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Marine Grecque


alexandreVBCI

Messages recommandés

  • 1 month later...

Les rumeurs parlent de Sylver A70 (8?) sur les FDI 2/3/4 ... seule la premiere FDI aurait 32 aster.

Le premier ministre :

Alors que notre pays s'apprête à accueillir la première frégate Belharra, que la deuxième est mise à l'eau dans les chantiers navals de Naval Group à Lorient et que la troisième est en cours de construction, les procédures d'acquisition d'un quatrième navire de ce type sont lancées. Le grand programme de renforcement des forces armées que j'ai personnellement annoncé dès le début devient ainsi une réalité.
Le coût de cette nouvelle acquisition a été budgétisé de manière à ne pas perturber notre cohérence budgétaire. Il a cependant été jugé nécessaire car l'armement de la patrie est une priorité non négociable. 
La Grèce devient de plus en plus forte.

Modifié par Titus K
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  • 3 weeks later...

A noter pour les Scorpènes :

- MDCN disponible (avec accord GtG j'imagine)
- 1 Recharge des batteries Lithium-ion par semaine
- 6 Tubes et 12 Munitions supplémentaire (18 total)
- UAV déployés par une bouée / UUV par les tubes lance torpilles
- Missions de longues durée jusqu'à 60 à 80 jours  (contre 20 jours pour du AIP fuel cell)

10 minutes pour recharger 6 tubes lance torpilles par 10 marins bien entrainés, soit un peu moins de 2 minutes par tube ... je me demande si similaire sur les Orka et les Suffren ?

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1 hour ago, Titus K said:

Le Scorpène est sur tout les fronts

Et en Pologne aussi.

La competition n’est pas encore officiellement lancée, mais Naval Group pousse ses pions… ici une entrevue donnée à un média spécialiste polonais.

https://portalobronny.se.pl/przemysl-zbrojeniowy/okrety-podwodne-scorpene-z-najnowszym-uzbrojeniem-dla-polski-francuska-oferta-programie-orka-aa-Chbi-i3oW-JvVL.html

Quote

Sous-marins Scorpène dotés des armements les plus récents pour la Pologne: L’offre française pour le programme Orka

Juliusz Sabak

2024-10-06

« S'il existe une « liste restreinte » d'offres dans le programme Orka, alors – d'après ce que nous entendons – elle comprend trois propositions. Et je suis convaincu que nous en faisons partie", déclare Mark Ferret, directeur Europe du Nord chez Naval Group, dans un entretien avec notre journaliste. Les Français proposent le dernier modèle de sous-marins Scorpène dotés d'un armement moderne et d'une formation auprès de la Marine nationale

Juliusz Sabak, rédacteur en chef de Portal Obronny : Nous nous sommes rencontrés le dernier jour du salon MSPO à Kielce. Comment évaluez-vous ces quatre jours ?

Mark Ferret, directeur Europe du Nord chez Naval Group : Je suis impressionné par l'ampleur de ce salon international. Les entreprises les plus importantes dans notre domaine qui proposent des sous-marins sont présentes ici. Je pense que c’est important désormais, non seulement en Pologne, mais aussi à l’étranger. Il est donc très important pour nous de pouvoir présenter notre offre ici.

En ce qui concerne le programme Orka, vous êtes présent avec votre offre depuis de nombreuses années. Si je comprends bien, c'est toujours un sous-marin Scorpène ?

Il s'agit de la dernière version à la pointe de la technologie de Scorpène. Il est de notoriété publique que les Scorpène sont présents à divers endroits à travers le monde. Ils naviguent dans l'Atlantique, par exemple dans les marines du Chili et du Brésil. Ils nagent à de très grandes profondeurs et jusqu’en Antarctique, où les conditions sont très difficiles. Ils fonctionnent également bien dans des eaux complètement différentes, par exemple en Malaisie ou en Inde. Récemment, nous avons remporté un appel d'offres en Indonésie avec Scorpène, dont nous sommes très fiers. C'est également la preuve des efforts constants de notre entreprise pour répondre aux attentes les plus exigeantes de nos clients.

Et quant à l’offre pour la Pologne ? J'ai entendu dire que de nombreux invités très importants étaient venus sur le stand de Naval Group. Représentants de l'administration de l'État et de la Marine. Pourriez-vous dire quelque chose à ce sujet ?

Oui, c'est vrai et nous sommes heureux que notre offre suscite un grand intérêt.

Pour en revenir à l'offre... vous avez mentionné qu'il s'agit d'une version encore plus récente de Skorpena. En quoi diffère-t-il des navires proposés ces dernières années ?

Nous présentons une version plus récente de Scorpène. Il mesure plus de 70 mètres de long et a un déplacement inférieur à deux mille tonnes. Elle est également parfaitement armée. L'offre comprend, par exemple, les torpilles F-21 les plus récentes au monde. Actuellement, ils ont commencé à être livrés aux plates-formes en France - les plus importantes, nucléaires comme les SSN et les SNLE, mais aussi aux unités Scorpène au Brésil.

L'unité est également équipée de missiles de manœuvre NCM (Naval Cruise Missile). C’est très important pour la Pologne car cela offre des possibilités de dissuasion. Le gouvernement polonais sait que nous pouvons fournir un sous-marin et tous ses moyens de combat. C'est quelque chose que nous garantissons toujours dans notre offre. Je pense que c'est pour cela que nous sommes très bien notés.

S'il existe une « short list » d'offres, d'après ce que l'on entend, elle comprend trois propositions. Et je suis convaincu que nous en faisons partie. C'est l'une des raisons pour lesquelles tant de personnes sont venues visiter notre stand. Militaires, civils, journalistes...

Vous avez dit que le transfert de technologie vers la Pologne serait considérable. Qu’est-ce que cela signifie réellement ?

Nous travaillons sur ce à quoi cela ressemblera exactement. Le cahier des charges n'est pas encore prêt, car jusqu'à présent nous n'avons eu qu'une RFI (demande de devis, ndlr). Nous attendons la prochaine étape du processus d'achat, ce sera peut-être un RFQ (ndlr). Comme je l'ai mentionné, nous avons entamé des négociations avec diverses entreprises en Pologne et nous sommes en train de les mettre en œuvre. Cependant, nous devons connaître les exigences finales de la partie polonaise. Quels qu'ils soient, je suis convaincu que nous saurons y répondre.

Et lorsqu'il s'agit de coopération, par exemple, avec la Marine et de ce qui semble crucial pour elle aujourd'hui, à savoir le soi-disant « combler les lacunes » jusqu'à la livraison de la première unité ? Pouvez-vous nous parler de vos capacités dans ce domaine ?

Nous envisageons de réaliser une formation complète et une formation des officiers et sous-officiers qui serviront à bord des sous-marins avant leur livraison, mais aussi à des étapes ultérieures. À cet égard, nous prévoyons d'utiliser plusieurs types de simulateurs et travaillons avec des entreprises spécialisées en France pour développer un programme de formation à long terme.

Vous proposez donc de former des équipages en France ?

Oui, mais pas seulement : beaucoup de choses seront également faites en Pologne. Partout dans le monde, en concertation avec les marines de nos clients, nous proposons simplement un cycle de formation longue durée pour préparer les équipages directement aux navires cibles. En collaboration avec nos entreprises partenaires, nous disposons de spécialistes appropriés, notamment d'anciens officiers sous-marins français, qui peuvent former des Polonais.

Mais je dois admettre que c'est aussi une question à résoudre au niveau intergouvernemental. Nous parlons également des possibilités de coopération entre les marines française et polonaise. Tout cela sera combiné et, grâce à notre expérience et au soutien d'autres sources, nous sommes sûrs que la Pologne recevra le meilleur de ce qui peut être fait aujourd'hui au niveau international.

Combien de temps peut prendre la construction de ces navires à partir de la signature du contrat ?

J'aimerais pouvoir le dire aujourd'hui, mais cela dépend des exigences finales et du type de transfert de technologie qui sera nécessaire. On attend des spécifications précises pour mieux le comprendre. Cependant, je peux dire ceci : tout le monde sait que le délai de mise en œuvre sera le même, voire très similaire, pour tout le monde.

Le sous-marin est construit à peu près au même moment et tous les soumissionnaires ont des capacités similaires. Le plus important est de disposer d’une base industrielle solide avec des processus établis basés sur des conceptions de sous-marins éprouvées qui minimisent considérablement tous les risques du programme, notamment ceux liés aux retards de construction.

Grâce à nous, la Pologne peut être sûre de recevoir des sous-marins pleinement opérationnels à la date requise. Nous le faisons toute l'année, en impliquant l'industrie nationale, avec un transfert de technologie, ce qui confirme le succès de nos programmes de construction et de maintenance de sous-marins dans le monde entier, dans des situations plus compliquées que celles qui se déroulent actuellement en Pologne.

Donc, comme vous l'avez dit, tous les soumissionnaires attendent actuellement les documents finaux de l'Agence de l'armement, avec les exigences finales ?

Oui, nous avons eu de nombreux entretiens avec l'Agence de l'armement et je pense que ce furent des réunions très positives et efficaces. Comme vous l'avez remarqué, également à MSPO, nous avons reçu la visite de représentants de la Marine, mais aussi de diverses autres personnes avec lesquelles nous avons eu des conversations très utiles. Mais sans d’autres décisions, il n’y a pas grand-chose à faire dans ce programme. Il faut connaître précisément les besoins en matière d'armement et de transfert de technologie. Nous pourrons ensuite parler davantage de détails.

 

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Il y a 2 heures, Alskandre a dit :

Il y a un "moment" Rafale ... Il y aurait un "moment" Scorpène ... ?

A la différence que le Scorpene est mur depuis le début, pas comme le Rafale F1 

C'est plus un combo entre une concurrence peu développée, une montée en puissance mondiale des flottes sous marines et une R&D performante de Naval Group qui nous maintient au top niveau comme avec les batteries Li-Ion 

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  • 3 weeks later...
  • 4 weeks later...

https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/defense/comment-la-grece-va-moderniser-ses-armees-pour-repondre-aux-exigences-du-xx-ie-siecle_AD-202411150176.html

Rien de bien neuf. Ils parlent toujours de la possibilité d'une coop sur la Constellation avec les US (bon courage... qu'ils se galèrent pas, autant reprendre de la FDI, c'est plus sûr et moins chère. ;).....) et de la participation à la corvette européenne MMPC.

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  • 1 month later...

Rupture des négo avec les US sur les constellation. Elles étaient gratuite ... sauf le moteur. Les grecs n'aimant pas être pris pour des demeurés...

https://www.opex360.com/2024/12/18/la-grece-refuse-les-quatre-navires-de-type-littoral-combat-ship-proposes-par-les-etats-unis/

Finalement, aucun LCS ne devrait être cédé à la Grèce. Du moins pour le moment.

En effet, le 14 décembre, avant le vote du bugdet 2025 de son ministère [dont le montant aura augmenté de 73 % entre 2019 et 2025], M. Dendias a déclaré que, s’il était très satisfait de la coopération militaire établie avec la France, il en allait autremement avec celle nouée avec les États-Unis.

« Vous savez ce que les Américains n’ont pas fait ? Ce que prévoyait la lettre de Blinken. Ce que le secrétaire d’État Blinken a écrit au Premier ministre n’a pas été respecté. […] Ni le gouvernement grec, ni le Premier minsitre grec, ni notre pays n’en sont reponsables », s’est agacé M. Dendias, à la tribune.

Et de préciser : « Ils nous ont promis des LCS sans système de propulsion ! Et avec la nécessité de payer 50 millions pour chacun. Non. Mille fois non ! ».

Ce refus de prendre en compte les quatre LCS est-il définitif ? La question se pose dans la mesure où il pourrait remettre en cause la participation grecque au programme Constellation.

Quoi qu’il en soit, ce ne serait pas le premier « cadeau » refusé par Athènes. En septembre, l’armée grecque a refusé 62 blindés de type Bradley que les États-Unis lui avaient proposés au titre du programme EDA. Et pour cause : le coût de leur remise en état allait être beaucoup trop élévé par rapport aus gains espérés.

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NG arrivera peut-être à placer 4 Gowind !!!!

Mais il va lui falloir batailler avec la concurrence Sigma 10514 de Damen, la FCX30 de Fincantieri et l’Arrowhead 140HN de Babcock.

Et pour quoi pas 4 EPC plus tard pour remplacer le reste des Kortenaer !

Modifié par Born to sail
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