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cia (assasinats)


Invité Guest

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Bonjour Je voudrais savoir si vous aviez des infos sur les assassinats commis par la cia et la nsa depuis que le congres a accepte ces actes. Comment sont recrute les assassins? Comment est fait un assassinat? Les armes utilises? Merci

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Je crois pas qu'il y est de dossier sur ces "assassinats". En théorie ils sont interdits depuis 1976 et j'ai pas entenud parler de remise en cause malgré le 11/09. Puis c'est pas dans le style de la NSA de commettre ce genre de chose. Eux c'est plutot au chaud dans leur bureau entrain de décrypter un message ou analyser une photo satellite.

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Pour ma part je pense qu'ils sont tjs d'actualité mais il n'existe pas de dossiers. Ca doit être des contrats verbaux, comme ça il n'y a pas de trace. Ce sont surement des agents propres à la CIA qui font ce boulot la plupart du temps. Pour les armes c'est a peu près tout ce qu'il existe. Tout dépend du but ou du message à faire passer. Qu' on ne me dise pas que ça n'existe plus. Quel pays refuserait d'utiliser des moyens pareils si pour sauver x dizaines de ses concitoyens il ne devrait qu'abattre une ou plusieurs personnes. Cela s'applique aussi pour des intérêts économiques très importants je suppose ;)

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Il me semble que les américains ont assassinés des terroristes via leur drone predator (au quatar je crois).

Assassiner n'est pas le mot approprié ,on dit plus traîter une cible hostile par les drones de la CIA.

Sinon à l'époque ,le président GWB ou DC en avaient donné l'ordre : une sorte de "licence to kill"

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il y a déja un certain temps sur arté un doc sur la cia(que j'ai en vhs) était passé (que j'avais même revu sur le cable chez un copain d'ailleur)savez vous combien de fois la c.i.a à essayé de tuer fidel castro?non?...et bien 8 ou 9 fois sans y parvenir c'est dingue non? il faut savoir que la c.i.a est dans quasiment tout les coups fourré ou coup d'états de la planéte le seul qui n'a pas pas fait travailler l'agence c'est bill clinton ce qui l'intérréssait lui,c'était de savoir quel chef d'état couchait avec qui si!!si!! c'est dans le reportage et dit par un ancien de la c.i.a des opérations spécial,ahhh!!sacré bill va. :D

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pour sur que la france assasine des terroristes,je parie que certain agent ce balade en cote d'ivoire :D . pour ce qui est de la cia , ils ont utilisés un predator pour tué un gros bonnet d'al quaida au yemen.les israeliens traque actuellement les assasins responsables des attentas a charm el sheirk,et monbassa. les chinois doivent certainement avoir quelques assasins infiltré a taiwan et pret a assasiné les dirigants taiwanais en cas de guerre ouverte.

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vous croyez que la france fait ce genre de choses.

Ce serait la dgse ou la dst qui fait ca?

la france l'a fait pendant la guerre d'algérie. le sdece à cette époque était très active. y a pas mal de traficant d'arme qui se sont fait tué
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La question de numeror est :" Vous croyez que la dgse ou dst font ce genre de chose ?" la question est au présent ,c'est à dire en ce moment est-ce que nos agents font ce genre de chose ?

Durant la guerre d'Algérie ,les services spéciaux le faisaient ....mais en ce moment ,est-ce que nos services actions sont autorisés à éliminer ? Est-ce qu'en ce moment la division action fait des missions "Homo" ? missions Homo signifiant :élimination physique ou enlèvement de personnes dangereuses pour la sécurité du pays.

Il y a une opacité :lol: dans les réponses.

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Croyez-vous que si légalement elles sont interdites, pratiquement et professionellement elles le sont? A l'heure du politiquement correct tout le monde joue un semblant de transparence et de "nous désapprouvons cela et faisons en sorte que...". Je pense que oui on peut le dire au présent mais il nous sera très dur d'en trouver une trace ;)

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Disons que si elle devait le faire (assassiner ses ennemis) la France le ferait, mais maintenant quel ennemi vraiment dangereux à la France? Contrairement à l'Angleterre, Al Qhaeda n'as pas frappé en France. Et qui menacent actuellement la France? Au fait, est ce que la Belgique à des services secrets?

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Pour "Défensa" qui à la "position" que l'on sait, cette article ou l'on parle d'hypothées sur des rumeurs ne me surprend pas :rolleyes: Pour Castro, je rapelle que la CIA n'avez pas d'assasins professionnels, ils se sont rabattue sur la Mafia qui à fait preuve d'une belle incompétence :twisted: La Syrie, Lybie, Iran, Corée du Nord vous élimine leurs "opposants" en plus grande quantité que l'ensemble des services secrets de l'Ouest :twisted:

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  • 2 weeks later...

C'est pas recent mais la DGSE elle a tout de meme couler le Rainbow Warrior, cela a causer la mort d'un photographe mais le bilan aurait put etre plus lourd.

http://www.nirgal.com/wakeup/rainbow/

Le 7 juillet 1985, le Rainbow Warrior, navire amiral de Greenpeace, une organisation internationale qui se consacre aux problèmes d'environnement, est arrivé à Auckland et s'amarra Quai Marsden.

C'est dans la nuit du 10 juillet 1985 que la catastrophe eue lieu. Peu avant minuit, deux engins hautement explosifs qui avaient été attachés à la coque du Rainbow Warrior peu avant détonnèrent à quelques minutes d'intervalle. La force de l'explosion fut telle qu'un trou de huit pieds de large fut ouvert dans la salle des machines sous la ligne de flottaison. Le navire coula en quelques minutes.

Plus tôt dans l'après midi, environ 30 personnes célébraient à bord un anniversaire. Au moment de l'explosion, 12 personnes, capitaine compris, étaient encore à bord. Seuls onze d'entre eux parvinrent à atteindre le quai. Fernando Pereira, membre d'équipage et photographe officiel est mort noyé alors qu'il tentait de récupérer de l'équipement photographique dans sa cabine.

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Les agents de la DGSE savaient qu'ils y avaient des personnes à bord mais avaient posés de petites charges qui devait effrayé l'équipage avant l'explosion final. Cela marcha mais le photoographe retourna à bord du navire pour recupérer son appareil helas au mauvais moment. :(

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Pour la CIA en 1960, non, elle avait des militaires, des commandos anciens de l'OSS de la 2eme GM, mais pas de tueurs professionnels, lisez le bouquin"les dents du Tigre" de Tom Clancy, il y a des annecdotes interressantes dans ce roman ou l'auteur décrit un mini service spécialisé dans l'exécution des "ennemis de l'Amérique" :twisted:

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Avec un peu plus de conviction Collectionneur va nous faire croire que les agents de la CIA ou d'un autre service sont des petits saints. :lol: si si vous allez voir ,il va nous dire qu'aucune action ciblée d'élimination n'a eu lieu ,qu'aucune tentative d'assassinat de gens hostile aux intérêts US n'a été fomentée ,que ce monde opaque et très secret est le monde merveilleux de Walt Disney 8) :lol: :D :)

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Un article du Figaro.

http://www.lefigaro.fr/international/20060106.FIG0349.html?082029

Les dangereux ratés de la CIA en Iran

Nucléaire : Un livre révèle que la centrale d'espionnage américaine a donné des plans à Téhéran pour fabriquer une bombe et s'est fait doubler par son livreur.

Vendredi 06 janvier 2006

Lorsque le régime iranien défie la communauté internationale, en annonçant la reprise de son «programme nucléaire pacifique», comme il l'a fait mardi, Washington réplique en demandant à ses alliés «d'envisager des mesures supplémentaires pour réfréner les ambitions nucléaires de l'Iran». Ce que ne dit pas l'administration américaine, c'est qu'un incroyable faux pas de ses services secrets a peut-être rapproché Téhéran de la possession de la bombe.

L'histoire est révélée par le livre de James Risen, Etat de guerre, l'histoire secrète de la CIA et de l'administration Bush, paru mardi aux Etats-Unis (1). Elle s'ajoute à l'affaire des écoutes non autorisées de la NSA, déjà dévoilées par le même reporter dans le New York Times, et à une embarrassante série de précisions sur ce que savait réellement la CIA de l'arsenal de Saddam Hussein avant l'invasion de l'Irak. En ressort un portrait à charge d'une agence déboussolée depuis la fin de la guerre froide, qui n'avait pas vu venir les attentats du 11 septembre 2001 et se prend régulièrement les pieds dans le tapis. «Aucune autre institution n'a échoué aussi complètement dans sa mission durant les années Bush», estime l'auteur.

Opération «Merlin»

L'un des exemples les plus parlants est une opération menée en 2004 sous le nom de code «Merlin». Dans la grande tradition des Pieds-Nickelés, la CIA conçoit un plan pour transmettre des documents ultrasensibles aux Iraniens en y introduisant intentionnellement une erreur qui doit les orienter sur une mauvaise voie, afin de leur faire perdre du temps dans la course à l'atome. Pour cela, ils se tournent vers un ex-transfuge russe, ingénieur atomique dans l'un des complexes les plus secrets de l'ère soviétique, payé depuis des années 5 000 dollars par mois par la CIA à ne rien faire. L'homme est réputé âpre au gain et d'un caractère difficile, mais on décide de lui faire confiance.

Des plans lui sont remis permettant de construire un système de détonation atomique TBA 480, «l'un des secrets les mieux gardés au monde», assure James Risen. Problème : il ne faut que quelques minutes au Russe naturalisé américain pour y voir une faille. Cela ne suffit pas à arrêter les concepteurs de l'opération Merlin : l'homme est envoyé à Vienne pour «donner ou vendre» son précieux secret aux représentants iraniens auprès de l'Agence internationale à l'énergie atomique (AIEA), censée lutter contre la prolifération... Il opte pour l'offre gracieuse assortie d'une lettre qui met en garde ses clients à mots couverts : «Si vous décidez de créer un engin similaire, vous allez devoir poser des questions pratiques. Pas de problème. Vous aurez les réponses mais j'entends être payé pour cela.»

Les fins limiers de la CIA n'avaient pas imaginé qu'ils se feraient doubler par plus malin qu'eux. Ils n'avaient pas non plus pensé que les Iraniens découvriraient rapidement le défaut du plan et qu'en le corrigeant, ils pourraient faire un bond précieux vers la fabrication de la bombe. Téhéran avait déjà obtenu des documents secrets auprès du chef du programme atomique pakistanais, A. Q. Khan, et pouvait sans doute les comparer à ceux du transfuge russe. «Cela a peut-être été l'une des opérations les plus irresponsables dans l'histoire moderne de la CIA, écrit Risen, contribuant à mettre l'arme atomique entre les mains d'un membre fondateur de ce que le président George W. Bush a appelé l'axe du mal.» David Albright, ancien inspecteur de l'AIEA, s'interroge dans le Los Angeles Times : «Je ne comprends pas bien pourquoi nous voudrions donner une telle chose aux Iraniens. Cela a peu de chances de marcher.»

Zone étanche autour de Bush

L'agence de Langley ne répond pas sur le fond, se contentant de dénoncer «de graves inexactitudes» dans le livre. Mais celui-ci contient d'autres révélations gênantes. Une mauvaise manipulation par un responsable des communications aurait livré à un agent double iranien l'ensemble du réseau de la CIA en Iran, conduisant à son élimination totale. En Irak, une trentaine d'émigrés aux Etats-Unis apparentés à des ingénieurs de Saddam Hussein auraient été mobilisés en septembre 2002 pour rendre visite à leurs familles et leur proposer de faire défection en échange de renseignements sur les armes de destruction massive (ADM). Tous seraient revenus en affirmant que les programmes d'ADM étaient à l'abandon depuis 1991. Un mois plus tard, la CIA produisait néanmoins un argumentaire justifiant l'entrée en guerre par la présence d'armes biologiques et chimiques et «la relance du programme nucléaire» de Saddam.

James Risen raconte aussi comment l'Afghanistan est redevenu un «narco-Etat», producteur de 87% de l'héroïne vendue dans le monde, sous le regard indifférent des soldats et des espions américains. Et il explique comment l'ambiguïté sur les tortures infligées à certains prisonniers de la guerre antiterroriste a été maintenue par une «zone de confidentialité» étanche autour de George W. Bush : le président n'a jamais rien signé et n'a même jamais été officiellement «briefé» sur le sujet. Il peut donc nier sans mentir.

(1) State of War, The Secret History of the CIA and the Bush Administration, par James Risen, Free Press, 240 pages, 26 dollars.

Cordialement,

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