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Tout ce qui a été posté par Jojo67
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L'aura de l'Allemagne militaire (WWII) aujourd'hui
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Histoire militaire
Oh c'est très simple, c'est le même phénomène que pour les armées de Napoléon : des victoires à la pelle et in fine une défaite sous le poids du nombre. Nous aimons tous les gens "forts", les gagnants, et l'on cherche à savoir leur secret. -
Russie et dépendances.
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Tactac dans Politique etrangère / Relations internationales
Un article intelligent et équilibré écrit par deux chercheurs français sur la politique étrangère russe aujourd'hui: http://fr.news.yahoo.com/t%C3%AAte-vladimir-poutine-comprendre-vision-g%C3%A9opolitique-russe-monde-100404759.html -
Ukraine
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Le risque d'une partition de l'Ukraine pointe à l'horizon: Source: par Gabriela Baczynska MOSCOU (Reuters) - Les dirigeants des régions majoritairement russophones de l'Est ukrainien, partisans du président Viktor Ianoukovitch, ont remis en cause samedi la légitimité du parlement de Kiev et déclaré qu'ils conservaient le seul contrôle de leurs territoires. Depuis la signature vendredi d'un accord de sortie de crise négocié par les médiateurs européens, le Parlement ukrainien a adopté à Kiev une série de mesures réduisant les prérogatives du président et préparant la formation d'un gouvernement d'unité nationale et une élection présidentielle anticipée. L'opposante Ioulia Timochenko, battue de justesse par Ianoukovitch à l'élection présidentielle d'avril 2010 et condamnée en 2011 à sept ans de prison pour abus de pouvoir, pourrait être libérée dans les prochaines heures. "Nous ne nous préparons pas à disloquer le pays, nous voulons le préserver", a déclaré Mikhaïlo Dobkine, gouverneur de la région de Kharkiv, au cours d'une réunion des dirigeants de l'Est. Mais la résolution adoptée lors de cette réunion à Kharkiv précise que "les décisions prises par le parlement ukrainien dans de telles circonstances font douter de leur légitimité et de leur légalité". "Les organes de l'Etat central sont paralysés", poursuit le texte. "Tant que l'ordre constitutionnel et la légalité ne seront pas restaurés (...) nous avons décidé d'assumer la responsabilité de protéger l'ordre constitution, la légalité, les droits des citoyens et leur sécurité sur nos territoires." Dans l'assistance, des "Russie ! Russie !" ont fusé, dépeignant une atmosphère bien différente des rues de Kiev où les manifestants réclament la démission du président Ianoukovitch, soutenu par Moscou. Les régions représentées à la réunion - Kharkiv, Donetsk, Dnipropetrvsk, Lougansk et la Crimée - comptent au total 14,4 millions des 46 millions d'habitants de l'Ukraine. La plupart sont d'importants bassins industriels, la Crimée abrite la Flotte russe de la mer Noire, basée à Sevastopol. En Crimée, certains ont réclamé que la péninsule redevienne territoire russe. A la tribune, un des orateurs a appelé ses compatriotes à se constituer en patrouilles civiles pour rétablir l'ordre; un autre a prévenu les participants de la réunion de Kharkiv qu'ils devaient se préparer à être la cible de représailles si les manifestants de Kiev prennent le pouvoir sur l'ensemble du pays. "FÉDÉRALISATION" A Moscou, la télévision publique Rossiya 24, qui a retransmis en direct la réunion des gouverneurs des régions de l'Est, a souligné qu'il était tout à fait envisageable que la ville de Kharkiv se mette à déterminer ses propres politiques plutôt que d'appliquer les décisions prises dans la capitale. "La révolution l'a emporté à Kiev, dans une partie de l'Ukraine mais pas dans toute l'Ukraine", souligne Volodimir Fesenko, directeur du centre d'études politiques Penta basé à Kiev. "De nombreux risques nous menacent. Si Ianoukovitch apparaît en public et proclame une administration parallèle à Kharkiv ou à Donetsk, cela voudra dire que notre pays sera coupé en deux", ajoute-t-il. "La division possible de notre pays, c'est le principal risque. La crise n'est pas encore finie." A Moscou, l'idée d'une évolution de type fédéral de l'Ukraine a été avancée ces derniers temps. A en croire Andreï Illarionov, ancien conseiller de Vladimir Poutine, certains responsables du Kremlin parient sur cette "fédéralisation" pour que Moscou accentue son contrôle sur les régions russophones de l'Est et du Sud. L'idée d'une Ukraine fédérale a été présentée au début du mois par un conseiller du Kremlin, Sergueï Glaziev: donner plus de poids aux régions, explique-t-il, permettrait aux seuls Ukrainiens russophones de l'Est et du Sud de rejoindre l'union commerciale élaborée par Moscou. "Aujourd'hui, les relations économiques, culturelles et humaines entre les régions de l'est et de l'ouest de l'Ukraine sont moins fortes que les liens qui existent entre l'Ukraine du sud-est et la Russie et entre les régions occidentales et l'UE", soulignait-il le 6 février dans les colonnes du quotidien Kommersant Ukraine. Citant l'exemple du Groënland, qui jouit d'une large autonomie vis-à-vis du Danemark et n'appartient pas à l'Union européenne, Glaziev ajoutait que l'ouest et l'est de l'Ukraine pourraient avoir des relations économiques différentes avec l'Union européenne et la Russie. A Lviv, dans l'Ouest ukrainophone du pays, le maire de la ville, Andriy Sadovi, s'est élevé par avance contre toute mesure qui impliquerait une possible scission du pays. "Nous ne céderons pas un centimètre de terre ukrainienne à qui que ce soit", a-t-il dit samedi. Avec Alessandra Prentice et Matt Robinson à Kiev; Julien Dury et Henri-Pierre André pour le service français -
Ukraine
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Le pire est évité c'est le principal. Maintenant la question qui se pose est la suivante: qui sur le plan stratégique a avancé ses pions en Ukraine par cet accord et ce qui va suivre? L'Ouest ou l'Est? -
Ukraine
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Ce gouvernement américain "scandalisé" ferait mieux de balayer devant sa porte: Lituanie les prisons secrètes de la CIA: http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/20/97001-20140220FILWWW00249-lituanie-des-prisons-secretes-de-la-cia.php -
Ukraine
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
+1! ^-^ -
Ukraine
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
On approche là quand même d'une situation insurrectionnelle. L'armée va-t-elle et peut-elle intervenir compte tenu du fait que l'opinion est coupée en deux entre Ouest et Est du pays? -
Ukraine
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Je ne suis pas d'accord. Une Russie même démocratique à l'européenne aurait des intérets stratégiques nationaux à défendre, comme le font par exemple les Etats-Unis. Et je doute qu'elle aurait vu d'un bon oeil l'Europe et l'Otan venir s'étendre jusqu'en Ukraine. Démocratie ne veut pas dire colonne vertébrale souple et fluide et "j'oublie mes intérêts pour défendre les vôtres". -
Ukraine
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Au vu de ces images, là on n'est plus en présence de manifestations visant à faire pression sur un gouvernement pour tel ou tem motif, mais carrément d'une tentative de coup d'Etat contre le pouvoir en place. Un pouvoir si je ne m'abuse élu dans les urnes et sans fraudes massives, même si tout ne fut pas clair façon suisse. -
Je parie pour la même chose. Si Le Drian arrivait à préserver son budget ce serait un miracle.
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Guerre civile en Syrie
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de maminowski dans Politique etrangère / Relations internationales
L'étude est ici : https://www.documentcloud.org/documents/1006045-possible-implications-of-bad-intelligence.html#storylink=relast Attaque chimique à Ghouta près de Damas du 21 août 2013. Deux experts américains, Richard M. Lloyd, un expert en design de charges militaires, et Theodore A. Postol, un physicien du Massachusetts Institute of Technology de Boston ont publié un rapport de 23 pages qui réfute ce qu'avait dit le gouvernement américain (et français...) à propos de l'attaque chimique de la Ghouta près de Damas, le 21 août 2013, qui avait fait paraît-il franchir "la ligne rouge" à Bachar el-Assad. Selon eux, les roquettes étant de faible portée (2 km), elles n'ont pas pu être tirées comme cela a été dit, depuis le coeur (« the heart ») de la zone contrôlée par le gouvernement, qui se trouve située à 5 et 10 km de là. En effet, il s'agissait de roquettes bricolées, que l'on avait coupées pour les munir sur la tête d'un réceptacle cylindrique contenant le gaz, réceptacle qui a un impact très grand sur leur portée en accroissant fortement la traînée lors de la trajectoire. Ce rapport vient après que la presse nous ait récemment révélé que le gouvernement US savait que les rebelles disposaient de stocks de gaz sarin avant le 21 août 2013 et qu'il l'avait caché à l'époque où l'on parlait de bombardements contre l'armée syrienne. Bombardements qui n'ont pas eu lieu finalement. La portée estimée de 2 km rejoint les estimations du rapport de l'ONU (conférence de presse du 13 décembre 2013): "if you simulate the flight path it seemed not to meet – may be indicated from the report – you may draw a conclusion from the report two kilometers could be a fair guess. I would assume, but it all depends, you have to sort of set some parameters which we do not know to what extent they were filled or with what they were filled with. We don’t know their weight or whatever, but two kilometers could be a fair guess." Le New York Times en parle ici: http://www.nytimes.com/2013/12/29/world/middleeast/new-study-refines-view-of-sarin-attack-in-syria.html?_r=1&adxnnl=1& -
Ukraine
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Il travaille pour Israël, et plus globalement pour le protecteur d'Israël, les Etats-Unis, c'est clair, et il ne s'en cache pas. -
FRANCE : 5° puissance économique?
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de SPARTAN dans Economie et défense
De toutes façons on n'a plus le choix, il faut s'attaquer aux dépenses. Sinon les marchés (nos créanciers en somme) nous sanctionneront sur notre dette par une hausse insupportable de nos taux d'intérêts. Le mieux serait d'anticiper en appliquant vraiment et pas seulement en paroles le pacte de responsabilité. 50 à 60 milliards d'économies à trouver en quelques années pour alléger le coût du travail, les charges des entreprises mais aussi réformer le droit du travail etc. Faut le faire. -
Russie et dépendances.
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Tactac dans Politique etrangère / Relations internationales
+1. Un article intelligent qui remet les choses à leur place. -
co² Economie et climat. CO2 or not CO2?
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Jojo67 dans Economie et défense
Un billet du site pensée unique qui donne la parole à un climatologue australien: http://www.pensee-unique.fr/news.html#palt 08 Février 2014 : Le climatologue Garth Paltridge nous parle de la situation actuelle de la climatologie et des climatologues. Garth Paltridge (ci-contre) est un authentique climatologue. Il est actuellement professeur émérite de l'Université de Tasmanie et membre de l'Académie des Sciences australienne. Il a été Directeur de Recherche au sein de la Division de la Recherche sur l'Atmosphère du CSIRO. (NdT : Commonwealth Scientific and Industrial Research Organization qui est, à peu près, l'équivalent du CNRS français). Il a également été le Directeur de l' "Institute of Antarctic and Southern Ocean Studies" et Président du "Antarctic Cooperative Research Centre". Il est l'auteur de "The climate caper : facts and fallacies of global warming" soit "La balade climatique : des faits et des idées fausses sur le réchauffement climatique. Son activité de recherche a été consacrée à la physique du changement climatique aussi bien en tant que théoricien qu'en tant que modélisateur sur ordinateur. Garth Paltridge fait donc partie du "sérail" de la climatologie internationale, tout comme Judith Curry, souvent mentionnée dans ce site. Vivant à l'intérieur du système depuis de nombreuses années, Paltridge est donc particulièrement bien placé pour nous expliquer ce qui se passe, en réalité, au coeur de la climatologie ...et, surtout, des climatologues. Vous avez, ci-dessous, une traduction complète du texte original publié par Paltridge dans Quadrant Online (une revue australienne de bon standing en ligne). Voici le titre et le sous titre de l'article publié par Garth Paltridge : Les incertitudes intrinsèques du changement climatique. Pratiquement tous les scientifiques qui sont directement impliqués dans les prédictions climatiques sont conscients des énormes incertitudes qui pèsent sur leurs travaux. Comment se fait-il alors qu'ils puissent jurer, la main sur le coeur, que les émissions humaines de dioxyde de carbone détruisent la planète ? L'Organisation Météorologique Mondiale des Nations Unies a mis en place les premiers jalons pour l'établissement du Programme Mondial sur le Climat au début des années 1970. Entre autres activités, elle a tenu une conférence à Stockholm pour définir les principaux problèmes scientifiques qu'il faudrait résoudre avant que des prévisions climatiques fiables deviennent possibles. La conférence en a défini un grand nombre mais elle ne s'est focalisée que sur seulement deux d'entre eux. Le premier concernait notre incapacité à simuler les caractéristiques de la couverture nuageuse et son extension dans l'atmosphère. Les nuages sont importants parce qu'ils déterminent l'équilibre entre le réchauffement dû au soleil et le refroidissement par émission d'infra rouges de la planète et, de ce fait, ils constituent un élément qui contrôle la température de la Terre. Le second concernait notre incapacité à prévoir le comportement des océans. Les océans sont importants parce qu'ils constituent un des principaux réservoirs de chaleur du système climatique. Ils présentent des fluctuations internes, plus ou moins au hasard, sur toutes sortes d'échelles de temps qui vont de quelques années jusqu'à des siècles.Ces fluctuations induisent des variations des températures de la surface des océans qui, à leur tour, affectent la totalité du climat de la Terre. La situation n'a pas beaucoup évolué depuis les dernières décennies. Beaucoup des problèmes rencontrés dans la simulation du comportement des nuages et des océans sont encore bien présents (à côté d'autres problèmes de moindre importance) et pour des raisons qui n'ont pas changé. Peut-être le plus manifeste est que les modèles du climat doivent effectuer leurs calculs en chaque point d'une grille imaginaire plaquée sur la planète toute entière, à différentes altitudes dans l'atmosphère et à des profondeurs variables dans les océans. Les calculs sont effectués pour des pas de temps d'une heure et c'est de cette manière que les modèles progressent vers un futur hypothétique. Des difficultés surviennent parce des contraintes pratiques liées à la taille des calculateurs font que la distance horizontale entre chaque point des grilles est aussi grande qu'un degré ou deux de longitude et latitude, ce qui représente une distance de plusieurs dizaines de kilomètres. Ces distances sont beaucoup plus grandes que la taille d'un amas nuageux typique. Il en résulte que la simulation des nuages exige une bonne dose de suppositions quant à ce que pourrait être une moyenne convenable de ce qui se passe entre les points de la grille du modèle. Même si les observations expérimentales suggèrent que les modèles obtiennent des moyennes grossièrement satisfaisantes pour des prédictions à court terme, il n'y a aucune garantie que les prédictions seront correctes pour des conditions atmosphériques qui régneront dans un futur éloigné de plusieurs décennies. Parmi d'autres problèmes, les petites erreurs dans la modélisation numérique des processus complexes ont la fâcheuse habitude de s'accumuler à mesure que le temps passe. Toujours au sujet de cette affaire de points de la grille, les fluctuations océaniques et les turbulences plus petites que la distance entre les points de la grille d'un modèle sont invisibles pour ce modèle. Ceci ne serait pas en soi un problème sauf que les tourbillons dans les fluides turbulents peuvent devenir de plus en plus grands. Un petit tourbillon apparu au hasard dans un océan réel peut grossir et apparaître sorti de nulle part du moins pour ce qui concerne le modèle prévisionnel et il peut mettre le bazar dans les prévisions à partir de là et pour tout le futur. Tout ce qui précède se trouve en arrière-plan d'un des plus grands mystères de la question du changement climatique. En pratique tous les scientifiques directement concernés par les prédictions climatiques sont au courant des énormes problèmes et des incertitudes qui sont encore inhérentes aux résultats de leur travaux. Alors, comment se fait-il que ceux d'entre eux qui ont été impliqués dans le dernier rapport du GIEC puissent jurer, la main sur le coeur, qu'il y a une probabilité de 95% que les émissions humaines de dioxyde de carbone ont provoqué l'essentiel du réchauffement climatique qui s'est produit durant les dernières décennies ? Gardez à l'esprit que la représentation des nuages dans les modèles climatiques (et celle des la vapeur d'eau qui est intimement impliquée dans la formation des nuages) est de nature à amplifier le réchauffement prévu pour une augmentation de la teneur atmosphérique en dioxyde de carbone -et ceci en moyenne pour la plupart des modèles - d'un facteur d'environ trois. En d'autres termes, les deux tiers de la prévision de la hausse de la température, provient de ces caractéristiques des modèles. En dépit de ce que les modèles nous disent - et peut-être parce que ce sont les modèles qui nous le disent - aucun scientifique proche de ces questions qui aurait toute sa raison et s'il était interrogé à ce sujet, ne vous dirait qu'il est sûr à 95% que les nuages amplifient plutôt que réduisent le réchauffement climatique dû à l'augmentation du dioxyde de carbone. S'il n'est pas certain que les nuages amplifient le réchauffement climatique, il ne peut pas être sûr que la plus grande partie du réchauffement climatique résulte de l'augmentation du dioxyde de carbone. Gardez aussi à l'esprit qu'aucun scientifique proche de ces questions qui aurait toute sa raison et s'il était interrogé spécifiquement sur ce sujet, ne vous dirait qu'il y a seulement une très petite possibilité (c'est à dire plus petite que 5%) que le comportement interne de océans pourrait être une cause majeure du réchauffement de la dernière moitié du siècle passé. Il serait particulièrement attentif à ne pas faire une telle déclaration maintenant alors qu'il n'y a pas eu de réchauffement significatif depuis les quinze dernières années environ. Dans la course folle à la recherche de ce qui pourrait expliquer la pause et pour trouver les raisons des échecs évidents des modèles incapables de la simuler, nous avons soudainement entendu dire que, peut-être, la chaleur du réchauffement climatique se serait "cachée" dans les profondeurs des océans. En d'autres termes, on nous explique qu'une quelconque fluctuation interne des océans pourrait avoir limité la tendance à la hausse de la température du globe. De ce fait, il est plus qu'un peu étrange que nous n'entendions pas dire, venant du GIEC (ou, en tout cas, pas à voix haute) qu'une quelconque fluctuation naturelle interne du système a pu aussi provoquer la plus grande partie de la hausse précédente. Au vu de tout ceci, nous devons, au moins, envisager la possibilité que l'establishment scientifique qui se trouve derrière la question du réchauffement climatique, a été attiré dans un piège qui consiste à sur-évaluer grandement le problème du climat - ou, ce qui revient essentiellement à la même chose, à sous-estimer sérieusement les incertitudes inhérentes au problème climatique - dans un effort pour promouvoir la cause. Il s'agit d'un piège particulièrement pernicieux dans le contexte de la science parce qu'il risque de détruire, peut-être pour les siècles à venir, la réputation exceptionnelle et chèrement conquise, de l'honnêteté qui est à la base du respect de la société vis à vis de l'oeuvre scientifique. Jouer avec le capital réputation pour des objectifs politiques à court terme n'est pas la manière la plus intelligente de traiter ces affaires. Le piège a été tendu vers la fin des années 1970 ou aux alentours de l'époque où le mouvement environnemental a commencé à réaliser que la prise en compte du réchauffement climatique cadrerait avec un bon nombre de ses objectifs sociétaux. C'est exactement à cette époque qu'il fut considéré comme une évidence, dans les corridors du pouvoir, que les scientifiques financés par le gouvernement (c'est à dire, la plupart des scientifiques) devraient se procurer une fraction importante de leur financement et de leurs salaires à partir de sources externes - dans tous les cas, externes à leur organismes de tutelle. Du fait qu'ils ne sont pas naturellement liés à une industrie privée spécifique, les scientifiques qui travaillent dans les laboratoires de recherche environnementale ont été contraints d'aller rechercher des fonds dans d'autres départements gouvernementaux. En retour, ceci les a contraint à accepter les exigences du militantisme et de la manipulation de l'opinion publique. Pour ce type d'activité, une association qui se tient à distance respectable du mouvement environnemental constituerait un mariage paradisiaque. Entre autres avantages, il fournirait un moyen pour que les scientifiques puissent être suffisamment distanciés de la responsabilité découlant de n'importe quelle exagération, présentée au public, au sujet de la signification de leur problématique de leur recherche. Le piège a été partiellement tendu pour la recherche climatique lorsqu'un certain nombre de scientifiques de la discipline ont commencé à tirer des satisfactions de l'exercice du militantisme. Leur satisfaction découlait d'un accroissement considérable de leur financement ainsi que de l'opportunité de recruter. Cette augmentation ne concernait pas vraiment l'aspect de la science dure mais plutôt l'émergence d'institutions périphériques et d'organisations engagées, du moins en partie, dans la promotion du message de la catastrophe climatique. C'est alors qu'a émergé un nouveau et lucratif mode de vie de la recherche duquel a découlé la possibilité de donner son avis à tous les types et à tous les niveaux du gouvernement, à dispenser sur les ondes des affirmations non contestables au public et à une justification immédiate pour assister des conférences internationales - ces dernières dans un certain luxe comparativement aux standards habituels des scientifiques. Cela avec une périodicité jamais vue jusque là. Quelque part au cours du processus, on en arriva à faire croire à beaucoup dans le public et, de fait, à de nombreux scientifiques eux-mêmes, que les climatologues étaient l'équivalent de chevaliers montés sur des étalons blancs qui menaient une grande bataille contre les forces du mal - c'est à dire le mal sous la forme de "Big Oil" et de ses ressources financières supposées illimitées. Le fantasme était plus qu'un peu séduisant. Le piège fut définitivement armé quand beaucoup des principales académies des sciences de la planète (telles que la Royal Society au Royaume Uni, l'Académie des sciences des USA, l'Académie des sciences australienne) se convainquirent de produire des rapports qui venaient étayer les conclusions du GIEC. Ces rapports furent proclamés comme des analyses nationales supposées indépendantes du GIEC et les unes des autres alors que, par nécessité, elles étaient compilées avec l'aide et, dans certains cas, suivant les injonctions de nombreux scientifiques impliqués dans les machinations internationales du GIEC. Et de fait, les académies qui sont les plus prestigieuses des institutions de la science, ont formellement hissé leurs drapeaux sur le mat du politiquement correct. La conclusion est plutôt optimiste pour ce qui est de l'avenir du climat mais elle est pessimiste sur l'avenir de la crédibilité de la science et des scientifiques. Depuis cette époque, après trois ou quatre ans, il ne restait plus aucune possibilité acceptable offerte à la communauté scientifique, lui permettant d'évoquer le spectre des graves incertitudes qui pèsent sur les prédictions du désastres climatique. Il devient alors impossible d'utiliser le mouvement environnemental comme bouc émissaire s'il advenait que la menace du réchauffement climatique n'avait aucune substance véritable. Il n'est désormais plus possible d'échapper à sa responsabilité première s'il apparaît, à la fin, que prendre des mesures au prétexte de la réduction du réchauffement climatique s'avère être l'erreur scientifique la plus coûteuse jamais infligée à l'humanité. Le détournement de la richesse mondiale au nom du changement climatique est de l'ordre d'un milliard de dollar par jour. Et, pour le futur, on peut reprendre une citation du sénateur US Everett Dirksen : "Un milliard par ci, un milliard par là, et bien vite on commence à parler de vrai argent.". Au même moment, l'homme de la rue, fort de son bon sens et qui, dès à présent, peut sentir à des lieues à la ronde, l'odeur des exagérations d'une campagne environnementaliste, commence à entrevoir que c'est la politique, et non la science, qui pilote cette affaire. Les scientifiques - enfin, disons, la plupart des scientifiques - sont peut-être un peu naïfs mais ils ne sont en général ni méchants, ni idiots, ni facilement subornés aussi bien par l'argent que par le politiquement correct. Alors, quelles que soient les satisfactions que l'on peut éprouver en soutenant la version officielle de la connaissance et quelles que soient les contraintes exercées par le pouvoir scientifique en place, il est quand même surprenant que le récent rapport du GIEC ait pu être publié sans pratiquement aucun murmure de mécontentement de la part des étages inférieurs de l'establishment scientifique. Qu'est-il advenu du scepticisme qui, dit-on, est le sang nourricier de la recherche scientifique ? La réponse se trouve probablement dans le fait que tout cela est incertain. La probabilité que l'on prouve que le changement climatique durant le siècle prochain sera suffisamment important pour conduire au désastre est virtuellement nulle. Pour la même raison, la probabilité qu'un climato-sceptique ou qui que ce soit d'autre dans cette affaire, prouve que la théorie du désastre est totalement exagérée est aussi virtuellement nulle. De ce fait, le terrain d'affrontement pour les deux partenaires du débat est sur un plan d'égalité. Le problème est que la recherche climatique exige d'énormes ressources et qu'il s'agit d'un jeu entre les institutions et les organisations. Le scepticisme est une affaire d'individus. Les choses étant ce qu'elles sont dans le domaine du changement climatique, le scepticisme exercé par un individu peut s'avérer être un facteur sévèrement limitant pour la poursuite d'une carrière. Quoiqu'il en soit, la plupart des scientifiques, pris individuellement, ont une conscience et ils sont réticents à dresser leur tête au dessus du parapet pour promouvoir un point de vue sur des choses qu'il est intrinsèquement impossible de prouver. En bref, il y a plus d'incertitudes qu'il n'en faut pour permettre aux êtres humains d'être, au moins, raisonnablement optimistes sur le fait que le réchauffement climatique ne sera pas, et de loin, aussi mauvais qu'on le proclame. Les climatologues et, en fait, tous les scientifiques, ne sont pas aussi chanceux. Ils ont beaucoup à perdre si l'avenir prouve qu'ils se sont trompés. " Garth Paltridge -
Russie et dépendances.
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Tactac dans Politique etrangère / Relations internationales
Un article de wikipedia très bien fait et équilibré sur la Russie et Vladimir Poutine: http://fr.wikipedia.org/wiki/Vladimir_Poutine Extraits choisis: Dans le domaine économique : réforme fiscale : mise en place d'un taux unique de 13 % pour l'impôt sur les revenus, introduction d'une taxe sociale unifiée, baisse du taux de la TVA, réduction du taux des impôts sur les sociétés de 35 % à 24 %, ce qui a permis de simplifier la fiscalité et de limiter la fraude et la corruption ; réforme foncière introduisant le droit de vendre les terres agricoles ; quatre lois de dérégulation étatique, visant à réduire le contrôle bureaucratique des entreprises ; ouverture à la concurrence du fret ferroviaire représentant 80 % du trafic des marchandises dans le pays. Depuis, la croissance aurait été essentiellement une « croissance de rétablissement », reposant sur « le réengagement dans la production des capacités non utilisées pendant la crise ». Cette « croissance de rétablissement » s’épuisant graduellement, au fur et à mesure de l’amoindrissement des capacités de production disponibles et utilisables, le problème serait, depuis 2003, de favoriser une « croissance d’investissement », ce qui dépendrait moins des réformes économiques que du développement des institutions politiques et juridiques, notamment administratives (dérégulation) et judiciaires (indépendance de la justice). L’élite politique et économique de la Russie perçoit de plus en plus la portée de ces problèmes, tandis qu'une attention particulière est accordée à la réforme administrative et judiciaire, assurait-elle. La Russie s’est constituée la troisième réserve de change du monde (504 milliards de $ en février 2012) grâce à une balance des paiements excédentaire de 10 % du PIB durant cette période. Le budget de l’État, régulièrement excédentaire grâce à une gestion prudente de la manne financière constituée par des rentrées fiscales plus efficaces et au prix assez élevé des hydrocarbures, a permis la constitution en 2004 d’un fonds de stabilisation qui se montait à 130 milliards de $ en septembre 2007. L’État russe a retrouvé des moyens financiers permettant de lancer des projets d’envergure (infrastructures, soutien à l’investissement). Dans le domaine social : réforme des retraites : mise en place d'un système à trois piliers avec capitalisation obligatoire et épargne volontaire, sans augmenter l'âge de la retraite ; mise en place des Projets de priorités nationales et de la politique démographique afin de réformer le secteur social et financer de grands projets dans le domaine de la santé, de l'éducation, de l'accessibilité des logements sociaux, du soutien au secteur agricole et à la hausse de la natalité. Selon le président de la Douma Boris Gryzlov, le budget triennal fédéral 2008-2010 donnerait la priorité au relèvement du niveau de vie des Russes, son parti pro-Poutine Russie unie, majoritaire à la Douma, propose d'augmenter de 1,5 fois les salaires réels dans le secteur public et de doubler les retraites36. Dans le domaine politique, les réformes ont été centrées sur la création d'une « verticale du pouvoir » afin de rendre ce dernier plus concentré et efficace (ce processus fut accéléré à la suite de la tragédie de Beslan le 1er septembre 2004) : réforme de la division territoriale avec la création de sept Districts fédéraux par le décret présidentiel no 849 du 13 mai 200037 ; réforme du Conseil de la Fédération de Russie (2000-2002), et l'arrêt des élections des gouverneurs par les sujets de la Fédération : les gouverneurs des districts sont dorénavant désignés par le président du pays (Kremlin) avec entérinement ultérieur par la législation locale (septembre 2004)38 ; création d'organes consultatifs : d'un Conseil d'État (Gossoviet), constitué des gouverneurs et une Chambre de la société (Obchtchestvennaïa Palata), constituée de personnalités influentes et connues ; mise en place de mesures assurant une meilleure cohésion entre les ministères de l'ordre public dits siloviki (Intérieur, Armée, FSB) et le ministère des Situations d'urgence. Le succès de ces réformes, couplé à des recettes fiscales extraordinaires issues de la vente des hydrocarbures, ont permis d'assurer selon le gouvernement une hausse substantielle du revenu réel des particuliers (+ 58,5 % entre 1999 et 2002, + 13,55 % en 2004). Cela a valu à V. Poutine le soutien d'une grande partie de la population russe, malgré quelques échecs comme un projet de loi controversé sur la monétisation des avantages en nature hérités de l'époque soviétique qui a soulevé, début 2005, un tollé populaire ou encore le naufrage du sous-marin Koursk sombré en 2000 avec 118 hommes d'équipage à bord et une libération mal gérée des otages des commandos tchétchènes du théâtre moscovite en octobre 2002. La Russie et les mouvements politiques libéraux: (...) le désintérêt de la société russe pour les mouvements libéraux et démocratiques s'explique par le fait que les qualificatifs de « libéral » ou « démocrate » sont en 2007 connotés négativement dans l'opinion publique russe car associés à des décideurs politiques (Iegor Gaïdar, Mikhaïl Kassianov, etc.) dont les politiques dites libérales ont contribué à faire basculer de larges couches de la société dans la pauvreté, voire la misère, au début de l'ère Eltsine. Ils sont également associés à Eltsine qui le 3 octobre 1993, avec le soutien des chancelleries occidentales, a donné l'assaut à un Parlement élu démocratiquement, faisant plusieurs centaines de tués. La politique libérale appliquée en Fédération de Russie de 1991 à 1999 fut aussi caractérisée par la mise en coupe réglée des ressources économiques héritées de l'époque soviétique au bénéfice exclusif d'intérêts particuliers, les fonds ainsi divertis ayant été recyclés dans le système bancaire occidental. Selon certains analystes (Jacques Sapir en particulier), l'Occident aurait joué un rôle ambigu dans la décomposition économique et sociale des années 1991-199675. Ainsi, les idées libérales défendues aujourd'hui dans la Fédération de Russie par Garry Kasparov et les mouvements qui lui sont proches, ne rencontrent qu'un intérêt très marginal (moins de 5 % dans les sondages réalisés par des instituts indépendants). Sur le plan de la politique interne : Depuis son ascension au pouvoir, Vladimir Poutine, déterminé à restaurer ce qu'il appelle « la verticale du pouvoir », gouverne avec un style considéré par certains analystes comme autoritaire qui aurait mis fin à une libéralisation politique introduite par Gorbatchev avec la perestroïka et la glasnost et qui s'était poursuivie sous Boris Eltsine, certains médias occidentaux10 et les opposants politiques11 parlant à son sujet de néo-tsarisme12. La reprise en main du pays par l'administration de Poutine, après la période de troubles et de laissez-faire qui a prévalu sous Boris Eltsine, satisfait une grande partie de la population, lassée des soubresauts politiques et du capitalisme en transition (la « thérapie de choc ») apparu après la chute du communisme, ainsi que les nostalgiques de la puissance de l'ex-Union soviétique disparue en 1991. Cette reprise en main répond également au risque que fait peser sur l'unité de la Fédération de Russie la montée en puissance des nationalismes dans les républiques ethniquement non-russes et des gouverneurs locaux toujours plus autonomes : l'affaiblissement du pouvoir central et l'effondrement économique et social consécutif à la disparition de l'Union soviétique ont, en effet, contraint les grandes régions russes à chercher à s'auto-administrer au cours des années 1990. Au cours de ses deux mandats, le président Poutine n'a cessé de renforcer le poids des services de renseignements dont il est issu, ainsi que ceux de la police et de l'armée, ceux qu'on appelle en russe les siloviki (en) (les hommes de force) par opposition aux libéraux partisans de l'état de droit et de la démocratie à l'occidentale13,14. Le gros problème la démographie: L'économie russe depuis la chute de l'URSS: -
Russie et dépendances.
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Tactac dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est vrai aussi que bousculer l'Eglise coûte moins cher que bousculer la Mosquée ou la Synagogue. Faut pas pousser le courage trop loin hein? ^-^ -
co² Economie et climat. CO2 or not CO2?
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Jojo67 dans Economie et défense
http://www.cnsnews.com/news/article/barbara-hollingsworth/climate-scientist-who-got-it-right-predicts-20-more-years-global -
Russie et dépendances.
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Tactac dans Politique etrangère / Relations internationales
Je suis d'accord sur le diagnostic, le système du buzz médiatique est largement en cause dans cette histoire comme dans bien d'autres. Sinon à titre info, je ne regarde plus les infos à la TV depuis longtemps mais même sur internet on est submergé également... ;) -
Russie et dépendances.
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Tactac dans Politique etrangère / Relations internationales
La propagande gay on la vit chez nous sans arrêt à la tv et jusque dans nos écoles à présent. Je pouvais encaisser ça jusqu'à un certain point en rejoignant ton point de vue sur les excès passés de discrimination mais là à présent chez nous ça devient vraiment pesant. Les Russes veulent empêcher que les choses en arrivent là chez eux et ils ont raison. Les histoires de tabassages sont des faits divers qui touchent quelle proportion de la population gay? C'est probablement ni plus ni moins fréquent que les agressions de petites vieilles ou de femmes qui se font violer dans les coins de rue. -
Russie et dépendances.
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Tactac dans Politique etrangère / Relations internationales
Cela résume quoi? C'est plutot pathétique je trouve. -
Russie et dépendances.
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Tactac dans Politique etrangère / Relations internationales
J'ai vu l'ouverture des jeux de Sotchi à la tv et tout s'est fort bien passé, avec une cérémonie grandiose et de bon goût. Nos journaleux frénétiqement anti-Poutine vont en faire un caca nerveux de rage j'imagine. Pour les chrétiens qui se font tuer et maltraiter depuis déjà longtemps un peu partout dans le monde mulsuman, on n'en parle absolument pas en rapport avec l'ampleur et la gravité du phénomène, c'est clair. D'ailleurs il n'y en a presque plus en Irak par exemple, ils sont quasiment tous partis. Il y a une sorte d'omerta sur le sujet des violences faites aux chrétiens. Est-ce un souci noble (mais un peu munichois aussi) de ne pas réveiller le conflit de civilisation chrétiens-mulsmans chez nos organes de presse? Ou du je m'enfoutisme? Si c'étaient des chrétiens gays peut-être bien qu'on s'en préoccuperait au fond... ??? -
Russie et dépendances.
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Tactac dans Politique etrangère / Relations internationales
Je pense que pour les médias il faut aussi tenir compte d'un fait: les larmes et le sang, et plus généralement les scandales et les problèmes font bien mieux vendre du papier que les louanges. Pour vendre il faut cultiver le négatif. -
Russie et dépendances.
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de Tactac dans Politique etrangère / Relations internationales
Je suis d'accord avec Amarito, dans ma perception la Russie est victime dans nos médias occidentaux d'un deux poids deux mesures. Ce n'est certes pas une démocratie comme les nôtres, mais comparé à la Chine du parti unique c'est largement mieux et comparé aux monarchies du Golfe c'est le paradis à la suédoise. Pourquoi cet acharnement alors sinon pour coller à la ligne de Washington? Washington qui s'agace par exemple en ce moment du soutien russe à la Syrie et plus généralement de sa politique au Proche et Moyen-Orient entre autres choses. -
Guerre civile en Syrie
Jojo67 a répondu à un(e) sujet de maminowski dans Politique etrangère / Relations internationales
Une balle dans la tête cela pourrait etre une exécution liée au fait que l'individu a parlé de son intention de rentrer chez lui. J'ai des infos selon lesquelles les djihadistes locaux exécutent carrément les types qui parlent de rentrer chez eux. C'est d'ailleurs arrivé pour un Français.