol:

http://bostonglobe.com/news/nation/2012/07/29/century-data-and-destruction-chronicled-air-force-officer/5m2HK2CP9UcwwJzMhtdQOO/story.html

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La possibilité de mettre la main sur des info inédites, via la déclassification d'archives, donnent beaucoup d'intérêt au livres utilisant ces "révélations".

Aujourd'hui, est-il encore utile (dans le sens : peut-on encore apprendre des choses) d'acheter des nouveaux bouquins sur le 2ndeGM par exemple dans la mesure où les historiens/écrivains ont pû accéder aux archives soviétiques il y a déjà plusieurs années ?

Régulièrement, de nouveaux livres sortent sur ce thème, mais il sont surtout constitués de redites et de rabâchages, non ?

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