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Oui bien sûr. Remarque que les autorités civiles et militaires font cela tout le temps. Les stratégies des moyens et les plans de bataille ne sont pas pensées par des prescients. Les autorités tentent d'envisager tous les cas de figures en focalisant la préparation sur les cas les plus probables. Pour reprendre l'exemple que tu cites, le problème du civil n'est ni le FPV, ni le bombardier qui attaque sa colonne: Il ne peut rien faire pour cela. Son problème est l'absence d'intervention des autorités pour établir des couloirs d'évacuation sécurisé et des zones refuges. Pour le sac d'urgence, tu as bien mis en évidence le fait que seul un humain bien entraîné peut le constituer et voyager correctement avec. A quoi cela sert de demander aux civils de constituer un paquetage de commando et de fuir avec s'ils ne sont pas formés pour cela? C'est comme leur conseiller d'acheter un défibrillateur sans suivre les cours de secourisme qui vont avec. Il est évident que la capacité d'emport limité de la plupart des civils plaident pour des aliments adaptés à la situation. L'Etat devrait donc constituer et distribuer les paquetages lui-même, en les adaptant aux utilisateurs et en leur fournissant le soutien approprié pendant la fuite. On en arrive donc au fait que l'Etat ne peut se contenter de dispenser quelques conseils vagues. C'est soit de la stupidité, soit une application ratée de la stratégie de Thémistocle mais ce n'est sûrement pas ce qu'il faut faire. La preuve, l'Etat a conseillé aux gens de constituer leur paquetage de commandos et que s'est-il passé? Soyons honnête, pas grand chose hors de groupuscules survivalistes. Si l'Etat ne prend pas au sérieux le survivalisme, les administrés ne le feront pas non plus. De toute façon, comment se passer d'abris anti-aérien et d'agglomérations aménagées pour éviter les grandes chaleurs, les inondations et la dévastation par des phénomènes éoliens? C'est à l'Etat de favoriser l'action des acteurs privés qui peuvent répondre à la demande s'il ne peut régler le problème lui-même. Si l'Etat ambitionne aussi une meilleure coopération civilo-militaire, une politique plus holistique avec une forte composante survivaliste est nécessaire. C'est aussi pour cela que les sites survivalistes sont facilement classables entre ceux qui veulent vendre des casseroles et les idéologues sérieux (dans leur désire d'optimiser la résilience): les premiers ne pensent jamais en terme de modèles économiques ou gouvernance sauf pour proposer soit le fascisme, soit le modèle des équipages pirates qui étaient plutôt des démocraties de papier. Quelle est l'idée? Se planquer dans son bunker, pratiquer le cannibalisme quand les réserves s'épuisent plus vite que prévu et puis s'adonner au brigandage?
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Bon d'accord, tu es John Rambo et moi je suis juste un nabot civil. J'ai des problème d'insuffisance cardiaque et j'ai besoin d'un cadis pour transporter deux caisses d'eau. J'envisageais un survivalisme d'Etat plus démocratique, évidemment, celui qui permet le survie du plus grand nombre des Français. Pas le survivalisme des troupes d'élite qui permettrait de postuler aux tests de recrutement des Ultramarines.
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Je n'ai pas d'illusion sur les capacités de mes dirigeants mais je ne cherche pas à exagérer leur stupidité non plus. Disons que les Sénat et différents instituts-partenaires ont une vision globale et à long-terme que l'on ne retrouve pas dans le Gouvernement et l'Assemblée nationale. Mais quelle est l'influence des institutions du "pouvoir informateur"? J'ai l'impression que le Sénat, le CAIRN, l'IFRI et d'autres organismes du même acabit pondent des rapports de qualité sur divers sujets mais qu'ils sont surtout lus par le Sénat, le CAIRN, l'IFRI et d'autres organismes du même acabit en France et dans les pays voisins ainsi que quelques citoyens comme moi. Par comparaison, le Parti communiste chinois regroupent toutes les élites, dont des élites avec une bonne formation au stratégie globale, exercent un contrôle sur toutes les institutions et disposent d'un pool de 1000 stratèges qui établissent ses plans géopolitiques selon les instructions des Princes rouges autrefois/Xi Jiping aujourd'hui. Il n'y a pas un chef d'Etat qui doit se battre pour avoir les moyens de gouverner (périodes de concordance) et un Sénat qui a surtout un rôle consultatif. Le PCC n'a pas de stratégie génétique, aucune scrupule à combiner les procédés les plus archaïques au plus high tech. Il a initié la montée en puissance de la Chine avec peu de moyens et n'est pas impuissant dès qu'il ne peut recourir à des politiques publiques dispendieuses. Il applique sans problème des stratégies holistiques. Il est certain que le régime politique chinois a de nombreux défauts mais il serait peut-être judicieux de se doter de certaines de ses capacités. J'entends souvent dire que le Sénat, dans sa forme actuelle, ne sert à rien. La solution est peut-être de réserver l'initiative législative aux députés et l'initiative des amendements aux sénateurs, le pouvoir de censure du Gouvernement appartenant au Congrès. On pourrait même envisager que la candidature à la Présidence de la République soit réservé à douze candidats sélectionné par le Sénat. Dans cette optique, la majorité des sénateurs serait élu directement pour légitimer l'institution et les autres au suffrage restreint pour garantir le recrutement de spécialistes. Les sénateurs élus directement seraient élus sur des listes de candidats élus par des collèges régionaux de mandataires des collectivités territoriales. Les sénateurs issus du suffrage restreint seraient partagés en plusieurs collèges élus chacun par une catégorie d'agent public ou une institution consultative. Les titulaires des postes de direction du Sénat serait désigné par le Congrès parmi les sénateurs issus du suffrage restreint pour garantir leur influence. Accessoirement, dès lors que l'Etat mènerait une politique survivaliste et une politique de développement de l'économie sociale et solidaire, il peut logiquement réserver une partie des sièges du CESE aux acteurs de la mise en oeuvre de chacune de ses politiques. Si le CESE a sa représentation réservée au Sénat, les délégués du CESE en rapport avec le survivalisme d'Etat et l'économie sociale et solidaire peuvent être représentés dans cette assemblée plus ou moins directement. Une BAD ne vaut pas grande chose hors d'un réseau de BAD. Au sein d'un tel groupement, l'aspect lien social d'une BAD ne peut correctement être pris en charge que par l'Etat. Or, seul un Etat ayant une approche plus holistique des problèmes s'acquitter correctement de cette tâche. Pour s'en convaincre, lisons ces deux documents: - Survivalisme et évacuation : se préparer à quitter son domicile en cas de crise - Phase 8: Guide de préparation à la survie urbaine En supposant que les conseils soient bons, qui peut réaliser tout cela tout seul en apprenant en autodidacte? L'application de ces conseils devient réaliste si l'affaire est prise en main par des acteurs de l'Etat-stratège, des sous-traitant de l'Etat pour la mise en oeuvre du survivalisme d'Etat et des acteurs de l'économie sociale et solidaire, lequel exercerait leur influence par l'entremise du Sénat et du Con. J'attire l'attention sur le fait que Légendat recommande d'étudier les plans d'évacuation d'urgence des autorités et qu'il n'est pas focalisé sur une croisade anti-islamique comme d'autres sites.
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Je ne sais pas ce qu'est un MTO et je n'ai pas utilisé ce terme. Pour éviter les digressions, je dis que les civils qui tentent de fuir un invasion russe on ne sait où avec un "sac" de survie assez grand pour contenir, entre autres, six litres d'eau par personne ont plus de chance de subir un attaque de drone que ceux qui restent chez eux. Et si c'est un bombardement d'artillerie, ils ne sont pas plus à l'abri en rase campagne dans leur van que ceux qui sont dans leurs maisons. Une fois encore, la mise en avant du concept de "sac" de survie est récente et coïncide avec un effort de sensibilisation à la nécessité de ce préparer à la guerre. J'admets volontiers que c'est un concept qui a été sortie d'un tiroir où elle prenait la poussière et non inventée récemment: La Croix rouge, sans doute inspirée des doctrines survivalistes, en fait l'apologie discrète depuis longtemps. Une stratégie de survie, c'est un tout. Je pars du principe que les politiciens qui proposent un sac de survie de la taille d'un coffre de van, on va dire un camionnette pas un gros comme celui de Barracuda, sont moins intéressés par le survivalisme que par la volonté d'attirer innocemment l'attention des électeurs sur un risque de conflit. Je les soupçonne aussi, hélas, d'être d'avantage intéressé par le fait de se donner les apparences de dirigeants qui prépare la Nation à la guerre auprès des autres gouvernements qu'à construire une défense crédible face à la Russie.
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Tu as mal formulé les choses. L'Etat est réalise au sens où les dirigeants savent très bien ce qu'ils doivent faire dans leur intérêt sans savoir comment le faire, ni le concilier avec l'intérêt général. Ce qu'ils doivent faire pour eux, de leur point de vue, c'est revenir vers l'Etat-gendarme qui leur donne les moyens de lever l'impôt, de neutraliser les jacqueries et autres menaces contre leurs intérêts. C'est le type d'Etat qu'ils savent diriger parce que cela ne demande pas de sens stratégique, de génie politique. C'est le type d'Etat qu'ils savent financer dans un contexte où ils ont peu de recettes et l'obligation de réduire la dette pour éviter la faillite de leur affaire. C'est aussi le type d'Etat qui permet de répondre aux attentes des lobbies les plus généreux, les lobbies ultralibéraux, ceux dont les faveurs sont bien pratiques en fin de carrière politique. Seulement voilà, ce type d'Etat westphalien ne peut que servir d'Etat de transition entre un Etat purement féodal et un Etat westphalien providence qui peut pratiquer une certaine forme de féodalisme pour surmonter sa propres complexité. L'expérience a prouvé que ces Etats n'étaient pas capables de répondre durablement aux attentes des citoyens: ils sont le marche-pied de l'extrême-droite et l'extrême-gauche vers le pouvoir. Il faut aussi relever que les plans d'intervention classique deviennent progressivement irréalisables. Par exemple, par quoi remplacer les Canadairs qui sont chers (désormais) et en voie de disparition? A quelques exceptions près, les politiciens européens considèrent leur Etat comme une source de revenu et non comme un outil géopolitique qu'il faut faire monter en puissance. Je fais donc une proposition réaliste au plan du survivalisme. Un Etat fondé sur une démocratie semi-directe étoffée pour éviter que les ressources de la nation soit gérée au profit d'un partie unique ou de lobbies. Une démocratie semi-directe qui met en oeuvre politique survivaliste plutôt qu'une politique fasciste ou anarchocapitaliste. Une démocratie semi-directe eudémonique qui intervient dans tous les aspects de la société et de la vie des administrés car tout est interdépendant. Une démocratie semi-directe, eudémonique et totalitaire qui intervient par l'intermédiaire de sous-traitant choisi par les administrés sur des listes: Pas de bureaucratie coûteuse et non concurrentielle qui ne laisse aucune place aux entrepreneurs et aux innovations. Une démocratie semi-directe, eudémonique, totalitaire, associée au secteur privé qui incite autant que possible les différents acteurs de l'économie à jouer leur rôle dans le plan d'ensemble plutôt que de planifier et punir. Je pense que ce système-là permet de faire ce qui est réellement utile au survivalisme: Diffuser les stratégies et techniques utiles à la résilience. Favoriser les activités utiles à la résilience. Combiner l'apprentissage des techniques de survie avec le développement de la défense intégrale. Je fais aussi le pari que cette approche du survivalisme permettrait aussi de favoriser la production d'équipements civils productibles en grande série et militarisables en cas de besoin. Les BAD servent de modèle et deviennent réalistes grâce à l'intervention publique et aux moyens humains et techniques qu'elle aura créé, l'Etat réglant la question du septième aspect de la BAD, le lien social. Sujet connexe: [Europe]Stratégie de collaboration technologique civils-militaires
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Le sac à dos de quelle espèce? Un ogryn? Un Troll du Mordor? Je reposte l'image que j'ai posté à la page 6 Quelle est la taille du sac où tu peux caser 6 litres d'eau/par personne? Quelle est la taille du sac où tu peux caser 6 litres d'eau/par personne et tout le reste? Réponse: Un van. Parce que, oui, tu auras du mal à fuir si tu dois transporter tout cela sur ton dos. Les politiciens qui ont proposé cela ont autant l'habitude d'aller chercher leurs caisses d'eau au supermarché qu'un ministre des transport à l'habitude de prendre le métro. Ils n'ont pas besoin de se soucier de survivalisme. Ils ont déjà des bunkers de luxe construits au français du contribuable. Toutefois, comme je ne pars pas du principe qu'ils sont complètement stupides, je suppose que ceux qui nous ont bassiné avec les sacs de survie ont tenté d'appliquer la stratégie de Thémistocle pour attirer l'attention des administrés sur la nécessité de se préparer à la guerre, au moins à titre préventif. La nécessité de se préparer à la guerre est un concept très impopulaire dont l'évocation trop direct pourrait avoir des conséquences électorales. En prévision de ta prochaine question: Oui, je n'ai aucune preuve scientifique qu'ils ne sont pas justes complètement stupides. Je n'ai pas de boule de cristal et je fais juste un pari sur leurs intentions.
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Les frappes endurées par les Russes sont hors sujet. Le fil de discussion est dédié au survivalisme pas à l'analyse éthique des actions des belligérants. Moi-même, je ne me soucie pas de l'aspect moral des actions des Russes. C'est moral pour les Russes qui sont en train de gagner la guerre et mortels pour les civils qui ont fait le choix de fuir avec leurs vans de survie . Dans ce fil de discussion, je ne m'intéresse qu'à l'efficacité des stratégies survivalistes. Je reste sur ma position à ce sujet: Pas de survivalisme efficace sans une action collective conduite par l'Etat. Pas d'intervention efficace de l'Etat sans approche holistique, celle où l'Etat oriente et encourage d'autres acteurs à prendre les mesures nécessaires. Je ne crois ni à la pertinence de l'Etat minarchiste dont l'action est insuffisante, ni à la pertinence d'un Etat qui tenterait de tout faire par l'entremise de fonctionnaires. Je ne rejette donc pas le concept de BAD et j'avoue avoir une approche inspirée de celle de Bernard Wicht ou du concept d'Etat-plate-forme. J'opte plutôt pour un compromis: la démocratie semi-directe étendue, une politique générale axée sur des objectifs survivalistes plutôt qu'anarchocapitalistes, l'approche totalitaire de la relation entre administrés et Etat démocratique, le recours aussi extensif aux sous-traitant et à l'incitation plutôt qu'aux fonctionnaires et au terrorisme d'Etat. Je suis conscient que mon compromis peut-être choquant de prime abord ... quand on oublie le bon usage que les gouvernements occidentaux ont fait de conseillers techniques militaires et scientifiques rescapés du IIIe Reich. Au plan idéologique, j'ai un esprit plus syncrétique et moins prompt l'édification de silos hermétiques.
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En 2016, les efforts de promotion du kit de survie étaient très confidentiel et sont passés inaperçus. Pour ce qui est de la vente de BPC à la Russie, je suis conscient que les Etats européens ont appliqué une stratégie incohérente après l'annexion de la Crimée. D'une part, ils ont condamné la Russie et à réagir très lentement à la menace d'une invasion russe. D'autre part, ils ont accru leur commerce avec la Russie. Mais, bon, on peut se dire que cette incohérence était justifiée par le contexte: focalisation sur l'islamisme, lutte contre le Califat de Daech conduite par une coalition occidentale et la coalition formée par la Russie, invasion migratoire avec ses colonnes de réfugiés qui s'étendait de la Syrie au Mur orbanien construit par les Hongrois, etc... On peut aussi se dire qu'au vu de sa stratégie génétique, l'UE a tenté de neutraliser l'expansionnisme russe par le commerce. Donc, la thèse d'un Etat qui fait de gros efforts depuis 2016 pour promouvoir le sac d'urgence est simplement une réinvention des faits. Mais libre d'y adhérer. Moi, je plaide plutôt pour des efforts (peu efficaces) des Etats européens pour se préparer à la guerre ... et aux catastrophes générées par le changement climatique.
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Oui, enfin, le bombardement de véhicules civils qui s'éloignent des zones attaquées n'est pas destiné à éliminer une menace. Les Russes n'ont aucun complexe à appliquer des stratégies de terreur contre les civils, d'où les bombardements de villes éloignés du front avec des bombes planantes qui ne ciblent pas des cibles militaires. Seul le résultat compte. Il s'agit donc plutôt d'actions équivalente au bombardement des colonnes de réfugiés par les stukas en 1940 ou du lancement des V2 contre le R-U. Avec plus des résultats plus probants, hélas. Pour en revenir au sujet, le van/"sac" d'urgence n'est pas une mesure sérieuse dès lors qu'il n'est pas promu dans le cadre d'une fuite des populations vers des zones refuges. Je fais donc le pari que c'est un artifice de propagande pour attirer l'attention sur un autre problème. Cela veut aussi dire que celui qui achète un van et le remplit de fournitures essentielles ne fait rien d'utile pour sa survie à moins de faire des stocks plus importants et pas forcément à portée de toutes les bourses. C'est plutôt l'action politique et associative qui est pertinente et elle peut s'inspirer du concept de BAD ou, plutôt, de réseau de BAD.
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Je ne parle que de l'Armée russe dans la cadre d'une invasion russe. Je ne fais pas de généralité à tous les conflits. Donc, hors sujet.
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J'ai formulé mon opinion et je doutes que tu aie la preuve qu'il n'y ait aucune arrière-pensée de l'Etat derrière ses recommandations. Je constate qu'il n'y a plus beaucoup d'effort pour promouvoir les sacs de survie. Peut-on, dès lors, déconnecter leur promotion au contexte du moment où les recommandations ont été formulé? Moi, j'y vois une application de la stratégie de Thémistocle. Je reconnais que c'est un pari sur les intentions de l'Etat...Personne n'est obligé d'avoir le même point de vue.
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Non parce qu'il n'est pas question de frappe accidentelle. Je te parle d'opérateur de drone qui font des patrouilles et lance une attaque (avec le drone suicide/une munition) contre des cibles d'opportunité. Vu que les artilleurs sont renseignés essentiellement grâce à des patrouilles de drones, il va plus vite et il coûte moins cher de lancer directement l'attaque sur la cible repérée avec le drone lui-même, surtout s'il s'agit de prendre à partie des civils. Les obus, les Russes les utilisent plutôt pour stopper les offensives. Là, c'est plus efficace que les drones et cela justifie la dépense.
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C'est vrai. Comme il est vrai que face à l'Armée russe, les civils qui fuient en voiture ont plus de chance d'être pris à parti intentionnellement via des drones que ceux qui restent chez eux.
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Oui c'est moi que le dit sur base de mon analyse des informations. Ce qui ne veut pas dire que je me trompe forcément: As-tu une preuve que l'Etat français déclare toujours sa véritable intention quand il adresse des recommandations aux administrés? C'est quand même étrange que la Commission européenne commence à parler de sacs de survie au moment où la menace d'une invasion russe commence à être prise au sérieux et que les Etats qui la prennent le plus au sérieux emboite le pas bien que certains le faisaient déjà discrètement avant. Les catastrophes naturelles, qu'ils s'agissent des inondations ou des incendies de forêts, ne datent pas d'hier. L'expérience n'a pas révélé que l'absence de sacs de survie qui ne sont pas la taille d'un sac était une cause majeure d'attrition chez les sinistrés. Tu peux toujours te persuader que ce n'est qu'une coïncidence.
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Effectivement, le doomer n'est pas un "Grizzli Adam" qui s'en va vivre dans la montagne par mysanthropie. Le doomer veut d'abord se planquer dans son "trou de blaireau" pendant la crise...puis se réintégrer dans la société d'après-crise en espérant que les survivants ont réglé les problèmes, tués les zombies ou équivalents et remis les walmart en route. Evidemment, certains doomers ne comptent pas sur un redressement de la société qu'il juge déjà malade avant même l'effondrement. Ils veulent créer leur mini-société à leur goût et l'étendre au maximum, dans une logique "holniste". Beaucoup auront certainement remarqué que les livres de San Giorgo ne s'étendent pas beaucoup sur l'aspect lien social de la BAD. Quand les survalistes en parlent, il est plus question de monocratie que de décisions collectives. Dans Europe Mad Max Demain, Bernard Wicht innove en proposant aux survivalistes masculinistes d'extrême-droite de se regrouper Decentralized Autonomous Organisation appelées "Switzbollah". Cela fait jusqu'au moment où l'on lit les articles sur les réseaux multimédia sans fil dans la revue "Survival". Une fois encore, je ne condamne pas le concept de BAD en soi mais sa pertinence comme stratégie individuelle plutôt que politique. Les partisans des communautés intentionnelles, des demi-BAD, ont déjà trouvé des solutions humaines à la prise de décision. En s'inspirant de ses communautés, il est possible de résoudre le problème par le gouvernance par cercle: - cercle de base correspondant à la BAD - cercle de local à l'échelon de la collectivité locale (surtout le syndicat de commune en France) - cercle provincial au niveau de la région ou du département. Dans la logique d'une défense intégrale, on peut combiner ce système avec l'équivalent d'une organisation de contrôle des population telle que celle proposé par Trinquier. Liens connexes: - https://www.cesep.be/PDF/ANALYSES/ENJEUX/Sociocratie_democratie.pdf - https://www.vie-politique.com/2020/01/fiche-de-lecture-colonel-roger.html