herciv Posté(e) le 31 juillet Share Posté(e) le 31 juillet Ils seront où les silos des mdcn ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 31 juillet Share Posté(e) le 31 juillet il y a 41 minutes, herciv a dit : Ils seront où les silos des mdcn ? à la place de certains installés en plage avant ... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 31 juillet Share Posté(e) le 31 juillet Tout à l’heure de ma bicyclette , trop loin…. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 31 juillet Share Posté(e) le 31 juillet En tout cas, le BAM à droite tien toujours le coup Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 31 juillet Share Posté(e) le 31 juillet il y a 7 minutes, mudrets a dit : En tout cas, le BAM à droite tien toujours le coup yess , tout çà pour çà ; mais quel gâchis viens de m'apercevoir que la "Ronarch" est au bassin carrément à gauche Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 31 juillet Share Posté(e) le 31 juillet il y a 17 minutes, ARMEN56 a dit : mais quel gâchis Hélas oui Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 31 juillet Share Posté(e) le 31 juillet Il y a 3 heures, GR_Silent a dit : Les silos de lancement verticaux et les autres travaux requis pour équiper le « Kimon » de missiles stratégiques seront réalisés ultérieurement. En résumé, lorsque la Marine disposera des autres frégates FDI, le « Kimon » retournera aux chantiers navals de Naval Group à Lorient pour y subir les modifications nécessaires. Cette opération est estimée, selon le calendrier actuel, avant la fin de la décennie. Cela signifie que – au moins selon la planification actuelle – en 2030, la Marine hellénique disposera de quatre frégates capables de mener des frappes stratégiques, si la situation l’exige. Il convient toutefois de noter qu’à ce stade, seules les modifications permettant l’intégration de missiles stratégiques sont assurées, qu’il s’agisse des MdCN français (les plus probables) ou d’autres missiles. Le contrat pour l’acquisition des missiles eux-mêmes sera conclu ultérieurement. Pourquoi ne pas attendre quelques années de plus pour la version du FMAN/FMC tirable par VLS ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
GR_Silent Posté(e) le 31 juillet Share Posté(e) le 31 juillet il y a 29 minutes, Titus K a dit : Pourquoi ne pas attendre quelques années de plus pour la version du FMAN/FMC tirable par VLS ? Je n’ai pas de certitudes, mais je peux formuler quelques hypothèses : on ignore à quel moment les FMAN/FMC seront prêts, tandis que leur coût sera probablement élevé en raison de l’acquisition elle-même et de la certification nécessaire pour garantir leur compatibilité avec les silos de lancement. De plus, étant des technologies nouvelles, ils pourraient présenter des “maladies de jeunesse” lors des premières phases de leur mise en service. En revanche, les versions navales du SCALP (SCALP Naval) reposent sur une technologie mature et éprouvée 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 31 juillet Share Posté(e) le 31 juillet Il y a 2 heures, ARMEN56 a dit : yess , tout çà pour çà ; mais quel gâchis viens de m'apercevoir que la "Ronarch" est au bassin carrément à gauche devait s'appeler le Narvik ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 31 juillet Share Posté(e) le 31 juillet (modifié) il y a 30 minutes, GR_Silent a dit : Je n’ai pas de certitudes, mais je peux formuler quelques hypothèses : on ignore à quel moment les FMAN/FMC seront prêts, tandis que leur coût sera probablement élevé en raison de l’acquisition elle-même et de la certification nécessaire pour garantir leur compatibilité avec les silos de lancement. De plus, étant des technologies nouvelles, ils pourraient présenter des “maladies de jeunesse” lors des premières phases de leur mise en service. En revanche, les versions navales du SCALP (SCALP Naval) reposent sur une technologie mature et éprouvée Espérons que la version du Sylver A70 qui équipera les FDI HN sera compatible avec le futur FMAN/FMC ... et pourquoi pas aussi avec l'Aster Modifié le 31 juillet par Titus K 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 4 août Share Posté(e) le 4 août (modifié) @GR_Silent As-tu entendu parler de cette histoire de chantier naval proche du ministre ? --> https://www.intelligenceonline.fr/grands-contrats/2025/06/06/athenes-met-la-pression-sur-naval-group-pour-sa-quatrieme-fregate,110462476-art Athènes met la pression sur Naval Group pour sa quatrième frégate En visite en France puis à Bruxelles, le ministre grec de la défense Nikos Dendias a habilement manœuvré pour obtenir des concessions de Paris pour ses futures acquisitions de navires. En jeu dorénavant, le choix des partenaires industriels en Grèce, dont l'un apparaît particulièrement proche de son parti politique. [...] Modifié le 4 août par Titus K Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
GR_Silent Posté(e) le 4 août Share Posté(e) le 4 août il y a 8 minutes, Titus K a dit : @GR_Silent As-tu entendu parler de cette histoire de chantier naval proche du ministre ? --> https://www.intelligenceonline.fr/grands-contrats/2025/06/06/athenes-met-la-pression-sur-naval-group-pour-sa-quatrieme-fregate,110462476-art Athènes met la pression sur Naval Group pour sa quatrième frégate En visite en France puis à Bruxelles, le ministre grec de la défense Nikos Dendias a habilement manœuvré pour obtenir des concessions de Paris pour ses futures acquisitions de navires. En jeu dorénavant, le choix des partenaires industriels en Grèce, dont l'un apparaît particulièrement proche de son parti politique. [...] Il y a quelques mois, j'avais lu des rumeurs concernant la possible construction de trois frégates FDI supplémentaires, en plus des quatre déjà prévues, pour porter le total à sept. Mais je ne sais pas s'il s'agit d'une réelle possibilité, d'un simple souhait ou de rumeurs non confirmées. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 4 août Share Posté(e) le 4 août Il y a 4 heures, Titus K a dit : @GR_Silent As-tu entendu parler de cette histoire de chantier naval proche du ministre ? --> https://www.intelligenceonline.fr/grands-contrats/2025/06/06/athenes-met-la-pression-sur-naval-group-pour-sa-quatrieme-fregate,110462476-art Athènes met la pression sur Naval Group pour sa quatrième frégate En visite en France puis à Bruxelles, le ministre grec de la défense Nikos Dendias a habilement manœuvré pour obtenir des concessions de Paris pour ses futures acquisitions de navires. En jeu dorénavant, le choix des partenaires industriels en Grèce, dont l'un apparaît particulièrement proche de son parti politique. [...] Gaffe avec ce genre de manoeuvres, c'est un coup à encore faire jaser Dieu sait qui et à être accusés de corruption... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 5 août Share Posté(e) le 5 août Le 31/07/2025 à 19:23, Titus K a dit : Pourquoi ne pas attendre quelques années de plus pour la version du FMAN/FMC tirable par VLS ? Peut-être qu'il vaut mieux être prêt pour une crise demain, que de ne rien avoir quand elle survient parce qu'on attend du "meilleur" matériel qui devrait arriver (qui aurait du arriver) après demain. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Titus K Posté(e) le 9 août C’est un message populaire. Share Posté(e) le 9 août KIMON : Dernier passage en cale sèche pour la frégate grecque avant sa livraison à la Marine https://www.onalert.gr/eksoplismoi/kimon-sti-dexameni-gia-teleytaia-fora-i-elliniki-fregata-prin-paradothei-sto-polemiko-naytiko/635065/ La première frégate FDI HN grecque, la « KIMON », entre dans la phase la plus critique avant de hisser le pavillon grec et d’intégrer la flotte. Pendant les huit prochaines semaines, elle restera en cale sèche dans le cadre d’inspections intensives et d’essais techniques, avec pour objectif de reprendre la mer début octobre pour la phase finale des essais en mer, destinée à confirmer que tous les systèmes du navire sont parfaitement opérationnels. Selon le calendrier, la cérémonie de levée du pavillon grec et la livraison officielle devraient avoir lieu avant la fin décembre. Les responsables du constructeur Naval Group soulignent qu’il s’agit d’essais « extrêmes », conçus pour pousser au maximum la résistance de la plateforme et de ses systèmes. Le radar Sea Fire 500, capable de détecter simultanément des centaines de cibles, le système avancé de gestion de combat SETIS, les systèmes de guerre électronique et de communications, ainsi que le sonar de coque et à immersion variable, sont soumis à des contrôles stricts. La « KIMON » sert de modèle pour les deux autres navires de la classe, le « NEARCHOS » et le « PHORMION », déjà à flot et amarrés aux quais du chantier naval à différents stades de construction. Les conclusions tirées des essais de la « KIMON » seront utilisées pour apporter des améliorations avant que les deux autres frégates ne commencent leurs propres essais. Ainsi, la Marine gagne un temps précieux et s’assure que les unités suivantes intégreront immédiatement les enseignements validés en pratique. Après la fin des inspections en cale sèche, la « KIMON » reprendra la mer pour la dernière phase des essais, comprenant des vitesses élevées, des manœuvres d’urgence, l’évaluation des systèmes de combat en conditions « opérationnelles » et la vérification de la résistance de la plateforme à des conditions météorologiques défavorables. Ensuite, le navire retournera au chantier naval pour les derniers réglages, l’armement complet et la préparation du voyage vers la Grèce. Dans la dernière étape, il mettra le cap sur Brest pour y recevoir son armement. Ce sera la première nouvelle unité principale reçue par la Marine grecque depuis près de vingt ans. L’adaptation » grecque fait la différence Ce n’est un secret pour personne : la Marine grecque ne s’est pas contentée de la configuration « standard » des frégates FDI. Dès le début du programme, des modifications ont été apportées pour doter le navire de capacités supplémentaires, de systèmes d’autoprotection renforcés et d’une puissance antiaérienne accrue. Parmi les caractéristiques remarquables : Système antimissile RAM pour la défense rapprochée. Systèmes de lancement de contre-mesures électroniques pour tromper les missiles guidés. Système de conduite de tir STIR et optronique longue portée PASEO XLR. Capacité de lancement de missiles Aster 30 avec une portée de plus de 120 km. Intégration d’une suite complète de lutte anti-sous-marine. Ces changements n’ont pas échappé à la Marine nationale française. Les Français envisagent déjà d’équiper leurs propres FREMM et FDI avec des systèmes choisis par la Grèce, tirant des enseignements de la mer Rouge et du front ukrainien. Les yeux de la Marine tournés vers l’équipage de la « KIMON » Aucun essai n’est effectué sans la présence de membres de la Marine grecque. À Lorient, un détachement permanent d’inspection est présent, et 48 membres d’équipage sont déjà à bord. Ils apprennent et s’entraînent sur chaque système du navire afin que, le moment venu, ils puissent l’exploiter au maximum de ses capacités. Les frégates FDI HN se distinguent par leur capacité à faire face simultanément à de multiples menaces : Neutralisation d’attaques aériennes massives. Protection dans le cadre d’escortes navales. Détection et destruction de sous-marins en grande profondeur. Capacité de frappe à longue distance avec des armes guidées. La livraison de la « KIMON » ne constitue pas un événement isolé, mais le début du renouvellement complet du noyau de la flotte. Combinée aux programmes de modernisation des MEKO, des vedettes lance-missiles et des sous-marins, la Marine grecque se dote d’un réseau de navires capables d’opérer dans un environnement centré sur le réseau, échangeant des données en temps réel avec l’armée de l’air et le système de défense aérienne du pays. 2 6 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
GR_Silent Posté(e) le 11 août Share Posté(e) le 11 août La Corée du Sud propose des sous-marins de type « Dosan Ahn Chang-ho » à la Grèce https://www.opex360.com/2025/08/11/la-coree-du-sud-propose-des-sous-marins-de-type-dosan-ahn-chang-ho-a-la-grece/ 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) le 19 août Share Posté(e) le 19 août Les Turcs se plaignent du mode de financement de la 4ème FDI https://turdef.com/article/greece-eyes-safe-loan-for-fourth-fdi-class-frigate-purchase La Grèce envisage un prêt SAFE pour l'achat d'une quatrième frégate de classe FDI 18 août 2025, 15h09 Athènes pourrait utiliser les prêts SAFE de l'UE pour acheter une quatrième frégate française d'investissement étranger direct, ce qui soulève un débat sur la question de savoir si les fonds destinés à contrer la Russie devraient financer la rivalité gréco-turque. La Grèce envisage d'utiliser un financement de l'Union européenne au titre du règlement SAFE (Security Action for Europe) pour financer l'acquisition d'une quatrième frégate de classe FDI, baptisée Themistocles, ont confirmé des responsables à Athènes. Si cette proposition est mise en œuvre, ce serait la première fois que la Grèce affecte des prêts SAFE à un programme d'acquisition navale majeur. Cette initiative soulève la question de savoir si un tel financement, destiné à contrer l'agression russe, devrait être affecté à des acquisitions principalement dirigées contre la Turquie. Le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis a annoncé plus tôt ce mois-ci qu'Athènes bénéficierait d'environ 1,2 milliard d'euros de prêts garantis par le SAFE. Le coût estimé du Themistocles est légèrement inférieur à ce montant, et les contacts en cours avec Paris sur la coopération industrielle pourraient satisfaire aux critères d'éligibilité du SAFE, qui prévoient des coentreprises et une part minimale de contenu européen. Les responsables ont déclaré que ce plan témoigne de la volonté du gouvernement d'accélérer un programme déjà approuvé par le Conseil gouvernemental des affaires étrangères et de la défense. Les procédures SAFE devraient s'achever en novembre, mais une annonce pourrait intervenir dès septembre. Si Athènes va de l'avant, cela nécessitera une redéfinition des priorités dans le cadre du Plan d'équipement de défense à long terme sur 12 ans, ce qui pourrait entraîner des retards dans des projets tels que la production de véhicules polyvalents. La marine grecque décrit cet accord d'investissement étranger direct comme sa plus importante amélioration depuis quatre décennies. La Grèce construit déjà trois frégates en France, toutes modifiées pour emporter des missiles de croisière. Le Themistocles sera équipé pour ce rôle dès le départ, ce qui contribuera à un coût final qui devrait dépasser l'estimation initiale de 980 millions d'euros. Le gouvernement a souligné l'importance de renforcer la participation nationale au programme. Actuellement, les chantiers navals et les entreprises de défense grecs se consacrent principalement à des tâches de faible technicité, comme le soudage de sections préfabriquées, tandis que les systèmes critiques – radars, capteurs, électronique – sont importés. Une situation similaire s'applique aux modernisations de la classe MEKO aux chantiers navals de Skaramangas. Les responsables affirment que l'objectif est de développer la base industrielle nationale tout en garantissant les délais de livraison et des capacités avancées. Tensions autour de l'éligibilité au SAFE Les prêts SAFE ont été introduits en 2025 pour aider les États membres de l'UE à répondre à la guerre menée par la Russie en Ukraine et à renforcer les capacités de défense européennes collectives. Les règles de financement exigent que les projets renforcent les priorités de défense de l'UE ou de l'OTAN, avec un minimum de 65 % de la production en Europe. TurDef se demande si les prêts SAFE destinés à financer une frégate destinée à renforcer la dissuasion grecque en mer Égée pourraient s'avérer politiquement controversés. Bien qu'Athènes puisse inscrire le projet dans le cadre de la sécurité maritime et de la protection du corridor énergétique de l'UE, les critiques de TurDef affirment qu'il porte atteinte à l'« esprit » du programme, explicitement lié à la lutte contre les menaces russes. La Turquie, bien que non membre de l'UE, est un allié de l'OTAN, et Ankara pourrait considérer ce financement comme contradictoire avec les objectifs affichés du bloc. Les capitales européennes pourraient également se demander si l'allocation de fonds à des rivalités bilatérales s'inscrit dans le cadre du SAFE. Pour la Grèce, cependant, cette mesure allégerait le fardeau fiscal de la modernisation navale tout en ancrant plus profondément le programme d'IDE dans le cadre industriel de la défense de l'UE. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Patrick Posté(e) le 19 août C’est un message populaire. Share Posté(e) le 19 août il y a une heure, Alberas a dit : Les Turcs se plaignent du mode de financement de la 4ème FDI https://turdef.com/article/greece-eyes-safe-loan-for-fourth-fdi-class-frigate-purchase La Grèce envisage un prêt SAFE pour l'achat d'une quatrième frégate de classe FDI 18 août 2025, 15h09 Athènes pourrait utiliser les prêts SAFE de l'UE pour acheter une quatrième frégate française d'investissement étranger direct, ce qui soulève un débat sur la question de savoir si les fonds destinés à contrer la Russie devraient financer la rivalité gréco-turque. La Grèce envisage d'utiliser un financement de l'Union européenne au titre du règlement SAFE (Security Action for Europe) pour financer l'acquisition d'une quatrième frégate de classe FDI, baptisée Themistocles, ont confirmé des responsables à Athènes. Si cette proposition est mise en œuvre, ce serait la première fois que la Grèce affecte des prêts SAFE à un programme d'acquisition navale majeur. Cette initiative soulève la question de savoir si un tel financement, destiné à contrer l'agression russe, devrait être affecté à des acquisitions principalement dirigées contre la Turquie. Le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis a annoncé plus tôt ce mois-ci qu'Athènes bénéficierait d'environ 1,2 milliard d'euros de prêts garantis par le SAFE. Le coût estimé du Themistocles est légèrement inférieur à ce montant, et les contacts en cours avec Paris sur la coopération industrielle pourraient satisfaire aux critères d'éligibilité du SAFE, qui prévoient des coentreprises et une part minimale de contenu européen. Les responsables ont déclaré que ce plan témoigne de la volonté du gouvernement d'accélérer un programme déjà approuvé par le Conseil gouvernemental des affaires étrangères et de la défense. Les procédures SAFE devraient s'achever en novembre, mais une annonce pourrait intervenir dès septembre. Si Athènes va de l'avant, cela nécessitera une redéfinition des priorités dans le cadre du Plan d'équipement de défense à long terme sur 12 ans, ce qui pourrait entraîner des retards dans des projets tels que la production de véhicules polyvalents. La marine grecque décrit cet accord d'investissement étranger direct comme sa plus importante amélioration depuis quatre décennies. La Grèce construit déjà trois frégates en France, toutes modifiées pour emporter des missiles de croisière. Le Themistocles sera équipé pour ce rôle dès le départ, ce qui contribuera à un coût final qui devrait dépasser l'estimation initiale de 980 millions d'euros. Le gouvernement a souligné l'importance de renforcer la participation nationale au programme. Actuellement, les chantiers navals et les entreprises de défense grecs se consacrent principalement à des tâches de faible technicité, comme le soudage de sections préfabriquées, tandis que les systèmes critiques – radars, capteurs, électronique – sont importés. Une situation similaire s'applique aux modernisations de la classe MEKO aux chantiers navals de Skaramangas. Les responsables affirment que l'objectif est de développer la base industrielle nationale tout en garantissant les délais de livraison et des capacités avancées. Tensions autour de l'éligibilité au SAFE Les prêts SAFE ont été introduits en 2025 pour aider les États membres de l'UE à répondre à la guerre menée par la Russie en Ukraine et à renforcer les capacités de défense européennes collectives. Les règles de financement exigent que les projets renforcent les priorités de défense de l'UE ou de l'OTAN, avec un minimum de 65 % de la production en Europe. TurDef se demande si les prêts SAFE destinés à financer une frégate destinée à renforcer la dissuasion grecque en mer Égée pourraient s'avérer politiquement controversés. Bien qu'Athènes puisse inscrire le projet dans le cadre de la sécurité maritime et de la protection du corridor énergétique de l'UE, les critiques de TurDef affirment qu'il porte atteinte à l'« esprit » du programme, explicitement lié à la lutte contre les menaces russes. La Turquie, bien que non membre de l'UE, est un allié de l'OTAN, et Ankara pourrait considérer ce financement comme contradictoire avec les objectifs affichés du bloc. Les capitales européennes pourraient également se demander si l'allocation de fonds à des rivalités bilatérales s'inscrit dans le cadre du SAFE. Pour la Grèce, cependant, cette mesure allégerait le fardeau fiscal de la modernisation navale tout en ancrant plus profondément le programme d'IDE dans le cadre industriel de la défense de l'UE. La turquie est membre de l'UE? Non. La turquie a raclé des fonds de l'UE depuis des annés, des dizaines de milliards même, pour en retour être un soutien du terrorisme et des filières d'immigration illégale qui font peser un risque croissant sur l'UE? Oui. Donc qu'ils chialent plus fort, c'est une douce musique à nos oreilles. 1 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 19 août Share Posté(e) le 19 août Affirmer que l'acquisition de la 4e FDI est dirigée contre la Turquie est une manœuvre assez grossière, non ? Ça a été exprimé quelque part par les grecs ? Non ? Bon alors seul le motif officiel (renforcer la sécurité de l'UE face à la Russie) est entendable. Le reste, c'est de la poésie (turque). 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. GR_Silent Posté(e) le 20 août C’est un message populaire. Share Posté(e) le 20 août (modifié) La Marine hellénique informée et préparée pour le coût final des Bergamini https://navaldefence.gr/hellenic-navy-knows-aboit-final-price-for-it-fremm/ Ces derniers jours, la presse grecque a relayé des informations concernant le coût « inattenduement élevé » des deux frégates italiennes de classe Bergamini, actuellement en négociation pour la Marine hellénique. Ainsi, sur le site www.doureios.com, notre confrère S. Vlassis a évoqué un montant d’environ 1 milliard d’euros (au total pour les deux bâtiments). Nous présentons donc ici nos propres informations exclusives. En réalité, l’acquisition des deux frégates, avec les travaux nécessaires de maintenance (comprenant un passage en cale sèche, probablement dans un chantier naval grec), avec tous les systèmes mais sans armement, est estimée à 580 millions d’euros. Ce prix n’inclut pas le sonar remorqué CAPTAS-4 supplémentaire indispensable pour équiper le Carlo Bergamini et lui donner les mêmes capacités de lutte anti-sous-marine que la Virginio Fasan (l’autre navire concerné). Comme on le sait, la Marine italienne dispose de deux « sous-classes » de Bergamini : quatre à vocation anti-sous-marine (dont fait partie la Virginio Fasan) et quatre polyvalentes, qui diffèrent en termes d’équipement. Par la suite, les navires devront être armés, et un contrat de soutien logistique à long terme (Follow On Support) devra être signé afin de garantir la disponibilité opérationnelle de cette nouvelle classe au sein de la Marine hellénique. Il faudra également former les équipages grecs, acquérir des outils spécialisés, des infrastructures et des pièces de rechange en quantités déterminées par la Marine. Par conséquent, le coût final des deux frégates dépassera nettement les 580 millions d’euros. Toutefois, nos sources assurent que ces dépenses additionnelles ont été prévues/budgétisées par la Marine hellénique dans d’autres lignes du programme d’armement à long terme (ΜΠΑΕ). La Marine n’a donc pas été « prise de court » par le coût final prévisible. De plus, les Italiens sont réputés pour leur transparence en matière de facturation, et la Marine hellénique est informée de chaque euro à verser. Comme on peut s’y attendre, des efforts sérieux sont toutefois déployés pour limiter le prix, les discussions progressant également sur d’autres programmes navals importants, en particulier la 4e FDI et la modernisation des MEKO200HN. La Marine n’a pas encore décidé si elle achètera de nouveaux missiles antinavires Exocet MM40 Block 3c pour équiper les Bergamini, ou si elle utilisera ses stocks existants. Elle envisage également, à plus long terme, l’acquisition d’une nouvelle génération de missiles antinavires : soit la dernière version du missile norvégien NSM, soit une solution supersonique occidentale attendue dans les prochaines années. Pour l’instant, la Marine est satisfaite des Exocet, notamment des plus récents MM40 Block 3c, mais elle doit progressivement remplacer ses plus anciens RGM-84 Harpoon. Tant que cette transition n’est pas réalisée dans son ensemble, elle n’a pas l’intention d’investir massivement dans de nouveaux missiles immédiatement. Les bonnes nouvelles du « front italien » sont doubles. Premièrement, les négociations avancent rapidement et la signature d’un mémorandum d’entente avec la Marine italienne pourrait intervenir d’ici fin 2025. Une fois les navires réservés par la Grèce, la Marine italienne les « revendra » à Fincantieri, qui les remettra en état avant de les livrer à la Marine hellénique. L’accord, bien que complexe, progresse, les Italiens étant décrits comme particulièrement coopératifs. La deuxième bonne nouvelle est la confirmation de la disponibilité de deux autres frégates Bergamini, en plus des premières. Leur libération dépend des livraisons des nouvelles FREMM EVO, version la plus récente de la classe, dont la construction vient juste de débuter pour la Marine italienne. Leur éventuelle acquisition par la Grèce pourrait donc intervenir vers 2030-2031 (si tout se passe bien). Enfin, il convient de rappeler que la Marine hellénique a bouclé le dossier de la 4e FDI à un prix jugé satisfaisant par la partie grecque. Les Français souhaitaient cette commande supplémentaire, et pour la Marine hellénique, la 4e FDI était indispensable pour assurer la cohérence de ses plans opérationnels. La décision finale pourrait être annoncée par le Premier ministre lors de la Foire internationale de Thessalonique, en même temps que la modernisation des MEKO200HN. @gianks, cette nouvelle pourrait t’intéresser. Modifié le 20 août par GR_Silent 6 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 20 août Share Posté(e) le 20 août Un peu du mal à voir l'interet des FREMM? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
GR_Silent Posté(e) le 20 août Share Posté(e) le 20 août Je n’ai pas compris votre question, qu’entendez-vous exactement par la difficulté à comprendre le sens des FREMM ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 20 août Share Posté(e) le 20 août (modifié) Il y a 1 heure, mgtstrategy a dit : Un peu du mal à voir l'interet des FREMM? A mon avis c’est surtout que les budgets grecs restent limités et qu’ils estiment avoir besoin d’une masse critique de navires. Pour le prix d’une FDI neuve ils peuvent s’offrir 2 FREMM d’occasion. Quand on voit leur flotte actuelle, s’ils alignent 4 FDI et 4 FREMM en 2032 ce sera déjà un sacré bond en avant. Il y a aussi le programme des corvettes EPC qui pourraient venir remplacer les MEKO. Modifié le 20 août par Titus K 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 20 août Share Posté(e) le 20 août il y a 3 minutes, Titus K a dit : A mon avis c’est surtout que les budgets grecs restent limités et qu’ils estiment avoir besoin d’une masse critique de navires. Pour le prix d’une FDI neuve ils peuvent s’offrir 2 FREMM d’occasion. Peut-être aussi que la disponibilité rapide des Fremms italiennes rendait un second marché FDI plus compliqué. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gianks Posté(e) le 20 août Share Posté(e) le 20 août La conversion de la version FREMM-GP (Bergamini) à la version FREMM-ASW (Fasan) n'est pas une opération simple et n'implique pas la "simple" installation du CAPTAS4. La partie arrière des GP a été optimisée pour répondre aux besoins de la version sans sonar: aucune préparation structurelle ni système n'a été effectuée. Aucun FFBNW. En fait, il a toujours été dit que la conversion était très coûteuse et nécessitait de démonter et de reconstruire toute la partie arrière pour accueillir le CAPTAS. 3 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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