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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ZeGrinch a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
La forme du massif? Evolution de celle des SNLE type Triomphant, avec les barres de plongée sur-dimensionnées sur le massif. Pas grand chose de nouveau à part les flancs inclinés pour limiter le réfléchi cible au sonar actif, droits sur les Suffren. Le busque à l'avant et l'arrière incliné étaient déjà sur SNLE au neuvage, même si moins visibles de par les dimensions de l'ensemble. La carène reprend les formes des Triomphant, avec des formes un peu plus pleines à l'arrière mais on reste plus sur une forme en bouteille de Bourgogne ou Côte du Rhône que celle de Bordeaux qu'on voit sur les Suffren. Pas besoin de déformer le dôme sonar pour rentrer l'antenne. Les tubes ne seront pas à l'avant mais en barbette, comme sur les Triomphant, afin de conserver une antenne la plus grande possible, et sans besoin d'avoir une soute torpille en pleine largeur comme sur Suffren où la capacité en emport d'armes est dimensionnante. Les SNLE actuels ont déjà un système de combat SYCOBS, dont a été dérivé celui des Barracuda du point de vue matériel et logiciel. La suite développée par Thalès sera plus spécifique aux besoins des SNLE et aux dimensions du SNLE 3G du point de vue matériel, même si le coeur SYCOBS sera sans doute commun aux trois porteurs. SYCOBS, c'est quand même 10 ans d'emploi opérationnel et de développement continu sur SNLE avant même que le Suffren ne prenne la mer. -
SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ZeGrinch a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Les industriels ont beau faire la publicité des "nouveaux" mâts optroniques non-pénétrants, les Triomphant en ont un depuis leur neuvage en 1992. Les Virginia et Barracuda n'ont rien innové là-dessus. Ce mât a une tête amovible pour justement suivre les évolutions technologiques. En fait, le seul mât pénétrant est le périscope de veille, et même lui peut-être facilement remplacé par un mât optronique à l'instar de ce qui a été fait sur les Walrus. Les leurres, les SNLE en ont déjà. D'une part avec les DILSAT et CANTO intégrés aux paniers de bombettes sur le pont à l'instar des SNA, et un autre système avait été développé en plus spécifiquement pour les SNLE. Pareil pour le sonar, ces bateaux ont été dimensionnés par rapport à leur chargement de missiles, ce qui a laissé un volume important pour les système d'arme tactique. Avec les évolutions en électronique de calcul et l'augmentation des rendements qui induit une baisse de consommation sur la réfrigération et une plus grosse densité de calcul, vous pouvez sans trop de risques parier qu'un SNLE en 2023 a une capacité de traitement de l'information sans commune mesure avec ce qu'ils avaient à leur neuvage, sauf pour le Terrible qui a pris la mer avec le SYCOBS dès le début. -
SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ZeGrinch a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Pas grand chose à voir en réalité à part la propulsion hybride et les barres de plongée arrière en X. Il faut plutôt le voir comme une évolution des Triomphant avec quelques technologies dérisquées sur Barracuda. -
Euh, alors attention spoiler, le SNA d'accompagnement d'un GAN il n'est pour ainsi dire jamais à portée de "télécommande". On est plus sur de la comm' par satellite pour des raisons de distance et de discrétion. Oui, on parle plus de grosses centaines de kilomètres que d'autres choses pour la distance d'escorte.
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Un peu différent, les Duke et Daring voient leur disponibilité grêvée par de gros problèmes techniques dus pour les deux plateformes à une usine électrique mal conçue (Daring) ou peu évolutive (Duke). La Marine est plus dans ce biais technique français de ne pas savoir faire simple sur certains aspects de la conception, ce qui fait exploser les coûts de conception, construction et maintenance, ce qui limite le nombre de coques achetées sans impacter leur disponibilité globale. C'est aussi qu'avec 12 missiles, il faudrait repenser intégralement la propulsion des SNLE 3G, dérivée actuellement de la technologie des Barracuda et de l'agencement général des Triomphant. Un Triomphant à 12 tubes serait en réalité plus long que ceux à 16 tubes actuellement en service à cause du poids de la chaufferie et de la machine qui déséquilibreraient l'ensemble. Cette solution à 12 missiles a plusieurs fois été étudiée et rejetée pour ce problème technique en plus du problème du nombre minimal de missiles à produire pour maintenir Ariane Group en production constante. Ou alors on maintient le nombre de missiles mais répartis sur 6 SNLE, mais alors il faut générer 4 équipages de SNLE en plus car la réduction du nombre de tubes par bateau n'entraîne pas de réduction de l'effectif embarqué par bateau.
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Il n'est pas réellement question de doubler le nombre de coques. On est plus sur du 30-35% en plus si on veut pouvoir aligner un deuxième GAN. Sachant qu'il faut garder des bâtiments d'alerte à Toulon et Brest, assurer le soutien de la FOST, assurer la disponibilité du HRF et donc des PHA avec leur escorte et leur train logistique... Sans parler des missions de surveillance et de souveraineté. Donc un accroissement d'un tiers du nombre de coques, et un quasi doublement des effectifs embarqués en prenant en compte la masse RH que représente un PA et les doubles équipages de certains escorteurs.
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Le mouillage dynamique est une très mauvaise idée de pontus que j'ai eu le malheur de subir sur un bâtiment azipod. Les mécanos et le bosco étaient pourtant unanimes sur le fait que le mouillage allait se comporter comme un ressort géant avec sa propre fréquence d'oscillation, et que les pods risquaient de réagir à une fréquence similaire mais déphasée et créer une oscillation paramétrique. Une heure plus tard, j'écrasais le coup de poing d'arrêt d'urgence d'un pod après avoir perdu tous les filtres harmoniques du bord et vu les diesels-générateurs en attente démarrer et se coupler automatiquement pour essayer de remonter l'impédance du réseau. les deux pods avaient fait des inversions de marche régulières (fréquence propre du mouillage) en allant de plus en plus loin dans les tours (oscillation paramétrique)... Moralité, soit de l'autoposition, soit du mouillage, mais surtout pas de mouillage dynamique.
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ZeGrinch a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Rien de bien méchant, on ne voit principalement que de la ventilation et de l'hydraulique/pneumatique d'aériens. Pas de circuits eau de mer, pas de liaisons de berceaux... Même la vue de la machine a été prise de telle manière que tu ne puisses pas en tirer grand chose. Le poste du barreur et le tableau sécurité-plongée ont été édités... Non, vraiment, la Marine prendrait plus de risques à faire visiter ces bateaux à des gens comme toi ou moi qu'avec ces photos. -
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ZeGrinch a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Ah oui, j'ai l'intégral de ses slides aussi, ce gars a fait un boulot de recherche en sources ouvertes absolument génial! -
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ZeGrinch a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Et comme ça? https://www.google.com/amp/s/slideplayer.fr/amp/1305492/ https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://inis.iaea.org/collection/NCLCollectionStore/_Public/33/048/33048066.pdf&ved=2ahUKEwiCiYSThp__AhUpUaQEHQV_BWE4ChAWegQIBhAB&usg=AOvVaw0gywG-vNOuYVagnf4bKnv7 -
SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ZeGrinch a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Il n'y a pas d'économiseur sur SNA. C'est une particularité de la propulsion du PACDG, et encore... Il y a en réalité un dégazeur/bâche et un économiseur Le piquage de vapeur vers "l'économiseur" est à nouveau une particularité du PACDG, où il y en a trois en réalité, un pour le réchauffeur/sécheur entre la turbine HP et la turbine BP, un pour le dégazeur, un pour l'économiseur. Tout ce qu'il y a au-dessus, c'est de la vapeur classique sur machine à vapeur saturée. Et ça se transpose très bien à une machine alimentée par une chaufferie nucléaire. La bâche, c'est la capacité tampon qui permet de conserver le niveau du générateur de vapeur et le niveau du puit du condenseur constants quelque soit l'allure. Montée en puissance, il y a plus de "bulles" au GV, la proportion de vapeur dans le volume du secondaire augmente, de l'eau est envoyée à la bâche. À basse puissance, ça bouillonne moins au GV, il faut plus d'eau liquide, la bâche renvoie de l'eau au condenseur pour maintenir les niveaux. Là aussi c'est de la machine vapeur tout ce qu'il y a de plus classique. Les absorbants de contrôle ("croix") ne contrôlent pas la puissance du réacteur. Tous les réacteurs occidentaux sont contrôlés en puissance par la machine qui est alimentée, que ce soit en propulsion navale ou chez EDF. Les croix ne font que régler la température du réacteur. Ça s'appelle la sous-modération pour ceux que ça intéresse. Particularité des SNA, il y a par bord une turbine en entrée sur un réducteur à 3 sorties : - un alternateur turbo-force en 60Hz. - un alternateur redresseur turbo-propulsion qui alimente le moteur de propulsion en courant continu - une pompe alimentaire attelée pour envoyer la vapeur condensée à la chaufferie. Petit PowerPoint du PA : https://www.google.com/amp/s/slideplayer.fr/amp/1305492/ Petit papier d'un cadre de TechnicAtome sur la propulsion entre autres des SNA : https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://inis.iaea.org/collection/NCLCollectionStore/_Public/33/048/33048066.pdf&ved=2ahUKEwiCiYSThp__AhUpUaQEHQV_BWE4ChAWegQIBhAB&usg=AOvVaw0gywG-vNOuYVagnf4bKnv7 -
SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ZeGrinch a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Il y a plusieurs chasses : - la chasse BP, qu'on trouvait sur les Agosta (il reste des vestiges sur Rubis) et qui fonctionnait avec l'échappement des Diesels, qui existe encore sur les Virginia avec une soufflante électrique. Uniquement pour faire surface depuis l'IP, il faut hisser le Tube d'Air Frais (TAF) pour l'utiliser. - la chasse HP, à l'aide de bouteilles stockées dans la coque épaisse ou dans les ballasts. Utilisable quelques soit l'immersion mais débit limité à forte immersion, tendance au givrage des tiroirs de chasse et des lignes en cas de chasse prolongée et si les groupes n'ont pas été purgés correctement. La nécessité de traverser la coque épaisse est le facteur limitant pour le diamètre des lignes de chasse. Utilisée pour faire surface en temps normal et en appoint de la chasse rapide. - la chasse rapide, à l'aide de bouteilles stockées dans les ballasts et de soupapes de chasse de très gros diamètre. Uniquement utilisée en cas de voie d'eau, elle a un débit tel que généralement l'utiliser à faible immersion endommage les ballasts (l'eau n'arrive pas à sortir assez vite par les orifices de remplissage, les ballasts montent en pression et se crèvent). Mise en place par le programme SUBSAFE après la perte de l'USS Thresher, accident pendant lequel les lignes de chasse HP se sont colmatées à cause du givre. Les Russes utilisent une variante de la chasse rapide avec des charges de propergol à la place des bouteilles d'air haute pression. Anciennement on utilisait des plombs de sécurité, comme sur les Rubis, mais en temps de guerre ils sont pigés en place pour éviter les largages intempestifs en cas de grenadage. A noter qu'une remontée d'urgence par chasse rapide peut s'interrompre par ouverture des purges, là où une remontée sur largage des plombs est impossible à interrompre. -
SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ZeGrinch a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
C'est aussi le problème des circuits secondaires des SNA. Pas de soupapes de surpression ou de tapes claquantes qui viennent cracher à la cale, sur l'Emeraude la coquille du condenseur tribord s'est carrément fendue. Pas de vannes de sécurité à manœuvre hydraulique non plus, la vanne close est manœuvrée à la vapeur et la vanne d'arrêt montée en série est manœuvrée au volant. De mémoire, pas de chasses rapides sur SNA type Rubis, uniquement une chasse HP et des plombs de sécurité largables avant et arrière. -
J'avais pas mal regardé le sujet, rapport au passage au bassin d'une FLF. On en avait profité avec le patron Ext/IA pour dépiauter le SAMAHE, fonctionnellement la prise d'arc ou contre-arc de la poutre navire ne gêne pas car le chariot est conçu pour rattraper ces écarts de géométrie. Et encore heureux car, à part sur le La Fayette, sur FLF ce rail est encastré dans le pont et l'ajustement des segments est délicat. On privilégiait l'alignement horizontal (plan) à l'alignement vertical, ce qui avec la courbure des rails et le système de rattrapage de jeu un peu brusque faisait systématiquement sursauter les personnes peu habituées quand le chariot faisait un écart sur le côté avec un claquement sec.
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ZeGrinch a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Oui, c'est pas faux. Noël fin Mai, on va pas abuser non plus. Cela dit, le jour me nuit. Beurk, du soleil! Le schéma que tu as posté est une autre version d'un schéma de propulsion de principe des Redoutable, que tu peux trouver ici, http://zone.sousmarins.free.fr/1ere-prop-nucleaire.jpg Pour la propulsion d'un SNA type Rubis, sans trahir de secrets, https://www.encyclopedie-energie.org/propulsion-nucleaire-navale-principes-technologie/ Pour l'Emeraude, le Maître de Central a réagi sur une voie d'eau annoncée depuis le Compartiment des Turbo-Alternateurs, ce qui implique une forte prise d'assiette positive. Comme les portes du compartiment sont autoclaves et à l'époque sans la forte manœuvre hydraulique qui a été installée après coup, seule la porte avant était ouvrable (et d'ailleurs le rondier n'a pas réussi à la refermer complètement derrière lui, ce qui explique entre autres le temps assez long après coup pour pénétrer dans le CTA). Le Chef a pu sortir par l'arrière car il a rallié très tôt le PC Propulsion, à la première annonce d'anomalie, avant la prise d'assiette. Tu rajoutes à ça une confusion bâbord/tribord, et voilà, isolement du mauvais condenseur puis fuite vapeur dans le CTA avec un ordre d'avant urgent qui a empêché d'isoler rapidement le bord vapeur. -
La photo du haut est sur-exposée, ce qui fait apparaître le pont plus clair et lisse qu'il ne l'est vraiment, mais le Fertex est bien à poste. Pour le rail, pas gênant, ce que tu pointes n'est qu'une protection amovible pour le rail structurel en dessous, et le de toutes façons le chariot supporte d'assez grands délignements, nécessaires vu la longueur du rail et la flexibilité de la poutre-navire.
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ZeGrinch a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Ce qui est génial avec ce schéma "K48", c'est qu'il est complètement faux. Les SNA type Rubis ont une propulsion purement turbo-électrique, il n'y a aucune liaison autre qu'électrique entre les turbines et la ligne d'arbres. Et puis bon, la gueule de la chaufferie intégrée K48 sur ce schéma est juste géniale, tout sauf intégrée. Ah, c'est beau de voir la mentalité anglo-saxonne qui a toujours autant de mal à imaginer qu'on puisse ne pas faire comme eux... -
Pour des raisons tout autres. Le Titanic ne pouvait pas bénéficier des réducteurs de forte puissance développés dans l'entre-deux guerres. La solution d'une turbine basse pression en attaque directe sur une ligne d'arbres centrale et alimentée par les échappements des moteurs alternatifs à triple expansion (eux aussi à attaque directe sur leurs lignes d'arbres respectives) était à l'époque celle au meilleur rendement.
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C'est bien ça pour le rendement. La configuration 3 hélices est intéressante car le rendement de la coque augmente pour l'hélice centrale (rendement supérieur à 1 dans le calcul d'ailleurs, d'après des collègues qui travaillent directement sur le sujet), qui a de plus une chaîne cinématique simplifiée (pas de chaise) et 3 arbres chargés au maximum possible dans tous les cas donc pas de pertes de rendement sur l'échelle. Pour la puissance installée, je peux sans trahir de secrets dire que en partant des limites technologiques de l'existant (CdG), on sera dans les 40.000ch par ligne d'arbres, les 3 lignes étant sensiblement identiques. Méfiance d'ailleurs sur certains articles on peut lire des mots "d'experts" disant que les K15 du Charles sont sous-utilisés (https://www.lopinion.fr/secret-defense/chaudieres-et-catapultes-les-enjeux-techniques-du-prochain-porte-avions) , ce qui est très mal connaître les contraintes en sûreté nucléaire, notamment la protection du cœur par marge thermique à l’égard des phénomènes de caléfaction ou de dépassement des valeurs de grandeurs physiques retenues pour garantir le respect des hypothèses prises en compte pour les calculs des études de sûreté. C'est bien beau de dire que 15 à 20% de la puissance du réacteur est inutilisée si on fait un bilan de puissance, mais en cas de catapultages ou sur certains transitoires on vient en limites de ce que peut encaisser le cœur. D'où des brides mécaniques sur les soupapes d'admission de vapeur, qui sont là pour protéger la chaufferie et non pas comme on peut le lire parfois la chaîne propulsive.
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Propulsion type IEP avec 3 lignes d'arbres en prise directe. L'intérêt est de pouvoir intégrer à l'usine électrique les EMALS tout en gardant un maximum de souplesse d'emploi. Bizarrerie de l'architecture navale, dont une règle veut que moins il y a de lignes d'arbres plus le rendement propulsif est élevé, la configuration à 3 lignes d'arbres a un meilleur rendement qu'une configuration avec 2 ou 4 lignes d'arbres. Seulement, l'alimentation du moteur central pose du point de vue de la sûreté nucléaire un problème de mode commun ; quelle chaufferie alimentera le moteur central? Ou alors, moteur à 2 demis inducteurs avec la garantie de l'isolement galvanique entre les deux circuits en cas de défaut d'isolement. Un quai Milhaud 7, oui, sans doute au départ de la Pyrotechnie, mais pas de cale sèche. Plutôt un agrandissement de Vauban Ouest. Et effectivement, le coût estimé en infrastructures pour accueillir le PANG serait de l'ordre du milliard (travaux Milhaud 7, Vauban, dragage de la rade, infrastructures de soutien électrique et nucléaire, ...)
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Même pas! Ces hublots sont au niveau des quartiers du Pacha, qui sont toujours à tribord voire à l'avant tribord pour des raisons de sécurité nautique.
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Elle y était encore en 2017. Avec la photo de ce retour au port légendaire, un vent de travers tel que tous sauf le barreur ont fini au rappel max assis sur la piste oblique, comme sur un voilier en régate! Le système de correction de la gîte n'arrivait pas à suivre sans tout ce poids au vent.
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Bon... Ils ont encore cédé aux sirènes du tout-électrique. Après, ça sent assez fort le dérisquage industriel par rapport aux réducteurs de forte puissance à grand rapport de réduction, et ça ne laisse pas augurer grand chose de bon pour les SNLE-3G.
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Les ingénieurs du GIAT auront mon respect éternel pour le nom de baptême du Leclerc 140mm... "Le Terminateur". Là je signe tout se suite! Me souviens que le Sénat parlait de lancer un sondage/concours chez les jeunes pour décider du nom. On va finir avec le PA Aya Nakamura, ou le Team Jul...
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Mais justement, on les planque ceux-là, et c'est fait exprès, pour les bateaux de la dissuasion, je trouve que les noms collent bien à la fonction! Appeler le navire amiral de la flotte L'Effroyable, et le faire naviguer dans le monde entier, ça n'envoie pas forcément le bon message en termes de paix dans le Monde. Le PA, ça reste 45.000 tonnes de diplomatie...