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Avec une exception notable, il s'agit partout de systèmes haute pression.
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Il faut se dire qu'il n'y a pas de diplôme minimum requis pour entrer à l'armée. Demander un bilinguisme, c'est réduire fortement le nombre de candidats possible pour les volontaires (et potentiellement les sous-officiers, je ne suis pas sûr dans ce cas-là). Seuls les candidats-officiers doivent avoir un niveau de bilinguisme minimal au recrutement. Quant à la formation aux deux langues façon Légion Étrangère, c'est théoriquement possible mais ça rajoute une difficulté et un coût qu'on peut éviter. L'armée demande la connaissance d'une des deux principales langues nationales au recrutement, peu importe la provenance des candidats. On est pas non plus dans un cas de figure où on prend n'importe qui comme la Légion le fait.
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Ça dépend de l'unité je suppose. La plupart des unités son unilingue et un petit nombre sont bilingues (SFG, CHaCH, 6CIS, etc.). En théorie, tous les officiers sont aussi bilingues, en particulier à haut niveau où les exigences de bilinguisme sont plus prononcées. Dans ce cas-ci, plus ou moins la moitié des unités qui seraient formée dans le cadre de CaMo sont unilingues néerlandophones. L'usage de l'anglais dans la formation paraît du coup plus indiqué.
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C'est la tourelle du Stryker. Elle est notoirement foireuse. Sinon, on peut envisager de ressortir le MRAAS mais ça veut dire un nouveau calibre incompatible avec le reste (105CT plutôt que 105 OTAN).
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Il faut une combinaison je pense. Le combat urbain ne va pas disparaître et dans ce contexte, un FPV qui débarque au coin de la rue ou un RPG par la fenêtre, c'est pas très différent (surtout qu'un FPV peut utiliser plein de trucs pour se mettre à couvert). Personnellement, je pense que les Suédois/Sud-Africains avaient un concept avec le LEDS-150 et les Mongoose-1/3. Ça donne un lanceur multiple avec plusieurs types de projectiles: un non guidé pour la défense contre les projectiles proches (<20m) et un autre, guidé, à une distance plus large (portée max de 300m). Il faut voir si ça vaut le coup en terme de prix par contre. Sinon, dernière option, on peut essayer de voir si des lance-grenade de 40mm (×46, ×51 ou ×53mm en fonction de ce qui marche) peuvent fournir ce dont on a besoin. C'est pas idéal pour de la défense de zone mais pour un truc localisé (à 100-200m), ça pourrait peut-être marcher. Une boîte sud-africaine (Centauri) à l'air de proposer quelque chose avec un lanceur sextuple de 40×51mm pour ce rôle.
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Outre la portée lors des lancements à basse altitude mentionnée par @clem200, il y a aussi une question de coût et de modularité/flexibilité. Avec son mode de guidage multi-mode, un SmartGlider a la garantie d'être cher par rapport à une bombe planante plus simple (SDB I ou JDAM-ER) ou même une bête bombe guidée (Paveway ou JDAM). Alors certes, une AASM avec son booster n'est pas non plus bon marché (surtout comparée aux bombes guidées US qui bénéficie en plus de séries de production beaucoup plus larges) et il est difficile faire une prédiction sur ce que la différence va donner mais c'est là que la modularité entre en jeu. Une AASM n'est pas obligée d'utiliser un booster si on en a pas besoin et on peut changer le guidage en fonction des besoins de la mission ce qui peut rendre un tir beaucoup moins cher alors qu'un SmartGlider emportera toujours son guidage multi-mode, même pour un tir sur coordonnée GPS. Disposer de système bon marché est très important. Ça semble d'ailleurs être l'obsession US pour l'instant où ils modifient plein de trucs et lancent des projets de développement d'effecteurs pas cher. Un exemple assez pertinent pour cette discussion est probablement la PJDAM: une JDAM-ER de 250kg à laquelle on a collé un turbo réacteur bon marché. C'est moins perfectionné qu'un JASSM et ça tape moins dur mais c'est aussi vachement moins cher.
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Et une fois acheté, ça a plus de sens de continuer à acheter le système en usage que de changer radicalement: le personnel est déjà formé à l'usage et la maintenance, l'infrastructure est disponible, la doctrine est en place, etc. Mais on a aussi un cercle vicieux: l'achat de SAMP/T n'est pas forcément séduisant parce que les capacités de production ne sont pas suffisantes mais les capacités de production n'augmenteront pas si on a pas de demande.
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Ça ne rentre pas sur l'Europuls (~5m max). On ne sait pas vraiment ce que le Foudre utilise mais si c'est bien un pod (au dimmensions du) MLRS (et c'est plus que probable), on a une limite de 4m.
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L'idiotie de la chose est débattable. Personnellement, même si je ne suis pas forcément d'accord avec le choix de ces blindés à roues, le choix d'une force médiane peut se justifier. En même temps, c'était surtout censé être des canons d'assaut. Si on voulait vraiment un tank destroyer, il aurait fallu prendre autre chose.
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C'est un peu le problème, n'est-ce pas? Je ne suis cependant pas sûr que ça qu'une tourelle AA correctement conçue soit plus difficile à intégrer sur les VBCI actuels que la Skyranger 30. La cadence de tir est la principale question mais, si je ne me trompe pas, elle est avant tout un facteur contre les cibles les plus complexes (jets et missiles supersoniques, éventuellement les missiles de croisière hautement subsoniques). En LAD et pour lutter contre le grand nombre de munitions rôdeuses et autres OWA-UAV, ça devrait probablement aller. Et 200 c/min n'est pas si éloigné de la cadence de tir d'un autre AA en 40mm... Le vrai problème, ce sont les munitions qui ne sont pour l'instant pas vraiment adaptées. Le 40CT a été conçu comme un système anti-surface avec assez peu d'attention portée à ce qu'on pourrait en faire d'autre (ce n'est pas sans rappeler la situation SYLVER). Et maintenant, on se retrouve à essayer de résoudre ce problème. Il est intéressant de noter qu'à deux exception près (et encore pas vraiment), les calibres d'IFV modernes sont tous dérivés de canons aériens ou anti-aériens: 20×110mm: canon anti-aérien HS.404 20×139mm: canon anti-aérien HS.820 (par après Oerlikon KAD) 25×137mm: première exception vu qu'il semble avoir été développé originellement pour le Bradley mais le besoin anti-aérien était présent d'emblée dans les demandes et un canon aérien (GAU-12) est entré en service plus ou moins au même moment ce qui semble indiqué au moins un développement concurrent 30×165mm: la seconde (potentielle) exception vu que le calibre semble avoir été conçu pour le 2A42 du BMP-2 mais il faut noter que l'AK-630 est entré en service avant le 2A42 ce qui indiquerait que le 2A42 réutilise le calibre de ce dernier ou du moins que les développements étaient concurrents. Dans tous les cas, le BMP-2 étaient pleinement conçu pour pouvoir engager des cibles aériennes 30×170mm: canon anti-aérien HS.831 (par après Oerlikon KCB) 30×173mm: canon aérien Oerlikon KCA (le seul canon aérien dans la liste semble-t'il) 35×228mm: canon anti-aérien Oerlikon KDA 40×365mm: canon anti-aérien Bofors 40mm L/70 Il faut cependant noter que la mission anti-aérienne était considérée beaucoup plus importante au temps de la Guerre Froide. En particulier après l'invention de l'hélicoptère d'attaque. Il est fort possible que la domination aérienne OTAN et le focus sur les opérations expéditionnaires (sans compter le dédain apparent de la marine française pour les CIWS) a fait que ce besoin a été mis de côté jusqu'à ce que la menace drone se fasse plus évidente. Oups.
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Ton interprétation du char léger semble se limiter à "ça doit être un MBT mais plus léger" sans réellement exposer les compromis qui doivent être faits pour obtenir ce char plus léger. Par définition, un char léger ne peut pas être aussi protégé qu'un MBT et, par définition, il est difficile de l'armer de façon similaire. En partie. Si un char se définit comme étant un véhicule de combat blindé, il doit par définition être capable d'engager les blindés adverses dont des chars. Ça ne veut pas nécessairement dire que ça doit être fait avec un APFSDS frontalement par contre. Un 105mm moderne est capable de percer beaucoup (560mm dans le cas d'un canon Cockerill, ce qui est mieux que les premiers 120mm) et, quand c'est insuffisant, il y a des alternatives comme l'usage d'ATGM (par canon comme en Chine ou monté sur la tourelle comme en Inde). Alternativement, l'incapacité à éliminer ces MBT peut être accepté en considérant que le char léger est destiné à opérer là où le déploiement de MBT est compliqué, improbable ou impossible (tant pour le pays opérateur que pour l'adversaire).
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Ou simplement un 40CT. Histoire de pousser la logique d'usage du système jusqu'au bout. Mais pour ça, il faudrait peut-être qu'on se bouge un peu et finisse les développements AA du machin.
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Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
mehari a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
J'aime bien l'EVA M2. Même concept mais plus léger (proche du CAESAR Mk2) https://kotadef.sk/projekty/bia-eng/?lang=en -
Il faut d'abord que le Chinois soit sûr qu'il s'agisse d'un Rafale français. Pour ce faire, il faut penser à désactiver SPECTRA, allumer les transpondeurs et diffuser la Marseillaise en clair sur toute les fréquences avant le tir.
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Le TP400 est in fine une turbine. Pour ce que je propose, il suffit de modifier l'arbre de sortie du TP400, enlever les hélices et mettre un arbre de transmission à la place. La grosse majorité du TP400 n'est pas affecté.