Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Le Ground Combat Vehicle est lancé pour 2017.


Serge

Messages recommandés

  • 3 weeks later...

Une vrai guerre a lieu en ce moment sur le GCV:

GCV Competitors Push Back Against Critical Government Report

Apr. 4, 2013 - 06:17PM

By PAUL McLEARY

WASHINGTON — The U.S. Congressional Budget Office (CBO) stirred up controversy on April 2 when it released a highly critical report on the Army’s Ground Combat Vehicle (GCV) program, just days before the fiscal 2014 budget was set to be released.

But the two companies in the running to win up to $29 billion in GCV work by the end of the decade reacted sharply to the report, with executives saying the government analysts evaluated requirements that haven’t been current since March 2011 while not taking into account significant program changes since then.

The CBO admits that it used data first published by the Army in 2010 to conduct its analysis, but did so because it had no more current data. In footnotes, the analysts do make mention of the January 2013 changes in program, which have shifted cost estimates and the program’s timeline.

While the report doesn’t make any hard recommendations, it does outline four options the Army could choose in developing a next-generation armored combat vehicle starting in 2019:

• Purchase the Israeli Namer armored personnel carrier.

• Significantly upgrade the Bradley infantry fighting vehicle by buying new vehicles.

• Purchase the German-made Puma infantry fighting vehicle.

• Cancel the GCV program outright and extend the lifecycle of the current Bradley fleet.

Overall, the CBO maintained that the Puma rated the highest when weighing four areas: protection and survivability, lethality, mobility, and passenger capacity.

Steve Franz, senior director of the GCV program at General Dynamics Land Systems, said that by focusing on those four capabilities the CBO ignored other critical Army requirements, including the ability of the vehicle to adopt the latest communications technologies, the need for the vehicle to incrementally accept modernization over time, and the need for long-term sustainability.

To ignore the incremental modernization requirement is to ignore “probably one of the most critical capabilities that the GCV will bring to the table,” Franz said. What’s more, “leaving communications out certainly glosses over a major capability” that the service is looking for.

The Army is preparing to field the first increment of its vehicle-mounted WIN-T communications network this year to two brigade combat teams deploying to Afghanistan, and the ability to accept the network is a critical component not only for the GCV, but also for the Joint Light Tactical Vehicle and the Armored Multi-Purpose Vehicle.

The service is trying, with some difficulty, to find ways to install the network on the Bradley and the Abrams tank, and plans to include the capability on all future vehicles.

The data the CBO used to conduct its study “was not consistent with the design we’re putting forward for the GCV,” Franz said.

BAE Systems’ Mark Signorelli offered a similar criticism, saying “the notional GCV that they did their comparisons to bears no resemblance to the requirements that the program issued.”

Signorelli, the president and general manager of vehicle systems at BAE Systems Land and Armaments division, added that since the CBO used the old report, it used an “old set of data and they did a great analysis [of that] but none of the data that they were using was reflective of the current program.”

When the GCV program kicked off, BAE looked at all of the vehicles that the CBO assessed in its report, “and we would have loved to offer an upgraded Bradley that met the GCV requirements, but our assessment was that an upgraded Bradley that met all of these requirements wasn’t a Bradley, it was a GCV.”

A proposed version of the Puma IFV had already been assessed by the Army for the GCV requirement, but it had been rejected when the Army awarded two Technology Development contracts worth $878 million to BAE Systems and General Dynamics in August 2011.

Defense contractor SAIC had partnered with Boeing and two German companies, Krauss-Maffei Wegmann and Rheinmetall Defence to offer the Puma, which the German Army has been using since 2009. The team filed a protest, which was denied in December 2011.

Both executives also confirmed that although the report rates other vehicles as having greater firepower, both companies are offering 30mm guns mounted on their platforms, as opposed to the 25mm requirement found in earlier iterations of the program.

It is estimated the Army will have to spend $29 billion between 2014 and 2030 on 1,748 GCVs.

Un Bradley amélioré et simplifié serait pas mal pour moi.
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Y a pas un soucis de proportion sur cette image ? Ou alors les soldats rentrent allongé dans le tank ?  :lol:

C'est trompeur sur l'image posté au dessus. Regarde ici pour avoir une idée des proportions. C'est la version bi moteur arriere - un dans chaque sponson - l'autre au dessus c'est la version monomoteur avant, mais je pense que les dimension de la caisse sont identiques sur les deux proto du meme constructeur.

70t sans les grosses protections additionnelles latérales ... 84t avec.

http://www.trucktrend.com/features/news/2012/163_news120312_bae_systems_hybrid_tank/photo_02.html

Image IPB

Image IPB

Image IPB

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est une toutelle 40 ? je vois pas cette chose pesé 70 tonnes , le transport serait apocalyptique et hors de prix  mais surtout vu la surface de chenille au premier point difficile il va se planter et rien ne pourra le sortir...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

70t pour un VCI ??!! :O

Les américains font vraiment dans las surenchère là. Ce truc ressemble à un Bradley encore plus lourd et pataud. Or il me semble que c'était déjà un gros problème avec ce dernier.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Image IPB

Bien que le rapport ne fait pas de recommandations durs, elle ne décrivent quatre options que l'armée pouvait choisir dans le développement d'un véhicule de la prochaine génération blindé de combat à compter de 2019:

• Procurez-vous le Namer israélien véhicule blindé.

• d'améliorer considérablement le véhicule de combat d'infanterie Bradley en achetant de nouveaux véhicules.

• Acheter le véhicule de fabrication allemande Puma de combat d'infanterie.

• Annuler le programme GCV pure et simple et de prolonger la durée de vie de la flotte actuelle Bradley.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un article Suisse, jamais ils n'acheteront de blindés à l'Europe

Le char de grenadiers CV 90 CH n'a pas été retenu lors d'une évaluation menée en Allemagne sur un nouveau char , et qu'il est même arrivé à la dernière place. L'une des raisons principales en serait la mauvaise protection qu'il offre contre les mines.

A cet égard, je pose les questions suivantes au Conseil fédéral:

1. Est-il exact que le char de grenadiers CV 90 CH s'est si mal classé lors de l'évaluation menée en Allemagne?

2. Est-il exact qu'une des raisons en est que ce char offre une moins bonne protection contre les mines que ses concurrents?

3. Est-il exact que la conception de base du char CV 90 CH repose sur une conception technique qui date des années septante et quatre-vingt?

4 Le Conseil fédéral est-il d'accord avec l'allégation des experts allemands qui ont testé le char, selon laquelle, comme on dispose de peu de réserve pour augmenter le poids du char, le potentiel d'amélioration de l'équipement est presque nul, ce qui remet en question l'utilisation de ce véhicule à long terme?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

et pourquoi pas le CV90?

ça n'a pas de sens leur liste de course: le Namer emporte 12 soldats mais n'a pas de tourelles lourdes; le Puma emporte 6 personnes et a une tourelle de 30mm.

Le CV90 est a mon avis trop petit - les 6 places sont vraiment toutes petites - et trop léger - train roulant ne supportera pas le blindage exigé par l'army, le moteur sera sur les rotules - .

Les exigences de l'army sont super élevées pour pas dire délirantes ... c'est la raison pour laquelle on arrive a un gcv délirant.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai l'impression qu'ils ne savent pas trop où aller. Leur liste est assez curieuse, on a l'impression que ça part dans tous les sens : du Namer super lourd et intransportable au Bradley que l'on va encore chercher à modifier et à faire durer.

Leurs entreprises sont-elles encore en mesure de concevoir un engin autochtone à des prix non prohibitifs ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Leurs entreprises sont-elles encore en mesure de concevoir un engin autochtone à des prix non prohibitifs?

Ce sont les spec des clients qui sont délirantes ...

Bonjour je voudrais un star destroyer sur chenille ... avec ca forcément ca va te couter cher. Les mecs veut le même blindage qu'un M1 mais sur un camping car!!! un moteur de 1500cv au moins, et un train roulant capable de supporter jusqu'a 84t!!! imagine la gueule de l'AMX10P a coté :lol: forcément c'est 5 fois plus gros donc au moins 5 fois plus cher.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Certes, mais il n'y a pas une boîte pour proposer un modèle hors gabarit pour le concours, quitte à le faire sur fonds propres, histoire d'appâter le client ?

Sinon, pour ton star destroyer sur chenilles, tu préfères avec ou sans générateur de gravité artificielle ? :oops:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Certes, mais il n'y a pas une boîte pour proposer un modèle hors gabarit pour le concours, quitte à le faire sur fonds propres, histoire d'appâter le client ?

Ce genre de programme ne cherche pas de solution sur étagère. S'il y en une, temps mieux sinon temps pis. Le client défini ce qu'il veut et les fabriquants s'alignent.

Le problème porte bien sur les attentes de l'US-Army. Le blindage, je comprends. En revanche, c'est la puissance de feux qui me gêne.

Au fait, une question:

Le GCV est sensé remplacer les M2. Mais que remplacera les M3?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce qui me gêne pour la survie d'un programme c'est quand parmi 4 options il reste celle-ci :

"• Annuler le programme GCV pure et simple et de prolonger la durée de vie de la flotte actuelle Bradley."

Car alors, il n'est pas "nécessaire "

Alors en plus en période de séquestration budgétaire ...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est du n'importe quoi, ils cherchent le mouton à 5 pattes.

Dans le meilleur des cas ça va finir comme avec les LCS avec l'impossibilité de choisir une seule plateforme et dans le pire des cas avec un monstre coûtant son poids en or, moyen en tout et bon à rien.

Pour l'instant le programme se déroule comme celui du Bradley : le cahier des charges c'est la fête du slip, les coûts s'envolent et le planning dérape de plus en plus.

Ils fument du crack au Pentagone ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce qui me gêne pour la survie d'un programme c'est quand parmi 4 options il reste celle-ci :

"• Annuler le programme GCV pure et simple et de prolonger la durée de vie de la flotte actuelle Bradley."

Car alors, il n'est pas "nécessaire "

Alors en plus en période de séquestration budgétaire ...

Oui, à ceci prêt que s'il est juste de dire que l'US-Army aime les moutons à cinq pattes,  il faut prendre en compte deux choses au-delà des VBCI :

- Il faut assumer les conséquences de la coexistence du GCV avec "l'après-M1 Abrams".

- La réalité de la nature expéditionnaire des conflits à venir pour les EUA.

En admettant qu'elle a assez de moyens anti-chars, l'US-Army vient d'admettre qu'elle possède tout ce dont elle a besoin en puissance de feu ("enfin", me direz vous.). L'armement des VBCI américains n'est donc plus la priorité. Celle-ci porte maintenant sur la protection* et le volume du groupe embarqué.

L'absence d'un après-Abrams pose le problème qu'ils ne pourront se permettre d'avoir deux trains de roulement différents dans 30 ans. Je suis convaincu que si un VBTT-L est l'avenir, celui-ci devra partager une grande partie de son train de roulement avec l'apres-Abrams (Rappelons-nous du Crusader qui devait introduire un moteur commun avec l'Abrams, que le dépanneur M-88A2 a ses propres pièces détachées...).

Enfin, est-il absolument nécessaire à l'US-Army d'avoir un unique VBCI à 2800 exemplaires tout de suite? Ne sommes-nous pas dans une période de transition où les conflits se font avec des corps expéditionnaires de circonstance?

Considérant cela, je ferais la chose suivante:

- je financerais les programmes de recherche sur les trains de roulements et motorisations lourds. Hybride, électrique, bandtrack... Le but serait de réduire les risques technologiques en prévision de l'après Abrams.

- je lancerais un programme de réduction de coût sur le Bradley. Il y aurait dépose du missile pour simplifier la maintenance. Le but serait d'avoir une force de deuxième niveau jusqu'à l'arrivée de la force lourde future dans 30 ans. Elle serait capable d'être engagée contre des ennemis d'importance secondaire sachant que le Bradley n'est pas que ridicule.

- Enfin, je produirais un Bradley A4 en VBTT avec des châssis neufs (comme les anglais qui ont fait des Scimitar Mk-2 avec un châssis nouveau.). Volume: 1000 VBTT plus les blindés d'accompagnement. Il y aurait deux objectifs:

  1) Avoir une force lourde de belle taille capable d'être engagée sur des ennemis sérieux, durcis. Le tout à un coût réduit car économisant la R&D.

  2) Faire tourner les lignes de fabrication de blindés jusqu'à l'arrivée de la force lourde future.

Cette approche tient compte de la réalité américaine qui dispose de capacités enviables actuellement. Tant qu'ils ne remplacent pas leurs chars, ont-ils besoin d'un VBCI hight-tech? Non. En revanche, ils ont besoin de rationaliser leurs dépenses en préservant l'emploi.

La priorité tactique à l'heure actuelle a deux volets:

  - augmenter le volume du groupe embarqué (cet enseignement vient en fait des Stryker qui fut une révolution).

  - obtenir une "immunité" contre les mines.

Réunir ces deux points donnerait à la force lourde américaine un temps d'avance largement suffisant en attente de faire un saut futur plus radical. Un Bradley A4 en configuration 2+8 et un plancher anti-mine serait cohérent.

* un point sur l'importance du blindage.

Le blindage n'est pas seulement un facteur de survie du blindé donc de la force. Ce n'est pas seulement la clef de voûte de la "mobilité tactique" si chère à Y. Tal. C'est une contrainte politique.

Plus une force est blindée, plus cela donne de la souplesse à la décision politique dans la conduite d'une guerre. Un blindé de trop qui se fait percer, c'est une crise politique probable. Un blindé qui ne perce pas, c'est une demande d'appui feu nécessaire.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    6 002
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Crakoukace
    Membre le plus récent
    Crakoukace
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...