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Guerre nucléaire contre l'Iran


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Il y en aura bien un, un jour, pour être assez fou pour utiliser la bombe atomique.

on croise tous les doigts pour que ça n'arrive pas car celà ouvrira une nouvelle ére dans la stratégie nucléaire qui passera d'une arme de dissuasion destinée à ne pas être employée à une arme comme les autres ( où presque ).
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Lors de son discours devant la 61e assemblée générale de l’ONU, le président américain s’en est violemment pris au régime iranien, qu’il accuse d’ "alimenter l’extrémisme" et d’être le principal obstacle pour l’avenir de son peuple.

George Bush s’en est à nouveau violemment pris au régime iranien, devant les chefs d’Etat du monde entier réunis mardi pour l’Assemblée générale des Nations-Unies. Le président américain s’est adressé directement au peuple d’Iran : «Vos dirigeants ont choisi de vous priver de liberté et d'utiliser les ressources de votre nation pour financer le terrorisme, alimenter l'extrémisme et chercher à se doter de l'arme nucléaire », leur a-t-il lancé depuis la tribune de l’ONU à New-York.

«Vous méritez d'avoir la chance de décider de votre propre avenir, d'avoir une économie qui récompense votre intelligence et vos talents et une société qui vous permette d'utiliser votre énorme potentiel », a poursuivi George Bush, s’adressant toujours aux iraniens, et espérant qu’un jour futur, l'Iran et les Etats-Unis soient de «bons amis et des partenaires proches». Bush a réaffirmé que l’Iran devait renoncer à l’arme nucléaire, mais que les Etats-Unis cherchaient une solution diplomatique à la crise.

Le président américain a ensuite lancé un appel destiné au monde musulman. « Des extrémistes parmi vous affirment que l'Occident est engagé dans une guerre contre l'Islam. Cette propagande est fausse et son but est de semer la confusion et justifier des actes de terroristes. Mon pays désire la paix », a lancé George W. Bush.

« Nous respectons l'Islam », a assuré le président américain. Citant des exemples d’élections libres au Proche et au Moyen-Orient, George Bush a estimé que la démocratie gagnait du terrain dans la région. Un signe positif, selon lui, puisque des individus qui ont des espoirs pour l’avenir « sont moins susceptibles de se faire exploser dans des attaques suicides ». C’est pourquoi il a appelé les irakiens à voter pour un gouvernement démocratique et à soutenir ses futurs leaders contre «les terroristes et les extrémistes ».

George Bush a annoncé un effort diplomatique pour relancer le processus de paix au Proche-Orient. Sa secrétaire d’Etat, Condoleeza Rice, a ainsi reçu pour mission d'aider Palestiniens et Israéliens à aboutir à un règlement de leur différend. Il a également demandé à l’ONU d’«agir» si le gouvernement du Soudan n'acceptait pas rapidement le déploiement d'une force des Nations unies pour faire cesser ce qu'il a qualifié de «génocide» au Darfour

J'adhère totalement.

Et j'ai bien aimé qu'il mette l'accent sur ce délire de persécution, véritable fond de commerce et raison d'exister (les sauveurs, les protecteurs...) des islamistes.

Bon après sur l'avancement de la démocratie au PO, je suis plus dubitatif [50]

Et il est vrai qu'il y a une constante dans l'émergence des nouvelles puissances, c'est la militarisation. Surtout chez les pays riches en énergie, l'argent va en priorité aux programmes militaires.

Sans doute un délire de puissance comme dirait Edith.

Cf Iran, Algérie etc où les peuples se demandent bien où vont toutes les richesses du pétroles. (amusant reportage du Monde il y a peu dans le village d'origine de notre bien-aimé président iranien)

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Loki je crois que nous avons pas la meme conception des choses,mais je respecte ta vision Pour moi tu as beaucoup trop confiance en la nature humaine... L'iran n'est aujourd'hui pas psychologiquement capable de recevoir la bombeH c'est un pays qui a la haine (ca peut se comprendre) ,qui cherche a nuir a Israel et aux USA et a asseoir son pouvoir sur la région.De plus les trop nombreuses provocations de son "président" actuelle ne donnent pas les garantis nécessaire la possesion d'une arme nucleaire. Maintenant il faut avoir le courage de savoir dire stop ou pas.C'est pas quant ils auront la bombe qu'il faudra se poser la question.. ps:contrairement a toi je n'ai aucun complexe a parler de courage,bravour et autres eroïsme,il ne faudrait pas que ces mots deviennent taboo pour tous le monde.

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Loki je crois que nous avons pas la meme conception des choses,mais je respecte ta vision

Pour moi tu as beaucoup trop confiance en la nature humaine...

L'iran n'est aujourd'hui pas psychologiquement capable de recevoir la bombeH

c'est un pays qui a la haine (ca peut se comprendre) ,qui cherche a nuir a Israel et aux USA et a asseoir son pouvoir sur la région.De plus les trop nombreuses provocations de son "président" actuelle ne donnent pas les garantis nécessaire la possesion d'une arme nucleaire.

Maintenant il faut avoir le courage de savoir dire stop ou pas.C'est pas quant ils auront la bombe qu'il faudra se poser la question..

ps:contrairement a toi je n'ai aucun complexe a parler de courage,bravour et autres eroïsme,il ne faudrait pas que ces mots deviennent taboo pour tous le monde.

les américains aussi ne sont pasmatures pour avoir ce genre d'armes vu la manière avec laquelle ils gereent leur politique internationale!
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Les Américain restent etonnamment modérés vu leur puissance.

Jusqu'a preuve du contraire, les iraniens ne veulent que du nucleaire civil non ??

C'est sur on va attendre qu'il la fasse exploser.

Meme plus démocratique ou gouverné par un nouveau Shah, le simple fait que l'Iran ait la bombe signifie la fin du traité NPT, que de nombreux etats musulmans instables s'en dotent a commencer par l'Arabie Seoudite ou la Turquie, que l'Iran puis les autres etats musulmans soient en mesure de dicter leur politique aux pays occidentaux ou d'effectuer des chantages aux approvisionnements pétroliers bien a l'abri derriere leur dissuasion.Ca resterait tout aussi inacceptable meme sans Ahmadinejad et avec un gouvernement Iranien democratique.

Sa changerait toute les relations des pays occidentaux avec le golfe et les pays musulmans.L'islam est trop dangereux.

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Loki je crois que nous avons pas la meme conception des choses,mais je respecte ta vision

Pour moi tu as beaucoup trop confiance en la nature humaine...

j'ai une vision trés sombre en fait mais ma licence d'histoire ayant porté sur le colonialisme européen à l'age moderne , je sais que trés souvent le problème de l sécurité et de la paix dans le monde : c'est l'occident

L'iran n'est aujourd'hui pas psychologiquement capable de recevoir la bombeH

c'est un pays qui a la haine (ca peut se comprendre) ,qui cherche a nuir a Israel et aux USA et a asseoir son pouvoir sur la région.De plus les trop nombreuses provocations de son "président" actuelle ne donnent pas les garantis nécessaire la possesion d'une arme nucleaire.

l'iran n'a pas agressé un seul de ses voisins depuis plus de 200 ans; il n'a pas ( à ma connaissance ) exprimé de revendications térritoriales à l'égard de ses voisins et ne prétend pas être le gendarme du monde où se foutre des résolutions de l'ONU dès que celle-ci sont contraires à ses intérêts ( contrairement aux 2 états cités , qui ( il faut le dire aussi ) ont émis le souhait de changer le régime en Iran bien avant l'arrivée de ahmin....... ) : bref l'iran avec l'arme A où H ; ça ne me dérange pas , mon inquiétude sera plutôt que celà affaiblira encore plus le TNP.

Maintenant il faut avoir le courage de savoir dire stop ou pas.C'est pas quant ils auront la bombe qu'il faudra se poser la question..

je me répète, ce n'est pas une question de courage mais de moyens à la base ... il ne faut pas non plus oublier qu'ils ont des droits et qu'on peut aussi négocier de façon sérieuse avant toute chose.

ps:contrairement a toi je n'ai aucun complexe a parler de courage,bravour et autres eroïsme,il ne faudrait pas que ces mots deviennent taboo pour tous le monde.

moi non plus le courage ne me dérange pas, sauf quand il confine à la folie , à la stupidité où à l'aveuglement ; par ailleurs je préfère le courage des actes à celui des postures.

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Les Américain restent etonnamment modérés vu leur puissance.

C'est sur on va attendre qu'il la fasse exploser.

Meme plus démocratique ou gouverné par un nouveau Shah, le simple fait que l'Iran ait la bombe signifie la fin du traité NPT, que de nombreux etats musulmans instables s'en dotent a commencer par l'Arabie Seoudite ou la Turquie, que l'Iran puis les autres etats musulmans soient en mesure de dicter leur politique aux pays occidentaux ou d'effectuer des chantages aux approvisionnements pétroliers bien a l'abri derriere leur dissuasion.Ca resterait tout aussi inacceptable meme sans Ahmadinejad et avec un gouvernement Iranien democratique.

Sa changerait toute les relations des pays occidentaux avec le golfe et les pays musulmans.L'islam est trop dangereux.

Au sujet de l'allusion en gras : Ta langue a fourchue de dire que la religion des musulmans est trop dangereuse.

Attendre que les Iraniens commencent à faire des essais nucléaires est dangereux pour la région et le TNP.

Pourquoi dis-tu que la Turquie est instable ?

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un article ( trés court ) de la revue Jane's sur l'armée iranienne : Jane's World Armies profile: Iran The Iranian army has active forces of some 345,000 personnel, although a large percentage of this total are 18-month conscripts who generally receive limited training and have marginal military effectiveness. It also has an army reserve of some 350,000 personnel, although these reserves receive negligible training and Iran lacks the equipment, supplies and leadership cadres to make effective use of such resources without months of reorganisation and training. Despite the impressive number of personnel, Iran's armed forces are not equipped with the latest technology and their performance in another major conflict is difficult to predict. The scale of Iran's rearmament programme - launched after its effective defeat in the 1980-1988 war with Iraq when in the final phase of the conflict it lost 40 to 60 per cent of its armour and artillery - has often been exaggerated. Furthermore, much of the equipment that survived this war is becoming obsolete. The army is organised into three army-level headquarters and 10 regular divisions, with independent groups including an airborne brigade, special forces and coastal defences. There is at least one logistics brigade. The 23rd Commando (Special Forces) Division, formed in 1993-1994, is said to have 5,000 trained personnel, all of whom are believed to be regulars, marking an unusual move to full professionalism in an elite unit. The regular armoured divisions are sub-divided into three brigades. The acquisition of new Chinese, Polish and Ukrainian main battle tanks has allowed for this expansion of the armoured forces. There are two brigades within the airborne forces and four special forces brigades within the division. The airborne and special forces are trained at a facility in Shiraz. Field artillery is divided into five regiment-sized groups, with surface-to-surface rockets and missiles under the command of the Iranian Revolutionary Guards Corps (IRGC). During the 1990s there was a notable differentiation in mission between the country's primary security institutions, the IRGC and the regular army. Despite severe economic problems, Iran will continue to maintain the two land force components. As economic conditions allow, the regular army will become more technologically based and more mobile, with an ability to sit well behind screen positions, rapidly reinforcing threatened areas where necessary. The IRGC will focus on less traditional defence duties, particularly those that involve unusual missions or capabilities. These duties range from stopping smuggling and controlling Iran's missile forces, to preparing to close the Straits of Hormuz. In contrast, the army focuses its efforts on more traditional threats. To that end, the regular army will probably attempt to increase the size of the army aviation force, with an increased emphasis on attack and transport helicopters, both of which it is seeking to manufacture domestically. ce que je trouve fréquemment dans les revus anglo-saxones, c'est la condamnation des armées de conscription en arguant de l'inéfficacité des conscrits ; j'avoue que je trouve ce genre de raisonnements un peu définitifs voire condescendants....

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un autre article sur les éventuelles cibles et défenses iraniennes en cas de bombardements : de jane's aussi Iran's conventional forces remain key to deterring potential threats By Michael Knights The key target in any operation, regardless of its scope, would be Iran's nuclear industry. Attacks on Iran's air defences would not seek to cause long-term degradation, although any large-scale operation would require a broader range of air defence targets to be struck. The minimum force packages required for an Israeli or US strike would vary widely. An Israeli strike on even a single Iranian nuclear facility would stretch Israel's nascent long-range strike capability and require innovative basing and airborne refuelling solutions. These operations could be undertaken by F-15I fighter jets with limited post-launch refuelling support or even by F-16I jets using new buddy-refuelling capabilities. Air-launched standoff options such as Popeye missiles or submarine-launched Harpoon or Popeye Turbo missiles might not be able to penetrate hardened nuclear targets, instead being limited to littoral targets. These restrictions strongly suggest that the Bushehr nuclear reactor site is the only facility that offers the right blend of feasibility and payoff for an Israeli strike. The US could choose to engage a larger but still focused set of nuclear targets - for example, Bushehr and key gasification and enrichment facilities - or it could widen the operation to include a range of military and regime targets. Washington would be unlikely to receive support from regional allies and possibly even the UK, which would need to authorise use of the regional airbase at Diego Garcia. As a result, the principal assets used would be long-range land attack cruise missiles, with a small but pivotal direct attack role for the B-2 Spirit stealth bomber. Using ship and submarine-launched Tomahawks or B-52-launched conventional air-launched cruise missiles (CALCM) against the most distant targets would require the US to shoot from a Tomahawk 'basket' or a CALCM 'box' within the Gulf or just east of the Straits of Hormuz, creating major force protection issues in the event of Iranian retaliation. Maintaining air defences Iran is unlikely to seek to develop a fully integrated nationwide air defence system like the Iraqi model of the 1980s. Instead, Iran uses a point defence strategy, with its strongest defences located around strategic points such as Tehran, Esfahan, Kharq Island, Bandar Abbas and Bushehr. Highly integrated local networks of interceptor aircraft and ground-based SAMs will provide layered protection for these areas. They will employ a mobile defence involving the regular relocation of SAMs and a network of low-flying fighters screened by mountain ranges and teamed with F-14A controllers operating at higher altitudes and further inland. The system would aim to ambush penetrating attackers and their supporting AWACS or tankers with salvos of long-range SAM, beyond visual range air-to-air missiles (BVRAAM) fired by F-14As and shorter-ranged air-to-air missiles (AAM) delivered by other fighters.

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et un autre de la même source sur les moyens de représaille : Deterrence by punishment could offer last resort options for Iran By Michael Knights Although the US and Israel might be deterred from launching wider attacks against Iran's scattered and easily reconstituted nuclear programme, certain key targets - such as the Bushehr nuclear power facility - are too exposed to be protected by deterrence by denial. As a result, Iran's conventional defence also depends on a second type of deterrent, known as deterrence by punishment. A country typically threatens to resort to deterrence by punishment when an opponent undertakes an action that the deterring party is unable to prevent. Retrospective retaliation is intended to inflict such a high cost on the attacker that it is forced to change its strategic calculus. Iran is most likely to threaten to use punishment-based deterrence following a limited US military strike or the imposition of a naval blockade or sanctions. In the event of any attack on the Iranian mainland, Tehran might launch limited attacks on US military targets in Iraq and the Gulf states or attack US military shipping. If other countries in the Gulf region were to provide the US with bases for an attack, Iran might also launch assaults against their economic infrastructure. If Iranian exports and imports were blockaded or interdicted, Tehran might respond by attacking oil exports from Gulf Co-operation Council (GCC) states. Anti-shipping missiles Iran's sea, air and land-launched anti-shipping missile arsenal is key to its ability to damage large commercial and military vessels in the Gulf, and for this reason it remains almost entirely under IRGC control. Iran's C-801K and C-802 anti-shipping missiles are advanced sea-skimming missiles. The latter is now indigenously produced as the Noor. Iran's defence industries are upgrading the missile's guidance and improving its ability to be fired "over the horizon" and to acquire targets when it reaches a predestined point. As they require relatively few support vehicles and are capable of quickly firing 12 missiles, these provide survivable close-range anti-shipping missile cover along the Iranian coastline and island chain. Iran is also producing an enlarged and modernised Silkworm (the 150 km land-based Raad anti-shipping missile) to give it long-range reach across the Gulf from the Iranian mainland.

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moi non plus le courage ne me dérange pas, sauf quand il confine à la folie , à la stupidité où à l'aveuglement ; par ailleurs je préfère le courage des actes à celui des postures.

L'un ne peut se passer de l'autre,moi aussi ,crois moi je préfere les actes courageux aux paroles,mais cela est un tout.De plus tu as raisons de dire que dans un forum ,le courage est difficile a prouver mais cela ne doit pas empecher de pouvoir en parler.

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j'ai une vision trés sombre en fait mais ma licence d'histoire ayant porté sur le colonialisme européen à l'age moderne , je sais que trés souvent le problème de l sécurité et de la paix dans le monde : c'est l'occident

On comprend tous.Un "Self hater" qui a honte d'etre un occidental et abreuve de propagande gauchiste et d'histoire déformée dans une université.

L'occident est coupable d'avoir apporté le progres, la médecine, a avoir supprimé le pal comme mode normal d'execution par exemple, d'avoir pratiquer la piraterie en méditerrannée ou de perpétuer l'escalavage au XIX siècle, etc...

C'est nous qui avons agressé le Koweit par exemple....ou les malouines...ou le Tchad...depuis 50 ans.

Pour emonter plus loin les croisades sont de notre faute( le traitement infligé aux Chretiens en pélerinage etait normal) ainsi que la reconquista ou le siège de Vienne.

Nous ne payons pas assez cher nos matières premières...mais on devrait leur donner la bouffe gratis .

LOL.

PS: petite erreur: L'iran a agressé ses voisins depuis 200 ans

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fath_Ali_Shah_Qajar

je ne parle meme pas des attentats contre la France commandité par l'Iran il y a une decennie.

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@ Stratège: modére tes propos, l'Islam n'est ni le souci ni dans le sujet !

Oui d'ailleurs ,j'avais lancé le débat sur une option militaire avec une hypothèse de frappe nucléaire sur l'Iran. 35 pages plus loin...

La préparation d'une véritable guerre contre l'Iran au cours de laquelle des ogives nucléaires pourraient être utilisées est entrée dans sa phase finale. Les partenaires de la coalition qui comprend les USA, Israël et la Turquie sont "dans un état de préparation avancé". Le projet militaire a été approuvé par l'OTAN mais on ne connaît pas encore les modalités de la participation de l'Alliance aux attaques aériennes. Le fait que les USA et Israël préparent un holocauste nucléaire au Proche-Orient ne figure pas au programme des anti-guerre et des anti-mondialisation.

La préparation d'une véritable guerre contre l'Iran au cours des ogives nucléaires pourraient être utlisées est entrée dans sa phase finale. Les partenaires de la coalition qui comprend les USA, Israël et la Turquie sont "dans un état de préparation avancé". Divers exercices militaires sont effectués depuis le début de 2005. De leur côté, les forces armées iraniennes se sont livrées, en décembre, à d'importantes manœuvres dans le golfe Persique en prévision d'une attaque soutenue par les Etats-Unis. Depuis le printemps 2005, on assiste à une intense navette diplomatique entre Washington, Tel-Aviv, Ankara et le quartier général de l'OTAN à Bruxelles. Parmi les derniers événements, il faut mentionner le fait que le directeur de la CIA, Porter Goss, lors d'une mission à Ankara, ait demandé au Premier ministre turc Recep Erdogan 'un soutien politique et logistique en vue du bombardement de cibles nucléaires et militaires iraniennes'. Goss aurait demandé que les Services secrets turcs collaborent de manière particulière à la préparation et à la supervision de l'opération.[1]

Ariel Sharon, quant à lui, a donné à l'armée israélienne le feu vert pour commencer les attaques fin mars.

"Tous les hauts responsables israéliens ont estimé que la fin mars était le dernier délai pour une attaque militaire contre l'Iran. Cette date coïncide avec celle de la remise à l'ONU du rapport de l'AIEA sur le programme d'énergie nucléaire de l'Iran. Des politiciens israéliens pensent que leurs menaces pourraient influencer les auteurs du rapport ou du moins les amener à utiliser des formulations ambiguës sur lesquelles leurs partisans d'outre- Atlantique pourraient s'appuyer pour demander que le Conseil de sécurité décide de prendre des sanctions ou pour justifier des opérations militaires israéliennes."[2]

Le projet militaire soutenu par les Etats-Unis a été approuvé par l'OTAN mais on ne connaît pas encore les modalités de la participation de l'Alliance aux attaques aériennes.

"Shock and Awe" deuxième version

Les différents aspects de l'opération militaire relèvent tous du commandement américain et sont coordonnés par le Pentagone et le quartier général de l'US Strategic Command sur la base aérienne d'Offutt dans le Nebraska. Les opérations annoncées par Israël doivent être menées en étroite collaboration avec le Pentagone. La structure de commandement est centralisée et c'est Washington qui décidera in fine de leur déclenchement. Des sources militaires américaines ont confirmé que l'attaque de l'Iran impliquera un important déploiement de forces semblable au bombardement "shock and awe" (choc et effroi, choquer pour inspirer le respect) de l'Irak en mars 2003.

Selon www.GlobalSecurity.org

"Les attaques aériennes américaines seraient beaucoup plus importantes que l'attaque israélienne du centre nucléaire d'Osirak de 1981 en Irak et rappelleraient plutôt les premiers jours de la guerre aérienne de 2003 contre l'Irak. On pourrait, en utilisant tous les bombardiers Stealth B-2 basés à Diego Garcia ou aux USA et peut être également des Stealth-Fighter F-117 stationnés à Udeid au Qatar ou ailleurs, détruire les deux douzaines d'installations nucléaires suspectes. Les stratèges militaires pourraient dresser une liste de cibles en fonction des préférences du gouvernement américain en limitant les attaques aux installations les plus importantes… ou les USA pourraient opter pour un nombre beaucoup plus important de frappes dirigées contre un vaste éventail de cibles en rapport avec des arsenaux d'armes de destruction massive et des forces armées classiques ou nucléaires susceptibles d'être utilisées pour contre-attaquer les forces américaines en Irak."[3]

En novembre, l'US Strategic Command a effectué un important exercice de "global strike plan" baptisé "Global Lightning". Il s'agissait de la simulation d'une attaque contre un "ennemi fictif" à l'aide d'armes classiques et nucléaires. Ensuite, il a annoncé un état de préparation avancé (cf. notre analyse ci- dessous). Alors que la presse asiatique pensait que l'ennemi fictif était en l'occurrence la Corée du Nord, le moment où a eu lieu l'exercice laisse plutôt supposer que celui-ci avait pour but de préparer une attaque contre l'Iran.

Consensus en faveur d'une guerre nucléaire

Au sein de l'Union européenne, aucune personnalité politique ne s'y est opposée. Des consultations entre Washington, Paris et Berlin sont en cours. Contrairement à l'invasion de l'Irak, qui fut refusée par la France et l'Allemagne au plan diplomatique, Washington a obtenu un consensus au sein de l'OTAN de même qu'au Conseil de sécurité. Ce consensus concerne également une guerre nucléaire qui pourrait affecter une grande partie du Proche-Orient et de l'Asie centrale. De plus, un certain nombre de pays arabes limitrophes sont aujourd'hui des partenaires tacites du projet militaire américano-israélien. En novembre 2004, les plus hauts commandants de l'armée israélienne ont rencontré, au quartier général de l'OTAN à Bruxelles, leurs homologues des six pays riverains de la Méditerranée – Egypte, Jordanie, Tunisie, Maroc, Algérie et Mauritanie. Un protocole de l'OTAN et d'Israël a été signé. A la suite de cette rencontre, les USA, Israël et la Turquie ont effectué des manœuvres communes au large de la Syrie. Et en février 2005, Israël a participé à des exercices militaires et à des manœuvres "antiterroristes" avec quelques pays arabes.

Les médias ont été unanimes à dire que l'Iran représentait une "menace pour la paix dans le monde". Le mouvement pacifiste a avalé ce mensonge. Le fait que les USA et Israël préparent un holocauste nucléaire au Proche-Orient ne figure pas au programme des anti-guerre et des anti-mondialisation. Les "frappes chirurgicales" sont présentées à l'opinion mondiale comme un moyen d'empêcher l'Iran de fabriquer des armes nucléaires. On nous dit que ce n'est pas une guerre mais une opération militaire de maintien de la paix qui consistera à bombarder les installations nucléaires iraniennes.

Les mini-nukes sont-elles sans danger pour les populations civiles?

En révélant certains détails du projet militaire, les articles de presse servent avant tout à masquer l'ampleur de l'opération militaire qui prévoit le recours préventif aux armes nucléaires tactiques. Le projet militaire repose sur la doctrine de la guerre nucléaire "préventive" de l'Administration Bush exposée dans la Nuclear Posture Review de 2002. On a recouru à une large désinformation médiatique afin de dissimuler les conséquences dévastatrices d'une utilisation d'ogives nucléaires contre l'Iran. Le fait que ces "frappes chirurgicales" soient effectuées avec des armes classiques et des armes nucléaires ne fait l'objet d'aucun débat. Depuis la décision du Sénat américain en 2003, les armes nucléaires tactiques (low- yield mini-nukes = mini-bombes nucléaires de faible puissance) de nouvelle génération dont la puissance explosive est égale à 6 fois celle de la bombe d'Hiroshima sont considérées comme "sans danger pour les populations civiles" parce qu'elles explosent sous terre.

Grâce à une campagne de propagande qui s'est assuré le soutien de spécialistes du nucléaire "qui font autorité", on présente les mini-nukes comme des instruments de paix et non de guerre. On en autorise l'emploi sur les champs de bataille. On prévoit de les utiliser dans la prochaine étape de la guerre américaine "contre le terrorisme" parallèlement aux armes classiques. Des membres de l'Administration américaine prétendent qu'on les emploiera comme des armes dissuasives crédibles à l'égard des Etats voyous (Iran, Corée du Nord). "Leur raisonnement est que les armes nucléaires existantes sont trop destructrices pour être employées en dehors d'une guerre nucléaire de grande envergure. Les ennemis potentiels s'en rendent compte, si bien qu'ils ne croient pas à la menace d'une riposte nucléaire. Les mini-nukes sont moins destructrices et il est donc plus probable qu'on y ait recours. Cela en fait un moyen de dissuasion plus efficace".[4]

A l'aide d'un raisonnement complètement faux, les armes nucléaires sont présentées comme un moyen de maintenir la paix et d'éviter les dommages collatéraux. Dans ce contexte, le Pentagone a laissé entendre que les mini-nukes, avec leur puissance de moins de 5000 tonnes, étaient sans danger pour les populations civiles, l'explosion ayant lieu sous terre. Toutefois, en ce qui concerne leur puissance explosive et les retombées radioactives potentielles, chacune de ces bombes représente une fraction importante de la bombe d'Hiroshima. On estime la puissance explosive des bombes larguées sur Hiroshima et Nagasaki à respectivement 15 000 et 21 000 tonnes.[5] Autrement dit, la puissance explosive des mini-nukes représente le tiers de celle de la bombe d'Hiroshima.

La nouvelle définition de l'ogive nucléaire a estompé la différence entre arme classique et arme nucléaire: Selon Hans Kristensen, du Nuclear Information Project, "c'est un ensemble (armes armes classiques et armes nucléaires). Il en résulte manifestement que l'arme nucléaire cesse d'appartenir à une catégorie à part, celle d'une arme de dernier recours, pour n'être plus qu'un outil parmi d'autres».[6]

Nous nous trouvons à un tournant dangereux: les stratèges militaires croient déjà à leur propagande: les manuels militaires prétendent que cette nouvelle génération d'armes nucléaires peut être utilisée "sans risques" sur les champs de bataille. Ce ne sont plus des armes de dernier recours. Les politiques ne s'opposent plus à leur utilisation. A ce propos, le sénateur Edward Kennedy a accusé le gouvernement Bush d'avoir développé "une génération d'armes nucléaires plus praticables". La communauté internationale a approuvé une guerre nucléaire au nom de la paix dans le monde. "Rendre le monde plus sûr", telle est la justification d'une opération militaire qui pourrait aboutir à un holocauste nucléaire. Mais les holocaustes nucléaires ne font pas la une des journaux.

Selon Mordechai Vanunu, le gouvernement israélien se prépare à utiliser l'arme nucléaire dans sa prochaine guerre contre le monde islamique. Là où je vis, les gens parlent souvent de l'Holocauste. Mais chaque bombe nucléaire, quelle qu'elle soit, représente un holocauste: elle peut tuer, détruire des villes, anéantir des peuples entiers.[7]

Unité de commandement pour des attaques sur terre et dans l'espace

Une attaque préventive avec des armes nucléaires tactiques serait coordonnée par l'US Strategic Command et l'Offutt Air Force Base au Nebraska en collaboration avec des unités de commandement des USA et de la coalition du golfe Persique, de la base militaire de Diego Garcia, d'Israël et de la Turquie. L'US Strategic Command a pour mandat de "superviser un plan d'attaque global" qui prévoit l'utilisation d'armes classiques et d'armes nucléaires. En jargon militaire, il doit "jouer le rôle d'un intégrateur global responsable d'opérations dans l'espace, d'information, de défense anti-missiles intégrée, de commandement et de contrôle globaux, de renseignement, de surveillance, de reconnaissance, d'attaque globale et de dissuasion stratégique…".

En juin 2005, au début des préparatifs de guerre contre l'Iran, l'US Strategic Command a été reconnu "premier commandement de l'intégration et de la synchronisation des efforts du ministère de la Défense en vue de la lutte contre les armes de destruction massive". Pour accomplir cette tâche, une toute nouvelle unité de commandement a été créée, la Joint Functional Component Command Space and Global Strike (JFCCSGS). Elle a pour mission de superviser le déclenchement d'une attaque nucléaire conformément à la Nuclear Posture Review (NPR) adoptée par le Congrès en 2002. Celle-ci prévoit l'utilisation préventive d'ogives nucléaires non seulement contre les Etats voyous mais contre la Russie et la Chine. Depuis novembre, le JFCCSGS doit, après les exercices militaires appropriés, "se trouver en état de préparation avancé". C'est ce qu'a déclaré début décembre l'US Strategic Command. Cette unité doit être capable "d'atteindre rapidement des cibles dans le monde entier, et cela en utilisant aussi bien des armes classiques que des armes nucléaires". Les exercices effectués en novembre concernaient "un pays fictif que l'on supposait être la Corée du Nord"[8].

"A partir du 18 novembre, la nouvelle unité (le JFCCSGS) remplit les conditions nécessaires pour pouvoir se dire opérationnelle." Une semaine avant cette annonce, l'unité achevait un exercice de poste de commandement baptisé Global Lightning, qui était lié à un autre exercice, appelé Vigilant Shield, dirigé par le North American Aerospace Defense Command (NORAD) qui est chargé de la défense anti-missiles en Amérique du Nord. "Après avoir effectué plusieurs nouvelles missions en 2002, l'US Strategic Command a été réorganisé afin d'assurer une meilleure collaboration et d'être plus attentif aux relations entre les différentes fonctions", a déclaré le capitaine de la Marine James Graybeal, premier porte-parole de l'US Strategic Command. "Avant le mois de mai de cette année, le JFCCSGS avait publié un concept d'opérations et commençait à préciser les conditions nécessaires à sa réalisation jour après jour et son processus de planification intégré. Les performances de l'unité pendant l'exercice Global Lightning ont montré qu'elle était prête à réaliser sa mission consistant à prouver ses capacités de frappe intégrée dans le monde et dans l'espace afin de dissuader les agresseurs et, si l'ordre en est donné, de vaincre l'adversaire au moyen de mesures globales communes visant à appuyer l'US Strategic Command de manière décisive", a-t-il ajouté sans donner de détails sur les "nouvelles missions" de cette unité de commandement qui compte environ 250 personnes.

Des spécialistes du nucléaire et des sources gouvernementales ont précisé qu'une de ses principales missions serait de mettre en oeuvre la Nuclear Posture Review de 2001 qui inclut une option consistant à attaquer des Etats voyous qui possedent des armes de destruction massive.[9]

Concept plan (CONPLAN) 8022

Le JFCCSGS est dans un état de préparation avancé en ce qui concerne le déclenchement d'attaques visant l'Iran ou la Corée du Nord. La mise en oeuvre opérationnelle d'une attaque globale est appelée Concept Plan (Conplan) 8022. Il est décrit comme étant "un plan concret que la Marine et l'Armée de l'air traduisent en attaques coordonnées de leurs sous-marins et de leurs bombardiers.(ibid.) COMPLAN 8022 est "le plan général des scénarios stratégiques préparés qui impliquent l'usage d'armes nucléaires". "Il est particulièrement centré sur les nouvelles formes de menaces – Iran, Corée du Nord – de même que sur les proliférateurs et les terroristes potentiels." Selon Kristensen, "rien ne permet de dire qu'ils n'utiliseront pas le CONPLAN 8022 à une échelle réduite contre des cibles russes ou chinoises». (cf. note 11)

La mission du JFCCSGS est de mettre en oeuvre le CONPLAN, c'est-à-dire de déclencher une guerre nucléaire contre l'Iran. Le Commandant en chef des Forces armées, en l'occurrence George W. Bush, chargerait le Secrétaire à la Défense qui, à son tour, chargerait les chefs d'état-major des trois armées d'activer le CONPLAN 8022. Ce dernier est différent des autres opérations militaires: il n'envisage pas le déploiement de forces terrestres. Il prévoit une opération à petite échelle. Un plan militaire typique comprend un mélange des trois armées – armée de l'air, marine et armée de terre – et prend en compte les aspects politiques et logistiques nécessaires au soutien de ces forces dans des opérations d'une certaine durée. Le plan d'attaque globale est offensif, il est déclenché par la perception d'un danger imminent et exécuté sur ordre du Président. (William Arkin, Washington Post, mai 2005)

A vrai dire, la capacité de pénétration en profondeur de la [bombe nucléaire] B61-11 est limitée. Des essais ont montré qu'elle ne pénétrait que jusqu'à quelque 20 pieds [environ 6,6 m] dans un terrain sec lorsqu'elle était larguée d'une altitude de 40 000 pieds [environ 13 km]. Même ainsi – elle s'enfonce dans le sol avant d'exploser – une proportion beaucoup plus grande d'énergie explosive, en comparaison avec les explosions en surface, a pour effet d'ébranler le sol. Toute tentative de l'utiliser en milieu urbain cependant occasionnerait des pertes humaines considérables. Même avec une bombe de faible puissance (moins d'une kilotonne), l'explosion creuserait un énorme cratère, éjectant des quantités de matières radioactives qui émettraient un rayonnement gamma léthal sur une vaste étendue. (www.fas.org/faspir/2001/v54n1/weapons.htm)

Le rôle d'Israël - Extension de la guerre

Depuis la fin de 2004, Israël stocke des armes classiques et nucléaires made in USA en prévision d'une attaque contre l'Iran. Ce stockage, financé par l'aide militaire américaine, était quasi terminé en juin 2005. Israël a reçu des Etats-Unis plusieurs milliers "d'armes intelligentes lancées depuis des avions" dont quelque 500 bombes anti-bunker qui peuvent également être utilisées comme vecteurs de bombes nucléaires tactiques. La bombe B61-11 est la "version nucléaire" de la BLU 113 classique. Elle peut être lancée à peu près de la même manière que es bombes anti-bunker classiques. En outre, comme on l'a appris à la fin de 2003, des sous-marins Dolphin israéliens équipés de missiles Harpoon américains armés d'ogives nucléaires sont actuellement dirigés vers l'Iran.

Fin avril 2005, vente à Israël de bombes antibunker GBU28. Au moment de la visite de Poutine en Israël, la Defence Security Cooperation Agency (Département américain de la Défense) a annoncé la vente à Israël de 100 nouvelles bombes anti-bunker fabriquées par Lockheed Martin. Les médias ont vu là "un avertissement à l'Iran à propos de ses ambitions nucléaires". La vente concerne les "Guided Bomb Unit-28 (GBU28) BLU-113 Penetrator" (qui comprennent l'unité de guidage WGU-36A/B et un équipement de soutien). La GBU-28 est décrite comme une arme spéciale prévue pour détruire des centres de commandement profondément enterrés. Le fait est que cette bombe compte parmi les armes classiques les plus meurtrières que l'on connaisse car elle peut tuer des milliers de civils. Elle a été utilisée lors de l'invasion de l'Irak en 2003. L'armée de l'air israélienne prévoit d'en équiper ses bombardiers F-15.

( www.dsca.osd.mil/PressReleases/36-b/200 … rected.pdf )

Extension de la guerre

L'Iran a confirmé qu'il riposterait s'il était attaqué en lançant des missiles balistiques sur Israël (CNN, février 2005). Ces attaques pourraient aussi viser des installations militaires américaines en Irak et dans le golfe Persique, ce qui conduirait immédiatement à un scénario d'escalade militaire et à une guerre totale. Actuellement, il y a trois théâtres distincts d'opérations militaires: l'Afghanistan, l'Irak et la Palestine. Les attaques aériennes contre l'Iran pourraient contribuer à déclencher une guerre dans une vaste région comprenant le Moyen-Orient et l'Asie centrale. En outre, l'attaque prévue de l'Iran devrait également être envisagée en relation avec le retrait - opportun - des troupes syriennes du Liban qui a libéré un nouvel espace au déploiement de forces israéliennes. Et autre facteur à signaler: la participation de la Turquie à l'opération militaire américano- israélienne, qui résulte de l'accord conclu l'année dernière entre Ankara et Tel-Aviv.

Plus récemment, Téhéran a renforcé sa défense aérienne en achetant 29 systèmes anti-aériens russes Tor M-1. En octobre dernier, avec la collaboration de Moscou, "une fusée russe a placé en orbite un satellite espion, le Sinah-1". Le Sinah-1 n'est que le premier de plusieurs satellites iraniens qui doivent être mis en orbite par les Russes au cours des prochains mois. Ainsi, l'Iran possédera bientôt un réseau de satellites constituant un système de préalerte en cas d'attaque israélienne, bien qu'il s'agisse là de peu de chose en regard des puissants espions aériens israéliens et américains capables de détecter les moindres mouvements de la barbe des mullahs de Téhéran. De plus, selon le Sunday Times, la Russie a signé à la fin du mois dernier un contrat d'un milliard de dollars portant sur la vente à l'Iran d'un système de défense moderne capable de détruire des missiles guidés et des bombes guidées au laser. Il sera opérationnel au cours des prochains mois.

Guerre terrestre

Bien que le CONPLAN n'envisage pas une guerre terrestre, les bombardements aériens pourraient y mener. Des troupes iraniennes pourraient passer la frontière avec l'Irak et s'opposer aux forces de la coalition en Irak. Des troupes israéliennes et ou des forces spéciales pourraient entrer au Liban et en Syrie. Actuellement, Israël prévoit d'effectuer des exercices militaires et de déployer des forces spéciales dans les régions montagneuses de Turquie qui jouxtent l'Iran et la Syrie, cela avec la collaboration du gouvernement d'Ankara. Ankara et Israël ont conclu un accord qui autorise ce dernier à effectuer des manœuvres dans les régions montagneuses de la Turquie situées à la frontière avec l'Iran.

Selon un journal des Emirats arabes unis, et conformément à l'accord conclu entre le chef d'état-major de l'armée israélienne Dan Halutz et des hauts responsables turcs, Israël va effectuer diverses manœuvres dans les régions situées aux frontières avec l'Iran et la Syrie. Citant certaines sources sans les nommer, le journal en question insiste sur le fait qu'Israël a formulé cette demande en raison des difficultés à passer un hiver dans les territoires montagneux près des frontières avec l'Iran. Deux unités vont participer à ces exercices dont la date n'a pas encore été fixée. Ce sont les plus importantes unités militaires spéciales d'Israël. Elles ont pour mission de combattre le terrorisme et sont spécialisées dans la guérilla Auparavant, la Turquie avait autorisé l'entraînement de pilotes israéliens dans la région jouxtant l'Iran. La nouvelle de l'accord a été diffusée au moment où des responsables turcs essaient d'échapper à l'accusation de coopérer avec les Etats-Unis dans des opérations d'espionnage à l'encontre de la Syrie et de l'Iran. Depuis la semaine dernière, la presse arabe a publié divers articles indiquant qu'Ankara est disposé, du moins en principe, à engager des négociations sur la mise à disposition de ses espaces terrestre et aérien pour des opérations dirigées contre l'Iran.

Conclusions

Les conséquences de tout cela sont effrayantes. La "communauté internationale" a accepté l'éventualité d'un holocauste nucléaire. Les décideurs sont aveuglés par leur propre propagande. L'Europe de l'Ouest et l'Amérique du Nord sont parvenues à un consensus concernant des attaques aériennes au moyen d'armes nucléaires tactiques sans prendre en compte leurs effets dévastateurs.

Cette aventure militaire motivée par la recherche du profit est une menace pour l'avenir de l'humanité. Ce qu'il faut dans les mois qui viennent, c'est un grand mouvement, national et international, qui brise la conspiration du silence, qui reconnaisse les dangers, qui mette ce projet de guerre au centre des débats politiques et de l'attention des médias, à tous les niveaux, qui exige des chefs politiques et militaires qu'ils prennent position contre cette guerre nucléaire patronnée par les Etats-Unis. En dernière analyse, ce qu'il faut, c'est de lourdes sanctions internationales à l'encontre des Etats-Unis et d'Israël.

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On comprend tous.Un "Self hater" qui a honte d'etre un occidental et abreuve de propagande gauchiste et d'histoire déformée dans une université.

tu devrais éviter les attaques personelles, j'ai tout à fait le droit d'avoir ma propre vision du passé de mon pays ....... sans avoir à subir tes préjugés idiots

L'occident est coupable d'avoir apporté le progres, la médecine, a avoir supprimé le pal comme mode normal d'execution par exemple, d'avoir pratiquer la piraterie en méditerrannée ou de perpétuer l'escalavage au XIX siècle, etc...

C'est nous qui avons agressé le Koweit par exemple....ou les malouines...ou le Chad...depuis 50 ans.

trop drôle : les occidentaux ont largement pratiqué la traite et l'esclavage, ils ont détruits l'économie indienne , le bilan du colonialisme a été revu par les historiens ( il est maintenant considéré avoir commis des dizaines de millions de morts et être une des causes majeures du sous-développement ....), ajoute à ça quelques génocides et des guerres innombrables.........( et je passe sur le reste ) ; à un moment il faut aussi être lucide sur le passé de son propre pays si on veut avancer

Pour emonter plus loin les croisades sont de notre faute( le traitement infigé aux crhretien etait normal) ainsi que la reconquista ou le siège de Vienne.

tu remarqueras que les croisades c'est trés loin et le siège de vienne ( le deuxième ) date du XVIIiè siècle........ depuis on a quand même envahi la quasi-totalité de la planéte ( mais je suppose que le colonialisme et l'impérialisme occidental c'est aussi de la faute de l'Islam )

Nous ne payons pas assez cher nos matières premières...mais on devrait leur donner la bouffe gratis .

LOL.

PS: petite erreur: L'iran a agressé ses voisins depuis 200 ans

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fath_Ali_Shah_Qajar

ah oui désolé : 180 ans au lieu de 200 ans ( ça change quoi ? )

je ne parle meme pas des attentats contre la France commandité par l'Iran il y a une decennie.

il ne fallait pas aider l'irak à envahir l'iran; quand on choisit son camp on assume aussi les conséquances.

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PS: petite erreur: L'iran a agressé ses voisins depuis 200 ans

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fath_Ali_Shah_Qajar

je ne parle meme pas des attentats contre la France commandité par l'Iran il y a une decennie.

petite precision Stratege,On parle de l'Iran et pas de la Perse.La Perse etait un empire,l'Iran un pays souverain.
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stratege, il faut savoir que le monde musulman ne deteste pas l'occident par ce qu'il est democratique ou plus avancé ou encore parce que les fammes y sont plus belles [08] Il existe bcp de liens entre ces deux monde (ne seraient qu'economiques ou sociaux). il y'a des millions de musulmans qui vivent en europe et aux us je te rapele. mais c'est vrai qu'il y'a un clash, qui est nait de par l'arrogance de l'occident et particulier les us. Les musulmans ne veulent pas faire le jihad parce qu’ils l’aiment. les américains (et l’occident derrière) en se montrant impérialistes ne voyant dans le monde que des ressources à la manière des romains ont créé un sentiment de haine, je dirais légitime envers leurs politiques. Légitimes oui, parce que les pays musulmans ne sont pas faits pour se soumettre et d’ailleurs aucun homme sur terre ne doit l’être. Le fait que les occidentaux se montrent hypocrites et prônent la démocratie en public pour les peuples alors qu’ils soutiennent les dictatures mises en place par leurs soins, rend leur image fade. C’est normal mon cher que les gens haïssent l’occident avec tout ça. Et n’oublions pas le soutien inconditionnel à Israël, et ne pas se soucier des enfants, femmes et vieillards tués chaque jour froidement par le tsahal. Et puis on se fout royalement des questions de fidèles et d’infidèles. Les musulmans ne cherchent pas à étendre l’étendard vert sur le monde. Ils n’ont en rien à faire ! On ne déteste pas le progrès occidental, à un moment on vous a offert la philosophie grecque peaufinée sur un plateau d’or. Les musulmans ne détestent pas l’occident, c’est l’occident qui ne veut pas comprendre qu’il se comporte injustement. j'espere que tu compredra ça stratege

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