Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

alexandreVBCI

Members
  • Compteur de contenus

    16 127
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    9

Tout ce qui a été posté par alexandreVBCI

  1. Jérusalem comme Washington craignent un coup de force du Hezbollah au Liban avec l'appui de la Syrie et de l'Iran. Cela pourrait être le prélude à une guerre régionale. Le scénario anticipé et craint par les israéliens est maintenant en train de se dérouler au Liban. Benjamin Netanyahou avait convoqué le 24 novembre son cabinet de sécurité, constitué des sept principaux ministres, pour envisager plusieurs scénarios politiques considérés comme dangereux au Liban. Le «cabinet de guerre» avait été alors informé par les services de renseignements de la probabilité jugée sérieuse d'un coup d'Etat du Hezbollah au Liban avec le soutien de la la Syrie et de l'Iran. Un premier pas a été franchi. Le Hezbollah et son allié chrétien Michel Aoun ont décidé de quitter le 12 janvier le gouvernement d'Union Nationale ouvrant la voie à une période d'incertitude politique et à la possibilité d'un changement de pouvoir à Beyrouth. Le Hezbollah conteste par avance les conclusions du Tribunal Spécial sur l'assassinat en 2005 de l'ancien premier ministre Rafic Hariri qui risque de s'en prendre directement à ses principaux leaders et à la Syrie. Les démissions et la chute du gouvernement libanais ainsi qu'un regain de tension militaire étaient attendus à la fois par les occidentaux et par Israël. Barack Obama a décidé de renforcer les moyens de la Sixième flotte stationnée en méditerranée comprenant le porte-avions USS Enterprise, 80 chasseurs bombardiers embarqués et 6.000 marines. Le destroyer USS Bainbridge est déjà arrivé sur zone avec un chargement de missiles. Pendant ce temps la diplomatie s’active. La Secrétaire d'Etat Hilary Clinton a été mandatée auprès du roi Abdallah d’Arabie et du président Nicolas Sarkozy. Selon les israéliens, le Hezbollah a stocké plus de 60.000 missiles et roquettes installés au nord du pays et pointés sur eux. Benjamin Netanyahou attend de son côté le doigt sur la détente. (L'année 2011 commence très fort !)
  2. Un mois après le début des émeutes en Tunisie, le président Ben Ali a donné des gages importants aux manifestants, à l'opposition et à la communauté internationale. Lors d'un discours très attendu jeudi 13 janvier, il a promis plus de libertés aux Tunisiens, la baisse du prix des produits de première nécessité et s'est engagé à ne pas se représenter à l'élection présidentielle de 2014. Dans l'immédiat, le président a promis la liberté 'totale' pour l'information et Internet. Peu après son discours, jeudi soir, les sites Internet qui étaient bloqués en Tunisie, notamment Dailymotion et YouTube, étaient en effet de nouveau accessibles. Ben Ali a également ordonné aux forces de l'ordre de ne plus tirer sur les manifestants et a annoncé une baisse du prix des denrées de première nécessité telles que le pain, le lait, le sucre. 'Assez de tirs à balles réelles', a-t-il déclaré dans ce discours prononcé en tunisien dialectal dans une intention apparente de se faire comprendre par tous les Tunisiens. 'Je refuse de voir de nouvelles victimes tomber. (...) Assez de violences, assez de violences', a-t-il poursuivi, en affirmant que 'personne ne serait plus inquiété à moins qu'il ne tente de se saisir de l'arme d'un agent de l'ordre.' 'Je vous ai compris', a martelé le président à plusieurs reprises. Celà va-t-il suffire à calmer la rue au moment où les pillages se multiplient à travers le pays ?
  3. En 1978, deux compagnies zaïroises arrivées par la route arrivent à reprendre l'aéroport avant le parachutage des français et à le tenir au prix de lourdes pertes. Toutefois on note une différence : pas de para congolais en 2010 et pas d'avions en état de voler selon Wikipédia (de toute façon en 1978, ils ont été massacrés). On peut donc supposer qu'effectivement l'aéroport, en tant que porte d'accès, est repris en premier avec l'aide de FS français en 2010. A partir de là 2 scénarios : - soit comme en 1978 = parachutage massif (risqué et inutile si on a pris l'aéroport mais rapide à mettre en oeuvre) - soit posés d'assauts avec éventuellement des véhicules type VPS ou VBL pour commencer (mais les mortiers rebelles représentent un risque et ça risque de prendre plus de temps à organiser). La capacité d'accueil de l'aéroport risque d'être très vite atteinte. A noter que si on fait venir le 2ième REP, ils auront droit à des A330 (au lieu des DC-8) jusqu'à Kinshasa et disposent d'un équipement cette fois-çi adapté (pas besoin de perdre du temps à apprendre à se servir d'un parachute américain...) donc ils pourraient être envoyés sur zone plus rapidemment. Et assurément Eryx et MILAN seront de la fête donc la puissance de feu sera plus importante avec aussi les minimi, HK417, etc... et une meilleure protection avec les gilets pare-balles. Par ailleurs, il faut penser qu'au niveau renseignements et communication on sera plus efficace : images satellites, radios cryptés, ATL2... mais les rebelles risquent aussi d'avoir des téléphones satellites ou des portables pour se coordonner. A priori les hélicoptères français sont trop éloignés du théatre d'opération pour être utilisés au début de l'opération (mais pourront servir plus tard pour chasser les derniers rebelles en fuite ou évacuer les civils). Et pas question de jouer "Blackhawk down" non plus. "Bilan matériel en 1978 : Les légionnaires ont pris un millier d’armes légères, 4 canons, 15 mortiers et 21 lance-roquettes, et détruit 2 AML.".... les mortiers et lance-roquettes (RPG) étaient de la partie, on peut donc penser la même chose en 2010.
  4. MALTE : C'est le plus petit pays de l'UE et il a la charge de contrôler 250 000 km2 de mer. Pour cette mission, les forces armées ne disposent que de 236 militaires et de 9 patrouilleurs ! Face à eux, des milliers de candidats au passage vers l'Europe. Des Africains qui tentent la traversée de la Méditerranée sur des navires de fortune. Pour mieux patrouiller la zone de responsabilité, l'Etat maltais s'équipe d'avions de patrouille maritime, de type Hawker Beechcraft King Air B200 (photo ci-dessus). Le premier est attendu en février ; le second en mars 2012. http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2011/01/12/malte-dope-son-aviation-de-patrouille-maritime.html
  5. Après la chute du gouvernement Hariri, les Israéliens peuvent-ils accepter de laisser les mains libres au Hezbollah ? La chute du gouvernement libanais est peut être le signe avant-coureur d'une nouvelle déflagration comparable à la guerre qui, entre 1975 et 1990, avait ensanglanté le Liban (probablement 200.000 morts) et quasiment détruit son économie. Cette fois, le risque est plus grand que d'autres acteurs déjà impliqués à l'époque - Israël, l'Iran et la Syrie - le soient encore plus directement. Un risque majeur de crise pour toute la région, qui aura obligatoirement des retombées pour l'Occident, les États-Unis et la France, en première ligne. http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/michel-colomes/un-gouvernement-tombe-au-liban-et-c-est-toute-la-region-qui-risque-de-s-embraser-13-01-2011-129336_55.php La FINUL est-elle en état d'alerte ?
  6. La grosse honte ! http://fr.news.yahoo.com/55/20110113/tod-vir-de-l-arme-pour-avoir-embrass-les-17baed7.html
  7. Très intéressant mais peut-on faire poser un AN-124 bourré de VAB sur l'aérodrome de Kolwezi ? les pilotes civils accepteraient-ils de se poser "sous le feu" ? et aurait-on assez de C-130 ou Transall sur place pour parachuter des troupes ET déposer des Sagaies et VBL 12.7 ? En se basant sur une intervention rapide (même délai qu'en 1978) ne serait-on pas limite question effectifs : prendrait-on le risque de dégarnir les troupes de la force Licorne, de devoir rapatrier des FS du sahel ou de mobiliser le BPC alors que la situation en CI risque de dégénérer ? Si les rebelles ne sont pas stupide on peut penser qu'ils ont immobilisés des véhicules en feu sur la piste de l'aérodrome de Kolwezi pour empêcher des posés d'assaut, qu'ils ont pillés le stock d'arme de la caserne de la ville et récupéré des Manpad et RPG des soldats congolais qui les ont rejoint + 1 unimog avec une ZPU-2 de 14.5 mm (petit bonus) : http://fr.wikipedia.org/wiki/Forces_arm%C3%A9es_de_la_R%C3%A9publique_d%C3%A9mocratique_du_Congo Pour le reste c'est du classique : AK-47, PKM, grenades et RPG en masse... et des dizaines de 4x4 avec certains équipés de mitrailleuses lourdes. L'armée congolaise posséde des T-72 depuis 2010 mais aussi des T-55 et T-62. Je garde donc l'hypothèse d'une poignée de chars soit passé du coté des rebelles.... en 1978, ils se sont servis des AML-60. Leur expérience est en revanche très faible. Pour rester réaliste les 2 C-130 et les 6 hélicoptères Mi-24 Hind de l'armée de l'air congolaise ne sont pas en état de voler. Pas possible d'avoir de l'aide de ce coté ! Je constate aussi que personne ne compte sur les Belges ! :lol:
  8. Si on quitte le Tchad, ça va pas simplifier les choses question sécurité : si on réduit nos forces pré-positionnés au Gabon et à Djibouti on perd la capacité d'intervenir rapidement dans le sahel et toute l'afrique du nord. En Côte d'Ivoire, le merdier continue : Trois véhicules de l'ONU ont été incendiés, jeudi 13 janvier, à Abidjan par des partisans de Laurent Gbagbo, selon Kenneth Blackman, porte-parole de la force internationale en Côte d'Ivoire (Onuci). M. Blackman n'a pas fait état de victimes, mais a assuré n'avoir 'pas de doutes' que des partisans de M. Gbagbo en sont responsables. Des pierres ont par ailleurs été jetées 'par des éléments des forces de sécurité du camp Gbagbo', peu avant 14 heures, heure locale (15 heures, heure française), sur une ambulance de l'ONU. Le Haut Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme a expliqué par ailleurs, jeudi, avoir eu vent de l'existence d'un troisième charnier, après deux autres fosses communes à Abidjan signalées fin décembre, des informations qui n'ont pas pu être vérifiées par l'ONU sur place. CORRECTIF : Des forces loyales au président sortant de Côte d'Ivoire Laurent Gbagbo ont attaqué six véhicules des Nations unies, faisant deux blessés, a annoncé jeudi le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon. Un véhicule militaire appartenant à la mission des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci) a été incendié, a déclaré le porte-parole de M. Ban. Cinq autres véhicules ont également été attaqués, mais pas brûlés, a précisé Martin Nesirky. Lors de l'attaque d'une ambulance, un médecin et son chauffeur ont été blessés, a indiqué M. Nesirky. Dans un entretien au "Parisien/Aujourd'hui en France", Alassane Ouattara prévient qu'"il faut que Laurent Gbagbo cesse d'utiliser des mercenaires et des miliciens étrangers contre les Ivoiriens. Depuis son refus de respecter le verdict des urnes, il y a déjà plus de 250 victimes". "Nous avons saisi les organisations des droits de l'Homme et la Cour pénale internationale pour envoyer des missions, retrouver les auteurs de ces exactions et les punir, car cela ne peut pas continuer", précise le président Ouattara. Mercredi soir, le chef d'état-major de l'armée ivoirienne Philippe Mangou a prévenu que ses soldats se réservaient le droit de répliquer, après deux jours d'affrontements dans le quartier d'Abobo, fief des partisans d'Alassane Ouattara : "Afin de débusquer ces gens qui ont attaqué la République, les forces armées de Côte d'Ivoire souhaitent que toutes les organisations de droits de l'Homme, ainsi que les communautés nationale et internationale, sachent que ces attaque contre nous équivalent à des actes de guerre (...) nous plaçant en état de légitime défense", a-t-il déclaré lors d'une déclaration lue à la télévision d'état.
  9. Une petite uchronie : imaginez que Kolwezi n'est pas eu lieu en 1978 mais aujourd'hui. Histoire (la vraie) : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Kolwezi Histoire (modifiée) : 13 Janvier 2011, un groupe d'environ 3 à 4 000 rebelles katangais bien armés, venus d'Angola en 4x4 Toyota, prennent en otage environ 3 000 Européens à Kolwezi et commettent des exactions. Un peloton de l’armée congolaise, équipé notamment de T-72 s’est alors rallié aux rebelles. Plusieurs centaines de rebelles quittent la ville dans des véhicules volés après avoir pillés les magasins, il ne reste que 500 hommes encadrés par des officiers Congolais rebelles. Des fantassins de l'armée Congolaise arrivés aux abords de Kolwezi sont massacrés. Alerté, le président Joseph Kabila demande l'aide de la France et de la Belgique. Sarkozy décide d'une intervention immédiate, nom de code : opération BONITE. Quelles forces françaises et belges pourraient intervenir ? avec quels matériels ? quel plan ? Suivraient-on le même plan qu'en 1978 ? (unités, armes, matériels, véhicules et appareils existant aujourd'hui... donc pas de A400M ou de A330MRTT français par exemple, en revanche les tenues Félin en dotation, l'hélico Tigre, les VBL ou Rafales sont autorisés....merci !)
  10. REUTERS : Les corps des deux jeunes Français enlevés au Niger et tués samedi lors d'une intervention armée contre leurs ravisseurs portent des traces de balles, a dit jeudi le ministère français de la Défense. Le porte-parole du ministère français de la Défense, Laurent Teisseire, a évoqué devant la presse les constatations initiales faites au Niger après l'opération française. "Un des morts est décédé d'une balle dans la tête, le second avait des traces de balles et de brûlures importantes", a-t-il dit. "Les deux otages étaient entravés quand ils ont été retrouvés." Le résultat des autopsies, réalisées à l'Institut médico-légal de Paris, n'était cependant pas encore connu jeudi en milieu de journée. Une enquête judiciaire est menée, sous l'autorité du procureur de Paris. Le gouvernement français dit que les deux hommes ont été exécutés par leurs ravisseurs au moment de l'intervention d'une trentaine de militaires français héliportés et parachutés en territoire malien. Les ravisseurs cherchaient à gagner une zone refuge à bord de trois voitures. Les deux jeunes Français, Vincent Delory et Antoine de Léocour, étaient entravés lorsqu'ils ont été retrouvés morts, a précisé Laurent Teisseire. Les ravisseurs circulaient à bord de trois véhicules, un immatriculé au Bénin, un non identifié et un de la gendarmerie nigérienne. Deux des quatre activistes tués portaient l'uniforme de la gendarmerie et ont participé aux combats, a dit le porte-parole. Deux blessés arrêtés après l'assaut portaient aussi l'uniforme de la gendarmerie et ont également combattu. Ils ont été remis aux autorités nigériennes, a-t-il précisé. Des divergences ont semblé naître mercredi entre Paris et Niamey sur les investigations menées sur l'enlèvement, le ministre nigérien de l'Intérieur, Cissé Ousmane, contestant la qualité de "terroriste" prêtée aux blessés prisonniers par le ministre français de la Défense, Alain Juppé, le Premier ministre, François Fillon, et une source proche des forces de sécurité nigériennes.
  11. Un retrait des troupes françaises du Tchad est envisagé, la présence française en Afrique devant se limiter au Gabon et à Djibouti. La récente visite au Tchad du directeur du renseignement militaire (DRM) français visait à évaluer la situation dans le pays, dans le cadre de la coopération entre Paris et N’Djamena. Mais la situation sécuritaire au Tchad reste une source de préoccupation pour la diplomatie française. Des craintes encore accrues par le renseignement américain, selon lequel une partie de l’arsenal militaire tchadien a été transférée à Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI). Le président Deby aurait révoqué son frère, Oumar, qui était responsable de la “réserve stratégique” tchadienne, en le mutant au sein de sa garde personnelle. En outre, une partie des livraisons iraniennes d’armement confisquées dans le port de Lagos (Nigeria), en octobre dernier, était destinée au Tchad (et accessoirement au Sénégal). http://www.ttu.fr/francais/Articles/strategie%20%26%20politique/inquietudestchad.html
  12. Gbagbo veut "mater" le quartier de Abobo. Six policiers ont été tués mercredi à Abidjan dans des affrontements entre partisans d'Alassane Ouattara, président élu, et forces loyales au chef de l'Etat sortant Laurent Gbagbo, rapportent des témoins. un porte-parole du gouvernement formé par le premier a fait état de sept civils tués, dont deux enfants et a dénoncé une provocation. Philippe Mangou, chef d'état-major de l'armée, a annoncé l'instauration jusqu'au week-end d'un couvre-feu de 19h00 GMT à 06h00 à Abobo et l'envoi de véhicules blindés pour encercler le quartier. "Il y a des unités sur le terrain qui vont réagir (...), ce qui veut dire se débarrasser des rebelles, se débarrasser des armes et permettre à la population d'avoir une activité normale", a-t-il déclaré à la presse. Les forces de l'ordre ont été déployées en nombre autour d'Abobo, dont les accès sont défendus par des barricades. Des coups de feu retentissaient toujours dans la soirée. Un correspondant de Reuters a vu deux civils blessés étendus sur la chaussée. C'est dans le quartier de Abobo que trois casques bleus ont été légèrement blessés mardi soir dans une embuscade des forces fidèles à Laurent Gbagbo. Le général Mangou a assuré que les hommes de l'Onuci avaient ouvert le feu les premiers. L’ONUCI a également indiqué qu’hier, plusieurs centaines d’hommes vêtus de noir auraient commencé à tirer et à évacuer des maisons d’Abobo. Dès que l’ONUCI a pris connaissance de ces faits, elle a pris contact au niveau politique avec l’équipe de M. Gbagbo et a envoyé deux patrouilles qui ont été bloquées par des personnes opérant un point de contrôle.
  13. alexandreVBCI

    Le F-35

    The initial operational capability date for the U.S. Air Force version of the F-35 Joint Strike Fighter (JSF) is likely to slip due to recent program changes to help right the troubled tri-service effort, Air Force Secretary Michael Donley said during an Air Force Association-sponsored breakfast with reporters Jan. 12. "I think that's implied with the additional dollars and time required in system development," Donley said when asked whether the recent restructuring would delay the in-service date. The F-35 program was recently restructured after a detailed Technical Baseline Review (TBR) by Defense Department procurement chief Ashton Carter and new JSF program manager Vice Adm. David Venlet concluded that additional time and funding is required to complete development. http://www.defensenews.com/story.php?i=5438384&c=AME&s=SEA
  14. Le Hezbollah et ses alliés ont quitté le gouvernement d'union libanais. Un acte qui pourrait marquer le début d'une crise grave. "Si le Conseil des ministres ne se réunit pas, cela veut dire qu'il n'y a pas de gouvernement", annonçait ce mercredi le ministre de la Santé Mohammad Jawad Khalifé. Dans les heures qui suivaient, les membres du Hezbollah et leurs alliés ont annoncé leur démission, suivi d'un 11e membre du gouvernement. Le Hezbollah dispose avec ses alliés - Amal et Parti chrétien libanais - de dix ministres. Or, le gouvernement, qui compte actuellement 30 ministres, s'effrondre si plus d'un tiers de ses membres se retirent, selon la Constitution libanaise. Mais un proche du président de la République, Michel Sleimane, le ministre d'Etat Adnane Sayyed Hussein, a présenté sa démission dans la foulée. "Le 'timing' de l'annonce de la démission est symbolique car ils [le Hezbollah] veulent que [ce] soit une claque pour les Etats-Unis", a affirmé Moustapha Allouch, membre du conseil politique du mouvement de Saad Hariri. Et de fait, au moment de l'annonce de la démission des membres du Hezbollah, le Premier ministre était reçu par le président américain Barack Obama. Saad Hariri a quitté précipitamment les Etats-Unis pour rentrer au Liban.
  15. L'ONU accuse le régime de Laurent Gbagbo de multiplier les actes d'intimidation et les agressions contre ses équipes en Côte-d'Ivoire. L'Onuci dénonce «l'embuscade perpétrée contre ses Casques bleus par des forces armées du camp du Président Gbagbo». «Une équipe mixte de militaires et de policiers de l'ONU revenait d'une patrouille au quartier PK 18 de la commune d'Abobo lorsqu'elle a essuyé des tirs croisés provenant des deux côtés de la route, explique l'état-major des Casques bleus à Abidjan. Les forces onusiennes ont été obligées de riposter aux tirs. Trois membres des forces de l'ONU ont été légèrement blessés lors de l'incident.» Ces derniers jours, les forces de sécurité pro-Gbagbo ont mené plusieurs opérations de ratissage à Abobo, perquisitionnant les maisons. Dans un tel contexte, la présence des Casques bleus sur place était peut-être jugée inopportune par l'armée fidèle à Gbagbo. L’Onuci note aussi dans son communiqué que cette embuscade est survenue «un jour après le blocage et le pillage, par des forces du camp du Président Gbagbo, d’un convoi de vivres destiné à l’Hôtel Golf et escorté par ses soins.» Une équipe de télévision était sur place au moment de ces incidents pour filmer la scène, diffusée quelques heures plus tard sur l’antenne de la RTI, contrôlée par le camp Gbagbo. Gbagbo a décidé de chasser coûte que coûte l'ONU de Côte d'Ivoire : du blocage des convois on est passé aux tirs contre les soldats de l'ONU et au pillage des convois.
  16. "Les deux Français ont été exécutés, selon les éléments fournis par l'armée française. Leurs corps portaient des traces noires de brûlures, a dit Alain Juppé à N'Djaména. Selon un membre du personnel de l'hôpital de Niamey, leurs mains étaient liées dans le dos." http://www.lepoint.fr/fil-info-reuters/rapatriement-des-corps-des-deux-jeunes-francais-tues-au-niger-12-01-2011-129165_240.php On ne sait pas comment ça s'est passé. Il y a eu une première intervention loupée des forces nigériennes : les kidnappeurs les ont-ils tués à ce moment là ? après ? ont-ils été tués par erreur par l'armée nigérienne ? A priori : on a retrouvé leurs corps avec ceux des gendarmes nigériens abattus lors de la première attaque et qui ont été emportés par les kidnappeurs, on peut supposer que le drame s'est joué à ce moment là. Ils étaient donc déjà morts lorsque les FS françaises sont intervenues en hélicoptères (rappelez-vous l'intervention contre le 4x4 des pirates en somalie pour récupérer l'argent : même technique ?). Le ministère nigérien de l'Intérieur a ainsi affirmé mercredi à l'AFP ne détenir "aucun terroriste" membre présumé d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) impliqué dans l'enlèvement des deux otages français, contrairement à ce qui a été affirmé par Paris. Selon une source médicale qui a pu voir les corps, les deux hommes "avaient été attachés, les mains dans le dos, et ils avaient des traces noires sur le corps". Une source proche de la présidence nigérienne avait auparavant assuré à l'AFP que "les corps étaient calcinés". Selon des sources maliennes, des hélicoptères de combat français ont tiré sur le convoi de véhicules des ravisseurs dans le nord du Mali, à une quinzaine de kilomètres de la localité malienne de Tabankor (35 km au sud de Ménaka), où des épaves calcinées ont été retrouvées. http://www.la-croix.com/afp.static/pages/110112145034.xbqo79hc.htm
  17. Publié aussi sur Globalsecurity.org (repris de RIA Novosti).... http://www.globalsecurity.org/wmd/library/news/iraq/2011/iraq-110109-rianovosti01.htm L'info a été repris sur defenseindustrydaily.com
  18. Affrontements à Abidjan. De nouveaux heurts ont éclaté mercredi matin à Abidjan entre des partisans d'Alassane Ouattara et les forces loyales au président sortant Laurent Gbagbo, rapportent des témoins. Au moins cinq policiers ont été tués à Abobo, le bastion de Ouattara dans la capitale ivoirienne, ont dit des témoins et une source militaire. De nombreux coups de feu ont été entendus comme la veille, ainsi que des bruits d'explosion provoquées vraisemblablement par des armes lourdes. Mamadou Kanté, un habitant du quartier, a dit avoir vu quatre véhicules de police en feu avec quatre cadavres de policiers à l'intérieur. Une source au sein du renseignement ivoirien, qui a requis l'anonymat, a confirmé l'information. "On entend des coups de feu et des explosions depuis deux heures du matin. Ma famille et moi sommes terrifiés", a ajouté Adama Touré, habitant d'Abobo. Des affrontements similaires ont fait au moins cinq morts la veille à Abobo. "Les gens d'Abobo en ont assez. Chaque jour il y a des enlèvements et des meurtres ici. Nous avons le droit de nous défendre", a dit Amara Souara. Depuis le second tour de l'élection présidentielle le 28 novembre, dont les résultats sont contestés par les partisans de Laurent Gbagbo, les violences ont fait plus de 200 morts, selon les Nations unies. L'ONUCI déplore le pillage des camions de ravitaillement de l'hotel du golf par des partisans de Laurent Gbagbo.
  19. L'armée tunisienne s'est déployée, ce mercredi, à Tunis où la tension est montée, au lendemain d'affrontements entre la police et des manifestants qui ont éclaté, dans la nuit, dans la banlieue ouest populaire. Des renforts militaires, soldats en armes, camions, jeeps et blindés, ont fait leur apparition dans Tunis pour la première fois depuis le déclenchement des affrontements que connaît la Tunisie depuis quatre semaines. Ces renforts étaient postés à des carrefours du centre de la capitale et à l'entrée de la cité Ettadhamen (Solidarité) où des dégâts d'une nuit de violences étaient visibles. Un blindé tout feu allumé et des soldats en armes étaient positionnés à l'entrée de ce gros faubourg où des carcasses de voitures et d'un bus incendiés n'avaient pas encore été enlevées, près du siège de la Délégation (sous-préfecture) attaqué la veille. Des bris de verre et des pneus brûlés jonchaient la route de Bizerte qui traverse les cités Ettadhamen, Intilaka et El Mnihla, des quartiers populaires qui se succèdent, dans l'ouest de la capitale. Dans Tunis, outre des renforts importants de police et unités d'intervention spéciales, deux véhicules de l'armée et des soldats en armes montaient la garde sur la place reliant les avenues de France et Habib Bourguiba, face à l'ambassade de France et à la grande cathédrale de Tunis. Cette place avait été la veille le théâtre de manifestations étouffées par la police. Des renforts militaires étaient également visibles autour de la maison de la radio-télévision dans le quartier La Fayette, et d'autres sur la place du Passage, terminus du tramway qui fonctionnait.
  20. 16,4 milliards de dollars pour 180 Airbus A320 en une seule commande ! :O :oops: :oops: :oops: Champagne pour ce record du monde !
  21. L'iran tisse sa toile en afghanistan : http://www.ttu.fr/francais/Articles/strategie%20%26%20politique/iranenafghanista.html
  22. alexandreVBCI

    Embraer C 390 Millenium

    Une avionique israélienne pour le KC-390 ? http://www.flightglobal.com/articles/2011/01/05/351498/iai-offers-systems-for-embraers-kc-390-programme.html
  23. L’armée indienne a basé un avion Dornier de surveillance maritime aux Seychelles. Un accord a été signé entre les deux pays le 6 janvier. Ceci est le prélude à une opération plus importante entre les deux pays. L’Inde a promis, l’année dernière, de doter les Seychelles d’une petite flotte de surveillance constitué d’un appareil Dornier, identique à celui déployé, et de deux hélicoptères Chetak. Ces appareils sont en construction chez l’industriel national Hindustan Aeronautics. Cout pour l’Inde : 20 millions de $. Ce déploiement préliminaire permet, donc, de faire la « soudure » avec ce don, en testant, grandeur nature, l’avion et en assurant la formation des équipages. http://www.bruxelles2.eu/piraterie-golfe-daden-ocean-indien/l%e2%80%99inde-fournit-des-moyens-aeriens-aux-seychelles.html La flotte de patrouille maritime des Seychelles est désormais équipée de cinq nouveaux navires. Les Emirats arabes unis avaient promis une dotation de navires au mois de juillet dernier. Six mois après, la promesse est tenue. Le Sheikh Saeed était, mardi 4 janvier, sur la base des gardes cotes seychellois de Bois de Rose pour présider la cérémonie de remise de cinq navires aux autorités des Seychelles : deux navires de patrouille et trois vedettes, dotés des dernières technologies. http://www.bruxelles2.eu/piraterie-golfe-daden-ocean-indien/les-emirats-dotent-la-flotte-des-seychelles-de-5-nouveaux-navires.html Cette dotation très visible des Emirats arabes unis vient compléter d’autres aides, notamment celles versées par l’Union européenne. L’UE a ainsi fait, à la mi-décembre, un chèque de 3 millions d’euros aux Seychelles dans le cadre du Fonds européen de développement, avec comme objectif principal : le renforcement de la lutte anti-piraterie et de la surveillance maritime.
×
×
  • Créer...