Comac C919

[TarpTent]

Il y a 3 heures, Kiriyama a dit :

Ce serait bien de le rééquiper avec des moteurs chinois. Peut-être dans quelques années ?

J'ai aussi trouvé ça :

Pourquoi les pneus Michelin sont-ils indiqués avec un drapeau américain ?

Modifié le 9 janvier 2017 par TarpTent

[Kiriyama]

Peut-être une filiale américaine.

Au fait, qui s'occupe de l'aménagement de la cabine ? 

[clem200]

Il y a 6 heures, TarpTent a dit :

Pourquoi les pneus Michelin sont-ils indiqués avec un drapeau américain ?

Il y a une petite usine en Caroline du Nord, à Norwood. 

[zx]

J'ai regardé, un peu, pas vu grand chose en test de roulage, la vidéo dure quelques secondes, y en a encore pour un moment avant qu'il prenne son premier vol. la vidéo remonte à 3-4 semaines.

 

 

Modifié le 20 janvier 2017 par zx

[Henri K.]

 

[zx]

 

[Henri K.]

La dernière grande étape est passée, le premier vol est proche...

Henri K.

[Henri K.]

 

[zx]

une date de premier vol ? sauf si ils ont des problèmes consécutifs aux tests de roulage .

L’aéronautique chinoise, une nébuleuse encore très secrète

https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/0212037712810-laeronautique-chinoise-une-nebuleuse-encore-tres-secrete-2084460.php

 

Le C919, premier avion de ligne moyen-courrier chinois, est le symbole des ambitions aériennes de Pékin, qui dispose de trois champions nationaux au fonctionnement bien gardé.

Après le « A » d'Airbus, le « B » de Boeing, la Chine parviendra-t-elle à accoler le « C » de Comac ? C'est encore beaucoup trop tôt pour le dire, mais l'intention est réelle. Le C919, premier avion de ligne moyen-courrier chinois, réalise vendredi son vol inaugural et affiche l'ambition de venir concurrencer le duopole Airbus-Boeing d'ici quelques années. L'aéronautique (avec l'aérospatial) fait partie des dix secteurs industriels identifiés comme prioritaire dans le plan « Made in China 2025 ». Et, à ce titre, ce secteur bénéficie de toute l'attention et la puissance financière de Pékin.

Le rival « made in China » d'Airbus et Boeing paré au décollage

L'industrie aéronautique chinoise en aura bien besoin si elle veut effectivement s'ériger en champion national capable de s'imposer comme un acteur incontournable sur la scène mondiale. Car, aujourd'hui, elle en est toujours à ses balbutiements. Dans le ciel chinois, il ne vole encore que des avions étrangers, hormis quelques exemplaires de l'ARJ-21, un petit bi-moteur chinois mis péniblement sur le marché intérieur en 2016, après une décennie de retard.

Des débuts difficiles

La volonté de la Chine de se doter d'une industrie aéronautique puissante ne date pourtant pas d'hier. Son premier acte remonte au début des années 1950, en pleine guerre de Corée. Mais une succession de revirements stratégiques et d'échecs est venue contrecarrer les plans initiaux. « Cela fait longtemps que la Chine devrait avoir son avion », rappelle Zhao Jian, professeur à l'université Jiaotong de Pékin. « Dans les années 1970, la Chine avait commencé à développer son premier avion Shanghai Y-1, mais le projet a été abandonné ».

Ces dix dernières années, la Chine a décidé de complètement réorganiser son industrie aéronautique dans l'espoir de lui redonner un coup de fouet. Elle a pour cela commencé à démanteler Avic (Aviation Industry Corporation of China), énorme entreprise d'Etat créée en 1993 qui regroupait tous les métiers de l'aéronautique, avec des véritables villes-usines en plusieurs points du pays.

Des géants très secrets

La première étape est venue avec la naissance de Comac (Commercial Aircraft Corporation of China), mis sur pied en 2008 et chargé de reprendre les activités de fabrication d'avions civils. C'est donc lui qui a hérité du désastreux programme ARJ-21 et qui est à la manoeuvre sur le programme plus prometteur du C919. La deuxième étape de cette réorganisation a eu lieu l'an dernier avec la naissance d'AECC (Aero Engine Corporation of China), spécialisé cette fois dans les moteurs. Avec ses 97.000 salariés hérités d'Avic, AECC se veut le pendant du français Safran, quand Comac (avec quelque 8.000 employés) se place dans les pas d'Airbus. Quant à Avic et ses 450.000 employés (!), il se concentre essentiellement sur le militaire et sur les équipements d'avions.

Avic a certes réussi à fabriquer des morceaux d'avions, mais sans vraiment savoir les vendre.

« Véritable mastodonte aux filiales innombrables, Avic a certes réussi à fabriquer des morceaux d'avions, mais sans vraiment savoir les vendre », décrypte un bon connaisseur du secteur. « Avec Comac, l'idée de Pékin a sans doute été de créer une structure plus petite, plus agile et plus orientée business. » Reste que les trois structures demeurent des entreprises à capitaux publics, avec des participations croisées, des intérêts communs et un culte du secret. Avic est par exemple partie prenante du programme C919, comme fournisseur du fuselage et actionnaire de Comac, même s'il n'a pas la maîtrise du projet.

 

Modifié le 4 mai 2017 par zx

[Henri K.]

 

il y a 14 minutes, zx a dit :

une date de premier vol ? sauf si ils ont des problèmes consécutifs aux tests de roulage .

L’aéronautique chinoise, une nébuleuse encore très secrète

https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/0212037712810-laeronautique-chinoise-une-nebuleuse-encore-tres-secrete-2084460.php

  Révéler le texte masqué

Le C919, premier avion de ligne moyen-courrier chinois, est le symbole des ambitions aériennes de Pékin, qui dispose de trois champions nationaux au fonctionnement bien gardé.

Après le « A » d'Airbus, le « B » de Boeing, la Chine parviendra-t-elle à accoler le « C » de Comac ? C'est encore beaucoup trop tôt pour le dire, mais l'intention est réelle. Le C919, premier avion de ligne moyen-courrier chinois, réalise vendredi son vol inaugural et affiche l'ambition de venir concurrencer le duopole Airbus-Boeing d'ici quelques années. L'aéronautique (avec l'aérospatial) fait partie des dix secteurs industriels identifiés comme prioritaire dans le plan « Made in China 2025 ». Et, à ce titre, ce secteur bénéficie de toute l'attention et la puissance financière de Pékin.

Le rival « made in China » d'Airbus et Boeing paré au décollage

L'industrie aéronautique chinoise en aura bien besoin si elle veut effectivement s'ériger en champion national capable de s'imposer comme un acteur incontournable sur la scène mondiale. Car, aujourd'hui, elle en est toujours à ses balbutiements. Dans le ciel chinois, il ne vole encore que des avions étrangers, hormis quelques exemplaires de l'ARJ-21, un petit bi-moteur chinois mis péniblement sur le marché intérieur en 2016, après une décennie de retard.

Des débuts difficiles

La volonté de la Chine de se doter d'une industrie aéronautique puissante ne date pourtant pas d'hier. Son premier acte remonte au début des années 1950, en pleine guerre de Corée. Mais une succession de revirements stratégiques et d'échecs est venue contrecarrer les plans initiaux. « Cela fait longtemps que la Chine devrait avoir son avion », rappelle Zhao Jian, professeur à l'université Jiaotong de Pékin. « Dans les années 1970, la Chine avait commencé à développer son premier avion Shanghai Y-1, mais le projet a été abandonné ».

Ces dix dernières années, la Chine a décidé de complètement réorganiser son industrie aéronautique dans l'espoir de lui redonner un coup de fouet. Elle a pour cela commencé à démanteler Avic (Aviation Industry Corporation of China), énorme entreprise d'Etat créée en 1993 qui regroupait tous les métiers de l'aéronautique, avec des véritables villes-usines en plusieurs points du pays.

Des géants très secrets

La première étape est venue avec la naissance de Comac (Commercial Aircraft Corporation of China), mis sur pied en 2008 et chargé de reprendre les activités de fabrication d'avions civils. C'est donc lui qui a hérité du désastreux programme ARJ-21 et qui est à la manoeuvre sur le programme plus prometteur du C919. La deuxième étape de cette réorganisation a eu lieu l'an dernier avec la naissance d'AECC (Aero Engine Corporation of China), spécialisé cette fois dans les moteurs. Avec ses 97.000 salariés hérités d'Avic, AECC se veut le pendant du français Safran, quand Comac (avec quelque 8.000 employés) se place dans les pas d'Airbus. Quant à Avic et ses 450.000 employés (!), il se concentre essentiellement sur le militaire et sur les équipements d'avions.

Avic a certes réussi à fabriquer des morceaux d'avions, mais sans vraiment savoir les vendre.

« Véritable mastodonte aux filiales innombrables, Avic a certes réussi à fabriquer des morceaux d'avions, mais sans vraiment savoir les vendre », décrypte un bon connaisseur du secteur. « Avec Comac, l'idée de Pékin a sans doute été de créer une structure plus petite, plus agile et plus orientée business. » Reste que les trois structures demeurent des entreprises à capitaux publics, avec des participations croisées, des intérêts communs et un culte du secret. Avic est par exemple partie prenante du programme C919, comme fournisseur du fuselage et actionnaire de Comac, même s'il n'a pas la maîtrise du projet.

 

Le 5 Mai à 14h00 si la condition météorologique est favorable.

Henri K.

[Henri K.]

Henri K.

[Henri K.]

 

[zx]

 

[Henri K.]

Touch down ! Le vol inaugural de C919 est réussi.

Henri K.

[zx]

souhaitons lui bon vol pour sa carrière.

[Henri K.]

C919 : le premier avion moyen-courrier chinois prend son envol

Citation

Le 5 Mai 2017 à 14h01 heure de Shanghai, le premier avion moyen-courrier chinois C919 s'est décollé pour son vol vol inaugural qui a duré 1h18. Analyse.

Read more : http://www.eastpendulum.com/c919-le-premier-avion-moyen-courrier-chinois-prend-son-envol

Henri K.

[Henri K.]

 

[Henri K.]

 

[Henri K.]

 

[Henri K.]

 

[Henri K.]

 

[Henri K.]

 

[seb24]

Des retards sur le programme ?
http://aviationweek.com/commercial-aviation/second-comac-c919-flight-imminent-five-months-after-first-flight?NL=AW-05&Issue=AW-05_20170919_AW-05_261&sfvc4enews=42&cl=article_1&utm_rid=CPEN1000001584543&utm_campaign=11761&utm_medium=email&elq2=b1ce50de23ba4b389b9790b16cdcdadf

[Henri K.]

 

[Henri K.]

C919 : 2e vol d'essai et 130 nouvelles commandes

Citation

Près de 5 mois après son vol inaugural, l'avion de ligne chinois C919 a enfin effectué son 2e vol ce jeudi 28 Septembre à Shanghai. Explications.

http://www.eastpendulum.com/c919-2e-vol-dessai-et-130-nouvelles-commandes

Henri K.