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  1. J'ouvre/pose volontairement la question car Alain Juillet a l'air de peser dans le domaine du renseignement économique et d'autres domaines complémentaires, et que sa médiatisation très avancée semble en faire un "bon client". Au point que Bertrand Pillet, anonyme intervieweur de Thinkerview ("Sky"), le relance à nouveau : Ancien Patron de la DGSE sans filtres ? Alain Juillet [EN DIRECT] www.youtube.com/watch?v=C7u6NebjkcY admirez à 59'20 la clope partagée avec Lavrov.. https://youtu.be/C7u6NebjkcY?t=3548 À noter que Sky a posé à plusieurs invités, la question qui le trahi : "comment arreter macron?" (notamment à Pierucci) (l'animateur semble de plus en plus insupportable -et vulgaire- au fil du temps, c'est bien dommage) En complément : edit: correction du contenu en "spoiler" https://paste.simplylinux.ch/view/3a873d53 https://pastebin.com/nxHtTXBm avant cela, trois vidéos de deux heures au moins en à peine cinq ans, il prend bcp plus la parole que son semi-homonyme Alain Chouet, ancien pilier des services secrets : https://videos.thinkerview.com/w/3RDDAM6dL6n1ycoZ3bnCoK La fin de la guerre classique ? Alain Juillet [EN DIRECT] https://videos.thinkerview.com/w/1LJv9gXtz9dLdY97tazW7D DGSE, Espions, Secrets des Affaires, Crises mondiales. Alain Juillet [EN DIRECT] https://videos.thinkerview.com/w/9SuRoEpeMSSVkCqCSYXaV2 École de Guerre : L’état du monde. Olivier Delamarche, Pierre Sabatier et Alain Juillet [EN DIRECT]
  2. je pense surtout que les médias en font des pataqès dès que la russie est impliquée... l'espionnage se vend bien.. votre service de renseignement vous a caché l'épisode du Brexit, visiblement ;) "nowel avant leurre" :o ;) texte: https://pastebin.com/CEtQhY1Y https://paste.simplylinux.ch/view/05ed7b66
  3. mouais... tonton tutube n'est pas d'accord : https://www.youtube.com/watch?v=M99vejNVngI
  4. sur le topic adéquat, comme c'est pas la DGSE : https://forum.air-defense.net/topic/822-les-services-de-renseignements-dans-le-monde/?do=findComment&comment=1858572
  5. texte brut : https://pastebin.com/FxzqmZjw https://paste.simplylinux.ch/view/26591f44
  6. qui pour soutenir un soldat presque mort au combat face aux arnarchos-acab? :o https://linuxfr.org/nodes/141285/comments/2007502
  7. pour ouest france? avec juste le mode lecture? sur pc/FF, impossible ici..
  8. avec quel navigateur? chromium (variantes) + FF, ça passe pas.
  9. https://drop.l42.fr/r/cjE11W_cB2#TjEAehHTIgjneRDcRIO1Uq441XTrtg3V8saEl6eyGvU= https://dl.jeremiez.net/r/yWgp-nu4#/8it0r4eiXlGma7kytgOtiVDu1DvMvh6tkuAeUf8kwI= https://drop.idrix.fr/r/StSXrwWKre#C4iggTf67vyIb/R+Edbc/AnlNiu0ny1NDacq3wsJVnA= texte : ou : https://pastebin.com/nxkE5VyW https://paste.simplylinux.ch/view/999066bc
  10. Quand la DGSE organise un étrange « tournoi » de cyberguerre DÉCLASSIFIÉ. Pour séduire les meilleurs étudiants et professionnels de la cybersécurité face à Google ou Palantir, la DGSE les met à l’épreuve par équipes. Par Romain Gubert Publié le 27/10/2025 à 17h00 https://www.lepoint.fr/monde/quand-la-dgse-organise-un-etrange-tournoi-de-cyberguerre-27-10-2025-2601871_24.php texte : https://paste.simplylinux.ch/view/0fbeebd9 https://pastebin.com/mD3wY8Rk - https://pastebin.com/JexZTLnf
  11. J'ai pas trouvé de sujet dédié, mais ce post m'a doucement fait penser au sujet qui "défraye la chronique" en ces temps de numérisation forcée : Dans certains pays (notamment en Asie je crois) la numérisation faciale est obligatoire... Quels pays l'appliquent? À chaque frontière? (gares, aéroports, ports..) En Europe, les entrées et sorties de Schengen arrivent à grand pas, mais n'ont pas l'air d'être dispo à chaque point. Malgré que certains pays n'y soient pas inclus (Irelande et Chrypre), mais d'autres le sont (Islande, Norvège, et la Suisse) C'est un point intéressant pour : -mieux controler les frontières -fluidifier le passage? -s'aligner sur la modernité mondiale -coute moins cher que le système humain? Mais y'a plein de "mais" : -quelle confiance envers le traitement de ces données? -embouteillages de passagers? -les passagers feront le travail du personnel qui avait cela à charge (caisses électroniques, guichets..) -cela n'empechera pas clandestins et apprentis terroristes à trouver des failles -quid en cas de refus de s'y soumettre? -quid si le système se fait pirater? qui conçoit les machines? -encore un flicage? -bon courage si la procédure déconne.. edit: pour certaines réponses, voir tout en bas https://youtube.com/watch?v=VNBj7Pw74B4 https://www.lefigaro.fr/international/les-controles-biometriques-aux-frontieres-entrent-en-vigueur-en-europe-ce-dimanche-20251012 Les contrôles biométriques aux frontières entrent en vigueur en Europe ce dimanche Par Florentin Collomp, correspondant à Bruxelles Le 12 octobre 2025 à 17h19 Les contrôles biométriques aux frontières, ici dans le hall des départs du Terminal 1 de l’aéroport de Francfort, entrent en vigueur en Europe. ANDREAS ARNOLD / dpa Picture-Alliance via AFP Les visiteurs extérieurs à l’Union européenne devront enregistrer leurs empreintes digitales et leur photo à leur arrivée. Une mise en place progressive étalée sur six mois. Avec près d’un an de retard, les contrôles biométriques aux frontières de l’Union européenne entrent en vigueur ce dimanche 12 octobre. La mise en œuvre sera toutefois progressive sur six mois, avant une généralisation le 10 avril 2026. Sont concernés, les visiteurs ressortissants de pays non-membres de l’UE, à leur arrivée dans les 29 pays de l’espace Schengen, y compris la Norvège, la Suisse et le Liechtenstein. L’Irlande et Chypre, qui n’en font pas partie, ne l’appliqueront pas. Les titulaires de titres de séjour ne sont pas concernés. Concrètement, le coup de tampon sur le passeport sera remplacé par l’enregistrement des données biométriques du voyageur: ses empreintes digitales et sa photo. Par ailleurs, seront collectés le numéro de passeport, le nom, la date de naissance, la nationalité, ainsi que la date et l’heure d’entrée et de sortie du territoire ou des informations sur d’éventuels refus d’entrée. Ces éléments seront conservés trois ans dans une base de données commune à tous les pays européens, hébergée à Strasbourg au sein de l’agence eu-LISA. L’objectif est de mieux contrôler les entrées, mais aussi les sorties du territoire et de renforcer la lutte contre l’immigration illégale ou les usurpations d’identité. En l’absence d’enregistrement de sortie au-delà de la durée autorisée du séjour, l’individu sera considéré en situation irrégulière et ses données sont conservées cinq ans. Lors d’une nouvelle visite après un premier enregistrement, le contrôle des données biométriques permet de retrouver le dossier du passager. Ces procédures pourraient allonger les files d’attente dans les ports, gares et aéroports en cas d’affluence. Pour prévenir ce risque, des bornes d’enregistrement ont été déployées à de nombreux postes-frontières. En France, elles ont été installées sur les 25 principaux points d’arrivée. Environ 120 points de passages dans l’Hexagone appliqueront ces contrôles à partir du 12 octobre, dont les aéroports de Roissy-Charles de Gaulle, Orly, Nice, Lyon, Marseille, les gares Eurostar et les principaux ports maritimes. Certains aéroports secondaires et frontières terrestres ne seront équipées que plus tard et continueront d’appliquer les contrôles manuels. Savoir qui entre, quand et où Les pays membres de l’UE s’engagent à appliquer le nouveau Système Entry-Exit (EES) dans au moins un point de passage dès dimanche. Ils avaient fait pression auprès de la Commission il y a un an pour décaler l’entrée en vigueur d’un dispositif pourtant adopté dès 2017, en raison de retards dans la préparation des systèmes informatiques et la crainte d’embouteillages aux frontières. L’ampleur du déploiement initial varie d’un pays à l’autre. L’Allemagne ou les Pays-Bas ne commenceront que par certains ports ou aéroports. L’agence européenne Frontex a apporté son aide aux gardes-frontières des pays membres sur la mise en œuvre des nouvelles mesures. Elle a aussi développé une application, Travel to Europe, qui devrait permettre aux passagers de préenregistrer leurs informations avant de voyager; celle-ci est déployée par certains États membres, à commencer par la Suède. «Nous saurons qui entre dans l’UE, quand et où. C’est la colonne vertébrale de notre nouvelle approche de la gestion des frontières», justifie le commissaire européen à l’Immigration Magnus Brunner, dans le Financial Times. Ce n’est qu’une première étape du renforcement des contrôles. Dans un an, sera déployé le système ETIAS (European travel information and authorisation system), l’équivalent européen de l’ESTA américain. Il s’agit d’une préautorisation d’entrée sur le territoire pour les ressortissants des 59 pays bénéficiant d’une exemption de visa de court séjour, qui devrait coûter 20 euros, valable trois ans. https://www.lefigaro.fr/international/les-controles-biometriques-aux-frontieres-entrent-en-vigueur-en-europe-ce-dimanche-20251012 3/ Les données biométriques Image faciale du ressortissant Empreintes digitales du ressortissant La collecte des données biométriques des ressortissants de pays tiers concernés par l’EES sera obligatoire. Si le voyageur s’oppose à la collecte de ses données biométriques, il se verra refuser l’entrée sur le territoire Schengen. N.B : les titulaires d’un visa de long séjour, d’un visa Outre-mer ou d’un titre de séjour ne voient pas leurs données enregistrées dans EES. N.B. Le dossier individuel contenant l’ensemble de ces données est conservé pendant 3 ans à compter du dernier franchissement de frontière (ou le cas échéant du refus d’entrée). En l’absence d’enregistrement de sortie au-delà de la durée autorisé du séjour, ce qui signifie que l’individu est désormais en situation irrégulière en se maintenant sur le territoire, les données sont conservées pendant 5 ans à compter de la date d’expiration du séjour autorisé. https://www.interieur.gouv.fr/actualites/actualites-du-ministere/tout-savoir-sur-systeme-dentree-sortie-ees-de-lespace-schengen
  12. https://www.lefigaro.fr/societes/dassault-aviation-une-nouvelle-usine-ultramoderne-en-france-pour-accompagner-le-succes-du-rafale-20250923 Dassault Aviation : une nouvelle usine ultramoderne en France pour accompagner le succès du Rafale Par Véronique Guillermard Le 23 septembre 2025 à 19h29 Sujets Dassault Aviation Rafale défense Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation, avec Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, lors de l’inauguration de la nouvelle usine de Cergy (Val-d’Oise), le 23 septembre 2025. Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation, avec Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, lors de l’inauguration de la nouvelle usine de Cergy (Val-d’Oise), le 23 septembre 2025. Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation, avec Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, lors de l’inauguration de la nouvelle usine de Cergy (Val-d’Oise), le 23 septembre 2025. C.COSMAO / Dassault Aviation DÉCRYPTAGE - Le groupe présidé par Éric Trappier a investi plus de 100 millions d’euros dans un nouveau site à Cergy, chargé de la fabrication des parties avant du Rafale et de l’aménagement complet de son fuselage. Une nouvelle usine 4.0 pour soutenir les hausses de production du Rafale, l’avion de combat français. C’est un événement pour son constructeur, Dassault Aviation *, qui n’avait pas ouvert de nouveau site depuis un demi-siècle. Située à Cergy (Val-d’Oise) en région parisienne, l’usine a été inaugurée, ce mardi, par Éric Trappier, PDG du groupe. « Pour un industriel français, attaché à son pays, à ses territoires et à ses emplois, inaugurer une nouvelle usine représente une joie et une fierté incomparables », a-t-il déclaré, devant Philippe Court, préfet du Val-d’Oise, de nombreux élus, dont Valérie Pécresse, présidente du conseil régional d’Île-de-France, Marie-Christine Cavecchi, présidente du conseil départemental du Val-d’Oise, et Jean-Paul Jeandon, maire de Cergy et président de la communauté d’agglomération ainsi que des salariés. Les élus se sont mobilisés afin « de créer un environnement favorable », selon les mots de Valérie Pécresse, afin que Dassault Aviation « choisisse de rester en Île-de-France, une région qui emploie 200.000 personnes dans l’aéronautique ». Cela, alors que « le centre de gravité industriel (du groupe) est en Nouvelle-Aquitaine » avec notamment le site d’assemblage final de Mérignac à côté de Bordeaux. En 2019, le groupe a décidé de quitter Argenteuil, un site centenaire devenu obsolète, pour en transférer les activités dans une nouvelle usine ultramoderne de 40 000 m2, installée sur un terrain de plus de 100.000 m2. Il s’agit de l’assemblage de revêtements et de petites pièces de Rafale (mais aussi d’avions d’affaires Falcon) et des parties avant des fuselages de l’avion de combat, de l’aménagement des fuselages entiers ainsi que de la fabrication de tuyauteries métalliques. Passer la publicité Plan de modernisation et de spécialisation Les bâtiments, conçus par l’architecte maître d’œuvre Antoine Fleuriot du cabinet Séquences, ont été livrés en juillet 2024, trois ans après la pose de la première pierre. Ce qui a ensuite enclenché le transfert à Cergy des outillages et des équipes - plus de 600 salariés Dassault sur un total de quelque 1 200 comprenant les sous-traitants et les personnels en formation - jusqu’en janvier 2025. Le site dans lequel le groupe a investi plus de 100 millions d’euros, entrant alors en production pour monter en puissance progressivement. Ses forces vives ont été renforcées, afin d’accompagner les hausses de cadence du Rafale, avec 80 recrutements réalisés en 2024 et autant cette année. Le Rafale a multiplié les succès à l’exportation avec 323 commandes signées par huit pays clients depuis 2015, dont 186 restaient à livrer fin juin 2025 La mise en service de cette nouvelle usine s’inscrit dans « un double effort de modernisation et de spécialisation » des sites du constructeur afin de gagner en efficacité et en compétitivité. Un plan lancé voici dix ans alors que Dassault Aviation signait le premier contrat à l’international du Rafale avec l’Égypte. Depuis, le groupe a beaucoup investi pour agrandir des sites, installer des machines au dernier standard de l’industrie, rénover des usines, ouvrir de nouveaux laboratoires, etc. Et recruter, avec 5000 embauches réalisées sur les seules trois dernières années. Message aux politiques Dans le même temps, le Rafale a multiplié les succès à l’exportation avec 323 commandes signées par huit pays clients depuis 2015, dont 186 restaient à livrer fin juin 2025 (sur un total de 533 avec les appareils achetés par la France). Dans les usines, les cadences se sont accélérées : Dassault produit désormais 4 Rafale par mois en amont (dans les usines de pièces et chez les sous-traitants), contre 2 appareils en 2019. « Et si nous avons de nouveaux contrats en France et à l’export, nous serions capables de passer à la cadence 5 par mois pour les années 2030 », explique Éric Trappier. Cette nouvelle hausse de production est à l’étude. Dassault Aviation réaffirme son rang de seul constructeur européen ayant les compétences, depuis plus de soixante-dix ans, pour concevoir, développer, construire, maintenir et faire évoluer un avion de combat de A à Z L’usine de Cergy « est plus qu’un bâtiment. C’est un signal : celui de la confiance dans l’avenir industriel de notre pays. Je continue de croire dans l’industrie en France, mais hélas les chiffres montrent qu’au plan national la désindustrialisation se poursuit inexorablement ! », déplore Éric Trappier. Un message, qui, espère-t-il, « sera entendu par nos pouvoirs publics ». Cela, alors que le nouveau gouvernement Lecornu n’est pas encore formé et que les oppositions ont fait des entreprises leur cible. Or, en tant que PDG de Dassault Aviation mais aussi président de l’UIMM, l’Union patronale des industries et métiers de la métallurgie, Éric Trappier appelle « urgemment » les politiques à « alléger les pesanteurs, les freins réglementaires, les normes absconses qui pèsent sur l’activité industrielle en France ». « Il faut éviter les discours simplistes sur les 200 milliards d’euros d’aides que recevraient les entreprises en oubliant que celles-ci ont été mises en place pour compenser l’excès de prélèvements obligatoires qui grève leur compétitivité », plaide-t-il. Fortes tensions autour de l’avion de combat du futur Depuis Cergy, Dassault Aviation réaffirme son rang de seul constructeur européen ayant les compétences, depuis plus de soixante-dix ans, pour concevoir, développer, construire, maintenir et faire évoluer un avion de combat de A à Z. « C’est une exception française », rappelle le PDG alors que l’Allemagne et l’Espagne jugent que le projet de Système de combat aérien du futur (Scaf), dont le futur avion de combat (NGF) est le cœur, est en panne, et menacent de le poursuivre sans la France. Éric Trappier appelle depuis des mois à changer de gouvernance pour passer, en théorie en 2026, à la phase 2 de développement d’un démonstrateur, estimant que celle mise en place avec Airbus Allemagne et Airbus Espagne lors de la phase 1 d’études, est inefficace et l’empêche de jouer son rôle de maître d’œuvre et de leader du NGF. Un rôle que lui ont pourtant assigné les trois pays partenaires. De l’autre côté du Rhin, les déclarations peu amènes se multiplient. « Je crois que le Scaf ira de l’avant sans Dassault, affirme Thomas Pretzl, président du comité d’entreprise d’Airbus Defence, dans un entretien au quotidien allemand Handelsblatt publié ce mardi. Il existe en Europe des partenaires plus attractifs et mieux adaptés ». Des déclarations qui font écho à la « colère qui gronde en Allemagne ». Pas de quoi émouvoir Éric Trappier : « Je veux bien que les Allemands grondent. Ici, on sait faire. S’ils veulent faire tout seuls, qu’ils fassent tout seuls. » Quant à Dassault Aviation, « oui, nous sommes capables de développer et de construire un avion de combat de 6e génération tout seul ». Toutefois, la ligne n’est pas coupée entre Airbus et Dassault Aviation. « Je parle avec le patron d’Airbus Defence (Michael Schoellhorn, NDLR) », précise le PDG de Dassault Aviation. Ce sera aux politiques de trancher. Et cela, au plus haut niveau. *Le groupe Dassault est propriétaire du « Figaro » La rédaction vous conseille Éric Trappier, PDG du Groupe Dassault : « Il faut préserver le modèle de défense français » Dassault anticipe une hausse de production du Rafale La France mobilise trois Rafale pour «contribuer à la protection de l'espace aérien polonais», annonce Emmanuel Macron Dassault Aviation : une nouvelle usine ultramoderne en France pour accompagner le succès du Rafale Passer la publicité 11 commentaires anonyme le 24/09/2025 à 01:24 Félicitations ! BMMJL le 23/09/2025 à 22:02 Bravo Mouloud qui bosse le 23/09/2025 à 21:47 "Dassault Aviation réaffirme son rang de seul constructeur européen ayant les compétences, depuis plus de soixante-dix ans, pour concevoir, développer, construire, maintenir et faire évoluer un avion de combat de A à Z" Vraiment ? et Saab ils mettent les petits chocolats dans le papier alu ? https://www.lefigaro.fr/societes/dassault-aviation-une-nouvelle-usine-ultramoderne-en-france-pour-accompagner-le-succes-du-rafale-20250923
  13. Pourtant, quelques années auparavant : https://etudiant.lefigaro.fr/article/la-dgse-est-surprise-par-le-faible-niveau-des-candidats-a-son-concours_9b88554a-8ec1-11ea-b3e5-a5eefbd8d46b/ La DGSE est surprise par le faible niveau des candidats à son concours Par Emma Ferrand Publié le 05/05/2020 à 6:05 PM, mis à jour le 05/05/2020 à 6:05 PM En janvier dernier, 400 candidats ont participé au concours externe SAS de la DGSE.MARTIN BUREAU/AFP Le jury du concours estime que trop de candidats ne savent pas répondre à des «questions pourtant simples et accessibles». Pour intégrer la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), il ne suffit pas de regarder la série à succès Le Bureau des Légendes. Les candidats l’ont appris à leurs dépens. Les services de renseignements ont publié en avril 2020 le rapport du jury du concours externe pour l’accès à l’emploi de secrétaire administratif spécialisé (SAS). Ce dernier s’est déroulé du 20 au 31 janvier 2020. Et les résultats de certains candidats ont surpris les examinateurs, qui ont relevé «d’importantes lacunes». «Hormis les lauréats, le jury a noté chez les candidats un manque de préparation et de connaissances rédhibitoire pour prétendre à un corps de fonctionnaire de la DGSE», indique le rapport. À lire aussi | Comment entrer à la DGSE après une école d’ingénieurs ou un master à l’université Le jury précise également que le niveau global des 400 candidats était «moyen malgré une majorité de profils ayant suivi des cursus universitaires de deuxième cycle (niveau Master 2)». Une incompréhension pour les examinateurs, qui indiquent avoir «sanctionné les candidats ne sachant pas répondre à des questions pourtant simples et accessibles». Des candidats mal préparés Cette année, les candidats postulaient pour 14 postes différents: 10 dans la spécialité«rédaction et analyse dans les domaines de la géopolitique», 2 dans la spécialité«rédaction, administration générale» et 2 dans la spécialité«langues: arabe littéral». Concernant cette dernière filière, le jury a finalement décidé de ne pas admettre de candidat «dans la mesure où aucun d’entre eux n’a démontré avoir une connaissance suffisante de la DGSE et de ses missions pour pouvoir se projeter, avec conviction, dans un poste correspondant à cette spécialité». En règle générale, les candidats n’étaient pas non plus préparés à l’épreuve orale d’introduction, d’une durée de dix minutes. Ils «se sont présentés à l’oral sans y être préparés, improvisant une présentation rapide de leur parcours alors qu’il était attendu un exposé structuré mettant en avant leurs motivations à intégrer la DGSE en tant que SAS», précise le rapport. Un manque d’originalité dans les CV L’orthographe et le manque d’originalité dans les CV et les lettres de motivation ont également été relevés, «alors que ces documents sont la première impression que se fait le jury du candidat. Trop généralistes ou identiques à ceux adressés à d’autres concours, ils ne permettent pas de saisir les motivations spécifiques du candidat». La DGSE cherche à augmenter ses effectifs. D’ici 2022, elle prévoit de recruter 1500 civils et militaires pour renforcer ses effectifs. Ses offres d’emploi sont communiquées auprès des universités ou des grandes écoles d’ingénieurs, militaires, ou Sciences Po. Depuis peu, les annonces sont également visibles sur la page LinkedIn de la DGSE, ou sur leur chaîne YouTube. https://etudiant.lefigaro.fr/article/la-dgse-est-surprise-par-le-faible-niveau-des-candidats-a-son-concours_9b88554a-8ec1-11ea-b3e5-a5eefbd8d46b/ ____________________________________________________ ____________________________________________________ https://www.opex360.com/2021/12/05/le-niveau-des-candidats-diplomes-de-lenseignement-superieur-aux-concours-de-la-dgse-est-tres-heterogene/ Le niveau des candidats diplômés de l’enseignement supérieur aux concours de la DGSE est « très hétérogène » par Laurent Lagneau · 5 décembre 2021 Comme chaque année, la DGSE publie des rapports afin de dresser le bilan des concours qu’elle organise. Et il en ressort que le niveau des candidats est très hétérogène, même si ceux-ci sont diplômés de l’enseignement supérieur. Qui plus est, le comportement de certains d’entre-eux interroge… Ainsi, l’an passé, le concours externe d’attaché [catégorie A] de la Direction générale de la sécurité extérieure [DGSE] a attiré 1500 candidats, pour seulement 26 places offertes. Autant dire que la concurrence s’annonçait rude. Du moins à première vue. En effet, sur les 1500 inscrits, 1139 se sont présentés à l’épreuve de spécialité du concours [géopolitique, administration générale, informatique, arabe, russe et chinois]. Et seulement 137 ont été déclarés admissibles aux épreuves orales, qui se sont déroulées entre le 8 mars et le 14 avril 2021. Dans le détail, s’agissant de la spécialité « géopolitique » [16 places offertes, ndlr], le rapport du jury note ainsi que d’un « point de vue général, un très grand nombre de copies révèle une méconnaissance des attendus d’un concours administratif de catégorie A : en termes de niveau tout d’abord, avec des copies très insuffisantes sur les connaissances, sur la rédaction et/ou sur la structuration des idées ». En outre, poursuit le rapport, « un nombre important de copies propose une analyse et une réflexion faibles, les réponses étant très descriptives, uniquement factuelles [des listes d’exemples] et non problématisées ». Et certains candidats ont même lancé de « véritables diatribes mal venues dans le cadre d’un concours de la fonction publique ». Enfin, le document souligne aussi qu’un « nombre non négligeable de copies pose également la question de la maîtrise du français, avec de très rares copies exemptes de fautes et d’anglicismes ». Pour la spécialité « administration générale », un constat analogue a été établi. « Si les carences en orthographe n’ont pas été prises en compte dans l’évaluation, elles ont été jugées assez préoccupantes compte tenu du niveau de diplôme des candidats », lit-on dans le rapport, lequel note que « c’est l’absence de raisonnement qui caractérise globalement les copies », la « mobilisation de connaissances n’étant pas relayée par une capacité à poser le sujet et à ‘se battre’ avec ». Quant à la spécialité « Sciences et technologie – informatique », plusieurs lacunes ont été relevées chez les candidats. Ainsi, aucun d’entre-eux « n’a pu décrire ce qu’est la structure d’un processus, ni ce qu’est un processus léger » et la définition d’un système d’exploitation qu’ils ont donnée « est rarement convenable ». Enfin, lors de l’entretien des candidats admissibles avec le jury, il est apparu qu’un « grand nombre » d’entre-eux n’avaient « pas pris la peine de se ‘renseigner’ sur les métiers qu’ils aspirent à exercer au sein de la DGSE ainsi que sur l’administration qu’ils souhaitent rejoindre », avance le rapport. Et celui-ci d’insister : « Des candidats se sont visiblement trompés de concours et n’ont pas mesuré ce que sont les missions de la DGSE et de ses attachés ». Un autre concours de la DGSE, visant cette fois à recruter des « secrétaires administratifs spécialisés de classe normale » [catégorie B de la fonction publique] a également donné lieu à un rapport, dont les conclusions rejoignent celles qui avaient été formulés les années précédentes. Seulement 12 places étaient offertes, pour 371 postulants. Et, à l’issue des épreuves d’admissibilité, il n’en restait plus que 57. « Les moyennes obtenues par les candidats à l’issue des épreuves d’admissibilité s’échelonnent entre : 14,00 et 0,00 pour les candidats inscrits en spécialité ‘rédaction, administration générale' » et « entre 15,00 et 0,00 pour les candidats inscrits en spécialité ‘rédaction et analyse dans les domaines de la géopolitique' ». « Beaucoup de remarques formulées par les jurys des années précédentes demeurent valables pour la session 2020. De manière générale, le jury estime que le niveau global des candidats était très hétérogène, et ce alors que la majorité d’entre eux présentaient des cursus universitaires de deuxième cycle, des passages par des grandes écoles comme Sciences Po ou par des préparations aux concours de la fonction publique [IPAG, CPAG ou prép’ENA] », avance cet autre rapport. Celui-ci souligne par ailleurs que le jury a « noté que plusieurs candidats n’avaient pas respecté les règles élémentaires de politesse [saluer le jury en entrant, attendre l’invitation à s’asseoir pour s’installer, arborer une tenue vestimentaire adaptée et professionnelle] ». Et, là encore, nombreux auront été les postulants à démontrer une « connaissance trop superficielle de la communauté du renseignement, imputable à un manque de préparation voire à une absence d’intérêt marqué pour le sujet ». https://www.opex360.com/2021/12/05/le-niveau-des-candidats-diplomes-de-lenseignement-superieur-aux-concours-de-la-dgse-est-tres-heterogene/
  14. https://www.lepoint.fr/monde/il-ne-vous-reste-plus-que-quelques-jours-pour-devenir-espion-a-la-dgse-15-09-2025-2598673_24.php International Il ne vous reste plus que quelques jours pour devenir… espion à la DGSE DÉCLASSIFIÉ. Chaque année, les services secrets français recrutent via un concours au niveau très élevé : l’admissibilité est ardue et la compétition entre candidats, féroce. Par Romain Gubert Publié le 15/09/2025 à 17h00 S’abonner sans engagement Le concours de la DGSE est l’un des plus sélectifs de la fonction publique. Le concours de la DGSE est l’un des plus sélectifs de la fonction publique. © Jacques Witt/SIPA Temps de lecture : 5 min Ajouter à mes favoris Google News C'est un document croustillant. Il émane des examinateurs qui, en juin dernier, ont fait passer les épreuves du concours d'attaché de la direction générale de la sécurité extérieure (DGSE). Extraits : « Le jury a ainsi eu le plaisir de faire de très belles “rencontres” avec certains candidats, occasionnant de véritables “coups de cœur” » ; « En dehors de quelques accidents de parcours lors des épreuves orales, le plus souvent imputables à une préparation insuffisante et insuffisamment ciblée sur la DGSE et l'écosystème du renseignement, le jury a pu, cette année encore, constater l'excellence académique, la richesse des expériences et les qualités humaines de la très grande majorité des candidats ». On y lit encore : « Le rôle de l'observateur se révèle tout aussi intéressant pour évaluer les candidats sur des qualités d'écoute, d'observation, de synthèse et d'esprit critique, qualités essentielles pour travailler à la DGSE » ; « Certains candidats n'ont pas pu expliquer clairement et sincèrement leurs motivations profondes pour intégrer la DGSE »… Trompeuse bienveillance… Pour un peu, la lecture de leur « rapport », plutôt bienveillant envers les candidats, ferait presque sourire. Car le jury (anonyme) du concours de la DGSE pour devenir « attaché » est en réalité particulièrement exigeant. Ce concours est même l'un des plus sélectifs de la fonction publique. Qu'on en juge : en 2025, ils étaient 1 068 candidats (dont 443 femmes et 625 hommes) pour 11 postes d'« attaché » ouverts. Sur les 686 candidats ayant remis une copie le jour de l'examen, 45 ont été admissibles. Et 11 sélectionnés dans les 4 épreuves au choix proposées – 5 en géopolitique, 2 en russe, 2 en chinois et 2 en arabe (tous les candidats doivent aussi parler parfaitement anglais). À LIRE AUSSI Narcotrafic, Russie, Syrie… Les guerres secrètes de TracfinSelon d'anciens candidats dans la catégorie « géopolitique », le niveau est comparable à celui de l'ex-ENA (rebaptisée INSP). Et, pour la catégorie « langue » (russe, chinois, arabe), il faut être non seulement quasiment bilingue mais aussi maîtriser les enjeux géopolitiques sur le bout des doigts. La lecture de la meilleure copie au concours 2025 en géopolitique (consultable dans les annales publiées en ligne) en atteste (elle a obtenu 17,24 sur 20) : il faut presque tout savoir sur tous les sujets et les grandes affaires du monde… Et évidemment savoir les décortiquer à l'écrit de façon claire et intelligente. En 2025, les candidats ont dû disserter sur les ingérences étrangères, les rapports entre le Moyen-Orient et la Chine, l'IA, etc. Par ailleurs, le jury n'est guère revanchard : dans la meilleure copie 2025, le candidat évoque les faiblesses de la lutte de la France contre les ingérences étrangères en matière cyber, citant un rapport de l'OCDE pas franchement flatteur pour les espions de l'Hexagone. Pas de service action Avis aux amateurs rêvant d'une carrière d'espion : les inscriptions au concours sont clôturées le 26 septembre. Et on peut trouver ici tous les détails de l'épreuve. Hormis la rédaction d'une lettre de motivation, il faut être de nationalité française. Mais, pour le reste, tous les profils sont acceptés à condition qu'ils soient titulaires d'un bac + 3 (il n'y a pas de limite d'âge). Le concours est si exigeant qu'il existe même des « prépas » – citons par exemple celle de l'université Panthéon-Assas. Mais qu'on ne s'y trompe pas. Pas question d'imaginer intégrer par ce biais le « service action » : la carrière mène plutôt vers la fonction d'analyste (spécialiste d'un pays ou d'une question), puis d'officier traitant en poste à l'extérieur. Et, enfin, à celle de responsable d'une équipe importante. Voire à devenir patron d'une des grandes directions de la DGSE… Mais certains attachés ont aussi eu des fonctions insoupçonnables, et 248 métiers différents sont représentés au sein de la « Piscine ». À LIRE AUSSI EXCLUSIF. Rendez-vous avec le patron de la DGSE dans la salle de crise Ce concours pour intégrer la DGSE n'est pas le seul. Celui de secrétaires administratifs spécialisés offre aussi chaque année quelques postes (ils relèvent de la catégorie B de la fonction publique, mais sont tout aussi exigeants, en témoignent les annales). L'an passé, les 227 candidats (pour 10 postes) ont disserté sur « la France et l'Otan », « les Brics » (les grandes puissances émergentes) ou la messagerie Telegram… Enfin, il existe un concours pour les postes de « contrôleur spécialisé » (des métiers très spécialisés). Des contractuels de plus en plus nombreux Sur les 7 500 personnes employées par la DGSE, seules quelques-unes sont pourtant passées par ce concours. D'abord parce que celui-ci est récent. Ensuite parce que la « Boîte », comme les agents surnomment entre eux leur maison, compte dans ses rangs des fonctionnaires détachés d'autres administrations – des militaires (pour un tiers) et bien sûr des contractuels (pour un tiers, en hausse constante), qui ne passent que quelques années au sein des services secrets français. À LIRE AUSSI La DGSE : quarante ans de mystères et de tumultes À Découvrir Le Kangourou du jour Répondre Le champ de compétences de ces derniers couvre tous les domaines et la plupart des offres sont publiées sur le site Internet de la DGSE. Actuellement, on trouve aussi bien une annonce pour devenir « chef de la section décorations et chancellerie », électricien, membre du personnel d'entretien ou bien de très nombreuses offres pour des ingénieurs. Et le processus est long : la DGSE ne détaille pas les procédures de contrôle qu'elle met en place pour s'assurer que les « nouveaux entrants » ne cherchent pas à l'infiltrer. Mais les impératifs de sécurité allongent de six à neuf mois le recrutement. Comme les autres services de renseignement, la DGSE recrute aussi des jeunes parmi les mieux formés à l'IA ou dans des domaines extrêmement spécialisés. Elle tente aussi d'attirer de jeunes ingénieurs passés par les meilleures universités et grandes écoles. Ou qui ont effectué quelques années à l'étranger. Quitte à faire des offres hors des grilles salariales habituelles de la fonction publique. Ces derniers mois, l'inflation entre les différents services de renseignement était telle que le CNRLT, le Coordonnateur national du renseignement et de la lutte contre le terrorisme, a exigé des services (DGSE, DGSI, DRM, etc.) qu'ils deviennent plus raisonnables dans ce domaine. Certains salaires proposés auraient dépassé ceux offerts par de grandes entreprises… Les mots-clés associés à cet article Déclassifié À ne pas manquer DGSE : « Nos services ont considérablement affaibli le terrorisme » Services secrets : comment devenir cyberespion à la DGSE L'actu du jour en bref Ce service est réservé aux abonnés. S’identifier Commentaires (4) JLL 15-09-2025 • 19h45 Deux camarades médecins militaires de ma promotion, aujourd’hui décédés faisaient partie de la DGSE nous l’avons appris bien après leur décès dont l’un particulièrement horrible. justinien10 15-09-2025 • 19h21 Babouk : vous oubliez l’enquête de sécurité. Babouk 15-09-2025 • 17h58 Pas sûr que le critère « être de nationalité française » soit bien pertinent. La plupart des sympathisants LFI, des radicalises, des narco-trafiquants, et tous ceux qui sont issus « droit du sol » sont aussi de nationalité française. Djé_ 15-09-2025 • 17h27 Le logo de la boîte, jamais ils le mettent au goût du jour ? La vérité, ça fait pitié ! https://www.lepoint.fr/monde/il-ne-vous-reste-plus-que-quelques-jours-pour-devenir-espion-a-la-dgse-15-09-2025-2598673_24.php
  15. https://www.lepoint.fr/monde/cette-mission-secrete-ultra-risquee-approuvee-par-trump-en-coree-du-nord-05-09-2025-2597871_24.php Cette mission secrète ultrarisquée approuvée par Trump en Corée du Nord En 2019, un commando américain a tenté d’installer un appareil électronique en Corée du Nord pour intercepter les communications de Kim Jong-un. Mais rien ne s’est passé comme prévu. Par Pauline Pausini Publié le 05/09/2025 à 23h55 En 2019, un commando américain a tenté d’installer un appareil électronique en Corée du Nord pour intercepter les communications de Kim Jong-un, avec l'approbation de Donald Trump. En 2019, un commando américain a tenté d’installer un appareil électronique en Corée du Nord pour intercepter les communications de Kim Jong-un, avec l'approbation de Donald Trump. © Gavriil Grigorov/Sputnik/Sipa Temps de lecture : 2 min Ajouter à mes favoris Google News « L'opération de 2019 n'a jamais été publiquement reconnue, ni même évoquée par les États-Unis ou la Corée du Nord ». Le New York Times révèle ce vendredi la mission top secrète menée par les États-Unis sur le sol nord-coréen lors du premier mandat de Donald Trump. La newsletter international Tous les mardis à 11h Recevez le meilleur de l’actualité internationale. En vous inscrivant, vous acceptez les conditions générales d’utilisations et notre politique de confidentialité. En s'appuyant sur les témoignages anonymes d'une vingtaine de personnes, dont des responsables du gouvernement, des membres de la première administration Trump et des militaires, le journal livre les détails classifiés de cette opération ultrasensible qui a coûté la vie à des civils nord-coréens et qui aurait pu changer la face du monde, la Corée du Nord étant dotée de l'arme nucléaire. À LIRE AUSSI Donald Trump et Kim Jong-un : la guerre des mots C'est d'ailleurs pour informer le public et les décideurs politiques que les témoins de cette mission secrète ont décidé de briser le silence, et ce afin de leur faire prendre conscience des risques, parfois extrêmes, pris par les forces américaines. Une mission approuvée par Trump Début 2019, donc, l'escadron rouge de la SEAL Team Six (ST-6) – l'unité qui a tué Oussama ben Laden en 2011 au Pakistan – arrive par la mer, en pleine nuit, sur la côte nord coréenne après des mois de répétition et d'entraînement. Leur objectif est d'implanter, rapidement et discrètement, un appareil électronique permettant aux États-Unis d'intercepter les communications du dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, lequel mène, à cette période, des négociations nucléaires avec Donald Trump. Mais l'équipe de la ST-6, plus habituée aux raids rapides en Afghanistan et en Irak, doit cette fois agir lentement et subtilement. Le plan lui impose de patienter des heures dans l'eau glaciale, avant de se faufiler en déjouant les dispositifs de sécurité terrestres, d'installer l'espion électronique et de s'échapper sans être détectée. À LIRE AUSSI Trump va-t-il prendre un nouveau râteau de Kim Jong-un ? L'opération était d'autant plus délicate, qu'en cas d'échec, elle pouvait mettre en péril les négociations en cours et provoquer une escalade entre les deux pays. À l'époque, précise le journal new-yorkais, l'adversaire nord-coréen dispose « d'environ 8 000 pièces d'artillerie et de lance-roquettes pointées sur les 28 000 soldats américains » basés en Corée du Sud. « C'était tellement risqué qu'il fallait l'approbation directe du président. » Le Congrès dans l'ignorance À Découvrir Le Kangourou du jour Répondre Mais même en ayant répété minutieusement les divers scénarios possibles, l'escadron américain s'est fait surprendre par un bateau à bord duquel les passagers, équipés de lampes torches, balayaient les environs. Craignant d'avoir été repéré, le commando a ouvert le feu et tué tous les passagers, avant d'abandonner sa mission. À LIRE AUSSI Corée du Nord : Kim Jong-un va-t-il déclencher une guerre ? L'ancienne administration Trump n'a jamais informé les commissions du Congrès chargées de superviser les opérations militaires et de renseignements de cette mission à haut risque, ce qui pourrait constituer une violation de la loi fédérale. La Maison-Blanche s'est refusée à tout commentaire. Les mots-clés associés à cet article Donald Trump Kim Jong-Un États-Unis Corée du Nord À ne pas manquer « Les Nord-Coréens manquent cruellement d’expérience au combat » La Corée du Nord dévoile un destroyer « capable » de déployer des missiles nucléaires Pourquoi la photo de Xi Jinping, Vladimir Poutine et Kim Jong-un est historique Ce service est réservé aux abonnés. S’identifier Commentaires (9) Freedom 06-09-2025 • 12h23 @watys : ce qui est étonnant c’est Trump a répété exactement les mêmes erreurs avec Poutine qui l’a lui aussi roulé dans la farine. Freedom 06-09-2025 • 12h22 Lire l’article de le NY Times pour détails de l’opération. juan47 06-09-2025 • 11h15 Encore une réussite Américaine ! Après la Baie des Cochons (Cuba), la défaite au Vietnam, le désastre d’Irak et d’Afghanistan, voilà le résultat de la 1ere puissance du Monde. Je serais Taiwanais, je ne donnerais pas chère de ma peau en cas d’attaque de la part de la Chine. Dormez tranquilles, braves gens, l’Oncle SAM s’occupé de tout ! Pendant ce temps, la Chine produit et invente des armes en quantité, se dote d’une Marine qui surpassera celle des USA et prépare tranquillement l’invasion victorieuse de Taïwan... Qui ne serait pas défendue par Trump ! https://www.lepoint.fr/monde/cette-mission-secrete-ultra-risquee-approuvee-par-trump-en-coree-du-nord-05-09-2025-2597871_24.php
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