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Projets de l'Europe dans l'espace


nourdi

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  • 4 weeks later...
  • 5 months later...

12 minutes de conférence de presse de Thomas Pesquet, avant-hier, sous l'égide de l'INSERM, à propos de son programme d'expériences médicales lors du long séjour dans l'ISS. Il y discute aussi de ces aspects par rapport à une éventuelle mission martienne ; bonne mise en perspective me semble-t-il !

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Le truc a tester, si cela était possible,  ca serait de d'aménager une roue en tant que module pour reproduire la gravité artificiel et limité les effets l 'apesanteur, 

peut être les modules gonflable donneront cette possibilité vu la complexité de mise en oeuvre.

 

Modifié par zx
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Il y a 2 heures, zx a dit :

Le truc a tester, si cela était possible,  ca serait de d'aménager une roue en tant que module pour reproduire la gravité artificiel et limité les effets l 'apesanteur, 

peut être les modules gonflable donneront cette possibilité vu la complexité de mise en oeuvre.

A priori, pas besoin d'une roue complète, même si c'est plus beau : une longue poutre tournant autour de son centre et permettant de résider à ses extrémités doit fournir le même service tout en étant plus simple à assembler.

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oui, aussi, mais si on pouvait l'ajouter à l'ISS, cela permettrait de mesurer l'impact sur la santé et l'affaiblissement de l'être humain à moyen terme. sur 1 ou 2 ans.

Modifié par zx
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Il y a 1 heure, zx a dit :

oui, aussi, mais si on pouvait l'ajouter à l'ISS, cela permettrait de mesurer l'impact sur la santé et l'affaiblissement de l'être humain à moyen terme. sur 1 ou 2 ans.

Ca entraîne certainement des risques très spécifiques, surtout sur un assemblage de bric et de broc comme l'ISS, pour la "navigation" autour de la station et pour sa manœuvre du fait de l'effet gyroscopique. Et imagine que le bras devienne déséquilibré, pour une raison ou une autre (par exemple parce qu'on a rajouté un astronaute d'un côté, surtout un gros astronaute), ça ficherait la grouille au niveau de l'axe et ferait vibrer tout le reste. Il faudrait concevoir un système très massif ou un système d'équilibrage du bras en temps réel, et probablemenent un système d'amortissement. Il faut aussi concevoir des joints capable d'étanchéifier une grosse pièce en rotation sans trop freiner la dite rotation.

A mon avis ça sera testé ailleurs avant !

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Pourquoi les Inuits s'inquiétent-ils du lancement d'un satellite européen ?

L'Agence spatiale européenne a lancé, vendredi, un satellite transportant Tropomi, un instrument chargé de traquer les polluants atmosphériques et de collecter des données.

http://www.francetvinfo.fr/sciences/espace/pourquoi-les-inuits-s-inquietent-ils-du-lancement-d-un-satellite-europeen_2417563.html#xtor=AL-79-[article]-[connexe]

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  • 3 months later...

PicSat, un nanosatellite français à l'assaut de l'étoile mystérieuse

Doté d'un petit télescope, l'engin mis au point en un temps record pour observer le transit d'une exoplanète a été lancé tôt vendredi matin.

http://www.lepoint.fr/astronomie/picsat-un-nanosatellite-francais-a-l-assaut-de-l-etoile-mysterieuse-12-01-2018-2185988_1925.php

 

 

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L'idée d'un village lunaire divise la filière spatiale

https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/0301173885993-lidee-dun-village-lunaire-divise-la-filiere-spatiale-2146620.php

L'idée est pas mauvaise, on aurait un peu de pesanteur, on pourrait récolter l'helium 3 en guise de compensation, si il y a effectivement de l'eau qu'on puisse récupérer en suffisance ca peut être intérressant, mais tout seul, c'est trop dur financièrement.

 

si accès limité

 

ESA-AFP

Le patron de l'Agence spatiale européenne s'est fait l'ambassadeur du « village lunaire ». Un concept qui ne séduit guère son confrère du CNES.

Alors que la découverte de Mars mobilise la recherche spatiale, le patron de l'Agence Spatiale Européenne (ESA) Jan Wörner a enfourché un cheval de bataille insolite : le retour sur la lune. « Nous avons recueilli 150 signatures pour le village lunaire, un chiffre qui va s'envoler cette année, j'en suis sûr », a-t-il déclaré le 17 janvier lors des voeux à la presse. Lancée en septembre, une « déclaration d'intérêt pour le village lunaire » plaide pour réunir les initiatives publiques et privées afin de créer sur la lune « un village », qui serait en quelque sorte une base intermédiaire entre la Terre et Mars.

Une terre d'innovations

Dans le magazine « Espace et Exploration », l'astronaute Claudie Haigneré, conseillère auprès de Jan Wörner, explique que la lune mérite de devenir « un lieu expérimental, d'innovation, pour avoir des idées complètement nouvelles, disruptives, par exemple pour le béton, la communication ou la mobilité de demain ». Jan Wörner défend son concept de « village lunaire » pour stimuler, rassembler et abriter toutes sortes d'initiatives : du tourisme spatial à l'exploitation des ressources minières de la lune, en passant par toutes les expériences possibles sur la manière de vivre en orbite extraterrestre.

« L'espace, ce n'est pas que Mars », proteste-t-il, en soulignant qu'avant d'envoyer des hommes sur Mars, un voyage qui pourrait durer jusqu'à deux ans, le satellite naturel de la Terre, situé à 3 jours de navigation, a encore des choses à apprendre à l'humanité. Même s'il le nie, Jan Wörner prépare ainsi à sa façon un projet diplomatique « mondial » pour remplacer  la Station spatiale internationale , dont la fin de vie est programmée vers la fin de la décennie.

Remplacer la Station spatiale internationale

Bientôt cinquante ans après la fin du programme Apollo de la Nasa, pour envoyer des hommes sur la lune, il s'agit d'un nouveau projet de dimension internationale pour réunir tous les pays, Chine comprise, sur une exploration « au bénéfice et dans l'intérêt de tous les pays », comme le plaide la déclaration d'intérêt pour le village lunaire.

Ce projet utopique laisse le président du CNES, Jean-Yves Le Gall, perplexe. Pour lui l'aventure spatiale doit voir bien plus loin. Cette année, l'agence spatiale française alignera trois missions ambitieuses : le lancement de la mission franco-américaine InSight vers Mars « pour aller écouter battre le coeur de Mars », puis la mission nippo-européenne BepiColombo vers Mercure pour mieux comprendre l'astre solaire et enfin le lancement du premier satellite franco chinois, CFOSat chargé de mesurer les liens entre les vents et les vagues.

Cinq missions internationales pour Mars

« D'accord, c'est plus facile de voyager sur la Lune que sur Mars, mais je connais nombre de scientifiques qui travaillent sur Mars et aucun chercheur qui s'intéresse encore à la Lune, affirme-t-il avec impatience. On y est déjà allé, on a ramené des centaines de kilos de roches lunaires et on n'a rien trouvé d'intéressant ». Pas moins de cinq missions sont en préparation pour Mars, là où il faut comprendre pourquoi la vie a disparu, rappelle-t-il. Au-delà des Etats-Unis, de la France, et de l'Europe, la Chine , l'Inde et même les Emirats arabes unis veulent explorer la planète rouge.

Il n'est nul besoin d'opposer les projets, plaide-t-on à l'Agence spatiale européenne, en rappelant que la  Nasa pousse aussi un projet lunaire, le « Deep Space Gateway », sorte de station spatiale internationale en orbite cis-lunaire. Officiellement, l'agence américaine souhaite toujours embarquer des astronautes dans la capsule Orion, en direction de la lune à partir de 2021, une échéance assez peu réaliste. Au sein de la communauté spatiale, le débat est loin d'être clos. Il reprendra avec vigueur en octobre à Brême lors du 69ème congrès international d'astronomie.

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  • 3 weeks later...

 

"L'Europe spatiale prend du retard", Arthur Sauzay auteur pour l'Institut Montaigne

ENTRETIEN Selon Arthur Sauzay, le leadership d’ArianeGroup sur le marché commercial est menacé par la montée en puissance de SpaceX. L'auteur de la note “Espace : l’Europe contre-attaque ?” publiée par l’Institut Montaigne , appelle à une accélération de l’Europe dans la maîtrise des technologies liées à la réutilisation des lanceurs, et à une plus forte implication du secteur privé sur le modèle des partenariats public-privé mis en place aux Etats-Un

https://www.usinenouvelle.com/article/l-europe-spatiale-prend-du-retard-arthur-sauzay-auteur-pour-l-institut-montaigne.N651499

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  • 4 weeks later...

Bon, il va falloir chercher des infos, en plus détaillées

Un nouveau type de moteur ionique pourrait rendre les satellites «éternels»

http://www.lefigaro.fr/sciences/2018/03/06/01008-20180306ARTFIG00121-un-nouveau-type-de-moteur-ionique-pourrait-rendre-les-satellites-eternels.php

edit 

 

https://www.esa.int/Our_Activities/Space_Engineering_Technology/World-first_firing_of_air-breathing_electric_thruster

 

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  • 6 months later...

le Portugal veut faire des choses, le cnes pourrait aider, visiblement ils veulent participer beaucoup plus à la conquête du spatial. en plus on aurait d'un site secondaire pour ariane espace. en commençant par vega.

Le Portugal veut faire des Açores un port spatial pour micro-fusées

https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/0302340270757-le-portugal-veut-faire-des-acores-un-port-spatial-pour-micro-fusees-2210183.php

et ils veulent avoir leur agence spatial

https://www.telesatellite.com/actu/48605-le-portugal-veut-creer-son-agence-spatiale-en-2017.html

 

Le Portugal souhaite transformer l'île de Santa Maria en port spatial ouvert aux mini-lanceurs de tous les pays. Un appel à projet a été lancé mardi par le gouvernement au Congrès international de l'astronautique.

Manuel Heitor y croit dur comme fer. Pour le ministre portugais des sciences, de la technologie et de l'éducation, les Açores sont le lieu idéal pour créer un port spatial international, qui permettrait à tous les promoteurs de micro-lanceurs d'envoyer en orbite leurs mini-satellites. L'île de Santa Maria (environ 5500 habitants pour 97 km2) pourrait devenir  le point de ralliement du « new space » .

Mardi à l'occasion du 69 ème Congrès international d'astronautique qui se tient cette semaine à Brême en Allemagne, le ministre a lancé un appel officiel à projets, avec un calendrier précis.

« Nous lançons cette semaine l'initiative pour créer le service international de lancement de satellites de l'Atlantique » a annoncé le ministre, en soulignant que l'avantage des Açores par rapport à d'autres projets similaires, est sa situation géographique, au milieu de l'océan Atlantique, à mi-chemin entre l'Europe, l'Afrique et les Etats-Unis.

Des fusées au milieu de l'Atlantique en 2021

Un atout important pour offrir des lancements de mini-satellites aux nations du monde entier, qu'il s'agisse de start-up américaines, israéliennes ou européennes. L'Agence spatiale européenne apporterait un support technique pour cet investissement chiffré à un minimum de 60 millions de dollars.

« Notre but avec cet appel à projet est de pouvoir sélectionner un porteur de projets au printemps prochain, pour qu'un consortium soit en place fin 2019, afin de construire le site de lancement, en vue d'une mise en service du port spatial en 2021 », a précisé Manuel Heitor. Le Portugal s'engage à soutenir le projet en consacrant quelque 6 millions d'euros à l'amélioration des infrastructures de l'île et en consacrant 10 millions d'euros par an pour des projets de recherche.

14 projets de port spatial en compétition

Le ministre l'avoue : la compétition sera rude mais il a bon espoir de la gagner. En effet, l'engouement pour les constellations de mini-satellites est tel, qu'on ne dénombre aujourd'hui pas moins de 94 projets de construction de petites fusées pour des petits satellites (quelques dizaines de kilos) et au moins 14 projets de « Spaceport ». Rien qu'en Europe, la Grande-Bretagne a annoncé en juillet dernier au salon de Farnborough son intention d'en créer un en Ecosse, la Suède a aussi fait des annonces, tandis que l'Espagne fait la promotion des Canaries.

Paris se prépare à la guerre dans l'espace

«La proposition du Portugal a l'avantage d'offrir une vision à 360 degrés avec un réel projet pour fédérer autour d'un pas de tir un centre de recherche d'observation spatiale de la terre, avec des projets de micro-satellites pour surveiller les plastiques dans les océans ou les pollutions, les pêches, etc.. ; » constate un expert de l'Agence spatiale européenne. Son ancien directeur, Jean-Jacques Dordain, est un des premiers avocats du projet.

Modifié par zx
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  • 1 month later...

Europe militaire de l'espace : une tribune libre du général (2S) Jean-Daniel Testé Pdg de OTA (L'Observation de la Terre Appliquée), ancien Commandant Interarmées de l'Espace dans LA TRIBUNE :

https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/spatial-militaire-il-est-temps-de-passer-a-la-vitesse-superieure-797481.html

"Beaucoup de place pour une coopération européenne

Sur un plan calendaire, notre composante de surveillance toutes orbites devra être opérationnelle à l'horizon 2025.Tous les satellites de la génération suivante (post-SYRACUSE IV, post-CSO, post-CERES), c'est-à-dire vers 2030, devront être équipés de systèmes d'autoprotection. Les moyens d'action vers l'espace depuis le sol pourront être échelonnés de 2027 à 2032.

Enfin, les systèmes d'actions dans l'espace devront entrer en service à l'horizon 2035. Il y a évidemment beaucoup de place pour une coopération européenne, mais il faut que l'Allemagne et la France se décident enfin à montrer l'exemple.

Au bilan, beaucoup de capacités pour les prochaines lois de programmation militaire (LPM) et peu dans celle en cours, mais beaucoup d'études préliminaires et de développements exploratoires à conduire et à financer rapidement."

 

Modifié par herciv
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  • 5 months later...

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