zx Posté(e) le 21 janvier 2018 Share Posté(e) le 21 janvier 2018 (modifié) l'A320 avait innové en supprimant le 3eme poste, celui du mécanicien On sait que ce sont les ordinateurs qui font quasiment tout le travail à 99%, un copilote IA permettrait de faire poser l'avion selon les contextes, le pilote lui serait là en cas d'urgence. c'est le premier qui va dégainer cette technologie qui marquera l'histoire. Boeing ou Airbus. un copilote humain serait optionnel. le pilote deviendrait un superviseur des systèmes. Modifié le 21 janvier 2018 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Deres Posté(e) le 21 janvier 2018 Share Posté(e) le 21 janvier 2018 (modifié) En fait, on réalise généralement ce que l'on appelle des "2 parmi 3" pour assurer la sécurité. Pour avoir la sécurité, il te faut deux systèmes indépendants qui se surveillent mutuellement, plus un autre pour conserver cette surveillance en cas de panne, donc au final 3 systèmes indépendants. Il est donc probable que le système de pilotage actuel soit considéré comme deux pilotes plus un auto-pilote, donc avec 3 composants. D'autant plus qu'en cas de pépin, l'auto-pilote se dégage de toute responsabilité vers l'équipage qui a donc bien besoin d'être en doublon pour gérer les "pannes" humaines. Autrement dit, pour voler avec un seul membre d'équipage, il te faudra : - deux systèmes automatiques indépendants - au moins l'un d'entre eux devra être capable de piloter l'avion sur l'ensemble des besoins sans le pilote (y compris vol à vue et communication radio voix) Modifié le 21 janvier 2018 par Deres 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 21 janvier 2018 Share Posté(e) le 21 janvier 2018 Il y a 6 heures, Deres a dit : Autrement dit, pour voler avec un seul membre d'équipage, il te faudra : - deux systèmes automatiques indépendants - au moins l'un d'entre eux devra être capable de piloter l'avion sur l'ensemble des besoins sans le pilote (y compris vol à vue et communication radio voix) Le pilote, le "pilote automatique" et en troisième le "chef pilote" de la compagnie qui se trouve au sol et peut télécommander l'avion ? Pour les avions de ligne, on a de plus en plus besoin d'une liaison internet à haut débit pour répondre aux besoins des passagers, proposer de le téléguider ne doit plus coûter bien cher. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cool Hand Posté(e) le 21 janvier 2018 Share Posté(e) le 21 janvier 2018 Salut, C'est pas demain qu'un ordinateur ou un pilote au sol (télécommande) posera ceux-là (notamment le premier): Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 21 janvier 2018 Auteur Share Posté(e) le 21 janvier 2018 (modifié) c'est déjà le cas avec le X47B qui décolle et se pose sur les porte avions US, il doit encaisser beaucoup de vent et rafale et l'ia doit corriger. Modifié le 21 janvier 2018 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Deres Posté(e) le 21 janvier 2018 Share Posté(e) le 21 janvier 2018 Il y a 2 heures, ARPA a dit : Le pilote, le "pilote automatique" et en troisième le "chef pilote" de la compagnie qui se trouve au sol et peut télécommander l'avion ? Pour les avions de ligne, on a de plus en plus besoin d'une liaison internet à haut débit pour répondre aux besoins des passagers, proposer de le téléguider ne doit plus coûter bien cher. C'est en effet une possibilité mais la liaison sol n'est pas garantie même en passant par un satellite. La fiabilité d'un pilote/automatisme déporté au sol aura donc une fiabilité au mieux égale à la fiabilité de la voie de communication (elle est sur le chemin critique). Les liaisons actuelles ne sont en rien garanties : pour l'être il faudrait au minimum les redonder et avoir des systèmes au minimum indépendants (bande radio différentes, hardware différent, software différents, ...) Au final, ce n'est pas compliqué, il faut poser un calcul de défaillance du système complet à partir de l'architecture complète du système. On peut alors calculer la chance d'une défaillance critique à partir des chances de défaillances des diverses composants. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 22 janvier 2018 Share Posté(e) le 22 janvier 2018 Il y a 10 heures, Cool Hand a dit : Salut, C'est pas demain qu'un ordinateur ou un pilote au sol (télécommande) posera ceux-là (notamment le premier): Pourquoi pas ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cool Hand Posté(e) le 22 janvier 2018 Share Posté(e) le 22 janvier 2018 Quand on regarde les limitations actuelles entre le vent de travers autorisé en manuel et sous AP, il y a de la marge. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 22 janvier 2018 Share Posté(e) le 22 janvier 2018 il y a 3 minutes, Cool Hand a dit : Quand on regarde les limitations actuelles entre le vent de travers autorisé en manuel et sous AP, il y a de la marge. Oui mais les pilotes automatiques sur avions sont actuellement assez basiques par rapport a ce qu'il est possible de faire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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