dark sidius Posté(e) le 12 décembre 2014 Share Posté(e) le 12 décembre 2014 Aucune chance de réussite avec ce genre de concept, c'est envoyer directement les astronautes au cimetière nous n'avons pas les technologies nécessaire et au mieux peut être dans un siècle ce sera possible. Le seul moyen de voyager dans le système solaire sera par la fusion nucléaire pour produire assez d'énergie pour réduire le temps de trajet de moitié, avec la vision de Boeing c'est comme traverser le Pacifique sur une planche a voile autant de chance d'y arriver. Et de toute façon il faudrait envoyer au moins 2 vaisseaux par sécurité pour avoir un début de chance de revenir. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 12 décembre 2014 Share Posté(e) le 12 décembre 2014 Aucune chance de réussite avec ce genre de concept, c'est envoyer directement les astronautes au cimetière nous n'avons pas les technologies nécessaire et au mieux peut être dans un siècle ce sera possible. Le seul moyen de voyager dans le système solaire sera par la fusion nucléaire pour produire assez d'énergie pour réduire le temps de trajet de moitié, avec la vision de Boeing c'est comme traverser le Pacifique sur une planche a voile autant de chance d'y arriver. Et de toute façon il faudrait envoyer au moins 2 vaisseaux par sécurité pour avoir un début de chance de revenir. Je vois pas trop pourquoi ce serait les envoyer au cimetière ? Ça me parait un concept plutôt intéressant puisqu'il se base basiquement sur ce qu'on sait faire de manière fiable aujourd'hui. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Flippy Posté(e) le 12 décembre 2014 Share Posté(e) le 12 décembre 2014 Aucune chance de réussite avec ce genre de concept, c'est envoyer directement les astronautes au cimetière nous n'avons pas les technologies nécessaire et au mieux peut être dans un siècle ce sera possible. Le seul moyen de voyager dans le système solaire sera par la fusion nucléaire pour produire assez d'énergie pour réduire le temps de trajet de moitié, avec la vision de Boeing c'est comme traverser le Pacifique sur une planche a voile autant de chance d'y arriver. Et de toute façon il faudrait envoyer au moins 2 vaisseaux par sécurité pour avoir un début de chance de revenir. On a déjà toutes les technologies nécessaires pour une mission habitée vers Mars. Si on ne le fait pas c'est juste qu'une telle mission (en l'état actuel des choses) couterait beaucoup trop cher... sans doute plusieurs centaines de milliard de dollars ! PS : à propos de la traversée du pacifique sur une planche à voile : http://fr.wikipedia.org/wiki/Rapha%C3%ABla_le_Gouvello Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dino Posté(e) le 12 décembre 2014 Share Posté(e) le 12 décembre 2014 C'est intéressant en effet d'imaginer comment faire le voyage avec les technologies actuelles, mais je pense aussi comme dark sidius (pour une fois ! :p) que le voyage ne sera pas réalisé sans temps de trajet beaucoup plus court. Par contre je ne suis pas sur que cela prendra un siècle grâce à l'arrivée de moteurs comme VASIMR. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Flippy Posté(e) le 12 décembre 2014 Share Posté(e) le 12 décembre 2014 Si on a pas peur il y a toujours la solution NERVA ou Orion. Par contre il ne faudra pas se planter au moment du décollage :lol:. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 13 décembre 2014 Share Posté(e) le 13 décembre 2014 Pour aller sur Mars il faudra lever le tabou du nucléaire spatial. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chronos Posté(e) le 13 décembre 2014 Share Posté(e) le 13 décembre 2014 Je n'ai plus la lettre du traité de 1964 en tête mais il me semble qu'il est interdit d'y envoyer des armes nucléaires (des armes de toutes natures même je crois) pas un réacteur destiné à alimenter un vaisseau. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 13 décembre 2014 Share Posté(e) le 13 décembre 2014 Moins que l'aspect légal, j'avais en tête l'opprobre qui plane sur le nucléaire civil dans l'opinion et les politiques. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chronos Posté(e) le 13 décembre 2014 Share Posté(e) le 13 décembre 2014 On a déjà toutes les technologies nécessaires pour une mission habitée vers Mars. Si on ne le fait pas c'est juste qu'une telle mission (en l'état actuel des choses) couterait beaucoup trop cher... sans doute plusieurs centaines de milliard de dollars ! PS : à propos de la traversée du pacifique sur une planche à voile : http://fr.wikipedia.org/wiki/Rapha%C3%ABla_le_Gouvello http://www.thedailysail.com/files/article_images/90AC62063FDB208E80257139002BD59A_topl_1.jpg ça a plus la taille d'une pirogue polynésienne en fait. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 13 décembre 2014 Share Posté(e) le 13 décembre 2014 Et il y a le Kon-Tiki. Qu'elle extraordinaire aventure ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chronos Posté(e) le 14 décembre 2014 Share Posté(e) le 14 décembre 2014 Moins que l'aspect légal, j'avais en tête l'opprobre qui plane sur le nucléaire civil dans l'opinion et les politiques. A noter toutefois, une nette progression de la technologie des batteries. A voir si la chose sera transposable dans l'espace. http://www.technologyreview.com/news/532311/a-battery-to-prop-up-renewable-power-hits-the-market/?utm_campaign=socialsync&utm_medium=social-post&utm_source=twitter Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
stormshadow Posté(e) le 15 décembre 2014 Share Posté(e) le 15 décembre 2014 On a déjà toutes les technologies nécessaires pour une mission habitée vers Mars. Si on ne le fait pas c'est juste qu'une telle mission (en l'état actuel des choses) couterait beaucoup trop cher... sans doute plusieurs centaines de milliard de dollars ! Avec des plans comme Mars Direct/Semi Direct, cela ne couterait que quelques dizaines de milliards de dollars sur 20 ans (10 ans de dèvellopement et 10 ans de missions/5 missions). Par exemple avec Mars Direct c'est 2 lancements de SLS néssécaire pour envoyer 4 astronautes sur Mars contre 7 pour le plan de Boeing et avec bien plus de sécurité (aucun rendez vous/assemblage en orbite par exemple). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 15 décembre 2014 Share Posté(e) le 15 décembre 2014 Avec des plans comme Mars Direct/Semi Direct, cela ne couterait que quelques dizaines de milliards de dollars sur 20 ans (10 ans de dèvellopement et 10 ans de missions/5 missions). Par exemple avec Mars Direct c'est 2 lancements de SLS néssécaire pour envoyer 4 astronautes sur Mars contre 7 pour le plan de Boeing et avec bien plus de sécurité (aucun rendez vous/assemblage en orbite par exemple). Mmmh ça date des années 90 ce truc ^^ et ils m'ont l'air très très très très très optimistes sur les prix. Je pense que si on veut faire autre chose que planter un drapeau sur mars et repartir on a tout intérêt a ne pas faire un voyage directe vers mars. Et ne pas hésiter a mettre en place des stations spatiales pour faire étape. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
stormshadow Posté(e) le 15 décembre 2014 Share Posté(e) le 15 décembre 2014 (modifié) Mmmh ça date des années 90 ce truc ^^ et ils m'ont l'air très très très très très optimistes sur les prix. Le prix de Mars semi direct a été calculé par la NASA en 1992: 55 milliards de dollars soit 93 milliars de dollars 2014 pour 3 missions (coûts de dévellopement compris) amenant chacune 6 astronautes à la surface de Mars soit 18 astronautes, plus que les missions apollo. Mars direct coûterait bien moins cher vu qu'il faut 2 lancement par missions au lieu de 3 pour Mars semi direct et dévelloper 2 vaisseaux au lieu de 3. Et ce shéma peut être utilisée pour explorer la lune/les astéroides. Je pense que si on veut faire autre chose que planter un drapeau sur mars et repartir on a tout intérêt a ne pas faire un voyage directe vers mars. Et ne pas hésiter a mettre en place des stations spatiales pour faire étape. Dans ce cas là il faut utiliser des navette SSTO reutilisables pour les transferts entre l'orbite et la surface de Mars combiné à des dépôts de carburant en orbite autour de la Terre et Mars. http://www.nss.org/settlement/mars/AccessToMars.pdf Modifié le 15 décembre 2014 par stormshadow Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 15 décembre 2014 Share Posté(e) le 15 décembre 2014 Oui je pense qu'il faudra compter dans les 8 a 10Md$/ans pour un tel programme. rien que SLS coûte déjà presque 20Md$. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Flippy Posté(e) le 15 décembre 2014 Share Posté(e) le 15 décembre 2014 (modifié) Ça reste quand même très théorique ce genre de coût et sans doute un poil optimiste (histoire de ne pas trop effrayer les gouvernements ou autres investisseurs). Pour moi la référence ça reste quand même le programme Apollo : pas loin de 130 milliards de $ (en dollars actuel) sur 14 ans... juste pour aller "à côté" de la Terre. Certes la technologie a fait pas mal de progrès depuis mais d'un autre côté les US n'ont plus les moyens de faire ça tout seul, donc coopération internationale avec toute les conséquences que l'on connait en terme de coût et d'industrialisation... Comme seb24 je pense à un prix de 8-10 Mds$/ans (comme du temps d'Apollo) et je doute que l'on puisse descendre en dessous. Modifié le 15 décembre 2014 par Flippy Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Divos Posté(e) le 17 décembre 2014 Share Posté(e) le 17 décembre 2014 Je pense que ça sert a rien d,aller sur mars si on pas au moins une souce d’énergie et d'eau sur place Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Conan le Barbare Posté(e) le 5 février 2015 Share Posté(e) le 5 février 2015 http://www.portail-aviation.com/2015/02/terraformation-ou-1000-ans-pour-rendre.html#more On a déjà expliqué sur ce forum pourquoi cette technique était à la terra formation de Mars ce que Mars One était à la colonisation de Mars. Draken va s'énerver derrière son écrans en lisant l'article :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 9 mars 2015 Auteur Share Posté(e) le 9 mars 2015 Une dynamo à glace sèche pour les colons martienshttp://www.futura-sciences.com/magazines/matiere/infos/actu/d/physique-dynamo-glace-seche-colons-martiens-57426/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 7 février 2016 Auteur Share Posté(e) le 7 février 2016 Send Humans to Mars Orbit, Not the Surface (Op-Ed) http://www.space.com/31856-astronauts-mars-orbit-space-station.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 8 février 2016 Share Posté(e) le 8 février 2016 Réutillser des modules de la station spatiale internationale en orbite martienne ? Pourquoi pas, mais pour moi, autant les envoyer autour de la Lune plus proche d'abord pour y prendre de l'expérience sur un telle opération. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 19 octobre 2016 Auteur Share Posté(e) le 19 octobre 2016 Opinion: How To Colonize Mars http://aviationweek.com/space/opinion-how-colonize-mars traduction auto Dans un mois, l'aspiration à envoyer des humains vers Mars semble avoir atteint un nouveau niveau d'exposition médiatique. Blue Origin First Jeff Bezos a révélé son plan pour construire la nouvelle Glenn, une fusée avec le potentiel d'envoyer des humains dans l' espace. Puis SpaceX PDG Elon Musk a présenté sa vision de la façon dont nous pourrions navette vers et depuis Mars dans quelques décennies. Et deux semaines plus tard, le président Obama a écrit un éditorial appelant pour l' Amérique de mettre le cap sur l' envoi d' humains vers Mars par les années 2030. avec l'ambition d'y rester pendant une période prolongée. En venant de différents angles, tant Musk et Obama ont insisté sur la nécessité d'un partenariat public-privé pour atteindre ces objectifs ambitieux. Le principal objectif de Musk est de faire le voyage vers Mars abordable pour autant de personnes que possible. Son hypothèse est que si l'on peut abaisser les coûts au coût médian d'une maison dans le 200000 puis US- $ il y aura une masse critique de personnes qui peuvent se permettre et sont prêts à aller. Afin d'atteindre ce seuil d'abordabilité, il croit que l'argent du gouvernement sera nécessaire le long du chemin, d'où la nécessité d'un partenariat public-privé. Crédit: NASA / KSC Le but principal de Obama est de stimuler l'innovation, d'inspirer une nouvelle génération de scientifiques et d'ingénieurs et, finalement, faire revivre l'esprit pionnier de son pays qu'il a conduit à remporter la première course de l'espace à la Lune. Il croit aussi un partenariat entre le gouvernement et le secteur privé sera bénéfique, si seulement d'exploiter et de soutenir l'Amérique ingéniosité entrepreneuriale et derring-do. Pourtant, malgré ces belles intentions, il faut se demander ce qu'est un partenariat public-privé signifierait dans un tel contexte. La coopération entre les secteurs public et privé dans l'industrie aérospatiale est habituellement environ un soutien financier de l'autre-par exemple, les institutions privées qui aident les projets gouvernementaux de fonds par le biais de mécanismes tels que l'Initiative Finance du projet ou de fonds publics de financement des projets privés par le biais de contrats ou prêts préférentiels R & D. Dans le cas d'établir une présence à long terme sur Mars, cependant, le financement est peu probable que le principal obstacle. Si quoi que ce soit, à en juger par le montant de latrésorerie et le niveau d'endettement, le secteur privé est aujourd'hui plus riche que le secteur public, et les ressources financières des grandes sociétés technologiques comme Google, Amazon ou Microsoft nain ceux de la NASA . Donc , il se pourrait bien que le seul secteur privé pourrait financer l'effort. Toutefois, cela ne signifie pas que la coopération avec le secteur public ne soit pas nécessaire. En fait, il est absolument essentiel, mais pas principalement pour des raisons financières. Comme pour toute nouvelle entreprise, l' offre et la demande doivent rencontrer quelque part pour atteindre le succès. Les fanatiques de la technologie, les milliardaires d'Internet, géants de l' entreprise et la NASA prendront soin de la fourniture de roquettes et de l'infrastructure spatiale, et la course est déjà à être le premier à transporter un homme sur Mars. Mais qu'en est- il de la demande? Je ne parle pas de demande de la part des gens prêts à payer pour aller sur Mars; ce sera probablement marginal par rapport au total des coûts d'aller et de s'y installer. Ce qu'il faut plutôt considérer est la «demande» de lacolonisation de Mars afin de rendre l' homme une espèce multiplanet et ainsi atténuer tout risque d'extinction sur Terre. Pour que le projet soit viable, il doit y avoir une masse critique de personnes qui achètent dans la vision et l'idée que cela vaut la peine. Pour cela, aller sur Mars doit être vendu non pas comme une croisière de luxe pour les touristes de l'espace , mais comme une mission d'intérêt public et, peut-être de la valeur-humanitaire universelle, et cela nécessitera une quantité importante de ressources publiques. C'est là l'approche de Musk est erronée. S'il croit vraiment que ce qui est en jeu est la survie à long terme de l'humanité, il ne devrait pas attendre à payer les gens de 200.000 $ pour le voyage. Au lieu de cela, et voilà pourquoi un véritable partenariat public-privé est nécessaire, il devrait être annoncé comme un emploi à la fonction publique pour aider à établir une colonie humaine sur Mars pour laquelle les gens seront payés. Le processus de demande serait alors plus proche de l'inscription dans l'armée, ou plus dignement, dans le Corps de la Paix. En fait, il serait tout à fait approprié, et visionnaire, pour le gouvernement américain de commencer à penser le long de ces lignes et, par exemple, le lancement d'une sorte de "Space Corps" organisation dont le but pourrait être directement inspiré par la Loi Corps de la Paix de 1961. Il pourrait alors lire quelque chose comme ceci: «[le Corps espace] met à la disposition de Mars et d'autres planètes les hommes et les femmes des États-Unis qualifiés pour le service dans l'espace et prêts à servir, dans des conditions difficiles, si nécessaire, pour aider à établir un la civilisation humaine multiplanetary. "Rejoignez dès aujourd'hui! Mars a besoin de vous! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 20 octobre 2016 Share Posté(e) le 20 octobre 2016 Le 09/12/2014 à 14:40, Conan le Barbare a dit : Oui, oui ça a été étudier (rapidement) par la NASA et assez vite abandonné... L'un des soucis est que ces stations sont le plus souvent au Points Lagrange, or l'on craint que l'édits points ne soit en fait saturés de poussières spatiale diverses et variées, il faut aller voir quoi... Mais pour ça il faut lancer une nouvelle mission. On enverrait pas sur L2 des missions comme Herschel, Planck et bientot James Webb si il y avait de tels risques de collision avec de la poussière en masse ... Car leurs optiques et collecteurs de lumières se retrouveraient "sablés" en a peine quelques jours voir quelques heures ... Herschell et Planck ont eu des carrières sans le moindre pet de travers a part une histoire d'helium vite fait pour Herschell (jme souviens plus exactement si c'était une panne ou pas) Je pense pas qu'il y est tant de poussières que ça en L2 sinon ces missions n'auraient jamais eu lieu et on aurait meme pas eu idée d'y envoyer des téléscopes spatiaux Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Conan le Barbare Posté(e) le 20 octobre 2016 Share Posté(e) le 20 octobre 2016 Il y a 19 heures, zx a dit : Opinion: How To Colonize Mars Tu peux copier/coller le texte en anglais stp ? C'est pas très clair la traduction gogol. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 20 octobre 2016 Auteur Share Posté(e) le 20 octobre 2016 à l’instant, Conan le Barbare a dit : Tu peux copier/coller le texte en anglais stp ? C'est pas très clair la traduction gogol. Citation Within a month, the aspiration to send humans to Mars seems to have reached a new level of media exposure. First Jeff Bezos’s Blue Origin disclosed its plan to build the New Glenn, a rocket with the potential to send humans into space. Then SpaceX CEO Elon Musk presented his vision of how we could shuttle to and from Mars within a couple of decades. And two weeks later, President Obama wrote an op-ed calling for America to set its sights on sending humans to Mars by the 2030s with the ambition of remaining there for an extended time. While coming from different angles, both Musk and Obama emphasized the need for a public-private partnership to achieve these ambitious goals. Musk’s main objective is to make the trip to Mars affordable for as many people as possible. His hypothesis is that if one can bring the cost down to the median cost of a house in the U.S.—$200,000—then there will be a critical mass of people who can afford and are willing to go. In order to reach that affordability threshold, he believes government money will be needed along the way, hence the need for a public-private partnership. Obama’s main purpose is to stimulate innovation, inspire a new generation of scientists and engineers and ultimately revive his country’s pioneering spirit that led it to win the first space race to the Moon. He also believes a partnership between government and the private sector will be beneficial, if only to harness and support America’s entrepreneurial ingenuity and derring-do. Yet, in spite of these nice intentions, it is worth asking what a public-private partnership would mean in such a context. Cooperation between the private and public sectors in the aerospace industry is usually about one financially supporting the other—e.g., private institutions helping fund government projects through such mechanisms as a Project Finance Initiative or public money funding private projects through R&D contracts or preferential loans. In the case of establishing a long-term presence on Mars, though, funding is unlikely to be the main obstacle. If anything, judging by the amount of cash and level of indebtedness, the private sector is today wealthier than the public sector, and the financial resources of leading technology companies like Google, Amazon or Microsoft dwarf those of NASA. So it could well be that the private sector alone could finance the effort. However, this does not mean that cooperation with the public sector is not needed. In fact, it is absolutely essential, but not mainly for financial reasons. As for any new venture, supply and demand need to meet somewhere to achieve success. The technology zealots, internet billionaires, corporate giants and NASA will take care of the supply of rockets and space infrastructure, and the race is already on to be the first to transport a human to Mars. But what about demand? I am not talking about demand from people willing to pay to go to Mars; this will likely be marginal compared to the total costs of going and settling there. What one must consider instead is the “demand” for colonizing Mars in order to make humans a multiplanet species and thus mitigate any risk of extinction on Earth. In order for the project to be viable, there needs to be a critical mass of people buying into the vision and the idea that it is worth it. For that purpose, going to Mars has to be sold not as a luxury cruise for space tourists but as a mission of public interest and—possibly—of universal humanitarian value, and this will require a significant amount of public resources. This is where Musk’s approach is flawed. If he truly believes that what is at stake is the long-term survival of humanity, then he should not expect to charge people $200,000 for the trip. Instead—and that is why a true private-public partnership is needed—it should be advertised as a public-service job to help establish a human colony on Mars for which people will be paid. The application process would then be more akin to enrolling in the Army, or more fittingly, in the Peace Corps. In fact, it would be quite appropriate, and visionary, for the U.S. government to start thinking along those lines and, for example, launching a kind of “Space Corps” organization whose purpose could be directly inspired by the Peace Corps Act of 1961. It could then read something like this: “[The Space Corps] shall make available to Mars and other planets men and women of the United States qualified for service in space and willing to serve, under conditions of hardship if necessary, to help establish a human multiplanetary civilization.” Join today! Mars needs you! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant