Gibbs le Cajun Posté(e) le 28 janvier 2015 Share Posté(e) le 28 janvier 2015 (modifié) J'ai trouvé se mini documentaire sur l'Afghanistan en me baladant sur youtube ,j'aime beaucoup . Les images ,le montage ,la voix off et le message passé ,et le choix de la musique de fond =) Sighted de Moby ,et The Temperature of the air on the bow of the Kaleetan de Chris Zabriske =) . Ils en avaient parlé dans les Inrocks . http://www.lesinrocks.com/inrocks.tv/vivez-guerre-les-yeux-dun-soldat-en-afghanistan/ Ajoutée le 13 déc. 2013 "Honi soit qui mal y pense" est une vidéo de souvenirs de guerre en Afghanistan du soldat Tom Abood de l'armée australienne. Filmée entièrement à la première personne depuis une caméra fixée sur son casque de militaire. Une fois rentré chez lui en Australie, il a compilé ces souvenirs vidéos et les racontent en voix-off. Tom Abood se souvient et partage les moments qu'il a vécu durant ses différentes missions de guerre. Ce court-métrage a remporté le 3ème prix du 22ème Tropfest Australia 2013, un festival cinématographique australien dédiée au court-métrage. Pour le titre l'explication ici: http://www.lactualite.com/blogues/le-fouineur/video-dans-la-peau-dun-soldat-en-afghanistan/ Honi soit qui mal y pense* est un court métrage du réalisateur australien Tom Abood, qui a filmé la guerre en Afghanistan au «je» – en POV (pour Point of View), pour les puristes. Le film de plus de quatre minutes suit les pas d’un soldat, qui narre sa mission de huit mois à la manière d’une lettre écrite à sa mère. Les images proviennent de caméras fixées sur les casques de réels soldats déployés dans des zones de combat. Pour les besoins du film, Abood a conversé une fois par semaine avec deux militaires tout au long de leur service en Afghanistan. Honi soit qui mal y pense a remporté le troisième prix du volet australien de Tropfest, le plus grand festival de courts métrages au monde. Le jeune réalisateur de 23 ans, qui a lui-même rejoint l’armée dès la fin de ses études secondaires, a voulu raconter la réalité du quotidien de ces soldats et la difficulté posée par leur réintégration dans la société civile. «L’Afghanistan, pays déchiré par la guerre, est l’équivalent du 12e siècle; mais quand les soldats sont de retour au pays, ils entendent les gens se plaindre du café. Alors ils ont un peu de difficulté à revenir à ce mode de vie», a expliqué Abood au Daily Telegraph. * Honi soit qui mal y pense (avec un seul «n», tel que le voulait l’orthographe de l’époque) est la devise du corps des ingénieurs australiens royaux. Modifié le 29 janvier 2015 par gibbs 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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