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La France et ses programmes UAV/UCAV


Philippe Top-Force

Messages recommandés

Un gars de chez BAE m'a dit la semaine derniere qu'une grosse annonce BAE/Dassault est prévue pour Farnborough sans me donner plus de détails.

Normalement ils annonceront la signature des contrats de réduction de risques sur Telemos (50 MEUR au total environ) et sur le futur programme FCAS/UCAV (10 MEUR max, peut-être même moins).

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http://www.lesechos.fr/journal20120704/lec2_industrie/0202153761712-drones-le-drian-relance-la-piste-americaine-340614.php

Ecartée par l'ancien ministre de la Défense, Gérard Longuet, pour cause de priorité donnée à l'industrie nationale, la piste d'un achat de drones américains « Reaper » auprès de General Atomics refait surface. Ainsi en a décidé Jean-Yves Le Drian, son successeur à l'hôtel de Brienne qui, selon nos informations, a demandé que cette solution soit réexaminée en profondeur, au même titre que les deux autres en lice : la modernisation des « Harfang » d'EADS en service dans l'armée de l'air, ou l'adaptaion au besoin français par Dassault du « Heron TP » de l'israélien IAI. L'été dernier, Gérard Longuet avait tranché pour le tandem Dassault-IAI, mais les négociations avec la DGA se sont heurtées depuis à de nombreuses difficultés. A son arrivée, Jean-Yves Le Drian a décidé de remettre le dossier à plat (ce n'est jamais que la troisième fois...), et promis des « orientations » d'ici au 14 juillet. L'obligation de faire des économies pourrait renvoyer le dossier aux calendes grecques.

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Si l'on devait opter pour du Reaper Francisé , voilà une version utile à considérer :

General Atomics has designed a navalized version of the Reaper, named the "Mariner", for carrier operations and has flown a demonstrator. The production Mariner would be turboprop-powered, with folding wings for carrier storage; shorter and more rugged landing gear; an arresting hook; cut-down or eliminated ventral flight surfaces; and six stores pylons with a total load of 1,360 kilograms (3,000 pounds).

http://www.vectorsite.net/twuav_07.html#m4
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Si l'on devait opter pour du Reaper Francisé , voilà une version utile à considérer :http://www.vectorsite.net/twuav_07.html#m4

Qu'est-ce que j'ai pu taquiner Jean-Charles pendant des années avec le Reaper Francisé. :lol: http://www.dsi-presse.com/?p=4527#more-4527

Drones MALE : sont-ils budgétairement pertinents ?

Ces vingt dernières années, une série d’argumentaires visant à légitimer l’emploi des drones, en particulier de drones MALE, ont émergé, impliquant de véritables récits, principalement aux États-Unis, pour n’être que peu remis en question. Pêle-mêle, les drones seraient moins coûteux à l’achat et à l’emploi que des plateformes pilotées et, de la sorte, leur éventuelle perte en opération, que ce soit du fait de l’adversaire ou d’autres causes, ne poserait pas de problème. Reste que ces affirmations attendaient encore d’être intégralement vérifiées : lorsque ces argumentaires ont émergé, l’emploi de drones armés était encore balbutiant (le premier tir de Hellfire depuis un MQ-1 est intervenu en 2002). C’est l’exercice auquel vient de se livrer le Center for Defense Information (CDI), un think tank américain travaillant fréquemment sur les questions aéronautiques, qui permet d’affiner la vision que l’on a de l’emploi des drones MALE, en particulier de leurs coûts.

Le coût unitaire d’un MQ-9 est fréquemment cité comme de l’ordre des 4 à 5 millions de dollars par plateforme, mais le CDI replace cette somme dans son contexte : outre l’inflation, il faut également prendre en compte le fait qu’un système MQ-9 compte quatre drones et une station de contrôle, les coûts de R&D, les coûts des capteurs. A la clé, un coût de 120,8 millions par système (dollars 2012), sur base de l’achat de 399 drones par l’Air Force – soit un montant de 30,2 millions/drone. Il faut également prendre en compte la réduction probable des commandes qui seront effectuées, impliquant un accroissement du coût unitaire. Comparativement, un F-16C est évalué à 55 millions de dollars et un A-10C à environ 30 millions de dollars. Ces coûts sont également à recadrer au regard de la survivabilité des appareils, très faible face à des environnements menaçants. Les MQ-9 ne disposent pas de systèmes d’autodéfense et ne sont pas véritablement en mesure de conduire des manœuvres évasives. Leur facteur de charge maximal serait ainsi de 2G, tandis que des manœuvres sous de fortes incidences pourraient leur faire perdre le contact avec leur satellite, avec à la clé une perte quasi certaine.

Dans le même temps, le CDI met en évidence la question des coûts à l’heure de vol. D’un point de vue factuel, il est 3 624 dollar/heure de vol pour le Reaper, contre 17 780 dollars pour un A-10C et 20 809 dollars pour un F-16C. Toutefois, les chiffres masquent aussi des profils d’utilisation très différents dès lors qu’un système de quatre appareils doit pouvoir effectuer une orbite permanente. La question des coûts d’entretien est également abordée et est annuellement estimée à 5,1 millions par MQ-9, soit 20,4 millions par système et par an. Comparativement, le coût annuel d’entretien d’un A-10C est de 5,5 millions et celui d’un F-16C de 4,8 millions. D’autres aspects sont également à prendre en ligne de compte, comme la nécessité de la mise en place d’une infrastructure spécifique, en plus des bases aériennes ou encore la nécessité de disposer d’un important volume de bande passante, en particulier de coûteuses liaisons par satellites. Reste, également, la question des coûts humains : une orbite de Predator durant 24 heures nécessite la mobilisation de 144 personnes, contre 171 pour un Reaper, dont 66 pour l’analyse et la dissémination des informations recueillies.

Qu’en penser ? Les analyses du CDI se positionnent clairement dans une optique très militante, visant à déconstruire la pertinence et la légitimité des choix de l’US Air Force en regard de drones MALE. Il n’en demeure pas moins que la comparaison entre appareils pilotés et MQ-9 n’est pas toujours des plus heureuses : les profils de mission sont radicalement différents, le MALE étant affecté à des missions ISR, voire de frappe d’objectifs ponctuels. Le volume de personnel travaillant sur les questions de renseignement est ainsi considérable et n’a évidemment pas lieu d’être pour un A-10 ou un F-16. De même, les profils de vol sont différents : les MALE intègrent des hippodromes positionnés en fonction des besoins là où les options de manœuvre des appareils pilotés in situ sont plus importantes. Par contre, l’analyse du CDI a le mérite de mettre en évidence des coûts jusque là peu mis en évidence : les 50 millions de dollars la plateforme montrent le prix que l’on est prêt à sacrifier pour les missions ISR et, plus généralement, pour la protection des forces terrestres en opération – le suivi des forces amies au sol étant l’une des grandes catégories de fonction des drones MALE.

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bonne nouvelle "La France fait l'acquisition de son premier drone naval"

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=120121

...

Initialement, la DGA ne devait pas acquérir le Camcopter déployé sur L'Adroit, un patrouilleur d'expérimentation construit sur fonds propres par DCNS et mis à disposition de la marine durant trois ans, avec des moyens prêtés par différents équipementiers. La solution de l'achat s'est, néanmoins, révélée plus pertinente pour des questions règlementaires et de coûts. Propriété de la DGA, le drone sera mis à disposition de la Marine nationale durant trois ans dans le cadre d'un programme d'expérimentation.

...

Très utile pour l'identification de cibles et le recueil de renseignements, le Camcopter S-100 a réalisé, ces deux derniers mois, 35 heures de vol à partir de L'Adroit et, d'ici 3 ans, les marins devraient le faire voler un millier d'heures. Côté allonge, le drone a pour le moment été mis en oeuvre à 25 nautiques du PHE, l'objectif étant d'augmenter progressivement cette portée à 60 nautiques.

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Il y a l'air de l'agitation dans le coin ... alors que rien ne se passe  :P

Faisons la liste :

- Il y a déjà l'évidence d'un gros doublon entre les topics "Drone aérien" et "La France et ses programmes UAV/UCAV". Mais ce n'est pas étonnant.

- Une remise à plat a été annoncée, normal que les cartes soient rebattues.

- Le ministre a annoncé une décision avant le 14 juillet. Voyons si cette date est tenue. Elle me paraissait ambitieuse cette échéance, elle semble vraiment l'être ; le non respect de cette date peut entamer quelque peu la crédibilité du ministre.

- Une conférence de presse, avec des roulements de tambour et olifants l'annonçant depuis une semaine, a été annulée.

- Des "responsables anonymes" ( :lol: ) d'EADS parleraient déjà d'un drone européen avec leur solution.

Conclusion : il est urgent d'attendre ...

Il semble laisser entendre que le projet du grand drone "Talarion" reviendra bientôt sur le tapis (?)

Ah bon ...  :rolleyes:

Sinon cette "solution européenne globale" pourrait éventuellement être basée sur le démonstrateur NEURON piloté par Dassault, ...

:P Ah non ...

Je comprends pas comment on pourrait en venir à cette conclusion de baser le développement d'un drone d'observation/bombardement Franco-anglo-allemand sur la base d'un démonstrateur franco-hispano-suèdois d'un drone de combat ...  :rolleyes:

La situation qui semble se dessiner serait la suivante :

- Prolongation Harfang + upgrade opérationnel de la chaîne d'imagerie et de fonctions sioux => capacité reco/rens

- Complément opérationnel pour le tir avec quelques Prédator (portée de la francisation et qui : à définir) => capacité armement

- Objectif 2020 : Drone européen (coeur FR-UK-GE) avec pleines capacités opérationnelles

Après, qui (EADS-DA-Thalès) fait quoi quand, c'est au ministre de décider ...

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Il manque des industriels là, non

Je n'ai pas suffisamment détaillé pour rester simple mais je fais référence à des maîtres d’œuvre français.

Pour un drone européen, il faudra de toute façon une coopération et un partage industriel entre industriels européens (inclus Turquie ... ).

Pour ce qui est de la partie française, il y aura d'autres industriels impliqués mais pour de la maîtrise d’œuvre, on n'ira pas choisir autre chose que DA, EADS ou Thalès.

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La question sera de savoir si il y a assez de gras pour tous le monde sans tomber dans l'habituel travers des usines à gaz que sont ces programmes Européens, une participations financière des industriels devraient etre de mise pour les responsabiliser et les cantonner dans leur domaine d'excellence.

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La situation qui semble se dessiner serait la suivante :

- Prolongation Harfang + upgrade opérationnel de la chaîne d'imagerie et de fonctions sioux => capacité reco/rens

Quand je pense que EADS avait fait une proposition sur le Harfang

Rétrofit et nouvelle machines pour 10m€ l'unité

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Quand je pense que EADS avait fait une proposition sur le Harfang

Rétrofit et nouvelle machines pour 10m€ l'unité

Un gros reproche du harfang était sa faible vitesse :

Quid de la version au DIESEL, plus puissante donc plus rapide et avec une plus grande charge utile testée pourtant en 2004 :

Israel Aircraft Industries (IAI) is to conduct later this month the first test flight of a Heron unmanned air vehicle powered by a diesel engine. Ground trials of the 180hp (135kW) powerplant have already been completed by the company's Malat division, which will next conduct a series of flight tests at varying altitudes to evaluate its suitability for sustained operations.

The Heron's current 100hp Rotax gasoline engine is capable of delivering a mission endurance of around 51h, but the company says the adapted commercial diesel design will provide several benefits for operators, including improved fuel efficiency and increased operating altitude. Diesel UAVs will also be able to use the same fuel as ground vehicles and be safer to refuel, it says.

http://www.flightglobal.com/news/articles/iai-to-test-heavy-fuel-heron-uav-190139/

Avec des Thales LMM ce ferait un SDIM 2 acceptable ...

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"Faire un effort sur les drones"(Le Drian)

La France doit faire un effort pour développer la technologie des drones, des avions militaires sans pilote de plus en plus utilisés dans les conflits modernes, a déclaré aujourd'hui le ministre de la Défense.

"La question des drones est une vraie question parce qu'elle impacte technologiquement notre pays", a dit Jean-Yves Le Drian sur Europe 1. "Est-on capable d'en faire, et de qualité ? Ma réponse est oui, il faut s'y mettre. On a un gros retard sur ce type de capacité et elle est extrêmement utile dans le type de conflit que l'on voit apparaître aujourd'hui. Oui, nous ferons un effort", a-t-il ajouté.

La fabrication des drones est particulièrement adaptée à une coopération européenne, un axe de plus en plus suivi par la France en matière de défense en ces temps de contraintes budgétaires.

Jean-Yves Le Drian se rendra à Londres le 24 juillet afin d'évoquer précisément avec les autorités britanniques la coopération sur les drones.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/07/13/97001-20120713FILWWW00292-faire-un-effort-sur-les-dronesle-drian.php
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C'est peu le dire... et si seulement il n'y avait que sa vitesse...

Image IPB

Sans parler de son cout etc...

Justement les motorisations diesel entraînent un allongement de l'endurance de plusieurs heures et une augmentation de la vitesse sur les différents drones où elles ont été testées .

As a result, heavy-fuel engines are in high demand for UAVs. Every new programme of record running on fossil fuels is required to accept heavy fuel. The signature American UAV, the General Atomics Predator, runs on gasoline, while its newer iterations, the MQ-9 Reaper and the Army's MQ-1C Gray Eagle both run on heavy fuel.

As the number of UAVs has mushroomed, so too has the need for engines. Before the invasions of Afghanistan and Iraq, heavy-fuel engines for smaller aircraft were very uncommon. Now, there are dozens of competitors.

Respected engine manufacturers such as Cosworth, Orbital, Ricardo and Gobler-Hirth are building families of small heavy fuel engines - and aggressively marketing to UAV manufacturers.

http://www.flightglobal.com/news/articles/auvsi-heavy-fuel-engines-360355/

The Warrior is a variant of the MQ-1 Predator, the main difference being a larger wing and a new engine. The UAV is powered by a Thielert "Centurion" Heavy Fuel Engine (HFE) for higher performance, better fuel-efficiency and longer lifetime.

http://www.designation-systems.net/dusrm/app2/q-1.html

A Heron with a 'recently integrated' 134 kW (180 hp) heavy-fuel (Diesel) engine, reportedly modified from a Volkswagen motorcar engine, was displayed at the Paris Air Show in June 2005. Flight trials with this power plant were said to be due to begin near the end of that year, and were presumably seen as a potential retrofit for the original Mk I version

http://articles.janes.com/articles/Janes-Unmanned-Aerial-Vehicles-and-Targets/IAI-Heron-1-Israel.html

En plus , yaka en parler à Montebourg : il y fera intégrer un diesel de chez PSA ...

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Petite question en voyant les différences de forme entre le Harfang et le Reaper, existe-il des drones qui ont une configuration aérodynamique plus proche du U2 ou d'un planeur (lent mais autonomie de fou) (exception faite du drone "ballon" de Boeing)

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Petite question en voyant les différences de forme entre le Harfang et le Reaper, existe-il des drones qui ont une configuration aérodynamique plus proche du U2 ou d'un planeur (lent mais autonomie de fou) (exception faite du drone "ballon" de Boeing)

Peut etre le Patroller de Sagem ?
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- Le ministre a annoncé une décision avant le 14 juillet. Voyons si cette date est tenue. Elle me paraissait ambitieuse cette échéance, elle semble vraiment l'être ; le non respect de cette date peut entamer quelque peu la crédibilité du ministre.

Engagement non respecté.  :-[
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Un bel exemple de communication à tout va, toute différente mais afférente aux drones futurs français, évidemment elles ne sont que des écrans de fumées. :lol:

Drone de future génération : accord franco-britannique attendu le 24 juillet Selon Les Echos, la France et le Royaume-Uni pourraient signer le 24 juillet des contrats d'étude pour des drones de future génération, à l'occasion de la rencontre à Londres entre Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, et son homologue britannique, Peter Luff. Parmi les quatre contrats qui pourraient être signés, figure le drone de surveillance qui doit être confié à BAE et Dassault. Les trois autres contrats, qui doivent préparer l'après-Rafale et Eurofighter, concernent BAE et Dassault pour la plate-forme, Thales et Selex pour les équipements électroniques et Rolls-Royce et Safran pour la motorisation.

16 juillet 12 - Les Echos

Finmeccanica prône des alliances en Europe pour développer les systèmes de défense futurs Afin d'améliorer sa compétitivité, Finmeccanica est favorable à des partenariats avec ses rivaux européens. Selon Giuseppe Orsi, PDG, l'Europe ne peut pas supporter plus longtemps des projets de développements rivaux d'avions de combat, de drones et de systèmes spatiaux. "Nous devons avoir une seule unité développant le prochain avion militaire européen. Si nous continuons comme cela, il n'y a pas d'avenir".

18 juillet 12 - The Wall Street Journal

Drone : la France sur le point d'acheter des appareils américains Selon latribune.fr, Jean-Yves Le Drian semble s'acheminer vers un achat de drones américains. Il a expliqué aux députés de la Défense qu'"il n'y a pas actuellement d'offre nationale ou européenne disponible sur le marché en matière de drones. Il faut faire des choix et préparer des alternatives, avec des perspectives européennes". Le ministre devrait annoncer sa décision avant la fin du mois de juillet.

16 juillet 12 - latribune.fr

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