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  1. Service de semaine

    1er RPIMa

    Egalement sur le site, l'integralite de l'article de Raids sur le selection pour acceder au 1er RPIMa http://www.rpima1.terre.defense.gouv.fr/presse/index.html Pour ceux qui se posaient encore des questions sur le serieux des informations presentees par cet article, sa presence sur le site officiel du 1er RPIMa devrait lever tous les doutes...
  2. Service de semaine

    1er RPIMa

    Article tire du site du 1er RPIMa RAPAS en Afghanistan « Lorsque le voyageur venu du sud arrive ici, il se flatte d’être au bout du monde. Il vient au contraire d’en atteindre le centre. » Empereur BABOUR « Le Tigre » (XVI° siècle) Présent depuis 2001 sur l’exigeant théâtre afghan, affrontant et formant tour à tour ses acteurs singuliers dans le cadre de la lutte mondiale contre le terrorisme au sein de la coalition Enduring Freedom, le 1er RPIMa a continué de forger discrètement son identité aux côtés de ses frères d’armes et d’armées des forces spéciales du COS (Commandement des Opérations Spéciales) et des pays alliés et permis de nombreuses évolutions techniques ou tactiques au profit des forces conventionnelles terrestres. Qu’ils soient constitués en TG (« Task Group »), en ETT (« Embedded training Team), en DPR (détachement de Protection Rapprochée) ou en détachement d’instructeurs à l’ACS (Afghan Commando School), détachés ou au sein d’un GFS (Groupement de Forces Spéciales), les modules successifs armés par la Citadelle général Bergé se sont heurtés, dans un climat souvent très hostile, sur un terrain au relief accidenté, à un ennemi déterminé, difficilement saisissable et ne pardonnant aucune erreur. Ils ont ainsi rayonné pendant plusieurs années dans des zones de responsabilité pouvant atteindre plusieurs centaines de km2, parmi une population difficile à cerner, austère et fière, successivement dans la capitale, puis dans les provinces de KANDAHAR et de JALALABAD, verrous stratégiques des accès vers le Pakistan. Toujours sollicité pour des opérations spéciales sous le commandement et avec la confiance et les appuis (aériens en particulier) efficaces du PC du CJSOTF (Combined Joint Special Operations Task Force) de la coalition, le 1er RPIMa a agi sur le théâtre afghan pendant six ans dans une large gamme de missions spéciales : actions directes, reconnaissances spéciales ou actions d’environnement. Très fréquemment déployés en petits détachements réversibles et à forte valeur ajoutée, du TU (« Task Unit » regroupant plusieurs composantes) au binôme mentor d’une unité afghane, les équipiers RAPAS (Recherche Aéroportée et Action Spéciale) de Bayonne ont souvent agi de manière autonome, appuyés et soutenus en partie par la composante commandement/soutien régimentaire qui leur est indissociable. Malgré les épreuves tragiques (de nombreux blessés et quatre décès), chacun a beaucoup appris sur lui-même, et toute la collectivité RAPAS en est sortie renforcée et convaincue de l’utilité de son action. Pour mener à bien ses missions, le régiment a repris les enseignements de contre-guérilla de ses anciens, cherchant à toujours se remettre en cause, à évoluer grâce aux retours d’expérience de tous, français, alliés et afghans, mais aussi à innover en permanence dans les domaines tactiques et techniques. C’est ainsi que le 1er RPIMa a fait bénéficier à l’ensemble des unités de l’armée de terre récemment déployées, de certaines évolutions techniques, notamment dans le domaine de l’équipement individuel et de la protection du combattant, de l’appui aérien, de la sécurité opérationnelle, des procédures, de l’optique et de l’armement ou de la lutte contre les mines et pièges. Aujourd’hui, même si le 1er RPIMa n’est plus présent sur les terres afghanes, il n’oublie pas ses frères tombés loin de leur patrie et continue d’honorer leur mémoire à travers la journée du souvenir, célébrée chaque année au mois de mai au cœur de la citadelle. Leurs sacrifices à tous ne sera jamais vain, car en restant fidèle à l’héritage SAS, les RAPAS continueront de se préparer aux combats de demain, en Afghanistan comme partout ailleurs, toujours fidèles à leur devise « Qui Ose Gagne » et de faire profiter de leurs acquis techniques ou tactiques, l’ensemble des forces terrestres.
  3. Service de semaine

    1er RPIMa

    Un article tres sympa sur le site du 1er RPIMa Lieutenant et pourtant simple chef de groupe RAPAS Au 1er Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine, les lieutenants ne sont pas, au moins dans un premier temps, des chefs de section comme partout ailleurs, mais, et cela peut sembler réducteur, ils occupent la fonction de chef de groupe RAPAS. C’est une des nombreuses spécificités, de l’unique régiment des troupes de marine de la BFST . Pour un lieutenant à qui, depuis le tout début de sa scolarité on a associé dans son esprit comme seul périmètre possible de ses responsabilités à sa sortie d’école, le volume d’une section, se voir confier un petit groupe peut sembler déconcertant. Pour autant, par-delà un univers singulier en termes de spécialisations, de missions, de matériels et d’armements, la problématique du commandement est toujours la même : donner des ordres en s’assurant que nos subordonnés aient les moyens de les mettre en œuvre, contrôler leur exécution, rendre compte, tout en s’efforçant de créer un climat de confiance réciproque, d’adhésion voire de sérénité. Pour mieux appréhender les multiples facettes de cette fonction « chef de groupe RAPAS », il faut décrire les contours de l’environnement dans lequel le lieutenant est amené à commander et imaginer les missions qu’il doit assumer en opération à travers les formations et les entraînements suivis tout au long de l’année. Vous l’aurez compris, à Bayonne l’échelon de combat immédiatement inférieur à la compagnie est le groupe, au nombre de huit par unité élémentaire. Le lieutenant, au terme d’une intense période de formation et d’intégration qui débute dés son arrivée et qui est partagée avec les sous-officiers qui ont la même vocation (4 mois), prend les fonctions de chef de groupe. Chaque groupe possède les savoir-faire communs aux opérations spéciales avec plusieurs spécialités complémentaires (chute opérationnelle à plus ou moins grande hauteur, reconnaissance spéciale, tir de haute précision, contre-terrorisme, patrouille profonde,…) qui garantissent à l’employeur, maîtrise et efficacité dans tous les milieux et quelque que soit le mode de mise en place. Aussi, commander dix à douze équipiers, multi-qualifiés, très expérimentés et de tout grade, revêt quelques particularismes comparés à une section de quarante soldats. L’esprit d’équipe, d’abord, est particulièrement marqué, chaque groupe allant même jusqu’à développer une « identité » propre, souvent source d’une saine émulation. Tous les membres du groupe se connaissent parfaitement (et même familialement) et de nombreux automatismes apparaissent ainsi naturellement. Les relations hiérarchiques sont moins empruntes de formalisme au quotidien, même si tous se tournent vers le chef quand vient l’heure des choix. Il existe bien une hiérarchie interne au groupe, mais chacun peut être amené à se trouver « leader » ponctuellement, en fonction de ses compétences spécifiques. Jusqu’à l’échelon le plus bas, chacun doit être capable d’autonomie et oser les initiatives et lorsque après analyse elles s’avèrent mauvaises, elles sont systématiquement réétudiées dans une « 3 alpha » qui se doit d’être pédagogique. L’objectif n’est pas de « paralyser » les initiatives, mais bien de développer l’intelligence de situation qui nous est chère. Une autre caractéristique de « l’univers RAPAS » est la diversité du personnel (de toutes armes et de toutes origines) dont la spécialisation est poussée à l’extrême. Au sein de mon groupe par exemple, les équipiers ont des qualifications individuelles très variées : moniteur de tir de combat sur différentes armes (HK 416, M4, SIG, ERYX, minimi, FRF2, HK417), spécialiste en explosifs (issu du génie combat), spécialiste en effraction douce et sabotage, garde du corps, transmetteur, auxiliaire sanitaire, chef de détachement haute montagne (issu de la BIM), spécialiste jungle (Manaus), marqueur de zone de saut et largueur avions et hélicos, ainsi que spécialiste photos. Chacun apporte ses connaissances et son expérience dans ses spécialités, le but étant de former une entité autonome, capable de remplir toutes les missions. Cette spécialisation accrue a un impact évident sur le style de commandement, car le chef de groupe doit être familiarisé avec l’ensemble des capacités de ses hommes, mais il ne peut raisonnablement être spécialiste dans chaque domaine. Ainsi lors de l’élaboration du mode d’action, chacun intervient activement afin d’étudier la solution la plus adaptée, chacun est concerné, chacun est consulté. Ce système peut sembler laxiste ou démagogique, mais il permet en réalité d’exploiter au mieux la richesse de chaque individu à travers sa diversité. Il repose sur l’implication de tous, il valorise chaque membre du groupe, il donne à chacun le sentiment d’exister à travers les autres, il favorise l’adhésion de tous au même objectif, même si, in fine, le chef doit toujours prendre la décision et assumer ses responsabilités. Ce style de commandement impose au jeune chef une réactivité, une humilité et une intelligence de situation qui sont cruciales pour l’exercice de son autorité, il permet à chaque membre du groupe de comprendre, non seulement la lettre de la mission mais aussi et surtout, l’esprit. L’environnement spécifique du groupe RAPAS étant brossé, intéressons-nous au travail au quotidien, à l’entraînement et à la formation. Au quartier, la première caractéristique donnant tout son attrait à la fonction de chef de groupe est l’autonomie dont il dispose dans la planification, comme dans la conduite de son entraînement. En effet, chaque groupe fonctionne sur le principe du « rendez-vous sur objectif », et comme pour les échelons inférieurs, le chef de groupe est ainsi responsabilisé au maximum. Hormis les départs en opération qui sont souvent inopinés, les exercices de niveau brigade et régiment ou les séquences d’entrainement à l’étranger (jungle par exemple) qui sont imposés, chaque chef de groupe se doit de créer son emploi du temps annuel après avoir intégré les directives et les contraintes du commandant d’unité. Pour entretenir toutes ces spécialités, il faut procéder par séquences d’entraînement successives : deux semaines à dominante combat motorisé, trois semaines de combat en milieu clos, une semaine « 3ème dimension » (sauts, aérocordage), deux semaines de combat en montagne, ...etc. Le tir est quasi quotidien, tout comme le sport pratiqué avec la plus grande diversité (sport de combat, escalade, VTT, run and bike, ….). L’exploitation des infrastructures de l’armée de Terre : camps (Souge, Caylus), Centre de Tir Adapté de Pau, Centre National d’Entrainement Commando ou chalets de montagne, est privilégiée, le plus souvent en totale autonomie et à l’échelle du groupe. Par ailleurs, une grande diversité de stages (internes au régiment ou nationaux) permet régulièrement à nos équipiers d’accroître leurs qualifications (pas moins de 70 actions de formation sont aujourd’hui répertoriées au régiment). Enfin nous sommes amenés à participer aux échanges bilatéraux organisés dans nos domaines de spécialités : Suède pour le combat en milieu froid ou le combat en zone urbaine, Suisse pour le tir de précision par exemple. Ces formations complémentaires sont essentielles pour développer la polyvalence et la richesse du groupe, elles évitent toute monotonie entre deux missions, elles obligent la remise en question, elles valorisent les parcours professionnels. Ainsi constitué, le groupe RAPAS est prêt, sur très court préavis, à être engagé sur tous les fronts. Pour conclure, la diversité des missions, la variété et la qualité des moyens, mais surtout le niveau technique, physique et intellectuel de mes hommes, font de ce métier de chef de groupe RAPAS, une tâche exigeante mais exaltante, que je n’échangerai pour rien au monde ! Cependant, le temps est compté, trois petites années seulement, avant de découvrir d’autres horizons en séjour outre-mer ou en école de formation en espérant, peut-être, revenir un jour, pour, comme les autres lieutenants ou jeunes capitaines d’autres formations, commander enfin plusieurs groupes ! En attendant, mon groupe est prêt, prévenu à 19h15, le C130 du COS doit se poser à 23h00 et je l’attends sur l’aéroport. J’ai perçu mes armes et munitions avec 3 jours d’autonomie, je ne connais pas la destination, ni la mission….
  4. Toutes les explications sont en effet possibles. Neanmoins, ce qui est paru dans un quotidien etranger de reference au tirage important et qui est toujours en ligne sur le blog de JH et sur le site du Soir est la phrase "Mais on se rend compte aujourd'hui que les Français envoyés sur place étaient mal formés". Donc, malgre toutes les explications, et au final, l'idee qui restera au sein du lectorat de ces media est que les soldats francais ont ete formes a la va-vite et qu'ils n'avaient aucune chance, ou, s'il l'on fait des raccourcis, des raccourcis qui seront forcement faits par tous les "amis" des forces armees francaises si prompt a degainer 1940 et Dien Bien Phu, que la TF Chimere etait du niveau habituel des militaires francais, c'est a dire franchement pas tres bon. Super. Merci.
  5. Je suppose qu'il est en effet difficile de maitriser la facon dont un journaliste rendra par ecrit une interview. Neanmoins, et conscient du fait qu'elle a peu etre ete modifiee par le redacteur de l'article, je trouve cette phrase tres regrettable et surtout blessante pour les dix tues d'Uzbin qui ne sont plus la pour dementir, d'autant plus que la partie "formation" de la TF Chimere n'a a ma connaissance pas ete veritablement remise en question, ou alors beaucoup moins que les chapitres materiels, renseignement etc.
  6. Lu sur le blog de J.Henrotin (interview donnee par J.Henrotin au quotidien belge Le Soir) http://athena-et-moi.blogspot.com/ "Dans le cas de l'embuscade d'Uzbin, par exemple, les Français ont perdu dix hommes. Mais on se rend compte aujourd'hui que les Français envoyés sur place étaient mal formés." M. Henrotin, pouvez-vous developper votre argumentaire ? En quoi les paras du 8 RPIMa, le legionnaire du REP et le Marsouin du RMT etaient-ils "mals entraines" ? Ne pensez-vous pas qu'il est malheureux de tenir de tels propos, en particulier dans les colonnes d'un journal etranger ?
  7. Service de semaine

    VBCI

    A chaque mise em place de nouveaux vehicules/engins il y a des accidents...lorsque la P4 est entree en service, c'etait le retour du volant apres braquage qui surprenait les habitues de la Jeep et il y a eu pas mal de cartons a cause de cela. Esperont que le passage au VBCI ne fasse pas de victimes....
  8. Service de semaine

    Panhard

    Lu dans TTU 720: 50 Sagaie en moins "L’armée de terre va retirer du service cinquante engins Sagaie pour des raisons de coût. Ces Sagaie pourraient intéresser les Irakiens et surtout certains clients en Afrique subsaharienne." Ou ces ERC-90 seront-ils pris ?
  9. C'est pourtant une obligation legale de preserver l'anonymat des membres des unites du COS. Les militaires et les civils des services secrets du ministère de la Défense, les gendarmes du Groupement de sécurité et d’intervention de la gendarmerie nationale (GSIGN) et les membres des forces spéciales sont tenues à l’anonymat, par un arrêté du ministère. Cet arrêté, publié récemment au Journal officiel (JO), fait référence à l’article 39 sexies de la loi du 29 juillet 1881 modifiée sur la liberté de la presse. Cet article dispose que "le fait de révéler, par quelque moyen d’expression que ce soit, l’identité des fonctionnaires de la police nationale, de militaires ou de personnels civils du ministère de la Défense ou d’agents des douanes appartenant à des services ou unités désignés par arrêté du ministre intéressé et dont les missions exigent, pour des raisons de sécurité, le respect de l’anonymat, est puni d’une amende de 15.000 euros". http://www.spyworld-actu.com/spip.php?article3099
  10. Merci pour la reponse...Pour les chiffres, en gros et de tete, je crois que le gars de HK France m'avait dit a peu pres 3500 MP-5, 22000 UMP et peut-etre 1200 HK 21.
  11. Il y a quelques annees, le representant de HK France a Milipol m'avait dit que la gendarmerie allait acheter des FM HK21 pour remplacer ses AA52. Cela s'est-il fait ou bien c'etait de l'intox ? Il m'avait aussi parle de PM HK UMP et ca je crois que c'est en cours, non ?
  12. Service de semaine

    VBCI

    A l'epoque de mon service, les 10P etaient sur le meme train que la troupe; les engins etaient sur des wagons K50 et la troupe dans de vieilles voitures SNCF, generalement les plus pourries de toutes...generalement pas d'eau dans les WC/lavabos, pas de chauffage en hiver, parfois carrement pas nettoyees du tout, passant toujours en dernier, attendant des heures sur des embranchements, faisant 400 km en 12H00...on sentait une tres nette hostilite de la part des cheminots. L'embarquement des engins etait toujours un grand moment, surtout le premier...apres, l'habitude venait. Mais le plus impressionant a l'embarquement, c'est sans conteste l'AUF-1...il faut le voir au moins une fois se mettre en bascule sur les wagons surbaisses avec 5-10 cm a peine d'espace de part et d'autre de chaque chenille...du grand art ! Pour la securite, peau de balle...pas de gendarmes, ils ont autre chose a faire...on devait tout rentrer dans les engins (lots de bord, de parc, extincteurs...) et mettre des gros cadenas sinon c'etait vole...je crois meme que des engins laisses en gare durant tout un week end sans aucune surveillance avaient ete tagues !
  13. Quelqu'un a lu ou feuillete ce livre ? je n'avais pas ete impressionne par son bouquin precedent sur les FS chez Autrement.... Les guerriers de la République - Forces spéciales et services secrets français 1970-2009 Les Guerriers de la République Ils sont les yeux et le bras armé de l'Etat français. Ils agissent dans l'ombre, avec dévouement, discipline et humilité. Préparés aux situations les plus extrèmes, ils peuvent intervenir à tout moment, n'importe où dans le monde. Les forces spéciales et les services secrets sont de véritables guerriers modernes, au service de la République. De l'Afrique postcoloniale, où la France concentre de nombreux intérêts, à l'Afghanistan, en passant par les Balkans et le Moyen-Orient, les conflits se multiplient. En parallèle, la liste des nouvelles menaces (terrorisme, guérillas, piraterie, prolifération, attaques nucléaires et chimiques...) ne cessent de s'allonger. La France doit plus que jamais adapter ses moyens technologiques et humains pour maintenir son influence militaire, économique et stratégique. Renseignement, infiltrations, exfiltrations, libération d'otages, c'est sur ordre des politiques que ces hommes sont dépéchés sur le terrain. Cet ouvrage revient sur quarante ans de politique étrangère française, ses personnages clés, ses affaires retentisssantes (Rainbow Warrior, génocide rwandais, pirates du Ponant, etc.) et fait la lumière sur des zones grises de notre histoire. Pascal Le Pautremat nous plonge au coeur du secret-défense et révèle les dessous des interventions de la République, que la diplomatie tait et que les médias ignorent. Plus qu'un ouvrage d'histoire, ce livre est aussi un vibrant hommage à une communauté d'hommes d'exception. Le sommaire: http://choiseul-editions.com/imgLivres/13_docPdf.pdf Pascal Le Pautremat est docteur en histoire, spécialiste des crises et conflits contemporains. Chargé de cours dans l'enseignement supérieur et consultant pour les médias, il a également été chargé de mission au Centre d'études d'histoire de la Défense (CEDH) et directeur de séminaires de Géopolitique au Collège Interarmées de Défense et à Saint Cyr-Coëtquidan. Il est par ailleurs membre du comité de rédaction de Défense (IHEDN) et collabore régulièrement au magazine Raids. http://choiseul-editions.com/livres-politique-internationale-Les-Guerriers-de-la-Republique-13.html
  14. Dans un autre genre, il y a le dernier Spirou, "Le Groom vert de gris"; cela se passe a Bruxelles durant la 2eme GM et on sent, au dela de l'humour, de la recherche...
  15. Merci pour la reponse sur le Hellfire thermobarique (pardon, "enhanced blast"...) ;)
  16. Les Hellfire thermobariques commandes par l'ALAT seront livres et qualifies pour quand normalement ?
  17. Ca peut etre des C-7 mais ils recoivent aussi des M-16A2 alors vu d'ici, franchement.....ce qui est certains c'est que les commandos de l'ANA sont mieux equipes que nos biffins en France (M-240, M-249, M-4A1/M-203, M-24SWS...)
  18. Encore un effort et l'ANA sera mieux equipee en matos individuel et ALI qu'une unite FR en metropole....quelle pitie !
  19. Bien vu, j'avais pas remarque l'ancien de la Luft qui doit etre responsable de la popotte...je suis sur qu'il a du faire toute sa carriere entre le Honest Jones et le HAWK et qu'il a connu sa premiere OPEX comme gerant de foyer au Kosovo en 2008.... :lol:
  20. Il y a egalement la serie "Grand duc" sur un pilote de He 219 durant la 2 GM. Les dessins sont tout simplement geniaux de precision. Exemples ici: http://www.bdgest.com/preview-435-BD-le-grand-duc-les-sorcieres-de-la-nuit.html
  21. Il y a les Dimitri (egalement connu sous le pseudo de Guy Sajer...) sur les allemands durant la 2eme GM a ne pas rater; "Raspoutiza", "Kaleunt", "Koursk"...en tant qu'ancien tireur MG-42 a la division Grossdeutschland, l'auteur est particulierement bien place pour evoquer ces sujets la...ce ne sont pas des moments de detente mais c'est tres bien fait et tres precis.
  22. Toujours aussi impayables les EM...la photo de l'exercice en brelage ou gilet de combat...et l'ANP, ou-est-il l'ANP ? On se croirait a l'exercice Champagne 79 avec parka 64, casquette de graisseur a bouts carres et brelage pur porc...
  23. Service de semaine

    Ici on cause fusil

    Une info sur les britanniques. Faisant suite a une demande des unites, les Brits ont equipe en six mois (UOR) leurs troupes au combat dans la RC-S de fusils semi-auto de calibre .12. Le choix s'est porte sur le Benelli M4 avec poignee avant pliable et visee EOsight. Les fusils ont ete livres et sont actuellement utilises en Helmand.
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