Kovy Posté(e) le 4 octobre 2004 Share Posté(e) le 4 octobre 2004 Et en 2004 à Dijon en France 8) http://www.foxalpha.com/forums/download.php?id=4621 http://www.foxalpha.com/forums/download.php?id=4624 http://www.foxalpha.com/forums/download.php?id=4625 http://www.foxalpha.com/forums/download.php?id=4626 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rayak Posté(e) le 27 octobre 2004 Share Posté(e) le 27 octobre 2004 Itinéraire des F-16 de Singapour: http://www.mindef.gov.sg/display.asp?number=2236 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rayak Posté(e) le 27 octobre 2004 Share Posté(e) le 27 octobre 2004 Itinéraire des F-16 de Singapour: http://www.mindef.gov.sg/display.asp?number=2236 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bill Posté(e) le 25 novembre 2004 Share Posté(e) le 25 novembre 2004 il y a des F16 bases a Dijon :shock: :?: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skyflash Posté(e) le 25 novembre 2004 Share Posté(e) le 25 novembre 2004 Non, se sont des F-16 Singapuriens en visite à Dijon dans le cadre de l'exercice Western Arc. :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 23 février 2005 Share Posté(e) le 23 février 2005 Les accusations de corruption prononcées à Singapour contre EADS dans une affaire de vente d'hélicoptères à la marine de guerre tombent à un mauvais moment pour le groupe en négociation finale pour la vente de l'avion de combat européen Eurofighter à la cite-Etat. "C'est un mauvais coup pour l'Eurofighter, ça tombe clairement au mauvais moment", a commenté à l'AFP un analyste ayant souhaité conserver l'anonymat. L'Eurofighter Typhoon du consortium européen formé par EADS (46%), le britannique BAE Systems (33%) et l'italien Alenia/Finmeccanica (21%), est en concurrence à Singapour avec le Rafale du Français Dassault Aviation et le F-15 Eagle de l'américain Boeing. Singapour pourrait commander une vingtaine d'appareils en deux tranches pour remplacer ses appareils Skyhawk, un contrat d'une valeur de 1 milliard de dollars. La décision devrait être annoncée dans les prochains mois. Le titre EADS baissait mercredi à la Bourse de Paris, perdant 1,41% à 23,12 euros à 13H40 (12H40 GMT) dans un marché en repli de 1,14%. Selon des documents judiciaires obtenus mercredi par l'AFP, un Singapourien, Eng Heng Chiaw, a été accusé mardi par un tribunal de la ville d'avoir proposé 305.000 dollars US à un responsable du ministère de la Défense pour soutirer des informations sur l'offre tarifaire d'un concurrent d'Eurocopter afin de permettre à EADS de proposer un prix lui permettant d'arracher le contrat. Le contrat, qui portait sur la fourniture de six hélicoptères destinés à la marine singapourienne, a été octroyé le mois dernier à l'Américain Sikorsky Aircraft. Selon le Straits Times, ce contrat a dépassé les 100 millions de dollars singapouriens (61,5 millions de dollars US). L'acte d'accusation remis à l'AFP par le bureau singapourien d'enquête sur les pratiques de corruption ne précise pas la relation entre EADS et M. Eng, qualifié par le quotidien Straits Times de consultant en affaires. Chez EADS, on assure "ne pas connaître ce M. Eng". De son côté, Dassault Aviation qui espère faire de Singapour le premier client à l'export de son avion de combat Rafale, se refuse à tout commentaire concernant les négociations en cours. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
littleboy Posté(e) le 23 février 2005 Share Posté(e) le 23 février 2005 C'est plutot une bonne nouvelle, mais maintenant il faut encore que la qualité du Rafale arrive à contrebalancer l'influence politique des USA qui jouera pour leur Eagle... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 1 mars 2005 Share Posté(e) le 1 mars 2005 mardi 01 mars 2005 (Reuters - 06:59) PARIS - Michèle Alliot-Marie est arrivée à Singapour pour une visite éclair de quelques heures dans le pays avec lequel la France entretient l'une de ses plus étroites collaborations militaires hors Otan, et qui envisage d'acheter des Rafale pour renouveler sa flotte d'avions de combat. La ministre de la Défense devait rencontrer son homologue, Teo Chee Hean, le Premier ministre, Lee Hsien Loong, ainsi que le vice-Premier ministre chargé des questions de sécurité, Tony Tan, avec qui elle doit fait le point sur les nombreux accords de coopération, notamment en matière de transfert de technologies. Singapour, qui consacre 6% de son PNB aux dépenses de défense, a lancé un appel d'offres pour renouveler une partie de sa flotte, estimée à près de 300 appareils, principalement des Skyhawk et des F-16 américains. Le contrat qui porte sur vingt chasseurs est estimé à deux milliards d'euros. Six avions étaient en compétition initialement et trois ont été "shortlistés": le Rafale fabriqué par Dassault, le F-15 de Boeing et l'Eurofighter développé par EADS, le britannique BAE Systems et l'italien Finmeccanica. La décision devrait intervenir avant la fin du premier semestre. Les phases d'évaluations techniques et de vérifications des qualités techniques se sont terminées cet hiver et Singapour procède actuellement à des études de prix. Dans la délégation française accompagnant Michèle Alliot-Marie, on estime que l'offre de Dassault est surtout attrayante pour Singapour parce qu'elle lui garantit une évolution technologique des appareils au même rythme que ceux de l'armée française, qui a commandé 120 Rafale. "Nous serions très heureux de voir là un nouveau point d'application de la coopération très étroite qui existe entre nos deux pays", a déclaré Michèle Alliot-Marie lors d'une conférence de presse. Si le choix de Singapour se portait sur le Rafale, "cela nous permettrait d'avoir les mêmes appareils. Nous serions donc en mesure d'avoir des formations et des entraînements communs", a-t-elle ajouté en réponse à la question d'un journaliste singapourien qui lui demandait si elle était confiante quant à l'issue des discussions. Pour Dassault Aviation, l'enjeu est crucial. Un feu vert singapourien représenterait la première commande majeure de Rafale à l'exportation, après trois échecs, en Norvège, aux Pays-Bas et en Corée du Sud. Le constructeur français espère désormais que la Suisse lance à son tour un appel d'offres. RUMEURS Outre un taux de change euro/dollar défavorable, "le Rafale pêche par le fait qu'il n'a pas encore été vendu", concède-t-on dans l'entourage de la ministre française. "Pour résumer, les Singapouriens ont le choix entre un avion d'hier, l'Américain, un avion d'aujourd'hui, le Rafale, et un avion de demain, l'Eurofighter". L'offre française pourrait pâtir des accusations de corruption portées à l'encontre d'EADS dans une affaire de vente d'hélicoptères à la marine singapourienne. Le groupe européen d'aéronautique et de défense a démenti la semaine dernière toute relation avec un consultant accusé d'avoir proposé une commission de plus de 300.000 dollars à un responsable du ministère de la Défense dans le but d'obtenir des informations sur l'offre d'un rival. Le contrat, annoncé au début de l'année, a finalement été remporté par l'américain Sikorsky Aircraft. "Nous avons tous été très surpris par ces fuites dont nous nous demandons quel intérêt elles servent", a déclaré Michèle Alliot-Marie. Dans le domaine maritime, Singapour doit prendre possession à la fin du printemps d'une frégate Lafayette de la dernière génération construite à Lorient par la DCN. Les cinq autres prévues par le contrat signé en mars 2000 seront fabriquées sur place. Gage supplémentaire de relations bilatérales au beau fixe, Singapour a récemment accepté plusieurs escales de bâtiments nucléaires français, dont le Charles de Gaulle, alors que les ports candidats, sous la pression des écologistes, ne se bousculent pas au portillon. De plus, depuis près de huit ans, plus de 200 membres de l'armée de l'air singapourienne - dont vingt pilotes - sont basés au centre de formation de l'armée de l'air française, à Cazeaux, près de Bordeaux. Situé à la pointe de la péninsule malaise, Singapour est l'un des principaux centres de raffinage et de distribution pétrolière au monde. Sans matière première ni eau, le petit territoire de 650 km² où vivent quatre millions de personnes dépend entièrement de ses relations extérieures ce qui explique une politique de "défense totale". Le budget de la défense représente près d'un tiers du budget global de la ville-Etat, soit plus de 4,5 milliards d'euros. Seuls les Etats-Unis, la Grèce et la Turquie consacrent un pourcentage plus élevé de leur PNB à leurs armées. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bill Posté(e) le 1 mars 2005 Share Posté(e) le 1 mars 2005 quelqu'un sait a quel menace doit faire face Singapoure ?? petite ile, relies a Johore Bahru en amlaisie par une digue, je ne vois pas. Bon, bien sur a 100% dependante de ses voies maritimes, certainement ca ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Julien Posté(e) le 1 mars 2005 Share Posté(e) le 1 mars 2005 quelqu'un sait a quel menace doit faire face Singapoure ?? petite ile, relies a Johore Bahru en amlaisie par une digue, je ne vois pas. Bon, bien sur a 100% dependante de ses voies maritimes, certainement ca ? C'est surtout a cause du voisin Indonesien qui est instable, on peyt aussi citer des relations parfois un peu frictionelles avec la Malaisie (au sujet de l'eau par exemple), et bien sur comme tu l'as dit surveiller le detroit de Malacca. A+ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 4 mars 2005 Share Posté(e) le 4 mars 2005 D’ici à juin, le gouvernement de Singapour doit décider s’il achètera des chasseurs bombardiers Rafale, des F-15 ou des Eurofighter. :arrow: Michèle Alliot-Marie, le ministre français de la Défense, a effectué avant-hier une courte visite dans cette ville-Etat coincée entre la Malaisie et l’Indonésie, visite destinée à conforter les chances de l’avionneur français. En mars 2000, Paris a déjà vendu à Singapour, pour un peu plus de 1 milliard d’euros, six frégates de type Lafayette (dont une seule fabriquée en France), des navires haut de gamme équipés en particulier de missiles Aster. La France vise maintenant à exporter 20 chasseurs Rafale (2 milliards d’euros) à Singapour, ce marché très concurrentiel et largement dominé par les Etats-Unis. Pour Dassault, une vente à Singapour serait une première exportation réussie du Rafale. Dix exemplaires de cet avion ont été livrés à la marine française, et Michèle Alliot-Marie a effectué la semaine dernière un vol dans l’un des premiers appareils délivrés à l’armée de l’air. La France a commandé cent vingt Rafale. A bien des égards, Singapour, avec 76% de sa population d’origine chinoise et ses élites formées dans les meilleures universités américaines, préfigure ce que sera bientôt le marché chinois de l’armement, lorsque les Européens auront levé leur embargo sur les ventes d’armes à destination de l’empire du Milieu - probablement d’ici à juin 2005 -, et que la Chine achètera pour 15 milliards de dollars d’armements par an à l’étranger. :arrow: Un marché colossal qui deviendra rapidement une vaste foire d’empoigne entre Américains et Européens. C’est déjà ce qui se passe à Singapour, où la bataille des chasseurs fait rage. Les politiques américains et européens effectuent leur dernier travail de lobbying. Alors que le ministre singapourien des Affaires étrangères rencontre à Washington le vice-secrétaire américain à la Défense Paul Wolfowitz, Michèle Alliot-Marie avait des entrevues avec son homologue singapourien Teo Chee Hean, puis avec Tony Tan, un proche de l’ancien président Lee Kwan Yew chargé des affaires de défense, et enfin avec le premier ministre Lee Hsien Loong. En octobre dernier, lors d’une courte escale à Singapour, Jacques Chirac avait déjà largement consacré ses entretiens ici aux questions de défense. « A Singapour, il n’y a pas vraiment de dirigeants francophiles, constate un diplomate européen, mais la volonté de diversifier les sources d’approvisionnements d’armements existe réellement. » Singapour, ville-Etat de 4,2 millions d’habitants, consacre 6% de son PIB à son armée de 70 000 hommes (31% du budget, 4,5 milliards d’euros en 2005). Les relations chaleureuses entre Jacques Chirac et Lee Kwan Yew ont débloqué, depuis 1995, la coopération militaire la plus étroite que la France entretienne avec un pays en dehors de l’Otan. Ces liens se matérialisent en particulier par l’existence d’un « Comité Safari », pilotant trente projets communs de recherche. :arrow: A Cazeaux, près de Bordeaux, un escadron de 20 pilotes singapouriens (200 militaires) utilise depuis 1998 le centre de formation de l’armée de l’air française. « Nous sommes engagés dans un partenariat global et pour les Rafale nous proposons des transferts de technologie qui dépassent largement l’offre américaine », affirme-t-on dans l’entourage de Mme Alliot-Marie. Les chances françaises pourraient pâtir d’un scandale de corruption qui aurait impliqué le mois dernier EADS. La firme a perdu un marché de six hélicoptères. EADS nie avoir chargé un intermédiaire d’avoir offert 250 000 euros à un haut fonctionnaire singapourien, pour connaître le montant de l’offre américaine, finalement gagnante. Mais l’affaire fait grand bruit à Singapour. Cette « petite Chine » que les dirigeants de Pékin ont choisie comme modèle de développement économique et politique est-elle un laboratoire de ce qui attend les fabricants occidentaux d’armements en Chine ? Les Singapouriens et les Chinois ont bien des points en commun. Ils placent leurs budgets de la Défense en tête des priorités politiques. La Chine, par exemple, augmente ses dépenses d’armement de 15 à 17% par an depuis quatre ans. Les deux pays jouent également à fonds la concurrence entre Européens et Américains. Il y a deux ans, les Chinois ont fait miroiter à Thales un premier contrat de 3,7 milliards d’euros. :arrow: Ils déclarent maintenant que les Américains sont plus intéressants que les Français, trop lents à réagir. Même jeu de balance en matière de contrats d’avions de combat. « Nous avons un plan qui s’appelle « 150 Rafale » » :?: :rolleyes: , nous déclarait à l’automne dernier un haut fonctionnaire chinois. :arrow: Mais Pékin continue de privilégier sur son marché Boeing, sauvant ainsi l’avionneur américain du désastre dans le domaine civil, face à Airbus. Boeing n’est-il pas également le fabriquant des F-15 et des F-22 ? Et la Chine n’a-t-elle pas besoin d’alliés puissants à Washington pour des opérations de lobbying visant à faire tomber également l’embargo américain sur les ventes d’armements ? :arrow: Enfin, Singapour et la Chine ciblent avec une remarquable précision leurs besoins, préparant leurs achats en connaissant très exactement qui fait quoi et quel est le meilleur industriel dans chaque domaine technologique. Aujourd’hui, selon la Friederich Ebert Foudation, les Chinois achètent 6,7% de leurs matériels militaires aux Américains :o et 2,7% aux Européens. :arrow: Les Français, derrière Jacques Chirac, sont en pointe pour faire tomber l’embargo sur les ventes d’armes à la Chine que l’Union européenne et les Etats-Unis avaient décrété après les massacres de Tiananmen, en 1989. :arrow: Sur ce sujet, Michèle Alliot-Marie est alignée sur les positions de Chirac (l’embargo doit être levé, affirme le président français, car il est « humiliant » pour la Chine), même si l’état-major de l’armée française voit d’un mauvais oeil des transferts de technologies sensibles vers la Chine, transferts que les industriels français appellent de leurs voeux. Dans ce domaine, un minimum de concertation entre Européens et Américains se prépare. :arrow: Michèle Alliot-Marie effectuera une visite de travail à Washington mercredi prochain. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 16 mars 2005 Share Posté(e) le 16 mars 2005 Ce n'est pas l'affaire du siècle, mais cela y ressemble, parce qu'elle constitue indéniablement un test pour le marché chinois de l'armement qui pourrait s'ouvrir d'ici la fin de l'année. :arrow: D'ici juin prochain on saura quel avion de chasse l'État de Singapour choisit entre le F-15 américain, l'Eurofighter et le Rafale Français. Le port-État de 4,2 millions d'habitants qui consacre 6% de son produit intérieur brut à son armée de 70 000 hommes - à savoir plus de 30% de son budget - doit renouveler vingt appareils de sa chasse: un marché estimé à deux milliards d'euros. :arrow: A la pointe de la péninsule malaise, Singapour, l'un des plus grands ports du monde, est aussi l'un des principaux centres de raffinage et de distribution pétrolière. Coincé entre la Grande-Malaisie dont il se retira en août 1965 et l'Indonésie, Singapour doit relever nombre de défis de défense et de sécurité au nombre desquels la nouvelle piraterie maritime qui sévit dans le détroit de Malacca et en mer de Chine, le terrorisme islamiste, ainsi que les triades, les mafias chinoises. Cette géopolitique tourmentée explique les difficultés du marché dépendant d'un biotope culturel extrêmement rigoureux qui nécessite quelques précautions ethnologiques élémentaires très en rupture avec le volontarisme gaulois minimaliste, sinon donneur de leçons. :arrow: Règle un: Singapour, comme la Malaisie, pratiquent avec un art consommé, très consommé, les contradictions américano-européennes. :arrow: Règle deux: les propositions faites à Singapour ne peuvent l'être à la Malaisie et inversement; la détestation réciproque de voisinage obligeant tout visiteur à ne pas passer d'un pays à l'autre sans revenir à sa capitale d'origine. :arrow: Dans le même ordre d'idée, difficile aussi de faire escale à Singapour, seulement quelques heures sur la route de la Chine. :arrow: Enfin, règle trois: les Singapouriens cultivent dogmatiquement une séparation toute montesquieuse des pouvoirs, une stricte séparation des pouvoirs politiques, judiciaires sinon économiques; par conséquent les recours à la presse locale pour vanter les avantages de tel ou tel avion de chasse sont plutôt ressentis comme d'inamicales pressions. Dans ce magasin de porcelaine, le F-15 Eagle américain ne peut pas faire de miracle, d'autant plus que l'argument de la formation des pilotes aux États-Unis n'est plus de mise depuis que les Singapouriens se forment pour partie en Thaïlande et en France. Et l'affaire de corruption qui éclabousse actuellement EADS dans le cadre d'un autre appel d'offre local n'est, sans doute, pas étranger à une irrésistible montée des enchères, d'autant plus que l'Eurofighter vient de terminer par un sans-faute sa deuxième démonstration dans un ciel singapourien très attentif aux rigueurs technologiques et commerciales. :arrow: En dépit des cent vingt exemplaires qui doivent être livrés à l'aéronavale française, le Rafale, qui n'a enregistré, à ce jour, aucune commande à l'exportation conserve bien sûr toutes ses chances. Mais devra-t-il encore se conformer aux rationalités subtiles de la "carte du tendre" singapourien... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Julien Posté(e) le 21 mars 2005 Share Posté(e) le 21 mars 2005 MADRID, 21 mars (Reuters) - Le consortium Eurofighter est sur le point de conclure un accord avec les autorités de Singapour pour une commande qui pourrait atteindre 20 exemplaires de ce chasseur européen, déclare le directeur de la division défense de la filiale espagnole d'EADS dans un entretien publié lundi par La Gaceta. La Grèce a également manifesté son intérêt pour une éventuelle commande d'Eurofighter, a ajouté Pablo de Bergia. Le consortium Eurofighter rassemble BAE Systems et Alenia Aeronautica, filiale de l'italien Finmeccanica. "Nous essayons d'exporter les avions dans plusieurs pays et les meilleures opportunités se trouvent à Singapour et en Grèce", a dit de Bergia à La Gaceta. Il a ajouté que la Suisse et la Norvège étaient eux aussi intéressés. "Dans le premier cas (Singapour), nous sommes proches d'un accord...", a-t-il précisé. Le ministre espagnol de la Défense, Jose Bono, devait rencontrer lundi à Madrid ses homologues allemand, britannique et italien pour débattre du projet Eurofighter. "Singapour pense à en acheter huit avec la possibilité d'acquérir 12 avions supplémentaires. En Grèce, le contrat dont nous discutions initialement portait sur 60 avions mais ils pensent maintenant à 40 plus 20 options", a précisé de Bergia. Singapour devrait publier cet été la liste des finalistes pour le contrat d'équipement de son armée de l'air, son choix définitif étant attendu avant mars 2006, a-t-il poursuivi. La Grèce, elle, voit son processus de décision compliqué par le coût des Jeux olympiques de l'an dernier, a-t-il expliqué. Des sources proches du dossier avaient indiqué auparavant que Singapour avait retardé, de trois mois au plus, l'octroi d'un contrat de 20 chasseurs, d'un montant d'un milliard de dollars, opposant Eurofighter à Boeing et Dassault. Sur le marché mondial des chasseurs, l'Eurofighter affronte non seulement le Rafale de Dassault et les F/A 18 et F-15 de Boeing, mais aussi le Gripen de BAE et Saab , le F-16 de Lockheed Martin et les Su-29 et SU-35 du constructeur russe Sukhoï. La Grande-Bretagne, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne se sont engagées à acheter au total 620 exemplaires de l'Eurofighter. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
littleboy Posté(e) le 21 mars 2005 Share Posté(e) le 21 mars 2005 :x Voilà une mauvaise nouvelle pour notre Rafale... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
glitter Posté(e) le 21 mars 2005 Share Posté(e) le 21 mars 2005 Marketing tout cela à première vue. JE doute que le patron de EADS casa aurait le droit de raconter ca si le contrat avec le Typhoon était sur. En plus, en Franc,e on a un argument massus, on pourrais acheter pour un gros paquet d'argent des produits de chez ST :D Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
scalp79 Posté(e) le 21 mars 2005 Share Posté(e) le 21 mars 2005 Glitter a raison, et en plus Singapour est totalement contre ce genre de communiqué, la discrétion prime avant tout Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 21 mars 2005 Share Posté(e) le 21 mars 2005 Marketing tout cela à première vue. JE doute que le patron de EADS casa aurait le droit de raconter ca si le contrat avec le Typhoon était sur. En plus, en Franc,e on a un argument massus, on pourrais acheter pour un gros paquet d'argent des produits de chez ST :D Je pensais comme toi Glitter mais je n'en suis plus sûr ,si tu fais allusion au fait que nous pourrions très bien prendre le Bronco ATV de STK ,des spyder pour nos COS comme compensation dans le deal du Rafale. Mais il n'en est rien pour le moment. ;) Cela dit le directeur de CASA a occulté le petit scandale de corruption dont EADS ........ :oops: MADRID, March 21 (AFP) - The four European countries developing the Eurofighter unveiled on Monday a 16-billion-euro (21-billion-dollar) cash boost for the project, the Spanish defence ministry said. Spanish Defence Minister Jose Bono made the announcement after brief talks with British counterpart Geoff Hoon, Germany's Peter Struck and Italy's Antonio Martino, explaining that the cash would be used to upgrade the existing model. The Spanish ministry added that efforts were in the pipeline to sell the aircraft to other states, including around 20 to Austria. "Advanced" talks were under way for sales to Greece, Singapore, Switzerland and Turkey. The four partner countries have thus far agreed to buy 620 of the planes, with an option for 90 more, and the first jets have already been delivered. However, in late 2003, five planes which were to become part of Britain's Royal Air Force were temporarily grounded because of technical glitches, the RAF revealed at the time, citing electrical landing gear problems. In the wake of that setback, the aircraft, which cost 81 million euros each, were slammed as outdated Cold War relics Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
glitter Posté(e) le 22 mars 2005 Share Posté(e) le 22 mars 2005 Je pensais comme toi Glitter mais je n'en suis plus sûr ,si tu fais allusion au fait que nous pourrions très bien prendre le Bronco ATV de STK ,des spyder pour nos COS comme compensation dans le deal du Rafale. Yes ;) A voir évidement, mais bon, on a un argument de taille. "Advanced" talks were under way for sales to Greece, Singapore, Switzerland and Turkey.. Y'a ca aussi qui me gène. Grosso modo, le Typhoon s'est fait mettre dehors en Grèce et les 2 derniers clients sont des projets lointains. Non, très très "press release" destiné à des gens qui y connaissent rien. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kovy Posté(e) le 23 mars 2005 Share Posté(e) le 23 mars 2005 c'est aussi mon avis. cet interview ne nous apprend absolument rien de nouveau...et la petite Phrase sur Singapour, bien qu'embigue, ne signifie en rien que c'est l'eurofighter qui a gagné. D'ailleurs, s'il avait gagné, pourquoi Singapour aurait repoussé l'échéance de son choix ? :rolleyes: Et puis c'est le rafale qui va gagner d'abord donc l'eurofighter ne peut pas gagner...cqfd :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
littleboy Posté(e) le 23 mars 2005 Share Posté(e) le 23 mars 2005 Tu sais ce que je préfère chez toi Kovy ? C'est l'objectivité :lol: (je plaisante biensur je sais bien que tu ne disais pas ça sérieusement :lol: ) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kovy Posté(e) le 23 mars 2005 Share Posté(e) le 23 mars 2005 Pour Singapour et son armée de l'air, il y a encore 6 candidats - F-15T - F/A 18 E/F - F-16 blk 60 - Rafale - Eurofighter Typhoon - Sukhoi Su-35 D'ici quelques mois (certainement le salon de Singapour en fait) il y en auras plus que trois. Pour moi ca seras 1) RAFALE En Corée, il a prouvé qu'il ne fallait surtout pas le sous estimé. 2) F-16 blk 60, c'est une version radicalement changé des "vieux" F-16, cher, très cher mais la Corée a fabriqué des F-16, donc facilité pour la maintenance et des accords industriels. 3) F/A-18 E/F, plus récent que le F-15 avec plus de furtivité, pas mal d'upgrades de prévus. Le Su-35: ben russe, tout est dit. L'EF2000 pour remplacer un A-4 d'attaque, un chasseur pur (pour le moment) j'en doute; Le F-15T ben il faut évoluer non ? Je remonte ce post de Glitter du 28 aout 2003 histoire de voir comment les choses ont évolué depuis. Je trouve que ses arguments étaient plutot logiques...et pourtant, il s'était planté sur toute la ligne SAUF pour le rafale....c'est peut être prémonitoire 8) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rayak Posté(e) le 23 mars 2005 Share Posté(e) le 23 mars 2005 Voici un interview du seul pilote ayant volé sur F-22 et Eurofighter: http://www.af.mil/news/story.asp?storyID=123010102 "They are different kinds of airplanes to start with," the general said. "It's like asking us to compare a NASCAR car with a Formula 1 car. They are both exciting in different ways, but they are designed for different levels of performance." Il faudrait aussi permettre au Gen. Jumper de voler sur Rafale pour avoir une anayse complète ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 23 mars 2005 Share Posté(e) le 23 mars 2005 Le général Jumper ,c'est pas Lucky luke :lol: il défend son avion ,tout comme à l'époque James Roche. Donald :lol: lui aimerait en avoir moins. A propos ,les articles AFP sont repris en intégralité sur le site ixarm (portail de l'armement ) Maintenant ,il y a une part d'INTOX dans ce deal ;) ,Cependant comment se fait-il que les pilotes singapouriens s'entraînent depuis des mois en France. Ils y sont même venus avec leur famille. Et pourquoi ,la réponse est reportée de 3 mois de plus ? Un petit espoir ,il faut se rappeler que nous leur avons vendus 6 corvettes furtives (+ transfert de technologie) ,des Puma ,alors Why not ? En tous cas quand l'Espagnol stipulle :" CONTACT TRES AVANCE" = cela ne veut pas dire systématiquement une vente d'eurofighter à Singapour ;) Après vérification ,IXARM a aussi mis cette annonce AFP dans son intégralité. C'est le portail de l'armement. :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kovy Posté(e) le 24 mars 2005 Share Posté(e) le 24 mars 2005 Cependant comment se fait-il que les pilotes singapouriens s'entraînent depuis des mois en France. Ils y sont même venus avec leur famille. Les pilote de A4 s'entrainent en France depuis plusieurs anées... mais bon ça ne veut rien dire. Singapour envoie bien plus de pilotes s'entrainer aux USA. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
glitter Posté(e) le 24 mars 2005 Share Posté(e) le 24 mars 2005 Je trouve que ses arguments étaient plutot logiques...et pourtant, il s'était planté sur toute la ligne SAUF pour le rafale....c'est peut être prémonitoire 8) P*tain, clair. Ah si, pour le Su-35 aussi j'avais raison. Et puis bon, j'adore le superhornet, mais personne ne l'aime :( Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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