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Philippe Top-Force

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Bof, point de vue esthetique renault nous a habitué à mieux  O0

Récement ?!!!!!!!!!!!!!!

Sur la photo c'est une maquette ou un proto ? je demande ça car je me pose des questions sur la fermeture de la porte arrière .

Je crois que c'est "partiellement" une maquette. Le verouillage de la porte s'effectue avec deux manette qui se prennent sur les deux petit ergot qu'on voit sur les coté intérieur de la porte, je doute que ce soit définitif :)

Moi ce qui m'étonne le plus c'est le retour a une achitecture moteur avant... qui impose une cabine avant monoplace. Ajouté a ca une caisse sans fenetre ...la vision vers l'extérieur risque d'etre réduite ... et de ne s'améliorer qu'a grand frais d'électronique.

sinon a priori y a rien de révolutionnaire on dirait juste une caisse de VAB MRAPisé. Moi j'aurais plutot été tenté par un design type VAB upscalé, toujours avec le moteur central et une porte latérale additionnel sur la caisse, mais sans les porte avant, et sans le pare brise mais avec un tres grand épiscope double, ou mieux mix episcope parebrise comme le Boxer.

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moi à ce truc immonde de Renault. Je préfère le design serbe

http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=11557.msg352735;topicseen#msg352735

Visiblement y a un volonté d'architecture avec moteur a l'avant ... pour le chassis ... probablement dans l'optique de dégager de la place en caisse pour les version évolué Mortier VCI etc. qui réclame de l'espace au centre du vehicule.

Les architecture a moteur central avant tre typé APC ne permettent pas de dériver des version ou l'équipement est massif ou emcombrant ca se retrouver avec un truc assez bancal.

Quand a une architecture a moteur centrale arriere ... elle est assez incompatible avec l'hbitabilité d'une cabine dédié APC.

Toute la difficulté de vouloir faire un "petit" vehicule blindé bon a tout sans trop changer le chassis et la caisse.

Reste la solution d'une grande caisse longue ... mais bon là on arrive comme sur le truc Serbe quasiement a la masse d'un VBCI ... alors que l'optique du Vehicule Blindé Médian a Roue catégories 20t ... doit faire moins de 20t pas moins de 30t :)

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  • 3 months later...
  • 1 month later...

TTU fait une analyse d'étape sur le Scorpion

http://www.ttu.fr/francais/Analyses/scorpion,lesprem.html

Loin d’être une décision majeure, l’étape qui sera actée par le Comité ministériel des investissements de défense (CMI), sur le programme de l’armée de terre Scorpion, marquera une étape symbolique.

Car d’ici le mois de juillet, le dossier de lancement de conception de l’étude d’architecture d’ensemble du programme Scorpion sera décidé. Les acteurs étatiques (armée de terre et DGA) vont lancer, cet été, une consultation d’une durée de deux ans, qui aura pour but de fixer un modèle de maîtrise d’œuvre du programme de transformation terrestre.

Cette décision marque officiellement l’entrée de Scorpion dans sa phase de conception. Rappelons que ce programme vise à établir le futur modèle de l’armée de terre centré autour du GTIA (Groupement tactique interarmes).

Quelques lignes directrices se dessinent pour l’organisation industrielle et étatique de la conception de Scorpion : alors que la DGA devrait conserver la main sur la maîtrise d’ouvrage globale du programme, donc les orientations de Scorpion, un industriel (ou plus probablement une équipe industrielle) devrait être désigné d’ici deux ans comme maître d’œuvre intégrateur du programme. Ce dernier sera donc en charge de la cohérence des équipements entre eux (Félin, Tigre, Leclerc, VBCI, VBMR...), en s’assurant que les modernisations ou adjonctions de fonctions (SIC...) s’intègrent bien dans le modèle capacitaire décidé par l’armée de terre et la DGA.

L’Etat se donne deux ans pour décider d’un maître d’œuvre et du partage des responsabilités industrielles. Un laps de temps qui devrait être suffisant pour que le paysage industriel terrestre française se stabilise.

Car entre les grands systémiers (EADS, Thales...) et les plus ou moins grands plates-formistes (Nexter, RTD, Panhard...), la valse des rapprochements devrait bientôt commencer. D’ici là, les programmes doivent avancer pour soutenir au mieux et au plus vite les soldats engagés.

Certains programmes, qui font partie de Scorpion, sont donc détachés de la décision sur l’architecture industrielle qui sera retenue. Ainsi, le programme VBMR (véhicule blindé médian à roues), qui doit remplacer les VAB (2 000 exemplaires) à l’horizon 2015, sera attribué et lancé en parallèle de tout choix du maître d’œuvre intégrateur.

Autre aspect, les retours d’expérience des engagements afghans ont considérablement modifié le besoin des terriens. Il faut donc, plus que jamais, un dialogue étroit entre industriels et opérationnels ainsi qu’une grande réactivité. Car de nouveaux besoins sont apparus, spécialement à propos les fonctions collaboratives.

En ce sens, l’expérimentation, baptisée Phoenix, qui s’est tenue l’année dernière et qui vise à explorer ensemble (armée et industriels) de nouvelles capacités, sera reconduite. Prévue dans le plan de relance, elle devrait être décidée dans les six mois à venir pour une mise en pratique au début 2011. Centrée autour de huit axes fonctionnels (situation amie/ennemie, gestion des alertes, air support...), la seconde édition de Phoenix explorera aussi le futur des capacités de l’armée de terre et défrichera certaines fonctions du programme Scorpion.

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  • 4 months later...

Artist, la première expérimentation en conditions réelles du programme d’études amont BOA (bulle opérationnelle aéroterrestre) s’est déroulée du 12 septembre au 2 octobre en Allemagne. Organisée conjointement par la direction générale de l’armement (DGA) et le BWB (équivalent de la DGA en Allemagne), l’opération a réuni, outre la DGA, des fantassins allemands et français et des industriels impliqués dans le projet (Thales, Nexter et Sagem du côté français).

Pour Willy Lamal, manager du programme d’études amont (PEA) démonstrateur BOA et responsable de l’expérimentation à la DGA, « l’opération est très réussie car nous avons, de fait, démontré que l’interopérabilité entre deux armées de nationalités différentes était possible aux bas échelons tactiques ». Cela signifie que des unités opérationnelles peuvent se comprendre par la seule utilisation de messages et de symboles, faisant fi de la barrière de la langue, sans obligatoirement remonter à l’échelon hiérarchique du commandement. Bien sûr, il reste à savoir quel degré d’autonomie chaque armée est prête à donner aux fantassins sur le terrain dans le respect des doctrines respectives.

Artist, un arrangement technique signé en 2005 entre la France et l’Allemagne, est la première expérimentation terrain du PEA démonstrateur BOA (voir encadré en bas de page). « Le démonstrateur BOA permet de préparer des éléments utiles au programme Scorpion, explique Willy Lamal. Il évalue de nouveaux systèmes à l’horizon 2015/2025 et apporte sa contribution à la réduction des risques pour Scorpion. C’est pourquoi l’objectif d’Artist était de tester les premiers concepts issus de BOA en conditions réelles. »

Une soixantaine de personnes, moitié allemandes, moitié françaises, s’est réunie pendant trois semaines à Bonnland, un bourg situé à 100 km à l’est de Francfort. Ce village réquisitionné par les armées hitlériennes dans les années trente pour l’entraînement des forces est toujours utilisé et a servi de cadre à l’expérimentation Artist.

Pour exécuter cette mission, des fantassins du 1er RTIR d’Epinal étaient présents et partiellement équipés de la tenue Felin. Côté allemand se trouvait le combattant du futur, IdZ (Infantriest der Zukunft). D’importants moyens ont été mis en œuvre par les deux nations, nécessitant une imposante logistique : le démonstrateur Devin de l’ETAS, le drone allemand Recopter, les deux robots REC et PRM du PEA Miniroc, le minirobot allemand Telemax et trois véhicules blindés (AMX-10 VOA modifié, Panther et Wiesel 2 Digital).

D’Artist à Tactic

Les trois scénarios prédéfinis autour de la prise d’un village se sont déroulés sans accrocs dans ce bourg plus vrai que nature, pourvu d’eau et d’électricité, où quelques bâtisses ont été transformées en « maisons de poupées », les façades étant ôtées afin que l’action des fantassins puisse être suivie de l’extérieur.

Autre satisfaction pour Willy Lamal « nous avons pu mettre en œuvre des scénarios libres qui n’étaient pas prévus dans le canevas d’Artist, sur deux demi-journées. Ces scénarios ont permis de valider la capacité de prise en charge rapide de matériels innovants par les fantassins du 1er RTIR, les militaires ayant déjoué les pièges qui leur étaient tendus dans ces scénarios improvisés. »

Dans la prochaine expérimentation Tactic, franco-française cette fois-ci et prévue en 2012, Willy Lamal espère aller plus loin dans l’analyse des scénarios libres permettant l’évaluation de la maturité et de la pertinence des matériels, fonctions et systèmes pour une éventuelle prise en compte dans le programme Scorpion.

De BOA à Scorpion

Lancé début 2006, le PEA « démonstrateur BOA » permet la réalisation d’un démonstrateur pour l’armée de terre s’articulant autour de trois thèmes technologiques majeurs de la numérisation du champ de bataille :

- la vétronique, c’est-à-dire l’électronique embarquée dans les véhicules ;

- le logiciel opérationnel qui permettra la mise en réseau de plates-formes pour la conduite du combat ;

- la robotique terrestre.

Ainsi, BOA prépare des éléments utiles au programme Scorpion en charge de l’acquisition des futurs armements (véhicules blindés, systèmes d’armes, systèmes d’information...) qui équiperont les groupements tactiques inter-armes (GTIA) de l’armée de terre à partir de 2016.

Image IPB

Le robot allemand Telemax (crédit : DR)

Image IPB

Le robot français Rec du PEA Miniroc (crédit : DR)

Image IPB

Wiesel Digital et Scip AMX10 (crédit : DR)

Image IPB

Véhicule Scip AMX10 en position de surveillance (crédit : DR)

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D'après les documents disponibles sur le net, le SCIP (System-Crew Integration Platform)est un démonstrateur qui regroupe différentes briques technologiques.

SCIP est un véhicule équipé principalement d'une architecture vétronique, de moyens d'observation et de moyens de feu simulés. Ce véhicule met en œuvre des fonctionnalités nouvelles :

• Perception en vision indirecte,

• Info valorisation du champ de bataille,

• Télé-opération de robot terrestre (intitulé RCE),

• Simulation embarquée.

SCIP1 est appelé à jouer plusieurs rôles dans les scénarios de la démonstration ARTIST: véhicule de combat d’infanterie, véhicule de combat de char, véhicule de reconnaissance. A ce titre, les cas d’utilisation couvrent les besoins d’un véhicule de combat « synthétisé » :

• Mobilité, Agression, Protection,

• Observation et renseignement,

• Communication et commandement.

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D'après les documents disponibles sur le net, le SCIP (System-Crew Integration Platform)est un démonstrateur qui regroupe différentes briques technologiques.

SCIP est un véhicule équipé principalement d'une architecture vétronique, de moyens d'observation et de moyens de feu simulés. Ce véhicule met en œuvre des fonctionnalités nouvelles :

• Perception en vision indirecte,

• Info valorisation du champ de bataille,

• Télé-opération de robot terrestre (intitulé RCE),

• Simulation embarquée.

SCIP1 est appelé à jouer plusieurs rôles dans les scénarios de la démonstration ARTIST: véhicule de combat d’infanterie, véhicule de combat de char, véhicule de reconnaissance. A ce titre, les cas d’utilisation couvrent les besoins d’un véhicule de combat « synthétisé » :

• Mobilité, Agression, Protection,

• Observation et renseignement,

• Communication et commandement.

L'objectif est un SCIP 2 sur base VBCI ... fusionnant de maniere automatique, a la maniere de ce qui se fait dans le rafale, les données de tout c'est capteur et coordonnant les effecteurs.

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SUCCES D’ARTIST, PREMIERE EXPERIMENTATION TERRAIN DU PROGRAMME D’ETUDES AMONT BOA  DE L’ARMEE DE TERRE FRANÇAISE

Du 12 Septembre au 2 octobre 2009, la Direction Générale de l’Armement (DGA), l’Armée de Terre Française et le groupement industriel Thales Nexter Sagem ont testé pour la première fois en conditions réelles les concepts issus du Programme d’Etudes Amont de la Bulle Opérationnelle Aéroterrestre (PEA BOA) dans le cadre de l’expérimentation ARTIST. Les démonstrations se sont déroulées avec succès sur le terrain d’expérimentation de Bonnland en Allemagne, à 100km à l’Est de Francfort.

L’expérimentation ARTIST, menée conjointement avec l’Armée de Terre Allemande, est une réussite. Structurée autour d’un centre de commandement, de quatre véhicules, trois robots, un drone et deux groupes de fantassins, elle avait pour objectif de démontrer l’efficacité de la numérisation du champ de bataille dans trois scénarios précis :

1. La reconnaissance d’un village ;

2. La riposte coordonnée sur une contre-attaque de l’ennemi ;

3. La maîtrise d’éléments ennemis et la prise de possession du village ;

Pour cette expérimentation, le groupement Thales Nexter Sagem a développé :

· Un Système de Communication (Thales) permettant d’offrir des services de bout-en-bout de phonie, d'échange de données et de vidéos, d'interopérabilité entre des systèmes de communications hétérogènes, ainsi que d'assurer la continuité du combat embarqué / débarqué;

· Une plateforme AMX 10 VOA dotée de moyens préfigurant la vétronique des véhicules blindés futurs (Nexter Systems) permettant d'évaluer à partir d'interface homme-machine spécialisée la coordination de l'équipage dans ses actions d'observation et de feux;

· Un Robot Eclaireur télé-opéré sous blindage (Nexter Systems, ECA et Robosoft) permettant d'évaluer la valeur ajoutée opérationnelle d'une composante robot terrestre adjointe au véhicule de combat embarqué ;

· Un Système d'Information Opérationnel et de Communication de Circonstance (Sagem), système de commandement tactique interopérable avec le système allemand ;

· Un système de Combattants info-valorisés (Sagem) complémentaire au système FELIN du combattant débarqué ;

· Enfin, une station de travail multi-écrans et multimédia (Sagem) assurant les fonctions de Direction d'Exercice et de Système de Mesure et d'Exploitation.

Ainsi, lors de l'expérimentation ARTIST, les sections françaises et allemandes étaient coordonnées sur toute la durée des scénarios, dans l’information (phonie, data, cartographie et vidéo) et dans l’action (gestion coordonnée des feux).

« La démonstration ARTIST est essentielle pour le succès de la BOA. Elle nous a permis d’en valider les systèmes et les concepts d’emploi.» explique  Willy Lamal, Manager du PEA démonstrateur BOA à la Direction Générale pour l’Armement « En effet, Thales, Nexter et Sagem ont su mutualiser leurs savoir-faire pour nous fournir un retour d’expérience pertinent dans de nombreux domaines : opérationnels, facteurs humains, techniques et logistiques. »

ARTIST concrétise l’emploi de services, de systèmes et de technologies innovants dans le cadre de la numérisation du champ de bataille. Son objectif majeur est de fournir la meilleure architecture possible pour le développement du système de contact futur.

« L’Armée de Terre a suivi avec intérêt la préparation et la réalisation de cette expérimentation » explique le Lieutenant Colonel Arnaud Desbois, Officier de Marque BOA à la Section Technique de l’Armée de Terre (STAT) « En effet, ARTIST a permis d’étudier les apports de la numérisation aux plus petits échelons tactiques et permet d’en tirer les enseignements pour des échelons supérieurs. »

ARTIST a également permis de valider la capacité à réaliser conjointement avec l’Allemagne des démonstrations d’interopérabilité de fonctionnalités développées sur des plates-formes terrestres évoluant sur un champ de bataille numérisé.

ARTIST, LA BOA et SCORPION

La BOA (Bulle Opérationnelle Aéroterrestre) est le résultat d’un partenariat étroit entre la DGA, l’Armée de Terre Française et le groupement industriel Thales-Nexter-Sagem. Lancé début 2006, ce programme a pour objet de réaliser une démonstration pour l’Armée de Terre sur l’apport de la numérisation sur le champ de bataille.

TACTIC, le démonstrateur du PEA de la BOA, est jalonné par trois expérimentations terrain dont le déroulement est prévu jusqu’en 2012. ARTIST, « Architecture Real Time Integration System Testbench », était la première de ces expérimentations et a présenté les premières plus-values de la BOA.

La BOA est un programme d’étude amont majeur pour le processus de transformation de l’armée de terre française et permet d’introduire efficacement de nouveaux systèmes et d’adapter des équipements existants dans le cadre du programme SCORPION.

Le groupement industriel a mis en place une Equipe Intégrée de Maîtrise d’Oeuvre / EIMO début 2006. Située sur un site unique, à Satory en région parisienne, l’EIMO travaille sur des activités d’étude d’ingénierie système de systèmes (ISDS), de réflexion avec le LTO (Laboratoire Technico Opérationnel) et d’expérimentation du concept de la BOA avec le démonstrateur TACTIC. Les démonstrations TACTIC fourniront une base essentielle pour évaluer ces nouveaux systèmes face à la réalité du terrain.

http://www.giat-industries.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=163%3Asucces-d-artiste&catid=54%3Acommuniques&Itemid=97&lang=fr

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  • 1 year later...

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