Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

NEB


Philippe Top-Force

Messages recommandés

  • 4 weeks later...
  • Réponses 89
  • Created
  • Dernière réponse

Top Posters In This Topic

" La révolution des systèmes de forces": Intéressant article sur la BOA par J.J GAGNEPAIN et C.JURCZAK dans un n° " hors série" de la revue " La Recherche" intitulé: "Science et guerre , 400 ans d'histoire partagée " Autres articles de ce même numéro : - La pensée mathématique des systèmes - Des mathématiciens au service des princes - John von Neumann , joueur stratégique - Langevin , Brillouin et la marine de guerre - De Ste Anne aux ogives asphyxiantes - La science et la guerre dans les bulles ( pour TMOR ) - La géographie sert-elle vraiment à faire la guerre - La face cachée d'Henri POINCARE - Le parfum militaire du code génétique - Les racines françaises du code de Nuremberg - etc ... Ce numéro foisonnant offre un bouquet d'exemples historiques qui , sur un registre inédit , mettent la science au coeur des évolutions de notre monde .

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Nouveau concept dans le cadre BOA : le SdS ( Système de systèmes ) Définition par la DGA : système constitué de sous-systèmes répondant aux critères suivants : - indépendance opérationnelle des sous-systèmes - indépendance managériale des sous-systèmes - définition et configuration évolutive du système - comportements émergents du système (certaines fonctions du SdS ne peuvent être attribuées à l'un des sous-systèmes en particulier et ces fonctions perdurent même si l'on perd l'un des sous-systémes ) - distribution géographiques des sous-systèmes Un exemple grand public de SdS est la navigation par satellite qui regroupe des services : - GPS - cartographie numérique - surveillance de trafic routier - alerte des services d'urgence en cas d'accident - etc L'armée de terre a défini les capacités qu'elle attend d'un SdS comme le système de contact futur par exemple : "apprécier la situation avant d'engager le combat " Il en découle un travail conséquent pour déterminer quels sont les meilleurs choix pour répartir efficacement les moyens d'observation sur les différents blindés , drones , robots , hélicoptères ou fantassins et déterminer comment les utiliser pour être sûr de pouvoir fournir au chef toutes les informations qui lui sont nécessaires pour organiser la phase de combat à venir .

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...

mouarffffffffff !! comment des stratèges civil peuvent se permettrent de prendre des abréviations déjà connu dans l armée !!!! Pour info : BOA ( Bulle Opérationnelle Aéroterrestre) c est pas ça dans l armée d active c est BOA : Base Opérationnel Avancée. faut arreter avec ses bétises arreter de croire tout ce que l on peut lire !! Tiens au fait demain mais chut c est un secret entre nous la BP a décidé d envahir un pays mais j ai pas le droit de le dire ! allons restons sérieux !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

mouarffffffffff !!

comment des stratèges civil peuvent se permettrent de prendre des abréviations déjà connu dans l armée !!!!

Pour info : BOA ( Bulle Opérationnelle Aéroterrestre) c est pas ça dans l armée d active c est BOA : Base Opérationnel Avancée.

faut arreter avec ses bétises arreter de croire tout ce que l on peut lire !!

Tiens au fait demain mais chut c est un secret entre nous la BP a décidé d envahir un pays mais j ai pas le droit de le dire !

allons restons sérieux !

Toujours aussi moqueur toi!!!!!!! :D :D :D

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 9 months later...

Un vaste projet d’évolution et de renouvellement des équipements de l’armée de terre est en cours, avec l’opération Scorpion. Il implique une multiplicité d’acteurs et parmi eux la délégation général pour l’armement (DGA). Explications.

La préparation des futurs programmes d'armement est une des missions importantes de la délégation générale pour l’armement consistant à définir en amont le cadre technique, financier, calendaire, industriel et international dans lequel ceux-ci seront conduits. C’est le stade actuel de l’opération Scorpion, un acronyme pour « synergie du contact renforcée par la polyvalence et l’infovalorisation ».

Scorpion est une opération d’armement globale, cohérente avec le processus interarmées de transformation. Elle illustre les synergies entre l’état-major des armées (EMA), l’état-major de l’armée de terre (EMAT) et la DGA (notamment le service d'architecture des systèmes de forces (SASF), dans le cadre du système de forces « engagement et combat »). Objectif de Scorpion : préparer les acquisitions des futurs armements des forces de contact aéroterrestres (blindés, systèmes d’armes, systèmes d’information…). « Scorpion vise à transformer l’armée de terre, décrit Jérôme Perrin, pilote du stade de préparation de Scorpion au SASF. C’est un projet particulièrement important pour les forces terrestres, car il concerne une très grande partie de ses personnels et de ses matériels. », détaille Éric Pédo, manager de l'unité de management des opérations d'armement terrestres (UM/TER) en soutien de Scorpion.

Quatre raisons de préparer Scorpion

Préparer le programme Scorpion recouvre quatre motivations essentielles. Primo, renouveler les équipements : en effet le vieillissement des plates-formes (certains engins blindés ont aujourd’hui quarante ans), oblige à repenser l’équipement de l’armée de terre. Secundo, maîtriser les coûts des futurs systèmes, notamment par la recherche de cohérence entre les différents systèmes. Tertio, développer les coopérations internationales ; « l’approche globale de Scorpion a permis d’engager des discussions avec les programmes Future Combat System aux Etats-Unis ou FRES en Grande-Bretagne », souligne Jérôme Perrin. Enfin, accélérer la mise en service dans les forces des idées issues de BOA, la « bulle opérationnelle aéroterrestre », c’est-à-dire la mise en réseau des systèmes d’armes aéroterrestres. « BOA est là pour donner une première forme à ces équipements et pour permettre aux opérationnels de confronter ces idées à l’épreuve du terrain », détaille Éric Pédo.

Le projet Scorpion commence fin 2004 avec la rédaction d’un objectif d’état-major, expression préliminaire des besoins militaires. On y lit notamment une volonté de transformer les capacités d’engagement au contact selon cinq axes : produire les justes effets ; limiter les phases de contact violent ; améliorer la protection ; maîtriser l’empreinte logistique ; améliorer la mobilité stratégique.

Une logique de « justes effets »

« C’est une rupture avec la logique qui a mené à l’équipement actuel, lequel avait été pensé dans le contexte de la guerre froide », souligne Jérôme Perrin. La notion de « justes effets », notamment, se détache de la logique de saturation : les forces se doivent désormais d’agir sans disproportion d’effets (frappes « chirurgicales ») et surtout, en employant au mieux la coopération interarmées. La protection est un autre enjeu des conflits modernes. Dans tous les cas, il s’agit d’adapter l’outil au contexte des engagements actuels et à la société contemporaine.

Sur la base de l’objectif d’état-major, des solutions sont proposées et analysées pour savoir laquelle répond le mieux aux attentes. « Des principes généraux se dégagent : le refus de toute course à la technologie, une conception centrée autour du soldat, et une intégration nécessaire de l’équipement existant dans le parc à venir », poursuit Jérôme Perrin.

Renouvellement des équipements et numérisation

La première étape – en cours – est celle du renouvellement du parc de blindés (engin blindé de reconnaissance et de combat EBRC, porteurs blindés, évolution du char Leclerc) et de la numérisation. La deuxième étape visera à la polyvalence des plates-formes et à l’infovalorisation, ou plus précisément l’« optimisation de la conduite des engagements à partir des technologies de l’information ». En parallèle, une adaptation des plates-formes sera menée pour leur permettre de répondre à l’ensemble du spectre des engagements – et donc à la diversité des « styles » de combat rencontrés aujourd’hui. La troisième étape sera celle de la rénovation des appuis (artillerie, génie, hélicoptères) et du développement plus systématique de l’infovalorisation. « Scorpion est résolument inscrit dans une perspective interarmées et interalliés ; l’interopérabilité sera au cœur de nos préoccupations, la mise en réseau des systèmes doit nous y aider », précise Jérôme Perrin.

L’homme, l’acteur majeur

Pour l’heure, deux aspects essentiels doivent être retenus. En premier lieu, le lien étroit entre Scorpion et le programme d’études amont (PEA) « démonstration de la BOA » : il est nécessaire de permettre des levées de risques et la BOA est le « banc d’essai de la transformation de l’armée de terre ». En second lieu, l’intégration de Scorpion dans une démarche d’ensemble de numérisation de l’espace de bataille. La dimension « information » de Scorpion s’inscrit dans le prolongement de l’opération d’ensemble des SIC Terre.

Avec, d’ores et déjà, des perspectives concrètes. À court terme, le PEA « démonstration de la BOA » présentera des matériels nouveaux : les mini-robots Miniroc seront expérimentés lors d’un exercice NEB (numérisation de l’espace de bataille) dès 2007.

Dans tous les cas, les systèmes conçus dans le cadre de Scorpion sont définis autour de l’homme, qui reste l’acteur majeur des engagements aéroterrestres.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Mais en cas d'arme IEM ? Si on lache une E bombe sur l'armée on fait quoi ? systèmes de communication, de direction et tout le reste de véhicules inopérants ainsi que les différents cross-com du futur... La technologie c'est bien mais faut aussi garder l'ancien système.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 3 months later...

http://www.ttu.fr/francais/Articles/scorpion.html

De nombreux industriels, français comme étrangers, ont répondu présent à la “journée industrielle” organisée autour du programme Scorpion, le mardi 26 juin, à Arcueil, preuve de la prise de conscience par les industries terrestres de l’importance de ce nouveau programme.

Le but de Scorpion (synergie du contact renforcé par la polyvalence et l’infovalorisation) est d’établir, à l’horizon 2025, un nouveau modèle capacitaire pour la composante de combat de contact de l'armée de terre, en se concentrant sur la partie équipement. Scorpion vise ainsi à la fois à donner plus de sens aux programmes d’armement entre eux (Leclerc, VBCI, Tigre, Felin...), ainsi qu’aux concepts d’emplois futurs dans lesquels ces armements seront utilisés. En résumé, Scorpion est le programme de transformation des capacités de combat de contact de l’armée de terre française, à l’image du FCS américain ou du FRES britannique.

Encore au stade de la préparation, ce programme d'ensemble devrait voir sa phase de “conception” lancée à l’automne 2008, pour un premier appel d’offres sur des plates-formes en 2009. Car Scorpion vise, entre autres, au renouvellement de toutes les plates-formes intermédiaires de l’armée de terre (plus de 4 000 engins) pour succéder aux AMX10RC, Sagaie et VAB. Piloté conjointement par l’EMA, l’EMAT et la DGA, Scorpion a retenu pour périmètre le GTIA (Groupement Tactique InterArmes = Bataillon), dans sa composante combat de mêlée et ses appuis, et s’articule autour de trois axes. Le premier est capacitaire, répondant à la problématique de savoir quel sera le GTIA de demain pour assurer des missions de contrôle du milieu dans la durée, en mettant la priorité sur l’interopérabilité et l’interarmisation. Concentré sur la préparation des capacités futures et leur mise en cohérence au sein d'un GTIA, ce programme d’ensemble doit aussi lancer les réflexions sur les nouveaux concepts opérationnels rendus possibles par des technologies émergentes (robotisation, action déportée, protection active...), dont la BOA (bulle opérationnelle aéroterrestre) est le laboratoire exploratoire. Avec le souci de l’évolution incrémentale des capacités terrestres des matériels existants (et leurs évolutions) en cohérence avec ceux du futur. La deuxième logique est budgétaire, Scorpion doit, en effet, venir “lisser” le poids financier des programmes terre sur le long terme et éviter les pics budgétaires. Programme de cohérence, chaque retard sur un programme aura des impacts sur l’ensemble des capacités. Au total, Scorpion a été évalué à 10,3 milliards d’euros, soit 700 millions par an (7 % du programme 146), et concerne la modernisation de huit brigades interarmes. A titre de comparaison, le FCS américain, programme de transformation de quinze brigades, est estimé à 100 milliards, tandis que le FRES britannique, qui porte sur cinq brigades, est évalué à 12,3 milliards d’euros. Enfin, le dernier axe de Scorpion concerne la base industrielle et technologique de défense. La journée industrielle organisée la semaine dernière visait non seulement à fournir une explication pédagogique aux industriels, mais à “tester” en retour les différentes formules industrielles qui pourraient être retenues, du minima (simple conseil) au plus intégré (maîtrise d’ouvrage globale, à l’instar du schéma américain avec Boeing sur le FCS). Une autre journée industrielle de “rattrapage” sera organisée le 19 juillet à Saint-Cloud. C’est en ce sens qu’a été émis un RFI (Request for information) via l’Agence Européenne de Défense (AED), il y a plusieurs semaines, auprès des industriels internationaux.

Car Scorpion devrait être porteur d’enjeux industriels forts et pourrait servir d’élément déclencheur à des coopérations, voire même à des rapprochements industriels. Selon des sources industrielles, un des objectifs de la DGA serait d’ailleurs de marier Nexter (ex-Giat) à BAE.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 months later...

L'allemagne a cesser de poursuivre le developpement du programme SYDERA le considèrant officielement comme trop lourd et inadapté au menace actuelle. Par exemple ce système n'est pas adapté "pour le momment" à la recherche destruction IED.

The Smart Decoy Vehicle uses decoy devices to trigger

the mines at safe distances.

It provides the following functions:

    * Decoying all types of mines excepted pressure triggered mines

    * Remote-controlled (tele driving and convoy) from the CCV

Image IPB

The Heavy Decoy Vehicle (HDV)

The Heavy Decoy Vehicle is equipped with special trailers

in front and behind of the driving vehicle.

The rollers of the trailers ensure necessary ground-pressure

to trigger pressure-triggered mines.

The Heavy Decoy Vehicle is able to clear lanes up to a

width of 3.0 - 4.5 m.

Image IPB

The Detection Vehicle uses sensors to detect and localise

mines along the path. Its two sensor devices allow

adjustable detection width from 2.5 m to 4.5 m.

The carrier vehicle of the Detection Vehicle (DEV) is

based on a commercial off the shelf product. For the

next phase it will be a special designed vehicle.

The requirements of the vehicle are:

    * Detection probability nearly 100 % AT mines and AP mines

      with high metallic content

    * Very low false alarm rate

    * Remote-controlled (tele driving and convoy) from the CCV

Image IPB

The Verification Vehicle neutralizes the detected

mines and triggers any remaining mine.

The carrier vehicle of the Verification Vehicle (VEV)

is based on a commercial off the shelf product.

For the next phase it is planned to integrate the several

demonstrator functions into a special designed vehicle.

Image IPB

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 weeks later...

SIR SIT toutes ces conneries on en est ou ? parce que moi j ai la version officielle qui dit "ras nickel chrome" et puis celle des camarades (REC) qui l ont testé en cote d ivoire cenzub et czntac et qui me disent que le systeme est tombé en rade et que les gens de thales sont venus recuperer les tout nouveaux tout beau ER 362 les remplacant par les 315 alors qu en est il concretement?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

:lol: :lol: :lol: J'entends les mêmes trucs partout: le BOWMAN en Angleterre a déjà eu des sketches splendides sur ses pannes répétées. Sur les machins US et allemands, même combat.

C'est beau la techno... enfin quand ça marche.

Les échos que tu as, ce sont quelques postes SIT qui claquent ou c'est le réseau qui plante? Faut pas non plus dramatiser, ce sont encore des maladies de jeunesse.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Faut bien comprendre que la NEB à la française c'est: un RESEAU sur support radio VHF. Donc un VBL avec son poste radio et son écran SIT isolé dans un check point au fond de la brousse ivoiriènne à 50 kilomètres du VAB SIR de son commandant d'unité fait pas de la NEB puisque: pas de liaison radio !

Quant au CENTAC, faut voir si la grosseur du tuyau (le débit) permet le passage en mode mixte (voix-données) de tout ce deluge d'infos. Plantàge du système ? possible. Il faut dire qu'au début (2000, 2001) SIR devait transmettre que des données.

Et puis la NEB en combat loc ne sert à rien.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

On va peut-être se rendre compte que la section n'en a rien à foutre d'être connectée à plus que son lieutenant (c'est déjà assez chiant comme ça), et que celui-ci ne doit pas devenir un simple relais-filtre passant tout son temps à gérer le flux d'infos dans les deux sens (que le staff du pitaine se fade ça  >:( :lol:).

La transmission entre postes SIR/SIT, c'est juste de la VHF?? C'est pas trop simple à brouiller? Et la portée a t-elle vocation à être étendue?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

On va peut-être se rendre compte que la section n'en a rien à foutre d'être connectée à plus que son lieutenant (c'est déjà assez chiant comme ça), et que celui-ci ne doit pas devenir un simple relais-filtre passant tout son temps à gérer le flux d'infos dans les deux sens (que le staff du pitaine se fade ça  >:( :lol:).

La transmission entre postes SIR/SIT, c'est juste de la VHF?? C'est pas trop simple à brouiller? Et la portée a t-elle vocation à être étendue?

tout le système SIR-SIT c'est que de la VHF en mode évasion de fréquences, presque impossible à penetrer ou brouiller. Le problème est pas là. Comme dans l'ancien système RITA, ça fonctionne bien que lorsque tout le réseau est en place, les vehicules équipés SIR-SIT faissant office de relais.

C'est un système pensé pour la manoeuvre conventionnelle d'un GTIA en mouvement. Pour les conflits asymetriques, statiques ou en ville il n'apporte rien comme bonus.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si, même en urbain ou en asymétrique, il sert; mais ça ne peut se voir qu'au-dessus du niveau section. Ca a a au moins le mérite de mieux renseigner et de mieux pouvoir gérer la répartition, allouer les renforts ou visualiser le coin: faut quand même voir l'ensemble des capteurs d'infos à terme (drones de toutes échelles, avions, hélicos, troufions, blindés... Tout a des yeux).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si, même en urbain ou en asymétrique, il sert; mais ça ne peut se voir qu'au-dessus du niveau section. Ca a a au moins le mérite de mieux renseigner et de mieux pouvoir gérer la répartition, allouer les renforts ou visualiser le coin: faut quand même voir l'ensemble des capteurs d'infos à terme (drones de toutes échelles, avions, hélicos, troufions, blindés... Tout a des yeux).

mais ca s arrete pas la carburant munitions eau RICR la totale mecanique tout ce qui est possible et imaginable

au passage on est plus en mixte mais en mux sur les 362 ca veut dire qu on fait phonie et donnée mais que la phonie garde quand meme la priorité sur la TD

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

:lol: :lol: :lol: J'entends les mêmes trucs partout: le BOWMAN en Angleterre a déjà eu des sketches splendides sur ses pannes répétées. Sur les machins US et allemands, même combat.

C'est beau la techno... enfin quand ça marche.

Les échos que tu as, ce sont quelques postes SIT qui claquent ou c'est le réseau qui plante? Faut pas non plus dramatiser, ce sont encore des maladies de jeunesse.

les sit claquent et par la meme occasion font planter le reseau...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 3 weeks later...

Whether the tank will be tracked or wheeled is still undecided, but it is expected to carry the 40mm cannon with telescoped munitions from CTA International, a joint venture of BAE Systems and Nexter Systems, the French vehicle maker, the procurement official said.

J'imagine que si l'ERC 90 SAGAIE ne rencontre pas de problème de mobilitée en A-stan(sous réserve qu'il soit déployé) l'option roue sera choisie pour l'EBRC.

Nexter is understood to be readying a six-wheeled entry for the fighting vehicle contest. Panhard is expected to propose its VXL chassis-based vehicle for logistics and transport, and a single-hull VBR product for the fighting vehicle.

Le véhicule proposé par Nexter sera il un dérivé 6x6 du VBCI ou basé sur le Démontrateur à Propulsion Eléctrique que voila.

Image IPB

Sinon j'aime bien le VBR mais ce véhicule n'est il pas un peu juste pour un EBRC, meme si le "single hull" sous entend un VBR modifié.

edit : des données techniques sur la tourelle TOUTATIS

edit : "single hull" c'est bien sur monocoque et c'est sur ce principe que sont fabriqués les MRAP......

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    6 003
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    pandateau
    Membre le plus récent
    pandateau
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...