alpacks Posté(e) le 3 janvier 2013 Share Posté(e) le 3 janvier 2013 Les mesures de radiations sont il me semble des estimations de 1995. Aujourd'hui on a des données réelles. surtout quand ça varie du tout au tout entre orbite basse et cumul annuel, ou passage ceinture van allen ou le cumul a certains endroits de la ceinture selon son épaisseur, de ou on l'a traversé ect on peut pas écarter des cumul frolant la mort et nécessitant une hospitalisation immédiate : on sait que les mission apollo on eu pas mal de chance en la traversant au hasard manifestement dans une zone pas trop "méchante" Mais pour connaitre correctement cette ceinture, il faut connaitre avec précision la magnétosphère et sa géométrie, les densités de protons et d'électrons accélérés selon zone ... Enfin cela ça concerne surtout la sortie du système terre lune qui contraint a la traverser et donc passer une zone ou on sait qu'on ramasse un minimum ! Une fois sorti de ça ... Il y a la moyenne de rayonnement cosmique qui normalement est un cumul acceptable et qui ne varie pas (héliosphère agissant a l'échelle du système solaire au de la de la ceinture de Kuiper) Il y a les tempêtes de vent solaire majeure aussi ... On peu connaitre les conditions, mais si on peu pas prévoir combien il va falloir en essuyer pendant un séjour ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 3 janvier 2013 Auteur Share Posté(e) le 3 janvier 2013 ESPACE - Une étape potentiellement importante pour la poursuite de la conquête spatiale...Si tu ne peux pas aller jusqu'à un astéroïde, amène l'astéroïde jusqu'à toi. Selon The New Scientist, la Nasa songe sérieusement à envoyer une sonde harponner un gros caillou et à le remorquer pour le placer en orbite lunaire dans les années 2020.La mission, pilotée par le Keck Institute for Space Studies de l'Agence américaine, coûterait environ 2 milliards d'euros (à peine plus que Curiosity) et se déroulerait en cinq temps:- lancer une sonde via une fusée Atlas V- voyager pendant plusieurs mois jusqu'à un astéroïde d'environ 7 mètres de diamètre- le capturer dans un sac géant de 10-15 mètres- le remorquer doucement pendant plusieurs années- le placer en orbite lunaire, au point de Lagrange Terre-Lune L2 (où les forces gravitationnelles des deux corps s'annulent, permettant à l'astéroïde de rester à la même position relative par rapport à la Terre et à la Lune)Pourquoi la Nasa veut-elle offrir un compagnon à la Lune? Certains astéroïdes sont riches en métaux précieux et en eau; les miner permettrait de récolter des matériaux vitaux pour la conquête spatiale, et le faire au voisinage de la Terre est plus économe et moins compliqué que sur place. A très long terme, certains gros cailloux seraient également la cible idéale pour établir des colonies humaines.Que ceux qui imaginent déjà une fausse manip de la Nasa et un Armageddon géant se rassurent: même dans le pire des cas, l'astéroïde considéré est d'une taille comparable à celle du satellite UARS, récemment retombé sur Terre. La probabilité qu'un tel corps s'écrase sur un zone habitée est extrêmement faible (1 sur 3.200). http://fr.news.yahoo.com/nasa-veut-placer-ast%C3%A9ro%C3%AFde-orbite-autour-lune-191458630.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 3 janvier 2013 Share Posté(e) le 3 janvier 2013 ESPACE - Une étape potentiellement importante pour la poursuite de la conquête spatiale... Si tu ne peux pas aller jusqu'à un astéroïde, amène l'astéroïde jusqu'à toi. Selon The New Scientist, la Nasa songe sérieusement à envoyer une sonde harponner un gros caillou et à le remorquer pour le placer en orbite lunaire dans les années 2020. La mission, pilotée par le Keck Institute for Space Studies de l'Agence américaine, coûterait environ 2 milliards d'euros (à peine plus que Curiosity) et se déroulerait en cinq temps: - lancer une sonde via une fusée Atlas V - voyager pendant plusieurs mois jusqu'à un astéroïde d'environ 7 mètres de diamètre - le capturer dans un sac géant de 10-15 mètres - le remorquer doucement pendant plusieurs années - le placer en orbite lunaire, au point de Lagrange Terre-Lune L2 (où les forces gravitationnelles des deux corps s'annulent, permettant à l'astéroïde de rester à la même position relative par rapport à la Terre et à la Lune) Pourquoi la Nasa veut-elle offrir un compagnon à la Lune? Certains astéroïdes sont riches en métaux précieux et en eau; les miner permettrait de récolter des matériaux vitaux pour la conquête spatiale, et le faire au voisinage de la Terre est plus économe et moins compliqué que sur place. A très long terme, certains gros cailloux seraient également la cible idéale pour établir des colonies humaines. Que ceux qui imaginent déjà une fausse manip de la Nasa et un Armageddon géant se rassurent: même dans le pire des cas, l'astéroïde considéré est d'une taille comparable à celle du satellite UARS, récemment retombé sur Terre. La probabilité qu'un tel corps s'écrase sur un zone habitée est extrêmement faible (1 sur 3.200). http://fr.news.yahoo.com/nasa-veut-placer-ast%C3%A9ro%C3%AFde-orbite-autour-lune-191458630.html 2 milliards pour faire juste ça, j'en connais qui risque de faire la gueule quand même ... Même si ça pourrait être utile en terme de savoir faire a d'autres échelles pour + tard : si on est sur de notre coup ... Pourquoi pas attendre des époques ou le spatial coutera moins cher pour y faire a loisir ? Ceci dit, ça pourrait être aussi un premier exemple de méthodologie appliquée a exploiter des matériaux, mais je suis pas sur que ce soit encore le bon moment pour le faire au vu des couts ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dino Posté(e) le 4 janvier 2013 Share Posté(e) le 4 janvier 2013 Pour que cela coûte à terme moins cher, il faut pratiquer pour améliorer les technologies. Si on ne fait rien, il n'y aura pas de magie, les prix ne baisseront pas. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jérôme Posté(e) le 17 janvier 2013 Share Posté(e) le 17 janvier 2013 L’Europe va construire le moteur de la capsule américaine Orionhttp://www.cieletespace.fr/node/10005 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 16 février 2013 Auteur Share Posté(e) le 16 février 2013 En 1972, Charles Duke faisait partie de la mission Apollo 16 qui s'est posée sur la Lune. Dixième homme à avoir marché sur le sol lunaire, Charles Duke a laissé un souvenir de son passage : la photo de sa famille. Restée secrète depuis plus de 40 ans, cette image a été révélée par la NASA.http://www.gentside.com/insolite/decouvrez-l-039-histoire-etonnante-d-039-une-photo-de-famille-presente-sur-la-lune-depuis-1972_art48399.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
yoannc Posté(e) le 16 février 2013 Share Posté(e) le 16 février 2013 Il n'y a rien de secret la dedans, l'histoire la photo est connu depuis des lustres. (des années je veut dire, la photo -de la photo- aussi dailleur...)Sinon, il ya aussi je ne sait plus quel marcheur lunaire qui a ecrit le nom de sa fille avec son doigt dans le sol lunaire (la aussi il y en a une photo...) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 18 février 2013 Auteur Share Posté(e) le 18 février 2013 Sunjammer est une immense voile solaire, elle sera lancée en 2014.Avec ses 38 mètres pour chaque côté et ses matériaux de seulement 5 microns d’épaisseur, Sunjammer, conçue par la NASA, est actuellement la voile solaire la plus grande qui existe. En projet depuis maintenant plusieurs années, cette voile pourrait bien permettre aux vaisseaux en tout genre de se passer de carburant une fois dans l’Espace.Utilisant la radiation solaire comme l’on utiliserait le vent sur Terre, la voile ne doit composer qu’avec une poussée maximale de 0,01 Newton, suffisant toutefois pour permettre n’importe quel déplacement.Pour la petite histoire, le nom Sunjammer vient de la nouvelle éponyme d’Arthur C. Clarke où il est question de courses de bateaux spatiaux. Sunjammer embarquera aussi les cendres du défunt couple Roddenberry, Gene, créateur de Star Trek, et sa femme Majel Barrett.http://www.gizmodo.fr/2013/02/18/sunjammer-voile-solaire-deploiement-2014.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Castor Posté(e) le 19 février 2013 Share Posté(e) le 19 février 2013 Il n'y a rien de secret la dedans, l'histoire la photo est connu depuis des lustres. (des années je veut dire, la photo -de la photo- aussi dailleur...) Sinon, il ya aussi je ne sait plus quel marcheur lunaire qui a ecrit le nom de sa fille avec son doigt dans le sol lunaire (la aussi il y en a une photo...) C'est Eugene Cernam, le dernier de la bande =). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 21 février 2013 Share Posté(e) le 21 février 2013 Sunjammer est une immense voile solaire, elle sera lancée en 2014. Avec ses 38 mètres pour chaque côté et ses matériaux de seulement 5 microns d’épaisseur, Sunjammer, conçue par la NASA, est actuellement la voile solaire la plus grande qui existe. En projet depuis maintenant plusieurs années, cette voile pourrait bien permettre aux vaisseaux en tout genre de se passer de carburant une fois dans l’Espace. Utilisant la radiation solaire comme l’on utiliserait le vent sur Terre, la voile ne doit composer qu’avec une poussée maximale de 0,01 Newton, suffisant toutefois pour permettre n’importe quel déplacement. Pour la petite histoire, le nom Sunjammer vient de la nouvelle éponyme d’Arthur C. Clarke où il est question de courses de bateaux spatiaux. Sunjammer embarquera aussi les cendres du défunt couple Roddenberry, Gene, créateur de Star Trek, et sa femme Majel Barrett. http://www.gizmodo.fr/2013/02/18/sunjammer-voile-solaire-deploiement-2014.html En espérant juste qu'on ne dépense pas trop de "moyens" sur ce type de projets ... Les voiles solaires ont un intérêt quand même assez limité du fait de leur fonctionnement uniquement voué a s'éloigner de la Terre ... Ceci dit, pour les futurs projets de sondes d'explo du système solaire c'est potentiellement des gains en vitesse & quantité carburant a emmener mais hélas ça s'arrête la ... Et encore : quand on voit la lutte objective qu'il y a dans un projet de sonde pour trancher au niveau de la charge utile ce qui sera oui ou non emmener ... Le problème étant que quoi qu'il arrive une sonde a besoin de carburant pour la plupart des projets pour soit se satelliser autour d'un objectif, soit disposer d'un potentiel de changement majeur de direction après avoir visité un objet pour aller en voir un autre qui demande une poussée ... Et c'est la que les problèmes de choix commencent : certe une voile solaire aurait l'avantage de ne pas peser bien lourd face a une cuve d'une tonne de carburant, mais elles demandent quand même un volume certain a prévoir, au final si même avec une voile solaire pour la plupart des projets "lointains" de sondes dans un futur a 2 ou 3 décennies on ne peut pas se passer de carburant pour les grandes manoeuvres prévues dans la mission : le choix alors sera vite tranché : préférence pour une cuve de carburant maximisé plutot que la voile solaire pourtant légère mais qui sera potentiellement source de pannes & problèmes divers (mécanisme de bras de déploiement léger a prévoir ...) On aurait peut être meilleur compte a dépenser ce genre de budget dans des propulsions optimisées de type ionique pour les futurs grands engins d'explo du système solaire Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 5 mars 2013 Share Posté(e) le 5 mars 2013 Sur Mars, Curiosity n'est pas sorti d'affaire, mais il va mieuxLe robot n'est plus en veille et devrait bientôt retrouver toutes ses facultés grâce à son ordinateur de secours. Ce qui ne signifie pas la fin des problèmes.http://www.lepoint.fr/science/sur-mars-curiosity-n-est-pas-sorti-d-affaire-mais-il-va-mieux-05-03-2013-1636339_25.phpCuriosity devrait très bientôt reprendre du service. C'est du moins ce que laissent entendre, en ce début de semaine, les équipes du Jet Propulsion Laboratory (JPL) qui manoeuvrent le robot explorateur en mission sur la planète Mars. "Nous faisons des progrès encourageants", a annoncé mardi Richard Cook du JPL. Le rover, qui avait été passé en mode veille à la suite d'un bug informatique repéré mercredi dernier, a rouvert un oeil ce week-end en repassant en mode actif. La panne concerne la mémoire flash de ce que les ingénieurs du projet appellent la voie A, c'est-à-dire l'ordinateur principal de pilotage du rover. Et il semble également que la réaction du système à cette saturation de la mémoire n'ait pas été appropriée. En clair, à la suite de cette erreur, l'ordinateur a tout bonnement planté. Toutefois, Curiosity dispose d'une voie B, un ordinateur de secours en tout point similaire. Celui-ci est en train de prendre le relais.Mais, pour cela, les ingénieurs du JPL doivent procéder étape par étape, en renseignant l'ordinateur sur la situation du rover : position de son bras articulé, de son mât, etc. Une fois cette transition achevée avec succès, le robot aura récupéré toutes ses facultés, mais ne disposera plus d'ordinateur de secours... Les équipes du JPL seront alors face à un dilemme. Reprendre la mission scientifique normalement et courir le risque de perdre le robot définitivement en cas de plantage de la voie B ou lever le pied afin de concentrer leurs efforts en vue d'une réparation de la voie A. Car l'ordinateur B offre la possibilité d'explorer l'ordinateur A pour déterminer exactement ce qui s'est produit dans les entrailles du rover. Ce qui permettrait de tenter de corriger le problème sur A, mais peut-être aussi sur B, car rien ne dit que la même panne n'est pas susceptible de se reproduire sur l'ordinateur de secours.Une course contre la montre pourrait alors être lancée afin de résoudre le problème avant le mois d'avril, où le rover entrera en sommeil. Comme cela survient tous les deux ans environ, le Soleil est en effet sur le point de s'interposer entre la Terre et Mars, rendant toute communication impossible durant plusieurs semaines.Mars : Curiosity est en panneLe robot américain a été victime d'une panne d'ordinateur. La Nasa l'a mis en veilleuse jusqu'à nouvel ordre.http://www.lepoint.fr/science/mars-curiosity-est-en-panne-02-03-2013-1635186_25.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 6 mars 2013 Share Posté(e) le 6 mars 2013 Les coupes de budgets automatiques ont quels effets à long terme sur le programme spatial ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 3 avril 2013 Auteur Share Posté(e) le 3 avril 2013 La NASA souhaite investir 100 millions de dollars pour financer une mission visant à aller chercher un astéroïde dans l’espace et à le rapprocher de la Terre pour pouvoir l’étudier de près.Cela fait des années que la NASA veut étudier de plus près les astéroïdes. Objectif : connaître leur composition exacte afin d'en savoir plus sur notre Système solaire mais aussi mieux envisager le risque qu'un astéroïde géocroiseur percute un jour la Terre. Pour cela, l’Agence américaine a déjà envisagé d'envoyer des hommes sur un proche astéroïde mais récemment c'est un tout autre projet qu'elle a dévoilé. Plus que de faire venir des hommes à l'astéroïde, elle penserait à ramener l'objet à proximité de nous !Concrètement, elle envisagerait de capturer un astéroïde et de le placer en orbite lunaire. Un projet qui a été proposé l'an dernier par les scientifiques du California Institute of Technology mais dont le coût avait précédemment été évalué à 2,6 milliards de dollars. Loin de perdre de vue l'idée, la NASA a toutefois réussi à revoir le budget à la baisse. En effet, désormais, le programme ne nécessiterait "plus" qu’une subvention de 100 millions de dollars dans le budget prévisionnel 2014. L’idée soumise par l’institut Keck pour les études spatiales (KISS) de Californie a donc retenu l’attention de la NASA qui a commencé à chercher des subventions.Suite : http://www.maxisciences.com/ast%e9ro%efde/la-nasa-veut-capturer-un-asteroide-pour-le-ramener-dans-l-039-orbite-lunaire_art29102.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 18 mai 2013 Auteur Share Posté(e) le 18 mai 2013 Le 18 novembre prochain, la NASA va envoyer la sonde MAVEN en orbite autour de Mars. Cette sonde est chargée d’étudier l’atmosphère de la planète rouge mais elle emportera avec elle un DVD-ROM qui contiendra les noms et prénoms de ceux qui veulent laisser une trace de leur humanité au-delà des frontières terrestres.Le lancement de la sonde aura lieu le 18 novembre prochain. Vous avez jusqu’au 1er juillet 2013 pour remplir gratuitement le formulaire (http://lasp.colorado.edu/maven/goingtomars/send-your-name/) qui vous permettra d’inscrire votre nom sur le DVD-ROM. Ce DVD sera placé dans un des panneaux solaire de la sonde MAVEN.Bien sûr, c’est idiot de laisser son nom à l’autre bout du système solaire, c’est un peu comme d’écrire que vous êtes passé par là sur le mur des toilettes. Mais il fait remettre les choses dans leur contexte, la porte des toilettes est une sonde de la NASA. Et les toilettes ? C’est Mars !http://www.gizmodo.fr/2013/05/18/comment-envoyer-nom-orbite-mars-toujours.html#more-204500 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 19 mai 2013 Share Posté(e) le 19 mai 2013 Les coupes de budgets automatiques ont quels effets à long terme sur le programme spatial ? Ca touché la NASA ? J'aurais eu pensé que les coupes issues du non consensus au congrès, étaient en réalité surtout dans des domaines classiques de budget d'administration ... (régalien & social et cie) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michael Guay Posté(e) le 20 mai 2013 Share Posté(e) le 20 mai 2013 2 milliards pour faire juste ça, j'en connais qui risque de faire la gueule quand même ... Même si ça pourrait être utile en terme de savoir faire a d'autres échelles pour + tard : si on est sur de notre coup ... Pourquoi pas attendre des époques ou le spatial coutera moins cher pour y faire a loisir ? Ceci dit, ça pourrait être aussi un premier exemple de méthodologie appliquée a exploiter des matériaux, mais je suis pas sur que ce soit encore le bon moment pour le faire au vu des couts ... Bien que les chercheurs parle de projet NASA (donc de gouvernement) l'exploitation minière ne sera jamais effectuer par la nasa. L'exploitation des ressources est un domaine exclusif du privé. Les universitaires ont présenté un projet et une minière sera surement assez intéressé pour donner quelque subvention à leurs étude. Pourquoi? Le jour ou il ne restera que très peu de ressource minière sur terre, il faudra chercher les profit ailleurs. Pour l'instant, financé des études coûte peu et prépare un plans d'avenir. Ce qui doit aussi être dans les priorités des minières ce doit être l'étude de composition des dits astéroïdes et leurs locations. Un vieux dicton de l'époque des explorateurs dit: Qui possède les cartes, possède la richesse. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Divos Posté(e) le 21 mai 2013 Share Posté(e) le 21 mai 2013 J'aime ce dicton =)2 milliards c'est tellement peu au final, c'est juste que les états on d'autres priorités comme la guerre ou alors payé les intérêts du financement de la guerre ou encore des garderies à 7$ =)Au final, c'est plutôt un bon investissement comparer à ce qu'on pourrait faire d'autre avec =) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 18 juin 2013 Auteur Share Posté(e) le 18 juin 2013 Lundi, l’agence spatiale américaine (NASA) a annoncé avoir sélectionné huit nouveaux candidats astronautes, dont quatre femmes. Ces recrues seront formées pour des vols en orbite basse et pour des missions d'exploration vers un astéroïde ainsi que la planète Mars. Il y avait en tout quelque 6.000 dossiers, soit le deuxième plus grand nombre de demandes jamais reçues par la NASA. Et parmi ceux-ci, seuls huit ont été sélectionnés. L'agence spatiale américaine vient en effet d'annoncer les noms de ses nouveaux candidats astronautes, quatre hommes et quatre femmes. Il s’agit d’un mélange de scientifiques et de pilotes militaires d'une moyenne d'âge de 36 ans, les plus jeunes ayant 34 ans et le plus âgé 39 ans. "Cette année, nous avons sélectionné huit individus hautement qualifiés qui ont montré opérationnellement, académiquement et physiquement des capacités impressionnantes", a indiqué Janet Kavandi, directrice des Flight Crew Operations au Johnson Space Center.Ces recrues seront formées dès cet été pour des vols en orbite basse et pour de futures missions d'exploration vers un astéroïde et Mars, a indiqué lundi la NASA dans un communiqué. Une fois leur entraînement achevé, ils rejoindront les 49 autres astronautes américains déjà membres de ce corps d'élite. Avant d’être envoyés sur des missions spatiales particulièrement ardues, ces futurs astronautes pourraient être envoyés vers la Station spatiale internationale (ISS) afin d’y séjourner durant de longues périodes. Dans un premier temps, ils pourraient partir à bord des Soyouz russes puis à partir de 2016 à bord de vols privés pour le compte de la NASA. Selon le patron de l'agence, Charles Bolden, "ces nouveaux explorateurs de l'espace ont demandé à rejoindre la NASA parce qu'ils savent que nous faisons de grandes choses ici, comme élaborer des missions pour aller encore plus loin dans l'espace". Mais selon lui, ces futurs astronautes "sont aussi prêts à effectuer la première mission habitée vers un astéroïde et ensuite vers Mars".http://www.maxisciences.com/astronaute/astronaute-la-nasa-a-devoile-les-noms-de-ses-huit-nouvelles-recrues_art29868.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 4 août 2013 Share Posté(e) le 4 août 2013 Curiosity fête son premier anniversaire martien http://www.lefigaro.fr/sciences/2013/08/04/01008-20130804ARTFIG00020-curiosity-fete-son-premier-anniversaire-martien.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 4 août 2013 Share Posté(e) le 4 août 2013 Pour la moyenne d'age des astronautes, elle me semble plus élevés que la moyenne. Ils auront plus de 45 voir 55 ans si enfin on met le cap sur Mars. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chevalier Gilles Posté(e) le 4 août 2013 Share Posté(e) le 4 août 2013 le truc c'est qu'ils ont encore tous les astronautes du temps des navettes ou ils en prenaient 7 d'un coups et la le nombre d'astronautes vient de chuter puisqu'il ne faut plus que fournir pour l'iss donc la demande a baissé et le recrutement a fortement diminué donc moins de jeunes pour rééquilibrer la balance Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dino Posté(e) le 13 août 2013 Share Posté(e) le 13 août 2013 La Nasa veut fabriquer des moteurs-fusées par impression 3D La Nasa envisage de fabriquer des moteurs de vaisseaux spatiaux par impression 3D. Des injecteurs réalisés de cette manière ont été testés avec succès. L’idée : faire chuter les coûts et les temps de fabrication. Cela faciliterait l’exploration du Système solaire en permettant de construire des vaisseaux dans l'espace ou sur la Lune. http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/actu/d/astronautique-nasa-veut-fabriquer-moteurs-fusees-impression-3d-48180/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 13 août 2013 Share Posté(e) le 13 août 2013 On a déja pas de projet de construction d'engin dans l'espace, alors vouloir déja y intégrer de l'impression 3D qui n'a en aucun cas fait ses preuves en qualité de structure des matériaux attendus, notamment dans un domaine ou la rigueur sur les qualités est a s'arracher les tifs ... A partir du moment qu'ils ne peuvent en + pas échapper au fait qu'il faudra tourner & fraiser la pièce pour arriver a ses cotations exact de précision, autant continuer a travailler sur de la forge, coulage métal ect classique pour être sur de leur qualité ... Par contre, ce type de méthode pourrait mieux fonctionner et être beaucoup + crédible sur les céramiques "frittés" car justement le frittage ressemble beaucoup a l'impression 3D en terme de rendu/méthode ect Mais des métaux ? Cela n'a que peut de sens car tu n'obtiens pas un cristal comme forgé ou cuit-recuit qui sont très souvent des nécessités absolue a la qualité recherché, c'est la qu'on peut quand même se poser beaucoup de question sur la viabilité de la chose Tandis que sur des céramiques frittés : on compresse des poudres pour obtenir un solide en cuisant la poudre compressée, et c'est la que ça devient intéressant avec l'impression 3D car il y a du liens ... Je chercherais plutot dans cette voie si j'étais eux Car jamais on ne pourra remplacer une forgé qui a nécessité de l'etre pour son cristal par une impression 3D : tu n'as pas du tout la même propriété métal ... Et a partir du moment que tu forges ou chauffe pour faire des recuits : autant couler sous pressions Ils ne sont pas crédibles, ils suivent une mode médiatique d'imaginer de l'impression 3d partout ... Meme la ou elle n'est pas crédible, si une pièce de métal a besoin de tel cristal et que seul la forge et les recuit te permet de l'obtenir comme beaucoup de métaux d'alliage spécifique : Pourquoi diable venir communiquer avec de l'impression 3D ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dino Posté(e) le 13 août 2013 Share Posté(e) le 13 août 2013 (modifié) Heu ils ont quand même testé leur pièce fabriqué avant de dire que ça semblait viable (image dans l'article). Après je n'y connais pas grand chose, mais j'imagine que toutes les objections que tu soulèves ont été étudié par les ingénieur de la NASA. Quoi qu'il en soit il est certain qu'arriver à rendre un maximum indépendant l'espace de la production terrestre serait extrêmement intéressante vu le prix de la tonne au lancement. Modifié le 13 août 2013 par Dino Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Castor Posté(e) le 13 août 2013 Share Posté(e) le 13 août 2013 Et il vient d'ou le materiel qu'on va mettre dans l'imprimante pour imprimer dans l'espace ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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