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Guerre civile en Syrie


Messages recommandés

Le vice président s'est cassé, à confirmer

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/16/97001-20120816FILWWW00376-syrie-defection-du-vice-president.php

Al-Arabiya a fait état aujourd'hui d'un communiqué dans lequel le vice-président syrien Farouk al Chara annonce sa défection.

La chaîne de télévision a diffusé des images d'un homme identifié comme un proche du vice-président de confession sunnite dans lequel ce dernier exhorte l'armée à rejoindre les rangs de la "révolution" contre le régime de Bachar el Assad.

L'authenticité du document n'a pu être vérifiée.

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WASHINGTON (Reuters) - Les Etats-Unis et leurs alliés discutent d'un scénario catastrophe qui pourrait aboutir à l'envoi de dizaines de milliers de militaires en Syrie afin d'y sécuriser les sites d'armes chimiques et biologiques après la chute du régime de Bachar al Assad, a-t-on appris jeudi auprès de responsables américains et diplomatiques.

Ces discussions secrètes partent du postulat que les forces de sécurité du président Bachar al Assad se désagrégeraient et que ces sites se retrouveraient vulnérables aux pillages et qu'ils ne pourraient pas non plus être sécurisés ou détruits par de simples bombardements aériens, en raison des risques pour la santé et l'environnement.

S'exprimant sous le sceau de l'anonymat, un responsable américain a indiqué que les Etats-Unis n'avaient pour le moment pas prévu d'intervention armée en Syrie. "C'est, en réalité, un scénario catastrophe", a-t-il dit, ajoutant que les soldats américains joueraient sans doute un rôle dans une mission de ce genre.

La suite :

http://fr.news.yahoo.com/les-usa-%C3%A9tudient-un-sc%C3%A9nario-catastrophe-sur-les-204823273.html

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Annan jet l'éponge , il est replacer par un ancien ministre des affaires algériens 

L'Algérien Lakhdar Brahimi peut-il faire mieux que Kofi Annan ?

Image IPB

L'Algérien Lakhdar Brahimi, habitué des médiations internationales, devrait succéder à Kofi Annan au poste d'émissaire des Nations unies et de la Ligue arabe pour la Syrie. Un diplomate expérimenté pour une mission des plus délicates..

En annonçant sa démission du poste d'émissaire des Nations unies et de la Ligue arabe pour la Syrie, le 2 août, Kofi Annan a explicitement évoqué les "accusations et les insultes" au sein du Conseil du sécurité de l’ONU comme l’une des raisons ayant motivé sa décision. Il a alors déclaré souhaiter que son successeur ait plus de chances que lui. Pour casser l’immobilisme diplomatique et essayer de trouver une solution à l’enlisement de la crise syrienne, un nom circule depuis plusieurs jours : Lakhdar Brahimi.

L’ex-ministre algérien des Affaires étrangères est rompu aux missions de médiation délicates aux quatre coins du monde. Et semble faire l’unanimité à New York, mais aussi à Damas, selon Ahmad Fawzi, porte-parole de Kofi Annan, qui a indiqué que les autorités syriennes approuveraient son éventuelle nomination. Cependant, "il n’y a encore eu aucune décision de prise", ni de la part de Lakhdar Brahimi, ni de celle du secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a-t-il ajouté.

Bien que sa nomination n’ait pas été annoncée officiellement, Lakhdar Brahimi a déjà esquissé sa feuille de route, le 10 août, dans un communiqué commun avec le groupe des "Elders" (Anciens) - auquel il appartient -, qui réunit des personnalités œuvrant en faveur du règlement des conflits dans le monde. L'ancien président américain Jimmy Carter, l'archevêque sud-africain Desmond Tutu et l'ancien président finlandais et Nobel de la paix Martti Ahtisaari en font partie, notamment. "Le Conseil de sécurité de l’ONU et les États de la région doivent s’unir pour permettre une transition politique dès que possible. [...] Des millions de Syriens réclament la paix à grands cris. Les grandes puissances ne peuvent plus rester divisées et ignorer ainsi cette demande pressante", affirme le communiqué.

Un diplomate expérimenté

Âgé de 78 ans, Lakhdar Brahimi a été ministre des Affaires étrangères de son pays entre 1991 et 1993,  fonction dans le cadre de laquelle il contribua à l'élaboration de l'accord de Taëf, qui a mis fin à la guerre civile au Liban. Sa longue carrière de diplomate onusien l’a amené à travailler en Haïti, en Afrique du Sud post-apartheid, en République démocratique du Congo ou encore au Liberia.

Lakhdar Brahimi a l'habitude des missions de médiation internationales difficiles pour le compte de l'ONU. Il a notamment été représentant de l'organisation en Afghanistan de 1997 à 1999, puis de 2001 à 2004 après le départ des Taliban, ainsi qu'en Irak après l'invasion de 2003. De tels états de service plaident en sa faveur, d’autant plus qu’il est arabe et que le régime en place à Damas n’a pas les a priori négatifs qu’il pouvait avoir à l'égard de Kofi Annan. Dès qu’il a été pressenti, le diplomate algérien aurait pris contact avec le ministre syrien des Affaires étrangères, Walid Mouallem, qu’il avait déjà côtoyé dans des négociations par le passé.

Mais avant d’accepter la difficile mission de réanimer un processus de paix quasiment impossible alors que les armes ne se sont pas tues depuis 17 mois, Lakhdar Brahimi exige l’appui formel du Conseil de sécurité de l'ONU, selon des diplomates onusiens interviewés par l’AFP. Ces derniers affirment qu’il veut un "soutien ferme" avant d’accepter la succession de Kofi Annan (dont le mandat expire le 31 août) : "Il considère que c’est crucial", affirment-ils.

Alors que le conflit s’aggrave de jour en jour, le Conseil de sécurité doit rapidement se prononcer sur l’avenir de la Mission de supervision des Nations unies en Syrie (Misnus), dont le mandat s’achève le 20 août. Ban Ki-moon, secrétaire général de l’ONU, considère qu'il faut maintenir une présence sur le territoire syrien pour surveiller les événements et maintenir l’espoir d’une solution politique que certains voudraient voir Lakhdar Brahimi incarner.

Sa mission : convaincre Russes et Chinois

La demande de Lakhdar Brahimi d’obtenir le soutien unanime du Conseil de sécurité est à remettre dans le contexte de l’impasse diplomatique actuelle. Toutes les tentatives de la communauté internationale pour mettre fin aux violences se sont heurtées aux désaccords marqués entre les cinq membres permanents du Conseil. Ces derniers disposent chacun d’un droit de veto. Les Russes et les Chinois en ont déjà fait usage à trois reprises.

Depuis plusieurs mois, Moscou n'a cessé de confirmer son soutien indéfectible au régime de Damas dans sa lutte contre les "terroristes". La présence confirmée de djihadistes étrangers sert depuis plusieurs mois d’argument à Bachar al-Assad pour refuser toute ingérence occidentale. La Chine, elle aussi, est hostile à l'islamisme (la province chinoise du Xinjiang jouxte l'Afghanistan) et s'aligne sur les positions russes. Les deux pays ont en commun l’impression de s'être fait manœuvrer par les Occidentaux, notamment les Français et les Britanniques, en mars 2011, au moment du vote de la résolution destinée à protéger les populations civiles en Libye. Leur vote positif avait déclenché les frappes aériennes qui ont abouti à la chute de Mouammar Kadhafi.

Reste qu'il semble aujourd'hui bien difficile d'imaginer les Russes et les Chinois changer de position sur la Syrie. Mercredi 15 août, alors qu'un émissaire de Bachar al-Assad était attendu à Pékin, le Quotidien du peuple, journal du Parti communiste chinois, a reproché aux Occidentaux d'être responsables de l'échec de la mission de Kofi Annan. Le même jour, le ministre russe des Affaires étrangères a appelé les pays occidentaux à ne pas "saboter" l'accord de Genève. Ce texte, adopté le 30 juin, par le Groupe d'action sur la Syrie, constitué par Kofi Annan, fixe le principe d'une transition en Syrie. Mais le document ne contient aucun appel à Bachar al-Assad à renoncer au pouvoir, ce que les Occidentaux exigent.

Sans le soutien des Russes et des Chinois, la mission que Lakhdar Brahimi pourrait se voir confier risque d'être vaine. Le possible futur médiateur de l’ONU en Syrie souhaite trouver une solution entre les Syriens, insistant sur la nationalité pour exclure les djihadistes de la sortie de crise : "Les Syriens doivent s’unir en tant que nation pour trouver une solution. C’est la seule manière de garantir qu'ils pourront vivre ensemble en paix, dans une société fondée non pas sur la peur des représailles mais sur la tolérance".

Du côté des forces loyalistes, Lakhdar Brahimi pourrait être la "dernière chance" ; il est plus complexe de connaître l’avis des forces rebelles, divisées. Quoi qu'il en soit cependant, il paraît bien difficile, à ce jour, de croire à une solution négociée dans le pays alors que les violences auraient fait plus de 23 000 morts en 17 mois, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme.

http://www.france24.com/fr/20120815-syrie-algerien-lakhdar-brahimi-successeur-kofi-annan-damas-onu-nations-unies-chine-russie

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l'ONU a mis fin à la mission en Syrie

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20120816.FAP6944/syrie-fin-de-la-mission-des-observateurs-de-l-onu-dimanche.html?xtor=RSS-138

NATIONS UNIES (Sipa) — Le Conseil de sécurité des Nations unies a décidé jeudi de mettre fin à la mission des observateurs militaires en Syrie (MISNUS), dont le mandat expirera dimanche, étant donné que le gouvernement syrien continue à utiliser des armes lourdes et que la violence ne diminue pas.

L'ambassadeur de France auprès de l'ONU, Gérard Araud, a précisé que le Conseil, qu'il préside actuellement, soutenait la proposition du secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon de mettre en place un bureau de liaison civil pour soutenir les efforts de l'ONU et de la Ligue arabe en faveur d'un règlement du conflit.

M. Ban estimait dans une lettre transmise au Conseil vendredi dernier que la Syrie risquait désormais de "basculer dans une guerre civile totale".

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DARAT AZZAH, Syrie (Reuters) - Dans la ville syrienne de Darat Azzah, près d'Alep, un collège a été transformé en commissariat de police, en palais de justice et en mairie provisoire, le tout administré par des rebelles qui ne souhaitent qu'une chose : en finir avec le régime de Bachar al Assad.

Une véritable administration organisée par les rebelles prend peu à peu forme dans des régions où l'autorité de Bachar al Assad est réduite à néant, alors que les forces de sécurité syriennes se concentrent sur la maîtrise des grandes villes.

Alors que les puissances occidentales se demandent qui pourrait remplacer Assad à la tête de l'Etat et déplorent les divisions de l'opposition, les rebelles commencent à apporter des réponses concrètes dans les petites villes.

C'est le cas à Darat Azzah, 50.000 habitants, où les citoyens tentent de préserver un semblant de normalité en dépit de l'érosion de l'Etat.

La suite : http://fr.news.yahoo.com/les-rebelles-syriens-organisent-les-villes-sans-assad-054130577.html

Syrie : des armes construites avec les moyens du bord :

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-orient/syrie-avec-les-moyens-du-bord_1150222.html#xtor=AL-447

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Les rebelles attaquent l'aéroport militaire de Damas.

Des combats ont éclaté entre les militaires et les combattants rebelles près de l'aéroport de Mazzé, dans l'ouest de la capitale, montrant l'incapacité du régime à en finir avec la rébellion dans la capitale malgré plusieurs communiqué annonçant que la ville avait été "nettoyée des terroristes", terminologie utilisée par le pouvoir pour qualifier les dissidents armés.

Selon le Conseil général de la révolution syrienne (CGRS), des combats ont eu lieu également toute la nuit à la périphérie sud de Damas, où les rebelles sont très présents. "Le son du canon et des armes automatiques ne s'est pas arrêté et les hélicoptères ainsi que les chars ont bombardé de manière aveugle la région semant l'hystérie (parmi les habitants)", a expliqué le CGRS.

Des accrochages ont également eu lieu sur l'autoroute entre Damas et Deraa tandis que l'armée a affirmé avoir repris al-Tal, dans la province de Damas.

A Idlib (nord-ouest), Jenan Moussa, journaliste de la chaîne de Dubaï Al-Aan, décrit une situation de 'panique', de 'chaos' et 'd'absolue terreur' à causes de bombardements. 'Les gens crient, courent. Nous aussi', raconte-t-elle sur Twitter.

A Alep, les rebelles ont revendiqué la prise de trois commissariats.

(AFP et Reuters)

Pour reprendre une zone, l'armée nationale syrienne est obligée d'en dégarnir une autre qui tombe d'office sous le contrôle des rebelles... à ce petit jeu, les combats peuvent durer longtemps ! Quand aux bombardements, ils ont l'air d'être fait au pif et pas pour appuyer une progression ! :O

Et puis c'est nouveau ce CGRS ?

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Des news variées sur la Syrie :

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2012/08/17/les-rebelles-commencent-a-organiser-les-villes-sous-controle_1747007_3218.html

J'en sélectionne deux extraits :

L'ambassade de Russie victime de jets de pierre et d'invasion par des militants rebelles :

L'ambassade russe à Londres a accusé vendredi la police britannique de ne pas être intervenue pour empêcher l'attaque de ses locaux, menée dans la nuit par des manifestants protestant contre le soutien de Moscou au président syrien Bachar al Assad. Selon un porte-parole de l'ambassade, un groupe de manifestants scandant des slogans anti-Assad ont pris d'assaut le bâtiment, jetant des pierres et brisant des vitres. "Nous considérons cet incident comme un nouveau cas de violation du principe d'inviolabilité des missions diplomatique à Londres", a affirmé la Russie, faisant allusion à la situation à l'ambassade d'Equateur, où Londres menace d'entrer pour arrêter Julian Assange.

Des Stingers pour la rébellion :

D'après la chaîne saoudienne Al-Arabiya, l'Armée syrienne libre (ASL) seraient en possession de 14 lance-missiles Stinger. Une arme qui permet d'atteindre des hélicoptères et des avions de chasse à basse altitude en envoyant des missiles autonomes (téléguidés) après lancement. L'une des sources d'Al-Arabiya affirme que ces armes ont été données près de la frontière turque dans la zone d'Alexandrette. Cette même source dit que la Turquie et les Etats-Unis sont au courant de la livraison des ces armes. Elle affirme aussi que les Stinger sont "probablement" financés par l'Arabie saoudite mais que "l'origine [du financement] peut être différente". Une autre source, un activiste syrien basé aux Etats-Unis, confirme mais sans donner de précisions sur le nombre d'armes délivrées.

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"Le régime syrien doit être abattu et rapidement", a déclaré Laurent Fabius en Turquie : "D'après nos informations, nous verrons si elles se confirment dans les jours prochains, de nouvelles défections spectaculaires vont se produire."

Le ministre des Affaires étrangères français, qui achève en Turquie une tournée régionale qui l'a mené au Liban et en Jordanie avant la Turquie et axée sur la crise syrienne et le flot de réfugiés qu'elle a engendré sur les pays limitrophes, a accusé le président syrien d'accomplir une "opération de destruction d'un peuple... Le régime syrien doit être abattu et rapidement. Après avoir entendu les témoignages bouleversants des personnes ici (...) quand on entend ça et je suis conscient de la force de ce que je suis en train de dire: M. Bachar el-Assad ne mériterait pas d'être sur la terre."

La Turquie recommande à ses ressortissants de ne pas se rendre au Liban où de nombreux Syriens et deux Turcs ont été enlevés récemment, a annoncé le ministère turc des Affaires étrangères dans un communiqué. 

Europe Ecologie-les Verts (EELV) a demandé dans un communiqué que la France, qui préside le Conseil de sécurité de l'ONU, pousse ses partenaires à "peser d'avantage sur la communauté internationale pour que cette barbarie du régime syrien cesse".  Pour le parti de Pascal Durand, "une protection des civils efficace doit d'urgence être enfin mise en oeuvre comprenant exclusion aérienne, couloirs humanitaires sécurisés, sanctuarisation des hôpitaux, libre accès aux ONG".

C'est pas les mêmes verts qui voulaient quasiment supprimer l'armée il y a quelques mois ? ils ont bouffés du lion ?

Fabius fait très fort en terme de déclaration !

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Encore une déclaration des responsables français tout en nuance et avec une sincère volonté d'apaisement ...

Quand c'est les rebelles de Bahrein qui sont écrasés par la dictature saoudienne c'est cool on fait même un grand prix de F1 pour fêter ça.

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Des Stingers pour la rébellion

La CIA n'a rien appris de l'A-Stan ...  :P  :P

Fabius fait très fort en terme de déclaration !

Oui, oui, il est très très fort pour parler, lolo ...

C'est pas les mêmes verts qui voulaient quasiment supprimer l'armée il y a quelques mois ? ils ont bouffés du lion ?

Ils ne font pas du tout référence à l'armée ...  :rolleyes:

Ils veulent régler le problème par des déclarations de bonnes intentions, des couloirs humanitaires (auto?)sécurisés et leur revendication première est que leurs copains des ONG aient accès au pays ... , avec des médias, faut pas déconner non plus !

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Ils ne font pas du tout référence à l'armée ... 

Ils veulent régler le problème par des déclarations de bonnes intentions, des couloirs humanitaires (auto?)sécurisés et leur revendication première est que leurs copains des ONG aient accès au pays ... , avec des médias, faut pas déconner non plus !

J'adore ce non discours que les journalistes ne relèvent jamais: on parle de "pressions", de besoin de "négociation" comme si c'étaient des moyens en eux-mêmes, sans évidemment jamais même illustrer un peu ce que peuvent être ces moyens.... Ca me rappelle Robert Hue sur la Yougoslavie puis le Kosovo, décrétant que ces crises devaient et pouvaient se résoudre par "la négociation" sans jamais ô grand jamais dire sur base de quoi la France et d'autres auraient bien pu négocier.... Comme si les seules paroles (la magie d'idées et d'arguments que personne n'a encore entendu sans doute), le "statut" de la France (genre y'a un rang et les plus "petits" doivent obéir aux plus "grands" parce que c'est comme ça) et des pétitions de 20 à 100 000 signatures avec concerts de pseudo-artistes allaient peser de quoi que ce soit, voire faire entendre le choeur des anges aux méchants dictateurs. Au moins BHL a compris que la liberté, comme la fleur, est au bout du fusil.... Seul problème, il a poussé le bouchon trop loin en s'imaginant qu'il est chef de guerre génial, qu'il a toujours raison (une maladie de naissance, jamais confirmée par les faits) et peut donner des ordres à qui tient le fusil.... Autre débat :lol:.

Sinon Poutine risque lourd: il est attaqué par les bien-pensants sur la Syrie, et maintenant sur le sujet des punkettes emprisonnées du groupe Pussy Riots.... une guerre sur 2 fronts! Pourra t-il l'emporter :lol:?

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J'adore ce non discours que les journalistes ne relèvent jamais: on parle de "pressions", de besoin de "négociation" comme si c'étaient des moyens en eux-mêmes, sans évidemment jamais même illustrer un peu ce que peuvent être ces moyens.... Ca me rappelle Robert Hue sur la Yougoslavie puis le Kosovo, décrétant que ces crises devaient et pouvaient se résoudre par "la négociation" sans jamais ô grand jamais dire sur base de quoi la France et d'autres auraient bien pu négocier....

...

Je me souviendrai toujours d'un dessin représentant Milosevici devant un téléphone "Ici le répondeur téléphonique de Slobodan Milosevici; laissez vos menaces après le bip!"  =D

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Attention, un peu graphic, on y voit des FSA tués.

Je la poste parce que a partir de 3.40, on y voit un MAS avec une lunette de sniper.

A part en Afrique, j'avais jamais vu cette arme servir ailleurs, probablement un héritage du mandat francais en syrie d'avant guerre.

http://www.liveleak.com/view?i=e71_1345231132

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Apparemment même des anciens détenus libanais en Israël ne sont plus protégés quand ils osent s'exprimer à contre-courant.

Quand la haine anti-Assad dépasse celle anti-israélienne, c'est tout dire.

Le tout, en Tunisie

http://www.businessnews.com.tn/Tunisie---Photos-des-victimes-de-l%C4%80%E2%80%99agression-barbare-des-salafistes-%C4%86%C2%A0-Bizerte-,520,32911,3

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http://www.opex360.com/2012/08/17/les-etats-unis-pourraient-envoyer-50-000-soldats-en-syrie/

Non, ce n’est pas le dernier appel irréaliste de Bernard-Henri Lévy à une intervention militaire pour soutenir les rebelles syriens à Alep qui poussera les Etats-Unis à déployer des soldats en Syrie, mais les armes chimiques du régime de Bachar el-Assad.

En effet, selon l’agence de presse Reuters, qui s’appuient sur des déclarations faites sous le sceau de l’anonymat par des responsables américains et des diplomates, les Etats-Unis planchent sur un scénario catastrophe qui serait susceptible de mobiliser entre 50.000 et 60.000 hommes en Syrie.

Ainsi, dans le cas où le régime syrien s’effondrerait, les forces de sécurité qui le soutiennent seraient susceptibles de se “désagréger”, craint-on à Washington. D’où le problème de la protection des stocks d’armes chimiques, que Damas a accumulé au fil des ans, avec l’aide soviétique, puis iranienne, afin d’arriver à un relatif équilibre stratégique avec Israël.

Et comme la rébellion syrienne compte dans ses rangs des jihadistes et autres suppôts d’al-Qaïda, il n’est pas question de voir ces armes tomber entre leurs mains. Pas plus qu’il n’est envisageable qu’elles puissent revenir au Hezbollah libanais.

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Personnellement, j'ai tendance à penser que c'est aller trop loin pour que Bachar puisse rétablir la situation. Neanmoins, le bordel peut durer encore très longtemps et une intervention étrangère peut faire basculer la guerre d'un coté comme de l'autre.

Témoignage d'un jihadiste "freelance" :  http://fr.news.yahoo.com/abou-zeid-jihadiste-free-lance-au-service-r%C3%A9bellion-073905291.html

Echec de la défection du vice-président syrien : Le régime syrien a affirmé samedi que, contrairement à ce qu'avaient annoncé des télévisions arabes, le vice-président Farouk al-Chareh n'avait pas trahi, tandis que les rebelles ont évoqué l'échec d'une "tentative de défection".

http://fr.news.yahoo.com/brahimi-nomm%C3%A9-m%C3%A9diateur-syrie-o%C3%B9-combats-font-rage-052126939.html

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Je me dis que de toute manière, Bachar, pour lui, c'est quit ou double ! Personne ne voudra de lui en tant que dictateur déchus, pas même la Russie... en gros si il perds c'est un homme mort ! Est-il capable de gazer une ville ? Qui oserait l'attaquer si il lance des armes chimiques sur Alep ?

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Est-il capable de gazer une ville ? Qui oserait l'attaquer si il lance des armes chimiques sur Alep ?

Je ne pense pas qu'il ose employer des armes chimiques : ça fait trop "tache"

Les armes chimiques sont plus une dissuasion vis à vis de l'étranger et un atout au cas où ça tourne mal ( style "je peux vous garantir que ces armes sont stockés et gardés si vous me ménagez une porte de sortie" ) 

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"militairement" on peut résumer comme ça pour le régime :

- Faible contrôle (limité aux grosses agglomérations) dans les villes le long de l'Euphrate (historiquement hostiles au régime), la région de Daraa (au sud) et d'Idlib (au nord)

- Pas de contrôle du tout sur une bande limitée à la frontière turque et sur les zones kurdes

- Alep, contrôle contestée, campagne autour au main de la rébellion

- Damas sous contrôle mais avec des raids et attaques rebelles fréquents

- Homs et Hama plus ou moins matées mais avec toujours des poches de résistance actives dans la campagne.

- Région côtière : calme et sous contrôle. Je n'ai pas vu d'infos sur la situation de Lattaquié depuis un moment même si il y a eu des troubles.

C'est un peu statu quo mais stratégiquement si Bashar ne parvient pas à reprendre Alep avant l'automne ça peut se compliquer sérieusement pour lui.

Si il y parvient ça aura foutu un coup à la rébellion mais ça ne mettra pas fin au conflit.

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