Le temps joue en faveur des Azerbaidjanais. Les Arméniens sont encerclés, n'ont aucune possibilité de se faire réapprovisionner, de tenter une sortie ou de se faire dégager par les forces arméniennes à l'extérieur de la ville. Les Azerbaidjanais vont se contenter de pilonner la ville à distance et user les défenseurs par des attaques régulières.
Dans le pire des cas, les Azerbaidjanais laissent passer l'hiver pour se réorganiser, amener des renforts, recompléter les stocks et repartiront à l'assaut lorsque le beau temps reviendra.