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alexandreVBCI

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Tout ce qui a été posté par alexandreVBCI

  1. La mission de l'ONU en Côte d'Ivoire (ONUCI) affirme qu'un de ses hélicoptères a essuyé des tirs des partisans de Ouattara au-dessus Duékoué, lundi. Elle condamne cette attaque à la mitrailleuse lourde et parle de « crime de guerre ». L'ONUCI a accusé, mardi, des "forces loyales" au président sortant Laurent Gbagbo d'avoir tiré "sur des civils innocents" lundi, à Abidjan, "faisant une dizaine de morts". "De même, un groupe de jeunes pro-Gbagbo a imposé le supplice du pneu à un jeune homme brûlé vif dans le quartier de la Riviera. Un autre groupe a sauvagement agressé deux fonctionnaires de l'Onuci qui vaquaient à leurs occupations", selon un communiqué de l'organisation. L'Onuci "condamne cette vague d'exactions contre les populations civiles, et ces actes ne sauraient rester impunis", conclut-elle. Ces derniers jours, le camp Ouattara a aussi critiqué la mission onusienne, l'accusant de ne pas assez protéger les populations civiles. Selon l'ONU, l'instabilité en Côte d'Ivoire a fait près d'un million de déplacés. La France a fait savoir son intention de faire adopter dès vendredi par l'ONU une résolution interdisant le recours aux armes lourdes.
  2. On peut désormais parler de guerre civile en Côte d'Ivoire. Les partisans d'Alassane Ouattara sont passés à l'offensive dans plusieurs régions de Côte d'Ivoire. Objectif: conquérir Abidjan et déloger Laurent Gbagbo. Les combats à l'arme lourde qui ont éclaté à Duékoué, dans l'ouest de la Côte d'Ivoire, mais aussi au nord de Daloa dans le centre-ouest et au nord de Bondoukou, près de la frontière ghanéenne, font penser à la progression des insurgés en cours en Libye. Quatre mois, jour pour jour après le second tour de l’élection présidentielle ivoirienne, l'offensive est bien réelle. Les combattants pro-Ouattara ont conquis cinq villes de l'Ouest du pays depuis février et continuent leur avancée. Avec Abidjan en ligne de mire. Une guerre en bonne et due forme, avec ses fronts ouverts, mouvants, et ses inconnues politiques. Des combats ont eu lieu lundi 28 mars simultanément à Duékoué, dans l'ouest, Daloa, au centre, et Bondoukou, à l'est, ces deux dernières villes étant passées dans la nuit sous contrôle des pro-Ouattara. Duékoué serait tombée le 28 mars, tôt le matin, aux mains des Forces républicaines (FR, ex-FN), qui ont encerclé la ville. Une information aussitôt démentie par le camp Gbagbo. «Nous contrôlons une partie de la ville et les rebelles une autre», assure Yao Yao, le chef des opérations d'une milice pro-Gbagbo dénommée Front pour la libération du Grand Ouest (FLGO). Duékoué, 72.000 habitants, située dans une région forestière et montagneuse, à la frontière du Liberia, se trouve sur un axe Nord-Sud qui mène à San Pedro, le principal port d'exportation du cacao. Une matière première dont la Côte d'Ivoire est le premier producteur mondial. Pour mémoire, Duékoué se trouve aussi dans la zone sud du pays, en principe contrôlée par Laurent Gbagbo depuis la partition du pays en deux zones, Nord et Sud, entraînée par la rébellion des officiers nordistes de l'armée, en 2002. Mais ce n'est pas tellement le cacao qui intéresse les stratèges du camp Ouattara. A l'hôtel du Golf, on anticipe surtout sur les capacités de nuisance de Laurent Gbagbo après sa chute, qui paraît inéluctable. Des foyers de rébellion pro-Gbagbo pourraient perdurer pendant de longues années à l'intérieur du pays, redoute-t-on. Pour empêcher ce scénario, la maîtrise militaire du sud de la Côte d'Ivoire paraît essentielle. Il s'agit aussi, pour le camp Ouattara, de sécuriser la frontière avec le Liberia et de chasser les mercenaires libériens qui exportent en Côte d'Ivoire les méthodes de leur sanglante guerre civile (1989-2002). Selon certaines sources, les spécialistes de la violence libériens travailleraient pour les deux camps rivaux en Côte d'Ivoire. Une chose est sûre: ces Libériens sont «des centaines à piller, violer et tuer», selon Jacques Franquin, directeur du Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) à Abidjan. A Abidjan, l'autre épicentre du conflit, la guerre suit une géographie plus fluctuante. Les fronts sont ouverts en plusieurs endroits de la ville, à Abobo, Cocody ou Port Bouët, apparaissant et disparaissant au fil des jours, au gré des barricades et des combats nocturnes. Les forces acquises à Laurent Gbagbo paraissent extrêmement contrôlées: elles peuvent être appelées à marcher ici ou là, et donnent l'impression de pouvoir rentrer chez elles sur un simple claquement de doigts. Pas moins de 15.000 jeunes partisans de Laurent Gbagbo se sont enrôlés dans l'armée depuis le 21 mars, selon l’agence Reuters. Selon certains experts occidentaux à Abidjan, la partie est loin d'être jouée. Les forces restent très inégales sur le terrain. «Les anciens rebelles des Forces nouvelles se sont embourgeoisés après la signature des accords de Ouagadougou en 2007, rappelle un diplomate européen. Le camp Ouattara ne dispose pas des équipements nécessaires pour faire le poids, face aux trois grands groupes de "corps habillés" qui défendent Gbagbo, les Compagnies républicaines de sécurité (CRS), le Centre de commandement des opérations de sécurité (Cecos) et la garde républicaine.» http://www.slateafrique.com/1091/cote-ivoire-eclatee-fronts-de-guerre
  3. L'inattendu rapprochement saoudien-israélien L'administration américaine discréditée, Israéliens et Saoudiens se rapprochent pour empêcher l'Iran de tirer partie de la déstabilisation de la Syrie et de la Jordanie. Ils ont un allié inattendu: la Russie. http://www.slate.fr/story/36201/rapprochement-saoudien-israelien-syrie
  4. Après la corruption pour les sous-marins achetés à l'allemagne, une autre affaire est révélée : Nouvelle affaire de corruption en Inde: l'armée accusée de gérer des golfs L'armée indienne a utilisé des parcelles de terre appartenant au ministère de la Défense pour en faire de luxueux terrains de golf, une activité lucrative démasquée par le contrôleur général des comptes de l'Etat dans un rapport accablant sur la corruption. Le contrôleur et auditeur général (CAG) a découvert qu'au moins 32 km2 de terrains publics avaient été transformés en 97 terrains de golf, sous la houlette d'un groupe opérant sous le nom d'"Army Zone Golf". Selon le rapport, l'armée a aussi acheté des voiturettes de golf en les faisant passer pour des véhicules militaires de reconnaissance ou des chaises roulantes, a rapporté lundi à l'AFP Gautam Guha, le directeur général pour les services liés à la défense, rattaché au CAG. Les cartes de membres étaient vendues à des civils, voire à des citoyens étrangers, et l'argent était placé sur un fonds militaire auquel n'ont pu accéder les enquêteurs. L'armée a aussi détourné de larges parcelles de terre au profit d'entrepreneurs pour la construction de clubs privés et de luxueux complexes commerciaux dans plusieurs villes, assure le CAG. Fort de 7.000 km2 dans tout le pays, le ministère de la Défense est le plus grand détenteur de terrains appartenant à l'Etat et ces terres valent pour la plupart une véritable fortune, selon le rapport. Depuis des mois, l'Inde est rattrapée par les scandales de corruption, l'un de ses maux les plus tenaces. Le CAG a révélé à l'automne dernier un gigantesque scandale dans le secteur des télécommunications, qui aurait fait perdre au pays jusqu'à 40 milliards de dollars.
  5. Le soulèvement en Syrie sème le trouble dans les capitales voisines. L'onde de choc du soulèvement populaire en Syrie et l'affaiblissement du régime de Bachar al-Assad pourraient remettre en cause les alliances régionales du régime baasiste. Les images parvenues de Syrie, montrant des portraits géants de Bachar al-Assad déchirés par des manifestants et des bureaux du parti Baas incendiés, inquiètent les pays voisins. Même s’il est trop tôt pour tirer des conclusions, plusieurs capitales observent de très près les développements de la crise syrienne. Notamment Téhéran et Beyrouth, qui entretiennent des relations étroites avec la Syrie, acteur géopolitique incontournable du Moyen-Orient. La fragilisation du régime baasiste pourraient en effet bouleverser les alliances régionales et changer la donne de plusieurs dossiers régionaux. La Syrie, unique allié arabe de l’Iran chiite, pèse de tout son poids sur la question israélo-palestinienne, notamment en exerçant son influence sur le mouvement islamiste du Hamas à Gaza et sur certaines milices palestiniennes au Liban. Par ailleurs, son alliance stratégique avec le Hezbollah libanais et plusieurs partis politiques pro-syriens font du régime Bachar al-Assad un arbitre intéressé de la scène politique libanaise. Ces liens régionaux ont justement été remis en cause au cours des manifestations de la semaine dernière en Syrie. À plusieurs reprises, des manifestants ont lancé des slogans hostiles à l’Iran et au Hezbollah libanais. "Outre les tensions entre musulmans sunnites et chiites en vigueur dans la région, ces slogans démontrent que ces manifestants contestent non seulement la politique interne du régime, mais également ses orientations externes", analyse Khattar Abou Diab, politologue et professeur à l'université Paris-XI. Pendant ce temps, Téhéran et le Hezbollah gardent un silence suspect. Le 19 mars, le leader du parti chiite, Hassan Nasrallah, avait appelé à la poursuite des révoltes en Libye, au Bahreïn et au Yémen, en omettant toutefois de commenter la situation, pourtant en ébullition, en Syrie. Vendredi au plus fort de la crise, le site Internet d’Al-Manar, la chaîne de télévision du Hezbollah, ne faisait aucune mention des affrontements sanglants qui se déroulaient au même moment à Deraa. Même mutisme du côté du régime théocratique iranien, qui n’a encore pipé mots sur les évènements syriens. "Un silence qui en dit long sur l’embarras des alliés stratégiques de Damas", commente Khattar Abou Diab. Lors d’un meeting politique organisé dimanche, l’ancien ministre libanais Wi'am Wahhab, allié indéfectible de Damas, a exhorté "ceux qui sont pour ou contre le régime à ne pas jouer avec le feu en Syrie". Selon lui, Damas est "une garantie pour cette région. S'il est déstabilisé ou s'il tombe, toute la région sera déstabilisée pour les 100 ans à venir". Pour le camp anti-syrien, "quelle que soit l'issue du bras de fer engagé entre le régime syrien et son opposition, il ne peut qu'en sortir soit affaibli, soit brisé. Et dans les deux cas, cette nouvelle donne ne pourrait qu'affaiblir les alliés libanais de ce régime, notamment le Hezbollah", estime pour sa part le quotidien francophone "L’Orient-Le Jour". De leur côté, les observateurs peinent à s'entendre sur les conséquences éventuelles d’un effondrement du régime de Bachar al-Assad sur l’axe Damas-Téhéran, baptisé "axe du mal" par les États-Unis de George W. Bush au début des années 2000. Deux courants de pensée s’opposent. "Le premier pense que l’affaiblissement du président syrien, qui est acté puisqu’il a cédé aux revendications des manifestants, nuit au processus de paix que les Américains voulaient l’amener à conclure avec l’État d’Israël" explique Ziad Majed, politologue et professeur à l’Université américaine de Paris. Un affaiblissement qui pourrait contraindre le président syrien à se rapprocher encore un peu plus de l’Iran en jouant la carte régionale, poursuit-il. "D’autres observateurs pensent que cet affaiblissement offre une opportunité idéale à la communauté internationale pour intervenir auprès de Bachar al-Assad, en lui offrant des garanties sur la pérennité de son régime en échange de réformes concrètes et l’éloigner par conséquent de son allié iranien", conclut Ziad Majed. EDIT : devinez qui vient mettre son grain de sel ? :lol: Le président vénézuélien Hugo Chavez a livré samedi dernier au monde son analyse géopolitique sur les événements en Syrie. Lors d’une cérémonie commémorant sa sortie de prison il y a 17 ans : « Voilà qu’a commencé l’attaque contre la Syrie, voilà que commencent des mouvements de manifestations prétendument pacifiques, qu’il y a des morts et voilà qu’ils accusent le président d’être en train de massacrer son peuple ». Et pour joindre des actes à ces belles paroles le président Chavez s’est entretenu au téléphone avec M. Assad pour apporter son soutien à ce « président arabe socialiste, humaniste, frère, un homme doté d’une grande sensibilité humaine qui n’est en aucune manière un extrémiste ».
  6. Les rebelles reconnaissent ce soir s'être cassés les dents sur les premières défenses de Syrte. Ils attendent une nouvelle aide aérienne pour pouvoir progresser. Le chef du CNT, voix officielle de l'opposition libyenne, a également fait état lundi soir d'un «besoin urgent» d'armes légères. L'ONU met en garde contre une pénurie de vivres et de médicaments. "Les vivres se font rares. On s'inquiète que les oléoducs puissent être coupés", déclare Valerie Amos, coordinatrice de l'ONU pour les secours en situation d'urgence, en disant également craindre "une crise médicale" avec un problème "d'approvisionnement en médicaments". "Nous voudrions avoir une présence dans ce pays",ajoute-t-elle lors d'une rencontre avec la presse. Dans l'ouest de la Libye, sous contrôle des forces loyales à Moummar Kadhafi, l'ONU a "peu d'informations sur ce qui se passe".
  7. Une nouvelle vidéo du Tsunami : http://www.lefigaro.fr/international/2011/03/28/01003-20110328ARTFIG00673-nouvelles-images-choc-du-tsunami-au-japon.php :O
  8. The USMC outlines the 3 different vehicle programs that will replace the responsibilities the EFV would have held: AAV7 life extension from 2012-2021, wheeled Marine Personnel Carrier in service from 2018, and an Amphibious Combat Vehicle EFV replacement entering production by 2020. Inside Defense reports that the US Marine Corps will pursue 3 contracts, in the wake of the EFV’s cancellation. The first, required response involves life extension for the existing AAVP7 Amtracs fleet. The 2nd response will be to accelerate the LAV-II replacement Marine Personnel Carrier (MPC) program. Like its predecessor, MPC is required to have some amphibious capability, albeit less than the Amtracs. The 3rd response is the direct EFV replacment, currently known as the New Amphibious Vehicle (NAV) program. http://www.defenseindustrydaily.com/the-usmcs-expeditionary-fighting-vehicle-sdd-phase-updated-02302/
  9. La question est : en cas d'enlisement, combien de temps on peut tenir, nous, avant de bacler une sortie en proposant une solution politique foireuse, genre partition de la libye ! Si dans 6 mois les rebelles sont toujours incapables de contrôler la Tripolitaine, on sera toujours là avec le CdG et nos rafales ? et nos alliés ? Kadhafi peut essayer de jouer la montre, en défense.
  10. Syrte, bastion kadhafiste et verrou dans la course à Tripoli : http://fr.news.yahoo.com/3/20110328/twl-libye-syrte-1be00ca.html Rien ne dit que Syrte va tomber rapidemment. Les rebelles sont éxagérement optimistes. Un optimisme qui n'est pas partagé par les militaires français, ni par les américains, ni par les journalistes sur place. C'est pas parce que 20 véhicules ont quittés la ville qu'elle va se rendre. La durée de la résistance de Syrte sera un bon indicateur de la situation réelle de la résistance des forces Kadhafistes.... mais a Tripoli ça sera 100 fois pire.
  11. Le pouvoir israélien redoute un vide politique à Damas. Sur le papier, les dirigeants israéliens ont toutes les raisons de se réjouir de la déstabilisation du régime de Bachar el-Assad. La Syrie fait partie de «l'axe du mal». Elle est alliée de l'Iran, du Hezbollah libanais et abrite les QG des islamistes palestiniens du Hamas et du Djihad islamique qui prônent tous la disparition de l'État d'Israël. Pourtant, les manifestations en Syrie suscitent plus d'interrogations que d'applaudissements. Côté officiel, la prudence est de rigueur. «On ne se mêle pas de cette affaire », proclame Matan Vilnaï, ministre chargé de la Protection des civils. Plus prolixes, des commentateurs se demandent si les alternatives au président Assad ne sont pas pires, en d'autres termes si Israël ne risque pas d'y perdre au change. Parmi les scénarios catastrophes figurent une prise du pouvoir des islamistes ou un chaos général. «Depuis près de quarante ans, la frontière entre Israël et la Syrie est la plus calme», souligne Yoav Limor, commentateur militaire de la télévision publique. Il ne manque pas non plus de rappeler que la Syrie dispose de missiles capables d'atteindre n'importe quel point du territoire israélien ainsi qu'un arsenal comprenant des armes chimiques et bactériologiques. «Que se passerait-il si le pouvoir à Damas tombait dans des mains irresponsables?» La suite : http://www.lefigaro.fr/international/2011/03/27/01003-20110327ARTFIG00282-le-pouvoir-israelien-redoute-un-vide-politique-a-damas.php
  12. Un gros scandale dans la marine turque : http://www.corlobe.tk/article23493.html
  13. RAIDS N° 299 : ANNIVERSAIRE La Légion étrangère : 180 ans au service de la France COMBAT Opération « Storm Lightning » Le tournant pour la Task Force La Fayette ARMÉES ÉTRANGÈRES Les forces armées croates TACTIQUE Dans la mécanique des GTIA ELITE Les commandos de l’armée afghane SALON D’ARMEMENT IDEX 2011 http://raids.histoireetcollections.com/publication/2618/raids-299-avril-2011.html
  14. Robert Gates a déclaré que le pentagone estimait que la guerre pourrait durer encore 6 mois en Libye. Sur Al Djazzira, un commentateur a déclaré que - la prise de Tripoli serait extrémement complexe, surtout si toutes les forces de Kadhafi s'y regroupe et se battent pour leur survie (grosse crainte de représailles et d'éxécutions sommaires s'ils perdent). - il n'est pas certain que la prise de Tripoli signe la fin de la guerre. En l'occurence, on ne sait rien de ce qui se passe à l'ouest de Tripoli et dans le sud du pays. Les combats semblent se mener que sur la côte nord (la plus peuplé mais sur une bande de terrain représentant géographiquement moins de 5 % du territoire). - A qui va les allégeances des villes du sud ? - Kadhafi pourrait facilement fuir au Niger, Tchad ou Soudan. La frontière sud de la Libye est totalement incontrôlable. >:( Kadhafi pourrait fuir vers le sud et poursuivre le combat pendant des mois par des actions de harcèlement genre AQMI ? ;) les commentateurs doutent du départ volontaire en exil suite à une négociation car Kadhafi est paranoiaque et craint d'être éliminé ou traduit devant le TPI s'il se rend ou capitule.
  15. Nouvelle vidéo du prototype n°2 du T-50 : http://defensetech.org/2011/03/27/new-footage-of-russias-second-stealth-fighter/
  16. Nouvelle technologie mise en oeuvre par les marines au large de la Libye : http://defensetech.org/2011/03/26/marines-use-helium-balloons-to-talk-to-harrier-jump-jets-in-libya/
  17. Celà fait plusieurs jours que HRW et l'ONU citent les exactions des pro-ouattara en représailles de celles de forces de Gbagbo, le communiqué de HRW fait état des différentes accusations : http://www.hrw.org/fr/news/2011/03/15/c-te-d-ivoire-les-forces-de-laurent-gbagbo-ont-commis-des-crimes-contre-l-humanit Les deux organisations reconnaissent néanmoins que la majeure partie des crimes et exactions est commise par les troupes pro-Gbagbo. Ce dernier étant clairement identifié avec Charles Blé Goudé comme à l'origine et l'ordonnateur des crimes les plus graves. Si on n'arrête pas Gbagbo, il est clair que Ouattara ne pourra pas toujours empêcher ses partisans de se venger. « La communauté internationale devrait également envoyer un message clair au camp Ouattara que les meurtres commis en guise de représailles feront d'eux les prochains sur la liste des sanctions. » Charles Blé Goudé, le ministre de la jeunesse de Gbagbo et ardent partisan de la pureté de la race ivoirienne a encore mobilisé ses troupes contre l'ONUCI : Les locaux du Haut commissariat des Nations unies aux réfugiés (HCR) à Guiglo (500 km à l’ouest d’Abidjan), ont fait l’objet de pillage ces derniers jours, un acte que l’Opération des Nations unies en côte d’Ivoire (ONUCI) a condamné avec la dernière énergie. 'Le mercredi 23 mars 2011, de jeunes miliciens se sont introduits au siège du HCR dans cette ville et ont forcé les employés à leur remettre des clés de voitures qu’ils ont ensuite emportées.
  18. alexandreVBCI

    [Femmes soldats]

    Mon dieu, Obama est gay ! :lol:
  19. Selon les Echos, les exportations d'armement français ont représenté 4,3 milliards d'euros en 2010, contre plus de 8 milliards en 2009. Après plusieurs années de croissance, les exportations d'armement de la France ont fortement chuté en 2010. Les Echos se sont basés sur les contrats signés et pour lesquels le client a versé l'acompte prévu. Résultat : des ventes divisées par deux entre 2009 et 2010. Le manque de nouveaux grands contrats se fait sentir. La France n'a toujours pas réussi à exporter le Rafale, malgré les négociations en cours au Brésil, aux Emirats Arabes Unis, en Inde ou au Koweït. Une situation qui s'explique par la difficulté de la France à conclure ses contrats, que ce soit pour le Rafale au Brésil ou pour les avions Dassault aux Emirats arabes unis, rappellent encore 'Les Echos'. Le pays espérait également conclure la vente de quatre bâtiments de type Mistral à la Russie dans le cadre d'un transfert de technologies, Moscou ayant officialisé son intention d'achat en décembre. "Mais depuis, les deux parties ont du mal à s'entendre sur le prix, ce qui fait que la transaction ne sera comptabilisée, au mieux, que dans les statistiques 2011", écrivent 'Les Echos'. L'année 2010 est par ailleurs marquée par les restrictions budgétaires de certains pays, amenant à des reports ou abandon de certains contrats. L'année 2009 avait été particulièrement faste, notamment grâce à plusieurs gros contrats signés avec le Brésil. La France reste l'un des plus gros exportateurs d'armement dans le monde avec la Russie, le Royaume-uni et les Etats-Unis. D'après les dernières données du SIPRI - Stockholm international peace reasearch - sur les transferts internationaux d'armements publiées le 14 mars dernier, les Etats-Unis demeurent le premier exportateur mondial d'équipements militaires, représentant 30% des exportations mondiales sur la période 2006-2010. Dans le même temps, l'Inde est devenu le premier importateur mondial, suivie de la Chine, la Corée du Sud et le Pakistan.
  20. Le Tchad se veut neutre, il n'autorise pas d'attaque à partir de son territoire. "Le Tchad, qui entretient de bonnes relations avec le leader libyen Mouammar Kadhafi, a appelé lundi "à la retenue" et "au dialogue" par la voix de son ministre des Affaires étrangères Moussa Faki Mahamat. "La seule ingérence dont pourrait se permettre le Tchad, c'est celle de suggérer le dialogue, d'arrêter la violence et les destructions dans ce grand pays africain et arabe", a-t-il dit. "Le Tchad n'a aucun intérêt à s'ingérer dans une crise interne à ce pays voisin et encore moins à attiser le feu et la violence" a-t-il souligné." Le président tchadien actuel Idriss Deby Itno entretient d'excellentes relations avec Mouammar Kadhafi, qui a souvent servi de médiateur entre le Tchad et le Soudan entre 2006 et 2011.
  21. Le sujet sur la femme violée par les hommes de Kadhafi ci-dessous confirme aussi que les journalistes à Tripoli n'ont pas le droit de sortir de leur hotel et que les agents de la sécurité ne se gènent pas pour les tabasser s'il faut ! http://www.liberation.fr/monde/01012327987-une-jeune-femme-violee-tente-de-temoigner-devant-les-journalistes-a-tripoli
  22. Syrie : Après une semaine de répression sanglante, le pouvoir fait un geste d'apaisement sans pour autant contenter les protestants. Un poste de police et le siège du parti Baas de Deraa auraient été incendiés. Les responsables syriens ont libéré plus de 250 détenus politiques pour tenter d'apaiser le mouvement de révolte sans précédent qui secoue le pays depuis dix jours, mais les contestataires ont affirmé vouloir intensifier leur mouvement contre le régime de Bachar al-Assad. Le journal gouvernemental Techrine pour sa part explique samedi qu'à Sanamein, "un groupe armé a attaqué le quartier général de l'armée populaire et plusieurs agresseurs ont été tués", sans mentionner le nombre. Des dizaines de manifestants ont protesté contre le gouvernement samedi à Lattaquieh et certains ont mis le feu aux locaux du parti Baas au pouvoir.
  23. Yémen : Le président yéménite Ali Abdallah Saleh s'est dit prêt à quitter le pouvoir "dignement", peut-être même dans les prochaines heures, rapporte samedi Al Arabia. Le chef de l'Etat a toutefois démenti l'imminence d'un accord sur un transfert du pouvoir, ajoute la chaîne de télévision à laquelle il a accordé une interview. L'opposition a, selon lui, revu ses exigences à la hausse après l'ouverture des négociations. La perspective d'une issue rapide au mouvement de contestation qui agite le Yémen depuis janvier a été aussi nuancée par le chef de la coalition de l'opposition qui a fait savoir que les divergences restaient fortes entre les deux camps. Contesté depuis des semaines, le président Saleh, au pouvoir depuis 32 ans, s'est dit prêt vendredi à remettre le pouvoir entre "des mains sûres" pour éviter un bain de sang. Kirbi a précisé qu'un éventuel accord se baserait sur la dernière concession du président yéménite, qui a proposé de démissionner d'ici la fin de l'année après des élections anticipées et l'élaboration d'une nouvelle constitution. La pression s'est accentuée sur Saleh, allié des Occidentaux dans la lutte contre Al Qaïda, depuis que des tireurs embusqués ont tué 52 manifestants le 18 mars dernier lors d'une journée de protestation dans la capitale. En réaction, des généraux, des diplomates et des chefs de tribu se sont désolidarisés du président et ont apporté leur soutien aux opposants. Dans ce pays de 23 millions d'habitants, l'opposition dénonce la corruption et la montée du chômage. Quarante pour cent de la population du Yémen vit avec moins de deux dollars par jour et un tiers souffre de malnutrition. Le chômage touche 35% de la population et 50% chez les jeunes.
  24. Je vois mal Kadhafi finir façon Tony Montana dans Scarface, il va plutôt se la jouer changement de look comme Radovan Karadzic ou se cacher dans une fosse à purin comme Saddam Hussein. ça c'est l'hypothèse optimiste. Il ne faut pas vendre la peau de l'ours avat de l'avoir tuer et cette ordure a surement quelques idées bien repoussantes pour durer et rester au pouvoir. La guerre est loin d'être finie. Ses fils eux ont surement déjà un plan de fuite tout prêt et un tas de lingots d'or planqués dans un paradis fiscal. Faut pas oublier qu'on n'arrive pas à mettre la main sur les mecs d'AQMI au sahel, il n'est rien de plus facile que de se cacher dans le désert. Et je ne parle pas de Ben Laden ni du mollah Omar qui reste introuvables.
  25. Le Premier ministre canadien Stephen Harper a officiellement convoqué samedi des élections législatives anticipées pour le 2 mai, les quatrièmes au Canada en à peine sept ans. "Face aux événements d'hier (vendredi), j'ai rencontré le gouverneur général qui a accepté de dissoudre le Parlement", a déclaré à la presse M. Harper, sur le perron de la résidence de David Johnston, représentant de la reine Elizabeth II, chef d'Etat en titre du Canada. La Chambre des Communes avait voté vendredi une motion de censure contre le gouvernement conservateur minoritaire de Stephen Harper, imposant ainsi sa chute. Les libéraux ont indiqué qu'ils annuleraient le contrat octroyé à Lockheed Martin de 65 avions de chasse F-35 s'ils étaient élus. Comme je ne connais pas la politique canadienne... les libéraux peuvent-ils gagner les législatives ?
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