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alexandreVBCI

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Tout ce qui a été posté par alexandreVBCI

  1. Il n'y a pas qu'Erasmus : Pour la période 2007-2013, l'UE a alloué quelque 13 milliards d'euros à des programmes d'éducation et de formation tout au long de la vie et des programmes d'échanges dans le monde entier. A lire : http://europa.eu/pol/educ/index_fr.htm L'UE finance également la coopération politique, l’apprentissage des langues, la formation en ligne, ainsi que la diffusion et l’échange de bonnes pratiques. Au travers d'autres programmes et accords de coopération, l’UE encourage en outre les échanges avec quelque 80 pays dans le monde, où elle aide à organiser des cours sur l’intégration européenne. La reconnaissance des qualifications professionnelles au niveau européen est une priorité. L'europe favorise la recherchen l'innovation, l'enseignement supérieur, des programmes d’éducation pour adultes, etc... Un objectif : Faciliter la comparabilité et la reconnaissance des qualifications dans toute l'europe : la reconnaissance mutuelle des périodes d'étude, la comparaison des qualifications et l'harmonisation des normes de qualité. De toute manière si l'EU s'intéresse de trop prês à l'éducation on crie à l'ingérence et si elle ne le fait pas on crie à l'inutilité de l'europe. Dans tout les cas l'UE à toujours tort comme si elle devait être la seule organisation au monde à devoir réussir un sans faute du premier coup alors que les gouvernements des états qui la composent accumulent ratages et scandales en tout genre. Sinon, quelques nouvelles dans le domaine militaire : http://www.bruxelles2.eu/defense-ue/capacites-milit-%e2%80%93-exercices-ue/accord-sur-la.html
  2. Il y a un site sur les MRE actuelles : http://www.mreinfo.com/
  3. alexandreVBCI

    Canon DCA

    Je parlais d'une utilisation en libye contre des cibles au sol. Face à un Rafale, c'est pas la même chose. Nos hélicos ont quand même pris d'énormes risques quand même..... et il me semble qu'en Irak en 2003, la DCA irakienne avait pas mal génée les hélicos US.
  4. alexandreVBCI

    Canon DCA

    On reste quand même en france avec un fort déficit dans le domaine du canon DCA, qui a aussi l'avantage de pouvoir être utilisé contre des cibles au sol. Il suffit de voir dans le dernier numéro du magazine Assaut les bricolages sur 4x4 Toyota par les libyens et les conséquences de leur utilisation massive à Syrte : des effets dévastateurs pour une arme à la fois peu chère, facile à l'emploi (même pour des libyens sans expérience militaire) et extrémement dissuasive.
  5. Le chef d'Al-Qaida Ayman Al-Zawahiri a renvendiqué l'enlèvement le 13 août d'un travailleur humanitaire américain de 70 ans au Pakistan dans une déclaration rapportée jeudi par SITE, un réseau américain de surveillance des sites islamistes. En échange de la libération de Warren Weinstein, capturé à son domicile, à Lahore, dans l'est du Pakistan, le nouveau chef de l'organisation terroriste demande à la Maison Blanche la fin des frappes aériennes en Afghanistan, au Pakistan, en Somalie et au Yémen et la libération de prisonniers, dont des proches d'Oussama Ben Laden. Le Pakistan menace de renoncer à la lutte contre le terrorisme : ISLAMABAD (Reuters) - Le Pakistan, rendu furieux par la mort de 24 de ses soldats tués par des frappes de l'Otan, laisse entendre qu'il pourrait cesser d'appuyer la lutte contre les islamistes si sa souveraineté était une nouvelle fois violée. Islamabad a déjà exprimé son mécontentement en se retirant d'une conférence internationale consacrée à la sécurité en Afghanistan et prévue à Bonn la semaine prochaine, privant cette réunion d'un des acteurs majeurs de la situation. "Assez, c'est assez", a lancé le ministre pakistanais des Affaires étrangères, Hina Rabbani Khar, devant une commission sénatoriale, cité par le journal The News. "Le gouvernement ne tolèrera pas un nouvel incident qui coûtera une seule goutte de sang de civils ou de soldats", a-t-il ajouté. "Le rôle du Pakistan dans la guerre contre le terrorisme ne doit pas être ignoré". Ces déclarations peuvent être interprétées comme une mise en garde à destination des Américains dans leur combat contre les insurgés qu'Islamabad soutient depuis les attentats du 11-Septembre malgré l'opposition d'une partie de la population.
  6. Les factions prosyriennes au Liban pourraient «punir» Paris de sa position en pointe contre la répression menée par Damas. Discrétion oblige, les diplomates français à Beyrouth ont retiré les plaques spéciales de leurs véhicules. Ils ne sont pas les seuls - Britanniques et Américains en ont fait autant. Mais «nous sommes clairement en tête de la liste des cibles qui pourraient être visées», affirme l'un de ces diplomates. La position en flèche de Paris dans la crise syrienne expose les Français à des actes de représailles de la part des nombreux alliés dont Damas dispose encore chez son voisin (Hezbollah, Parti national social syrien, radicaux palestiniens). Des consignes de sécurité très strictes ont été données aux ressortissants français du Liban. «Je n'utilise plus que des véhicules de location pour mes déplacements», indique un homme d'affaires. La principale de ces mesures de précaution concerne l'interdiction de se rendre dans la région de Baalbek, frontalière de la Syrie , classée en zone rouge par le Quai d'Orsay. «Nous y redoutons de nouveaux enlèvements», reconnaît un autre diplomate. Fin mars, sept touristes estoniens y furent kidnappés, avant d'être libérés quatre mois plus tard , contre le paiement, vraisemblablement, d'une importante rançon à leurs ravisseurs. Mais les radicaux salafistes qui les détenaient s'étaient, en fait, trompés de cibles: ils voulaient enlever des Français ou des Américains, à défaut des ressortissants britanniques, voire des Allemands. Casques bleus vulnérables Même si les terroristes avaient, à deux reprises, fait irruption en territoire syrien, le régime de Damas a été étranger à cet enlèvement, estime-t-on côté français, où l'on ignore toujours qui étaient «les donneurs d'ordre» de ce mystérieux rapt. Peu après son dénouement, fin juillet, un autre avertissement était lancé à la France, lorsqu'un convoi de soldats de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) était visé par un attentat à l'explosif, non loin de Saïda, à 30 km au sud de Beyrouth. «Heureusement, la télécommande a été actionnée trop tard, il n'y a eu que deux Français blessés», raconte un militaire. Dans la foulée, Nicolas Sarkozy adressait une lettre au président de la République libanaise, le général Michel Sleimane, lui demandant de «tout mettre en œuvre» pour protéger les militaires français de la Finul. Depuis, les craintes ont redoublé. Même si les 1200 hommes du contingent français ne sortent plus beaucoup de leurs positions au sein de la «Force de réaction rapide» de la Finul, les casques bleus restent vulnérables et leurs déplacements sont, eux aussi, soumis à des règles très strictes. Rapidement, les soupçons se sont portés sur des «relais» que Damas a pu instrumentaliser, en l'occurrence des groupuscules radicaux palestiniens du camp de réfugiés d'Ein Héloué, près de Saïda. Pouvaient-ils agir sans une complicité, fût-elle passive, du Hezbollah, la puissante formation chiite alliée de Damas et de Téhéran, maîtresse de la sécurité dans son bastion du sud du Liban ? Le Parti de Dieu n'a pas intérêt à s'en prendre à des intérêts français actuellement au Liban, admet-on généralement à Beyrouth. «Actuellement peut-être, selon un observateur, mais c'est un mouvement très bien organisé, qui sait se projeter dans l'avenir.» La preuve ? Un de ses cadres a approché, ces dernières années, un ex-milicien en rupture de ban avec les Forces libanaises (FL, chrétiennes et pro-occidentales) pour une mission très spéciale. «Je devais repérer d'anciens diplomates français ou des employés de l'ambassade qui ont pris leur retraite au Liban, raconte-t-il. Le Hezbollah me proposait 5000 dollars pour chaque dossier de Français surveillé. Je devais connaître leurs déplacements et leurs habitudes de vie», ajoute l'ancien milicien. Celui-ci a finalement décliné l'offre, mais au cours des rendez-vous qu'il a eus avec le cadre du Hezbollah, ce dernier lui avait indiqué être «intéressé» par un échange avec des prisonniers détenus en France. En particulier Georges Ibrahim Abdallah, l'ancien chef des Fractions armées révolutionnaires libanaises, sous les verrous depuis 1984, condamné à la réclusion à perpétuité pour avoir commis des actes terroristes. Durant la guerre civile libanaise, le Hezbollah avait été l'exécutant de plusieurs prises d'otages de Français qui se réglèrent grâce, notamment, à des libérations de prisonniers iraniens ou libanais détenus dans l'Hexagone. À Beyrouth, certains membres de la communauté française se rassurent en notant que trois ans se sont écoulés sans incident depuis que l'ex-gros bras des FL a été contacté par le Hezbollah. Mais si le milicien avait refusé de collaborer, d'autres ont pu ensuite succomber aux pressions pour «rassembler des renseignements susceptibles de servir le jour où l'ordre serait donné de reprendre les kidnappings» . Pour le compte du Parti de Dieu ou d'autres factions, de nouveau hostiles à la France. http://www.lefigaro.fr/international/2011/12/01/01003-20111201ARTFIG00733-les-menaces-s-accumulent-contre-la-franceau-liban.php
  7. (AFP) Par 564 voix pour, 38 contre et 32 abstentions, le Parlement européen a approuvé l'adhésion de la Croatie à l'Union européenne. Ce vote est une étape importante dans le processus d'adhésion de la Croatie, démarré en 2003, mais n'est pas synonyme d'adhésion immédiate. En effet, les 27 membres de l'UE doivent encore ratifier les traités qui entérinent définitivement l'adhésion, lors d'un prochain sommet. Surtout, les Croates doivent encore voter lors d'un référendum pour dire s'ils acceptent ou non d'intégrer l'Union européenne. Au final, l'adhésion de la Croatie ne devrait devenir effective qu'à l'horizon 2013. (Reuters) - L'Union européenne a fait un pas de plus jeudi vers l'imposition d'un embargo sur le pétrole iranien, deux jours après la mise à sac de l'ambassade de Grande-Bretagne à Téhéran et alors que l'Occident cherche à accroître la pression sur l'Iran, accusé de développer un programme nucléaire à des fins militaires. Comme cela était largement attendu, l'UE a par ailleurs ajouté 180 noms de personnalités et d'entités à la liste des sanctions, qui vont d'une interdiction de voyager en Europe à un gel des actifs financiers. L'embargo pétrolier, sur lequel les Européens travaillent depuis plusieurs jours, est désormais accepté par une très large majorité de pays. Seule la Grèce -qui se procure environ 50% de son pétrole auprès de l'Iran, qui plus est à crédit- bloque une décision tant qu'elle n'aura pas l'assurance que les conséquences négatives pour son approvisionnement énergétique seront pleinement compensées.
  8. La France a décidé de «rappeler en consultation» son ambassadeur à Téhéran après le saccage, mercredi, de l'ambassade britannique. Plusieurs pays européens ont pris la même mesure par solidarité. Paris va «rappeler en consultation» son ambassadeur en Iran et a indiqué au chargé d'affaires iranien en France ses «plus fermes condamnations» après le saccage, mardi, de l'ambassade britannique à Téhéran. Il s'agit d'une «violation flagrante et inacceptable de la convention de Vienne sur les relations diplomatiques», a souligné le porte-parole du Quai d'Orsay, Bernard Valero, dans un communiqué . Mercredi, le chargé d'affaires iranien a été reçu par le directeur de cabinet d'Alain Juppé, qui lui a exprimé la réprobation de la France et «rappelé les autorités iraniennes à leurs obligations», selon le communiqué du ministère des Affaires étrangères. Le représentant français en Iran, Bruno Foucher, va regagner temporairement Paris, une manière de signifier aux dirigeants iraniens un fort mécontentement. mouais... ça va pas les empêcher de dormir si c'est la seule réponse. =(
  9. On participe aux réunions de l'OTAN et on souhaite ne pas faire doublon avec celles de l'AED et standardiser les équipements. Les inviter aux réunions techniques dans ce cadre n'est pas choquant. Bruxelles s'engage pour multiplier les possibilités d'Erasmus. Une gageure en temps de crise. Mais l'idée est défendue par Androulla Vassiliou, la commissaire européenne en charge de l'Education, qui a dévoilé mercredi un projet d'ampleur pour le programme qui permet chaque année à 200 000 Européens d'étudier et de faire un stage à l'étranger. Un placement pour l'avenirAndroulla Vassiliou ne propose ni plus ni moins qu'une hausse de 85 % du programme de mobilité, soit 19 milliards d'euros pour la période 2014-2020. L'objectif ? Décupler les possibilités d'apprentissage au sein de l'Union européenne pour les étudiants, mais aussi les apprentis et ce, alors que l'Union européenne vit une grave crise de confiance du fait de ses difficultés économiques. « Investir dans l'éducation et la formation des jeunes est le meilleur placement pour l'avenir des jeunes en Europe », a insisté la commissaire lors de la présentation de son projet. Celui-ci devra ensuite être examiné par le Conseil des ministres et le Parlement européen, mais le programme jouit d'un tel succès auprès des jeunes qu'il y a de grandes chances pour qu'il se retrouve effectivement bien doté. (20minutes.fr) DURBAN (Reuters) - L'Union européenne (UE) a invité mercredi les pays réunis à Durban pour un nouveau cycle de négociations sur le climat à s'entendre sur le projet de Fonds vert. Plus de 190 pays réunis depuis lundi en Afrique du Sud doivent entériner la création d'un Fonds vert qui doit permettre d'aider les pays en développement à combattre le réchauffement climatique à hauteur de 100 milliards de dollars par an (74,34 milliards d'euros) à partir de 2020.
  10. Les américains ont surement autant envie d'aller au Mexique que de repartir faire la guerre en Irak ! :lol: Politiquement et pour des raisons historiques les mexicains n'accepteront pas des troupes US sur leur sol. Une aide financière oui mais pas question d'autoriser les GI à faire une guerre urbaine à Mexico. On n'est pas dans le jeu Ghost Recon. Le Mexique est foutu et sa pourriture va contaminer les USA.
  11. « S’intégrer davantage ou mourir« , c’est le slogan de Radoslaw Sikorski, dans un important discours délivré hier soir à Berlin. Le ministre polonais des Affaires étrangères – dont le pays préside aux destinées de l’Union européenne ce semestre – propose un nouveau pas fédéral en donnant plus de pouvoir à la Commission et au Parlement européen. « Si nous ne voulons pas risque un démantelèment partiel de l’UE, alors le choix commence à devenir aussi marqué que dans la vie des fédérations, il n’y a pas d’autre choix ». L’Europe une superpuissance en devenir A l’image du processus qui a mené à la création de fédérations fortes comme les Etats-Unis ou la Suisse, Sikorski prône un saut qualitatif. Si « nous pouvons agir ensemble, nous pouvons devenir une superpuissance ». Et l’Europe pourrait se situer dans un partenariat égal à celui des Etats-Unis (et) préserver sa puissance, sa prospérité et son leadership dans l’Occident ». Il appuie son propos de nombreuses références historiques. A commencer par l’histoire polonaise, quand l’unanimité du mode électif royal a rendu l’Etat polonais incapable, au 17e et 18e siècles de réagir rapidement et fortement aux agressions extérieures. Mais il ne dédaigne pas non plus dans des références au passé de nombreux voisins, comme ce mot de Massimo d’Azeglio à la création de l’Italie moderne : « L’Italie est faite, nous devons faire des Italiens ». Une pique sur le Royaume-Uni Au passage le ministre tacle les Britanniques: un pays qui a beaucoup apporté à l’Union : « un langage commun, le marché unique, le lien avec l’Atlantique » – mais qui ne joue pas assez le jeu selon lui. « Aujourd’hui votre dette souveraine et privée atteint 400% du PIB, croyez-vous que les marchés voteront toujours pour vous. Nous vous préférerions à l’intérieur, mais si vous ne pouvez pas vous joindre à nous, laissez nous aller de l’avant. Et s’il vous plait, expliquez à votre peuple que les décisions européennes ne sont pas des diktats de Bruxelles mais le résultat d’accord auxquels vous participez librement. » Des réformes institutionnelles Sikorski propose une série de réformes institutionnelles, pour permettre à l’UE d’agir plus efficacement. La Commission devrait ainsi être constituée sur une base plus restreinte au lieu de compter 27 membres – « on est plus productifs avec 12 personnes qui participent » – avec rotation des Etats membres, prône-t-il (une réforme prévue par le Traité de Lisbonne mais abandonnée sous pression irlandaise). Le président de la Commission devrait être aussi le président du Conseil européen, ainsi que l’a suggéré déjà Angela Merkel. Une partie des élus au Parlement européen devraient être élus directement par le peuple (demos) européen. Il critique le principe des réunions séparées de la zone Euro estimant plus juste d’avoir des réunions où les 27 pourront être présents mais seuls les membres de la zone Euro voteraient les décisions concernant exclusivement celle-ci. (BRUXELLES2) Le pooling and sharing, beau projet dont on carressait jusqu’ici les contours de manière littéraire. La réunion du conseil d’administration de l’Agence européenne de défense (EDA) – en format ministres – qui se déroule cet après-midi a été l’occasion de passer au concret et de tester les différents ministres de leur volonté de s’engager sur des projets. L’enjeu de ce Conseil, comme l’explique Claude-France Arnoult, la directrice exécutive de l’Agence, dans un entretien avec B2, est « d’avoir des engagements des Etats membres sur des projets précis ». On n’est plus dans « les mots mais dans des actions concrètes, pour trouver des capacités qui manquent à nos opérations. » On a un « intérêt sans doute plus marqué aujourd’hui » qu’hier du fait des contraintes budgétaires. Onze projets ont été retenus, comme le soutien aux ravitailleurs, la formation des pilotes, le renseignement, les satellites, le soutien médical… Une maturation assez rapide au rythme européen C’est le résultat d’une évolution, d’une maturation assez rapide somme toute à l’échelle européenne, surtout dans un secteur sensible comme la Défense. « On est passé d’un concept général (à l’informelle de Gand), à un mandat de travail en mai. Nous avons ensuite consulté les Etats membres, utilisé les connaissances et les rapports des experts de haut niveau qui (ont fait la tournée des capitales) et travaillé de manière confidentielle. Puis l’agence a procédé à une analyse interne et finalement retenu d’un commun accord avec les pays concernés les projets qui nous paraissaient mûrs. » Tous les pays ne participeront à tous les projets. C’est le principe du « libre choix » : chaque pays choisit dans la liste des projets retenus, ceux qu’il veut suivre et soutenir, voire conduire. Sur la plupart des projets, le principe d’un Etat pilote a été retenu. Mais le fait qu’il n’y en ait pas encore pour certains ne fait « tomber le projet ». Il suffit qu’il y ait des pays qui soient volontaires pour le mener. Une sélection intelligente Ce qui est intéressant est la manière dont cette sélection s’est faite. A l’Otan, on pourrait presque dire que c’est une « smart selection ». « Ce ne sont peut-être pas des projets de rêve mais des projets concrets. Nous avons retenu des projets sur lesquels les Etats sont prêts à s’engager (financièrement, humainement) et à mettre en oeuvre, des projets qui permettent de faire des économies », précise C.-F. Arnould. Ces projets ne vont pas en effet nécessiter d’investissement initial majeur. « Ce qui aurait pu être un obstacle aujourd’hui ». Mais ils vont « permettre à terme des économies de fonctionnement. C’est sur cela qu’on mise ». Nombre d’entre eux s’intègrent en effet dans un processus plus long : un besoin opérationnel immédiat est identifié – comme par exemple les services de communication sattellitaire – puis un besoin à plus long terme, plus lourd doit être étudiée – par exemple pour préparer la future génération des satellites. L’Europe doit montrer qu’elle prend sa part du fardeau Dans cette prise de conscience, et la recherche du concret, les derniers mots de Gates et les premiers de Panetta, l’ex et l’actuel Secrétaire d’Etat US à la Défense ont joué. « C’est indéniable. Mais ce ne sont pas que des mots là encore. Les Etats-Unis se sont engagés dans un processus de coupes budgétaires. Et ils ne l’arrêteront pas pour nous. » précise C.F- Arnould « Pour les aider, il faut leur montrer qu’on prend notre part du fardeau supplémentaire dans la défense européenne ». Cela sera utile « aussi pour démontrer au Congrès la nécessité de maintenir un effort sur l’Europe et de garder un intérêt en Europe » alors que tous les regards, coté américain, se tournent, vers l’Asie. Des Américains intéressés par le travail de l’agence Les Américains souhaitent participer de manière active aux activités de l’Agence. Ils pourraient être ainsi associés, ou plutôt « invités » à certaines réunions, d’ordre technique. A l’Agence, on estime intéressant de développer une relation particulière avec eux en particulière su les marchés et leur régulation. Ainsi les Américains devraient être présents au prochain comité des directeurs de l’armement, au printemps. Rencontre intéressante puisque les Etats-Unis sont en passe de réviser leur système Altar. Pas de duplication avec l’OTAN Point important, et sur lesquels ont insisté la plupart des ministres de la Défense, les projets de l’Agence européenne de défense ne sont pas les mêmes que ceux portés à l’OTAN. Là aussi la discussion a évolué, il y a encore quelques mois, certains se demandaient pourquoi faire au niveau de l’UE ce qu’on pourrait faire à l’OTAN. Aujourd’hui les pays « demandent une bonne coopération entre nos deux organisations. Et cela c’est un point sur lequel nous sommes très attentifs ». Et de préciser : « Ce qui se fera à l’Agence ne se fera pas à l’OTAN. Et vice-versa. On s’assurera que les projets que l’on mène bénéficie des travaux déjà engagés à l’OTAN ». C’est par exemple le cas pour le projet de soutien médical qui va bénéficier du processus engagé à l’OTAN sur la standardisation des différents modules, notamment pour s’assurer que les différents modules sont interchangeables. Claude-France Arnould ne l’avouera pas. Geste élégant sans doute. La réalité oblige à dire – ainsi que nous l’a confié un expert national – que la machine de l’OTAN est un peu plus lourde et lente à se mettre en route. Et, c’est un paradoxe, elle est moins avancée dans les différents projets de « pooling and sharing » que l’agence européenne de Défense. De plus, elle n’a pas automatiquement l’habitude de mêler intérêts civils et militaires comme l’UE, ou de combiner capacités, industrie et réglementation. L’Agence bénéficie là de la multi-compétence de l’UE qui a la main sur les questions de commerce, de marché unique, d’ouverture des marchés. Il faut ajouter aussi que les projets adoptés aujourd’hui sontplutôt précis, rapides à mettre en place et à dégager des économies ou à renforcer l’efficacité à court ou moyen terme tandis que l’OTAN travaille parfois sur des projets de plus grande envergure qui nécessitent plus d’investissements. Le budget de l’agence européenne de défense n’augmentera pas en 2012. Il ne sera pas tenu compte de l’inflation. C’est donc un budget réellement 0 qui a été adopté à 30,5 millions d’euros. Plusieurs options étaient sur la table. Et la pire était un… budget triannuel. Les défenseurs de l’Europe de la défense auraient dû crier hourra, tellement ils soutiennent cette position depuis des années. Mais non. Car l’option mise sur la table était un gel sur 3 ans. Autant dire une défaite. Faute de mieux, tout le monde s’est donc rabattu sur un budget annuel. L’autre option sur la table était une augmentation mesurée de 2%, ce qui rapporté au budget de l’agence, est relativement faible (600.000 euros). Le Royaume-Uni a cependant maintenu sa position habituelle : pas un sou de plus, gel total. C’est finalement le seul résultat qui a été obtenu. La Haute représentante, Cathy Ashton, n’a pas souhaité faire de ce sujet, un point frontal avec le Royaume-Uni, refusant ainsi de « mettre la pression » sur son pays d’origine. A noter que les projets de pooling and sharing sont essentiellement financés avec des contributions volontaires des Etats qui représentent un volume largement supérieur de fait au budget même de l’agence. (bruxelles2.eu)
  12. Non, d'abord on fait passer des tests au Sig 556 et ensuite on convoque la presse mondiale pour annoncer que c'est une daube qui vaut pas la moitié d'un FAMAS ! =)
  13. alexandreVBCI

    Achat suisse

    Bon, on peut toujours essayer de leur fourguer les 2000-9 des EAU alors ? :lol:
  14. La situation s'aggrave considérablement au Mexique : Il y a des zones du territoire mexicain qui vivent presque entièrement sous le joug du crime organisé. Cette perte de contrôle des autorités, longtemps circonscrite au nord du pays, est, selon les experts, en train de s’étendre à plusieurs autres Etats, comme Veracruz, Michoacán, Guerrero et Nuevo León. L’Etat du Tamaulipas, sur le golfe du Mexique, à la frontière avec les Etats-Unis, reste l’exemple le plus emblématique d’une région hors la loi. Les terribles Zetas y disputent le terrain à leurs anciens alliés du Cartel du golfe et l’extrême violence a particulièrement touché les civils : fusillades en pleine rue, extorsion de fonds, exode forcé, enlèvements et massacres de voyageurs. "Nous ne pouvons pas circuler sur nos routes. Plusieurs journalistes ont été exécutés. Il y a régulièrement des groupes de détenus qui s’évadent de prison. Nous n’avons pas l’impression qu’il y ait un gouvernement ici." «Les gens ne sortent plus dans les rues. Mais la population doit autant se protéger des criminels que de l’armée et de la police». Ciudad Mier est devenu l’un des symboles de la dévastation du Tamaulipas. «Petite ville, grande mort», titrent les journaux : des démographes américains y ont en effet comptabilisé 2013 assassinats pour 100 000 habitants, alors que la moyenne nationale est de 31. Cela en fait la deuxième municipalité la plus violente du pays. Or, pendant le mois de mai, Ciudad Mier s’est éteinte : 90% de ses 6 000 habitants ont fui aux Etats-Unis, lassés par les éternels affrontements entre cartels. Restent les maisons criblées de balles et les rues désertées. http://www.liberation.fr/monde/01012374384-le-tamaulipas-etat-fantome-livre-a-la-violence-des-narcos Ebranlé par de nouveaux massacres, le Mexique s’interroge sur la capacité de l’Etat à maîtriser la situation. Deux des plus grandes villes mexicaines ont été secouées la semaine dernière par le spectacle effroyable de piles de cadavres exposées dans leurs rues. Vingt-six corps portant des marques de strangulation et d’asphyxie ont ainsi été abandonnés, jeudi, dans trois camionnettes stationnées aux abords d’un rond-point à Guadalajara (centre du pays). Moins de vingt-quatre heures plus tôt, vingt-six cadavres avaient été retrouvés dans l’Etat du Sinaloa, sur la côte Pacifique. Seize de ces corps, dont trois policiers, ont été retrouvés dans des voitures carbonisées garées dans un quartier résidentiel de Culiacán, la capitale de l’Etat. Ces massacres en série, auxquels s’ajoutent les deux tueries qui avaient causé 80 morts fin septembre et début octobre dans le port de Veracruz, dans le golfe du Mexique, représentent un nouveau mode de règlements de compte entre les cartels de la drogue. A Veracruz, c’est un gang originaire de Guadalajara qui avait revendiqué l’élimination massive de membres des Zetas, une organisation sanguinaire qui domine l’est du pays. Aujourd’hui, les autorités mexicaines estiment que le massacre de Guadalajara serait une vengeance des Zetas. Impunité. «Ce qui s’est passé au cours des dernières vingt-quatre heures nous glace le sang. Comment expliquer cinquante cadavres semés par le crime organisé dans seulement deux endroits ?» lit-on dans l’éditorial de vendredi du quotidien Excelsior. Comment ? L’explication émerge, en négatif, de la promesse assurée du ministre de l’Intérieur, Alejandro Poiré : «Ces faits ne resteront pas impunis.» L’impunité récurrente provoquée par la corruption des institutions est la première cause citée par les experts mexicains qui étudient les questions de justice et de sécurité pour expliquer l’invraisemblable violence qui s’abat sur certaines régions du pays. L’absence de justice équitable est presque un lieu commun. En 2011, le Mexique a atteint la zone dite «d’alarme» au sein du classement mondial des Etats défaillants réalisé par le Fonds pour la paix et la revue Foreign Policy, se situant à la 94e position sur un total de 177 nations passées au crible. L’étude attribue cette dégradation à trois facteurs : la violence générée par la lutte contre le narcotrafic, les violations des droits de l’homme commises par les forces de sécurité et la non-application de la loi. http://www.liberation.fr/monde/01012374383-les-cartels-defouraillent-mexico-defaille
  15. L'agence de notation Standard & Poor's a abaissé mardi les notes de 37 banques mondiales, dont les plus grandes banques américaines, en raison d'un changement de ses critères de notation, et pourrait modifier certaines notes à nouveau. Les notes de Bank of America, Goldman Sachs, JPMorgan Chase, Morgan Stanley, Citigroup et Wells Fargo ont notamment été dégradées. La plupart des notes des banques européennes et notamment françaises étaient inchangées. Parmi celles qui ont vu leur note modifiée, l'espagnole Banco Bilbao Vizcaya Argentaria a vu sa note abaissée (A+ contre AA-), de même que la britannique Barclays (A contre A+ auparavant). Les actions des banques américaines baissaient modérément en réaction à cette annonce et perdaient entre 0,3 et 1 % lors des échanges électroniques suivant la clôture de la séance officielle. S&P avait averti il y a dix jours qu'elle avait modifié ses critères de notation des banques dans la foulée de la crise financière et qu'elle annoncerait des modifications dans ses notations d'ici à la mi-décembre. La nouvelle méthodologie donne une plus grande importance à l'environnement macroéconomique, désormais le point de départ de la note des banques, et S&P a affiné son analyse des capitaux et des risques. (AFP)
  16. En attendant, ce sont les diplomates anglais qui partent. "Au lendemain de l'attaque de locaux de l'ambassade britannique à Téhéran, Londres a pris la décision d'évacuer le personnel de son ambassade. Un premier groupe de diplomates devrait embarquer en milieu de matinée à bord d'un vol à destination de Dubaï, et le reste de l'équipe devrait suivre dans la journée, ont indiqué des sources parlementaires."
  17. Ossétie du Sud : L'opposition de cette région séparatiste de Géorgie proteste contre l'annulation des résultats de la présidentielle, dont elle était sortie gagnante. L'opposition d'Ossétie du Sud, région séparatiste de Géorgie, a rejeté mercredi l'annulation par les autorités de sa victoire sur le candidat de Moscou à la "présidentielle", une décision que "le peuple n'acceptera pas". Lundi, la commission électorale ossète avait pourtant annoncé, après dépouillement de 74 des 85 bureaux de vote, que Mme Djioeva devançait largement Anatoli Bibilov, le candidat de Moscou. Ce dernier a alors saisi la justice de la région séparatiste, qui a annulé le scrutin. Dans la foulée, la tenue d'un nouveau scrutin a été fixée au 25 mars et Mme Djioeva a été interdite de candidature. http://www.liberation.fr/monde/01012374710-ossetie-du-sud-ils-veulent-nous-voler-la-victoire Une révolution en vue en Ossétie du sud.... contre les russes ! =)
  18. Laurent Gbagbo transféré au centre de détention de La Haye ROTTERDAM (Reuters) - Laurent Gbagbo a été transféré mercredi devant la Cour pénale internationale près de huit mois après sa capture par les forces de son rival Alassane Ouattara au terme d'un bref mais sanglant conflit armé. Selon le procureur de la CPI Luis Moreno-Ocampo, le conflit de l'hiver et du printemps dernier a fait au moins 3.000 morts auxquels s'ajoutent 520 arrestations arbitraires. "Il sera jugé bien sûr en Côte d'Ivoire pour les crimes économiques dont il a déjà été inculpé, et il sera également jugé par la Cour pénale internationale, à notre demande, pour que le procès soit transparent", avait dit Alassane Ouattara sur TF1.
  19. alexandreVBCI

    Achat suisse

    ou alors un employé d'eurofighter GmbH, zoologiste amateur prétendra que le bruit des moteurs du Rafale perturbe le cycle de reproduction de la grenouille agile, du triton crêté et du crapaud calamite, espèces protégées du canton de Vaud et un tribunal suisse suspendra l'achat pendant qu'un journal anglais titrera : " le rafale tue les grenouilles !" :lol:
  20. alexandreVBCI

    Achat suisse

    C'est le synopsis du prochain OSS117 ? :lol:
  21. Trois commandos de la brigade des forces spéciale Terre (BFST) ont été blessés ce matin en Afghanistan, au retour d'une patrouille, en Kapisa. L'un d'eux, un militaire du 13e RDP, a été assez sérieusement touché par l'attaque insurgée, et un autre, un commando du 1er RPIMa, a été polycriblé. L'un et l'autre sont rapatriés en France, vraisemblablement par un Falcon de l'ETEC, qui a pu décoller vers midi, donc, une fois de plus, dans des délais-record. "Leur pronostic vital n'est pas engagé" rassure l'état-major, à Paris, qui ne livre pas plus de détails, conformément à sa politique de communication, restrictive en matière de forces spéciales. Un troisième opérateur, issu du 13e RDP a également été blessé, mais serait soigné en Afghanistan. L'attaque s'est déroulée dans la région deTagab : cetet dernière focalise une bonne partie des TIC de la zone française. Elle est, notamment pour cette raison, interdite aux journalistes après que l'Elysée s'était ému des blessures reçues par ma confrère de TF1, Patricia Allémonière, cet été. Onze soldats du COS ont été tués en Afghanistan depuis 2004 : quatre issus d'Alfusco (dont un infirmier de la base de Lorient), quatre commandos du 1er RPIMa, un commando du CPA10, et deux dragons du 13e RDP. On ne dispose évidemment d'aucune statistique sur le nombre de blessés, même si l'on sait que ces derniers mois, des commandos marine, des opérateurs du 1er RPIMa et du CPA10 ont été touchés dans les combats contre les insurgés. http://lemamouth.blogspot.com/2011/11/trois-commandos-de-la-bfst-blesses-en.html
  22. ISTANBUL/MOSCOU (Reuters) - La Turquie n'a pas écarté mardi l'option d'une intervention militaire en Syrie en cas de poursuite de la répression des manifestations hostiles au président Bachar al Assad qui a fait plus de 3.500 morts depuis la mi-mars et entraîné une série de sanctions économiques contre Damas. Mais, signe des divisions persistantes entre les puissances étrangères dans le dossier syrien, la Russie s'est dite opposée à un embargo sur les livraisons d'armes à Damas et a estimé qu'il fallait cesser de poser des ultimatums aux autorités syriennes. L'Occident a jusqu'à présent toujours écarté l'hypothèse d'une intervention militaire similaire à celle menée en Libye pour protéger la population civile des forces de Mouammar Kadhafi. Face à l'impasse des discussions avec Damas, le ministre des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu a déclaré mardi que l'option militaire restait sur la table. "Si l'oppression se poursuit, la Turquie est prête à tout scénario. Nous espérons qu'une intervention militaire ne sera jamais nécessaire. Le régime syrien doit trouver un moyen de faire la paix avec son propre peuple", a dit le ministre dans une interview à la chaîne de télévision turque Kanal 24. La communauté internationale pourrait être amenée à décider de l'instauration d'une "zone tampon" au cas où des centaines de milliers de Syriens chercheraient à fuir les violences dans leur pays, a-t-il ajouté. Youpi ! une nouvelle guerre ! =)
  23. (AFP) Des dizaines de manifestants ont pénétré, mardi 29 novembre, dans l'enceinte de l'ambassade de Grande-Bretagne à Téhéran où ils ont commis des déprédations pendant plus d'une demi-heure. Les manifestants, qui protestaient contre les sanctions décidées par Londres contre l'Iran à cause de son programme nucléaire controversé, ont escaladé le mur d'enceinte du parc où se trouve l'ambassade et brisé les vitres de la chancellerie avant d'y pénétrer et de jeter des objets par les fenêtres, selon des images retransmises en direct par la télévision d'Etat. Ils ont ensuite enlevé le drapeau britannique pour le remplacer par le drapeau iranien, a constaté un journaliste de l'AFP. Les manifestants ont également brûlé des drapeaux britanniques et israéliens, selon des images retransmises en direct par la télévision d'Etat. Les forces anti-émeutes qui protégeaient l'ambassade ne sont pas intervenues pour empêcher cette attaque qui s'est produite alors que plusieurs centaines de manifestants, qualifiés d'étudiants' par la télévision, étaient rassemblés devant la mission diplomatique pour réclamer sa fermeture et l'expulsion 'immédiate' de l'ambassadeur. Plusieurs dizaines de policiers en tenue anti-émeute ont finalement pénétré à leur tour dans l'enceinte de l'ambassade, une demi-heure après les manifestants, pour leur faire évacuer les lieux, selon les images de la télévision. Le Foreign office britannique s'est déclaré 'scandalisé' par 'l'intrusion inacceptable' des manifestants, survenant dans un contexte de vive tension diplomatique entre les deux pays. 'Nous sommes scandalisés. Cela est parfaitement inacceptable et nous le condamnons', a déclaré le ministère des affaires étrangères dans un communiqué.
  24. L'Ossétie du Sud annule la victoire de l'opposition à la présidentielle. L'Ossétie du Sud, région séparatiste géorgienne, a annulé, mardi 29 novembre, pour fraude, la victoire à la présidentielle d'Alla Djioeva, qui devait l'emporter sur le candidat soutenu par Moscou, l'interdisant de surcroît de participer au prochain scrutin. Le président de la Cour suprême, Atsamaz Bitchenov, cité par Ria Novosti, a déclaré qu''Alla Djioeva ne pourra pas participer à la répétition de l'élection présidentielle'. 'Selon la loi, elle a été privée de ce droit, car la Cour a établi qu'elle avait commis des infractions lors du précédent scrutin', a-t-il expliqué. Lundi, la commission électorale ossète avait annoncé, à l'issue du dépouillement dans 74 des 85 bureaux de vote qu'Alla Djioeva avait obtenu 56,7 % des voix contre 40 % pour Anatoli Bibilov, le candidat ouvertement soutenu par Moscou. Réagissant à l'annonce de l'annulation des décisions sur la radio russe Echo de Moscou, Mme Djioeva a dénoncé une décision 'illégale'. La décision de la Cour 'contredit les conclusions des observateurs, qui ont jugé que les élections se sont déroulées sans fraude', a-t-elle déclaré. De son côté, M. Bibilov, ministre des situations d'urgence et ancien militaire formé en Russie, s'est félicité d'une décision 'absolument juste', selon l'agence officielle d'Ossétie du Sud. :O
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