Programme spatial russe

[alpacks]

Très certainement un sat sauvé par la méthode du spiralement, méthode utilisée par l'ESA pour sauver l'un de ses sat expérimental dans les années 2000 dont le lancement avait foiré : le sat n'était arrivée qu'a mi altitude prévue et on l'avait fait spiraler pendant des mois et des mois pour finir cette course et arriver tout de même a bon "port" mais avec le réservoir des tuyères directionnelles bien entamé du coup = réduction d'espérance de vie via les nombreuses corrections qu'ils doivent subir le long d'une carrière ... Ce type de sat ne fonctionnant pas sur le principe des roues a réactions comme les sats de basse altitude pour corriger orientation (normalement un géo stat a une orientation très fixe mais qui doit être parfois légèrement corrigée) mais surtout correction d'altitude car ils peuvent dériver un peu

Et dernière chose dont ils doivent être capable : changer totalement de position pour se protéger d'une forte éruption solaire (qui coupe le service pendant 48h)

Le problème étant donné que si on mange sur ce réservoir de carburant = moins de corrections et manoeuvres de préservations possibles = carrière manifestement raccourcie ...

  On donne des séries d'impulsions au sat pour qu'il continu son ascension en spiralant sur lui même, enfin dans ce cas ici il a fallu le descendre car orbite de transfert ratée ... Le truc aussi a savoir, c'est que ce genre de manoeuvre met des mois pour arriver a l'altitude définie, car la manoeuvre ne fait bouger le sat d'altitude que de quelques km/j ... Puis donner grande série de mini impulsions pour le faire cesser de spiraler : forcément ça entame bien le réservoir destiné a avoir une autonomie directionnelle d'environ 15 ans

Dans le cas de se sat il devait y avoir un autre réservoir avec du carburant : puisqu'il n'avait pas encore fait son injection géostat (une forte poussée avec un moteur + gros que les autres qui circularise l'orbite) mais impossible normalement d'aller puiser dans ce carburant la : car la circularisation demande la quasi totalité du réservoir prévu : si on commence a le boulotter ça va pas le faire

Et de toute façon ils sont construits de sorte que les 2 circuits carburants ne sont pas bi-passable de l'un a l'autre

Mais tout 2 pressurisés normalement par le même circuit d'hélium selon version

Thalès alénia a déja essayé par 2x des versions ioniques mais perdu au lancement, dommage : ils sont donc 100% chimique/combustion

[collectionneur]

La Russie déclare qu'elle va doublé sa production d'ici 2020 et annonce des tas de chiffres :

http://fr.rian.ru/science/20130112/197202460.html

Mais entre les discours et la réalité...

[aviapics]

Au moins ils ont une attitude volontariste, on ne peut pas leur reprocher. Par contre c'est vrai que ces dernieres annees ne rendent pas optimiste

[alexandreVBCI]

Le lanceur léger russe Rockot a placé en orbite trois satellites militaires, a fait savoir aux journalistes le porte-parole du ministère russe de la Défense, le colonel Alexeï Zolotoukhine.

"La fusée-porteuse Rockot, lancée mardi à 20h25 heure de Moscou (16h25 UTC), a mit en orbite un groupe de satellites à vocation militaire", a déclaré le colonel Zolotoukhine.

Il s'agit du premier lancement spatial en Russie et dans le monde entier réalisé depuis le début de l'année. La fusée a été tirée depuis le cosmodrome de Plessetsk dans la région d'Arkhanguelsk (sud). Le lancement, initialement programmé pour décembre dernier, avait été reporté au 15 janvier 2013 suite à une défaillance du bloc d'accélération Briz-KM.

Selon des sources publiques, le lanceur a mis en orbite des satellites militaires de télécommunications Strela-3M (Rodnik). Les appareils évolueront à une altitude de près de 1.500 km.

http://fr.rian.ru/science/20130116/197238832.html

[Mani]

La Russie enverra des robots sur la Lune

La Voix de la Russie

Trois appareils automatiques interplanétaires devraient être envoyés vers le satellite naturel de la Terre avant 2017. Ce projet permettra de démarrer un vaste programme lunaire russe.

La sonde Luna-Glob-1 sera la première à être envoyée vers la Lune. Son lancement est prévu pour 2015 depuis le cosmodrome Vostotchny, dont la construction est actuellement menée dans la région de l’Amour (Extrême-Orient de Russie). Cet engin spatial permettra d’étudier la surface lunaire. Il sera équipé de détecteurs d’eau et d’un appareil qui permet d’étudier la composition des échantillons du sol.

En 2016, le module orbital Luna-Glob-2 devrait être lancé. Il aura pour mission d’étudier l’espace autour de la Lune et choisir des zones qui conviennent le mieux pour les atterrisseurs des missions suivantes.

En 2017, l’atterrisseur lunaire lourd Luna-Ressours, développé en collaboration avec l'Agence spatiale indienne, devrait arriver jusqu’à la surface du satellite naturel de la Terre.

Le projet initial prévoyait en premier lieu le lancement de l’engin Luna-Ressours. Il devait être effectué en 2013. Mais après l’incident avec la sonde automatique Phobos-Grunt, les projets lunaires de l’Agence spatiale russe ont été revus. La direction de l’agence a pris la décision de ne pas se dépêcher. Le professeur Vladislav Chevtchenko, chef de l'Unité de recherche sur la Lune et les planètes de l’Institut d’astronomie russe considère qu’il est beaucoup plus important d’empêcher des avaries à répétition.

« C’est évidemment dommage que nos projets soient reportés. Mais d'un autre côté, tous les problèmes qu’a connus Phobos-Grunt étaient liés à l'équipement. Ces problèmes ne concernent pas nos programmes de recherche scientifique. Si nous nous dotons des technologies plus performantes, et corrigeons certains aspects techniques, laissés de côté pendant la préparation du premier projet, cela ne sera que pour notre mieux. Nous mettrons ainsi au point un appareil idéal avec lequel nous obtiendrons de meilleurs résultats ».

Les experts russes ont déjà choisi les points d’atterrissage pour la sonde lunaire russe. Il y en a six au total : trois se trouvent près du pôle Nord de la Lune, et les trois autres - à proximité du pôle Sud. Selon les chercheurs, il existe une probabilité d’y trouver l’eau et la glace, ce qui est l’un des objectifs principaux de ce programme. Selon l'académicien de l'Académie de l'astronautique russe Alexandre Jelezniakov, l’exploration de la Lune ouvrira la voie à l’exploration des autres planètes, notamment à l’exploration de Mars.

« La Lune est un terrain d'expérimentation exceptionnel qui nous permettra de tester et développer des technologies spatiales. Ensuite, la Lune pourrait devenir une base de recherche très précieuse, notamment pour l’étude de l’espace lointain. Ainsi, le fait de placer à sa surface le matériel astronomique et y construire un observatoire nous permettra d’avoir un regard nouveau sur les processus qui se produisent dans l'univers, et de mieux comprendre comment il a été créé. Enfin, ce n’est un secret pour personne que les ressources de notre planète s’épuiseront un jour. L'humanité devrait réfléchir aux réserves des minéraux qui sont nécessaires à son développement. Je pense que la Lune pourrait devenir une telle base. Ces trois facteurs expliquent pourquoi il faut s’intéresser davantage à la Lune et non pas à Mars ou à d’autres planètes ».

Selon les chercheurs, l’exploration de la Lune passera en phase active vers les années 2030-2040. Toutefois la Russie maintient son objectif stratégique d’effectuer un vol spatial vers Mars. L'Agence spatiale russe estime qu’une mission habitée vers la Planète Rouge pourrait être effectuée vers le milieu du XXIème siècle.

[seb24]

Encore un echec :

http://www.lefigaro.fr/sciences/2013/02/01/01008-20130201ARTFIG00544-nouvel-echec-d-une-fusee-russe-dans-le-pacifique.php

[zx]

Ce type de news est récurrent, le dernier projet russe de navette était kliper, mais l'Europe à dit non pour une éventuelle participation. c'était terminé. pas d'argent.

Et si Moscou développait une nouvelle navette spatiale

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20130207trib000747540/et-si-moscou-developpait-une-nouvelle-navette-spatiale.html

Cette nouvelle navette devrait voler dès 2020 et coûter nettement moins cher que sa rivale américaine Orion. A moins qu'il ne s'agisse d'une opération de communication pour faire

Et si la Russie développait un successeur à la navette Bourane dont le programme a été abandonné au début des années 1990 faute de moyens financiers. Le constructeur d'Etat russe de vaisseaux spatiaux, RKK Energia, a récemment dévoilé dans la presse russe le projet d'un nouveau modèle véhicule spatial baptisé provisoirement PTK (acronyme russe pour Vaisseau de Transport Piloté). Polyvalent, cet appareil, qui est destiné à la fois pour des vols habités, pourrait remplacer le lanceur russe Soyouz utilisé pour ravitailler la station spatiale internationale (ISS). RKK Energia a indiqué que le premier vol habité est prévu pour 2020. D'après ses concepteurs, PTK se rapproche par ses caractéristiques des projets américains Orion développé par le groupe américain, Lockheed Martin. Mais les experts russes ignorent si PTK sera partiellement réutilisable et quelle sera la méthode de retour sur terre.

4 milliards d'euros de crédits

Le développement du projet PTK bénéficie d'un budget de 4 milliards d'euros, dont les deux tiers iront à la création du vaisseau lui-même, tandis que le reste des investissements seront répartis entre le système de sauvetage et les équipements au sol. Le coût estimé par RKK Energia ne prend pas en compte la conception du lanceur lourd nécessaire pour propulser le véhicule habité dans l'espace. Le coût du véhicule américain Orion est quant à lui estimé autour de 8,8 milliards d'euros. Le futur lanceur lourd Angara, le plus susceptible de propulser le PKK, coûterait au moins 3,7 milliards d'euros.

Les experts russes divergent sur l'estimation des coûts de développement. Selon Ivan Moïsseïev, directeur scientifique de l'Institut de la Politique Spatiale, "la somme paraît très modeste, et c'est dans l'ordre des choses, car les coûts sont volontairement minimisés au démarrage d'un projet et s'envolent durant la fabrication". Viatcheslav Rodin estime au contraire que le projet est réalisable avec 4 milliards d'euros "à condition que les sommes ne soit pas détournées", ce qui constitue pour lui le principal problème du secteur spatial russe. "Nous disposons des moyens technique et humains pour réaliser un nouveau vaisseau habité moins cher que les américains", assure-t-il.

Une mission lunaire en 2015

L'agence spatiale russe, Roscosmos, projette parallèlement une mission lunaire automatisée dès 2015. Son patron Vladimir Popovkine l'a annoncé le 16 janvier dernier. Le vaisseau d'une demi-tonne baptisé Luna-Glob 1 partira du tout nouveau cosmodrome Vostotchny (Extrême-Orient russe), propulsé par une fusée Soyouz 2. Cette mission fait aussi partie d'un ambitieux programme d'Etat annoncé le mois dernier. Destiné à remettre sur pied l'industrie spatiale russe, Vladimir Poutine rallonge chaque année le budget alloué à Roscosmos, qui atteint 3,1 milliards d'euros cette année.

Pour l'instant, les résultats sont franchement mauvais, avec un nombre croissant d'échecs sur tous les lanceurs (Proton, Soyouz, Rokot). Dernier en date, le Zenit-3SL dont les moteurs se sont éteints 20 secondes après le lancement depuis la plate-forme flottante Sea Launch Odyssey située dans l'océan Pacifique. Selon un expert européen, "la Russie continue de disposer d'un très important savoir-faire technologiqu

[yoannc]

Il ya une petite erreur. Si je peut me permettre svp. Le kliper est mort et enterré depuis longtemp (sous toutes ses formes, ailé, non ailé etc...) dailleur sa n'etait meme pas un projet officiel, mais juste une proposition de la RKK energia (fabricant de la fusée Proton)

le prochain vaisseaux spatiale russe,  c'est sa, Le PTS :

ou ici la maquette avec poutine:

http://www.russianspaceweb.com/ptk_2012.html

[zx]

Il ya une petite erreur. Si je peut me permettre svp. Le kliper est mort et enterré depuis longtemp (sous toutes ses formes, ailé, non ailé etc...) dailleur sa n'etait meme pas un projet officiel, mais juste une proposition de la RKK energia (fabricant de la fusée Proton)

l

j'ai parlé de ce projet au passé, avant que les russes reviennent aux capsules

[yoannc]

OK, OK, c'etait juste pour faire un petit point.

[dark sidius]

Rester des heures enfermé la dedans pour un astronaute ça doit être sympa, zero place et ben bon courage, le retour au capsule est bien un bon vers le passé.

[seb24]

Rester des heures enfermé la dedans pour un astronaute ça doit être sympa, zero place et ben bon courage, le retour au capsule est bien un bon vers le passé.

C'est plutôt un pas en avant. Les russes se traînent les capsules soyuz qui sont loin d'être super spacieuses et qui commencent à accuser leur age. Le problème serait plutôt de savoir si ils vont vraiment lancer le projet ou si c'est encore de la parlote comme souvent en ce moment avec les Russes.

[yoannc]

Je dirai que le retour au capsules est plutôt un pas en avant. Cela nous permettra de nous affranchir de la limite terrestre. Une navette n'est définitivement faite que pour rester en orbite basse...

[zx]

Les capsules ont le gros avantage d'être équipées de tour de sauvetage (escape système), ce qu'on ne peut pas faire avec la navette, dans le premier cas l'équipage a une chance

de survie, dans le second cas il meurt. challenger l'a démontré. Les navettes sont une prouesse technologique mais un gros échec financier,

humain,technologique. Ensuite comme dit yoannc, une navette c'est très limité dans son utilisation, dédié à l'orbite essentiellement, vu

les inconvénients, c'était une fausse bonne idée, c'est pas le cas des capsules. le projet constellation me plaisait bien dans son concept, ares 1 pour l'orbiter

de l'équipage, ares 5 pour le cargo et les charge lourdes, dommage, programme annuler.

[yoannc]

Les capsules ont le gros avantage d'être équipées de tour de sauvetage (escape système), ce qu'on ne peut pas faire avec la navette,

Je dirai que cela dépend en fait du type de la navette. Dans le cas shuttle us, sa taille imposait d’être accolé au tank externe ( pour des raisons aérodynamique il me semble) ce qui fait qu'il n'y avait pas de système de sauvetage. Pareil pour bourane d'ailleur, mais elle, elle avait des sièges éjectables pour le sauvetage. Le même système qui sera reprit plus tard sur hermes (avec les mêmes sièges d'ailleur)

Pour kliper, la solution de sauvetage était par contre "totale" (comme les capsule en fait quoi) en effet, il était prévu qu'elle soit propulsé par des booster a poudre, qui ne serai non par sur une tour pour tracté, mais en dessous, pour la poussée et l’éloigné du lanceur, donc système fonctionnant au sol ( a la différence de grosses navettes type shuttle us / bourane)

a noter que le shuttle us a eu des sièges éjectable dans ses premiers vols (retirés par la suite)

[zx]

Dans le contexte des navettes, les sièges éjectables sont une mauvaise solution, il faut pouvoir arracher l'équipage à n'importe quel moment dans un confinement protéger. Sauf si les sieges deviennent des micro capsules autonomes pouvant être éjectées en toute circonstance.

D'ailleurs un parent américain d'un des astronautes décédés a mené une intense campagne contre la NASA vu l'impossibilité de sauver l'équipage des navettes en cas de danger. Si la NASA avait la solution, il l'aurait appliqué.

[seb24]

Dans le contexte des navettes, les sièges éjectables sont une mauvaise solution, il faut pouvoir arracher l'équipage à n'importe quel moment dans un confinement protéger. Sauf si les sieges deviennent des micro capsules autonomes pouvant être êjectées en toute circonstance.

D'ailleurs un parent américain d'un des astronautes décédés mener une intance campagne contre la NASA vu l'impossibilité de sauver l'équipage de navettes en cas de danger. Si la NASA avait la solution, il l'aurait appliqué.

Oui vu les vitesses et le milieu dans lequel évolue la navette les sièges éjectables sont presque totalement inutiles.

[dark sidius]

Le problème est que le progrés téchnologique a tjrs créé des accidents et des pèrtes, si l'on avait raisonné de la même façon avec les voitures on serait tjrs a la charette a cheval. Il y a surtout plus aucune volonté en cette période et les programmes sont vraiment nul et sans intérets téchnologiques, on ira pas plus loin avec des capsules car de toute façon tout le monde s'en fout et prend le spatial a la rigolade sur tous les continents d'ailleurs, alors qu'il est la clef du développement futur aussi bien dans les matières premières que dans les énergies futurs. Mais aujourd'hui vaut mieux surfer avec un téléphone portable que de rêver un peut a des projets novateurs et fédérants pour les nations. Je vais bien me marrer le jour ou on sera tombé a cours d'énergie en réstant le cul sur terre avec 10 milliars d'habitants en train de crever la dalle ça va être sympa, et là plus la possibilité de voir loint. Les programme spatiaux de ces 15 dernières années sont une catastrophe et les budgets sont minables, on ira plus nul part avec le type de gouvernements actuels aussi bien en Russie q'aux Etats-unis. J'ai vu étant petit la première navette spatial passé au dessus de la France et c'était un évènements qui faisait rêver tout le monde et bien depuis le monde a bien changé et pas en bien.

[seb24]

Le problème est que le progrés téchnologique a tjrs créé des accidents et des pèrtes, si l'on avait raisonné de la même façon avec les voitures on serait tjrs a la charette a cheval. Il y a surtout plus aucune volonté en cette période et les programmes sont vraiment nul et sans intérets téchnologiques, on ira pas plus loin avec des capsules car de toute façon tout le monde s'en fout et prend le spatial a la rigolade sur tous les continents d'ailleurs, alors qu'il est la clef du développement futur aussi bien dans les matières premières que dans les énergies futurs. Mais aujourd'hui vaut mieux surfer avec un téléphone portable que de rêver un peut a des projets novateurs et fédérants pour les nations. Je vais bien me marrer le jour ou on sera tombé a cours d'énergie en réstant le cul sur terre avec 10 milliars d'habitants en train de crever la dalle ça va être sympa, et là plus la possibilité de voir loint. Les programme spatiaux de ces 15 dernières années sont une catastrophe et les budgets sont minables, on ira plus nul part avec le type de gouvernements actuels aussi bien en Russie q'aux Etats-unis. J'ai vu étant petit la première navette spatial passé au dessus de la France et c'était un évènements qui faisait rêver tout le monde et bien depuis le monde a bien changé et pas en bien.

Il y a  simplement des murs technologiques. La navette que tu as vue quand tu étais petit a été un échec à tout les niveau en plus d'avoir siphonné le budget de la NASA pendant plusieurs décennies.

Du coup c'est plutôt à cause de ce genre de choix qu'on se retrouve aujourd’hui a revenir a des capsules. Actuellement y'a pas de solutions viable pour aller de la terre ferme vers les orbites basses. C'est LE point bloquant aujourd’hui et je pense pas qu'on ai une solution sous la main.

Perso je trouve au contraire qu'on repart sur des base plus saines. Et je pense que l'arrivée de la Chine et sûrement plus tard de l'Inde va sûrement relancer le secteur spatial. Avec évolutions plus régulière mais viables à terme. Alors évidement ça fait moins rêver et ça fait pas SF.

[dark sidius]

Exactement et le problème est le manque de volonté politique dans la plupart des grands pays, en fait on vie une période ou les politiciens ne sont intéressés que par ce qu'ils ont dans leurs assiettes et n'en on plus rien a foutre de l'intéret général et de la vision a long terme, sans être pessimistes mais plutot réaliste le spatial démontre totalement cette politique de renonciation a la moindre difficulté, avec ce genre de politique on court a la catastrophe, il faut regarder la glissade que sont en train de faire les pays occidentaux en ce moment la faillite général est au bout du chemin, aussi bien en Europe et a moindre échelle aux états unis, ceux qui vont tirés leur épingle du jeux seront la Chine et finalement ils le méritent. Si on mettait la politique actuelle dans le passé nous n'aurions même pas le nucléaire aujourd'hui, ils auraient été incapable de développer quoi que ce soit.

[zx]

Bon c'est du Poutin. faut voir ce qu'il en sortira. Sans doute une réponse au moteur vasimr qui commence à voir la réalisation d'un démonstrateur en vu d'un

test sur l'ISS (prévu pour 2016). je le sens pas son moteur nucléaire, mais wait and see.

Russie : Poutine promet 40 milliards d'euros pour la conquête de l'espace

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20130412trib000759090/russie-poutine-promet-40-milliards-d-euros-pour-la-conquete-de-l-espace.html

Vladimir Poutine a annoncé ce vendredi un investissement colossal de 1.600 milliards de roubles dans les programmes spatiaux d'ici à 2020. Un moteur spatial nucléaire pouvant fournir énergie et propulsion à des stations orbitales mais aussi pour un voyage vers Mars sera expérimenté dès 2018.

Malgré une série de revers rencontrés ces deux dernières années la Russie néanmoins rester une grande puissance spatiale. Et s'en donne les moyens, alors que son industrie spatiale repose en grande partie sur des acquis de l'époque soviétique. C'est l'une des priorités de Vladimir Poutine, qui a annoncé ce vendredi un investissement colossal de 1.600 milliards de roubles (39,6 milliards d'euros) dans les programmes spatiaux d'ici à 2020, lors d'une visite sur le site de construction du cosmodrome Vostotchny, à la frontière chinois, lequel doit être achevé en 2015 pour permettre à la Russie de disposer d'une alternative au cosmodrome de Baïkonour, qu'elle loue au Kazakhstan jusqu'en 2050, pour mener des missions d'exploration vers la Lune et l'espace intersidéral. « Il est clair qu'au XXIe siècle, la Russie doit préserver son statut de puissance spatiale » a déclaré Vladimir Poutine qui s'exprimait 52 ans jour pour jour après le vol dans l'espace de Youri Gagarine. Selon les experts, dans les prochaines années la demande mondiale en équipements spatiaux (...) augmentera de manière régulière", a-t-il par ailleurs souligné. Selon lui, le marché du lancement d'engins spatiaux devrait s'élever à 1.500 milliards de dollars (1.150 milliards d'euros) en 2030, contre 300 à 400 milliards aujourd'hui. Nous devons exploiter pleinement cette « fenêtre d'opportunités », a-t-il déclaré.

Voyage vers Mars

A l'occasion d'une communication vidéo avec les cosmonautes séjournant à bord de la Station spatiale internationale (ISS), le président russe a annoncé qu'une mission habitée serait lancée pour la première fois de Russie en 2018. Un moteur spatial nucléaire pouvant fournir énergie et propulsion à des stations orbitales mais aussi pour un voyage vers Mars sera expérimenté dès 2018 a déclaré Vladimir Popovkine, le chef de l'Agence spatiale russe (Roskosmos) dans un entretien publié vendredi au journal officiel Rossiïskaïa Gazeta. Selon lui, la création de ce réacteur compact d'une puissance théorique d'1 mégawatt « ouvre des possibilité totalement nouvelles dans l'espace » en permettant d'assurer dans la propulsion que l'alimentation en énergie. « Pour la première fois, on crée une installation nucléaire compacte d'une puissance de 1.000 kilowatts avec des moteurs à réaction électriques », poursuit le directeur de Roskosmos.

« Pour comparaison, les panneaux solaires de la Station spatiale internationale développent environ 100 kilowatts. Mais la station est en orbite. Pour un vol vers Mars par exemple, il faudrait une surface de panneaux solaires comparable à une dizaine de terrains de football », explique-t-il.

Missions interplanétaires

Un module équipé de ce réacteur nucléaire pourra être utilisé en qualité de « remorqueur orbital » mais aussi pour des « missions interplanétaires », souligne encore ce responsable. Pour résoudre le problème du refroidissement du réacteur, une technologie dite par « gouttes » est développée. Elle pourrait être expérimentée l'année prochaine à bord de l'ISS. Quant au réacteur lui-même, une version expérimentale de 250 kilowatts en 2018 va être expérimentée. « Il n'y a pas de système semblable dans le monde », souligne Vladimir Popovkine.

[seb24]

Bon c'est du Poutin. faut voir ce qu'il en sortira. Sans doute une réponse au moteur vasimr qui commence à voir la réalisation d'un démonstrateur en vu d'un

test sur l'ISS (prévu pour 2016). je le sens pas son moteur nucléaire, mais wait and see.

Russie : Poutine promet 40 milliards d'euros pour la conquête de l'espace

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20130412trib000759090/russie-poutine-promet-40-milliards-d-euros-pour-la-conquete-de-l-espace.html

Intéressant à suivre. 40Md€ ca fait moins de 7Md€ par ans. C'est pas énorme non plus.

[dark sidius]

Les Russes peuvent nous surprendre, perso je pense que le nucléaire est la solution pour la propulsion spatiale, un vaisseau réstant en orbite et utilisé seulement pour des transports dans le système solaire pourrait être la solution du futur, et tout risque de s'accélérer avec l'exploitation minière des astéroides dans les prochaines décennies. Putin voit grand pour la Russie et c'est tant mieux.

[seb24]

Les Russes peuvent nous surprendre, perso je pense que le nucléaire est la solution pour la propulsion spatiale, un vaisseau réstant en orbite et utilisé seulement pour des transports dans le système solaire pourrait être la solution du futur, et tout risque de s'accélérer avec l'exploitation minière des astéroides dans les prochaines décennies. Putin voit grand pour la Russie et c'est tant mieux.

Perso je reste assez mitigé pour les Russes. Ils font beaucoup d'annonces, mais au final on voit pas grand chose. Et il ont longtemps vécu sur leur acquis. Du coup y'a des chances qu'une partie du budget serve plus à rattraper leur retard et remettre en marche leur industrie. En parallèle leur économie n'est pas au top malgré la grosse manne financière du Pétrole et du Gaz. Je pense que si on voit quelque chose ce sera plutôt du coté Chinois ou US, avec pourquoi pas une petite surprise du coté européen avec le projet HiPer.

[clem200]

Putin voit grand pour la Russie et c'est tant mieux.

Ça c'est du lapsus ! ;)