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Oui, le cas américain est à part et l'utilité de cette technologie pour le soldat passe clairement au second plan, mais les problèmes finissent par rester : même les USA financièrement ont de plus en plus de mal à tenir le coup. Il suffit de voir les programmes annulés : hélicoptères Arapayo (même plus capables de se payer un petit hélicoptère léger), le Future Land Warrior radicalement simplifié (ce qui n'est toutefois pas une mauvaise chose), le fumeux FCS dont la plupart des véhicules sont passés à la trappe, une flotte aérienne qui est de plus en plus vieille (moins de F22 que prévu et il est même question d'annuler le programme, pas de remplacement des F15 et F16 avant perpète), une Marine en constante régression, leur bouclier anti-missiles fantaisiste est aussi en passe de rejoindre le placard...

Ce tout-technologique finis par user même les finances les plus solides et était une erreur d'orientation à mon sens. On a rêvé que une poignée d'hommes suréquipés pouvaient vaincre n'importe quelle menace, que la technologie était une solution miracle, mais c'est fini à mon sens. Des Talibans avec juste un AK47 et un RPG7 qui font la nique à des soldats occidentaux suréquipés, des miliciens du Hezzbolah qui contiennent Tsahal au Liban en 2006 apportent la preuve que la technologie seule ne vainc pas : la guerre c'est avant tout une affaire d'Homme et de fusils. Avoir les meilleurs avions, bateaux, etc. c'est bien beaux, mais si vos soldats ont des fusils qui s'enraillent au premier coup tiré, des soldats qui ne savant pas viser, c'est déjà foutu.

Une guerre c'est avant tout au sol que ça se gagne, et pour ça il faut des Hommes. Je trouve, sans être un expert, qu'il faut maintenant en revenir à certains fondamentaux du combat et de la guerre : rendre à l'Homme (qui doivent être entraînés, motivés, volontaires, doté d'une saine agressivité) la place qui est la sienne.

On a eu la preuve à une plus petite échelle en Géorgie. Des Géorgiens équipés à l'Occidentale ont été défait par des Russes rustiques mais qui en voulaient, là où les Géorgiens ont vite flanchés. Il faut des Hommes volontaires, mais aussi nombreux. Comme disais Ralph Peters (ce type est un génie je trouve), ça ne sert à rien d'aligner de super-avions ou chars dont un seul est capable de détruire 12 appareils ennemis si en face ils peuvent en aligner 13.

C'est un peu brouillon ce que je dis, mais c'est mes idées à chaud.  

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Je pense que certaines personnes sont conscientes du problème de l'augmentation exponentielle des coûts. S'il faut dépenser 10 millions de dollars pour tuer un soldat ennemi/un insurgé, la guerre devient inabordable d'autant que le coût d'un insurgé (Kalash+RPG) n'a pas augmenté d'un dollar depuis 1950, au contraire !

En revanche, on ne fait rien pour résoudre le problème.

En plus, le "tout technologique" à une conséquence paradoxale, les ennemis savent qu'ils ne peuvent plus se battre à la régulière face à un char Leclerc ou un Rafale 100 fois plus performant que leurs propres matériel, du coup on se trouve désormais systématiquement face à des ennemis qui cherche le combat en ville, se dissimulant parmi les civils ou utilisant des IED, bref n'utilisant que des techniques de guérilla.

Depuis combien de temps n'avons nous pas affronté une armée régulière dotée d'une équipement technologiquement proche du notre ?  et ce type d'affrontement peut-il encore se produire sachant qu'un pays technologiquement avancé est psychologiquement, socialement et économiquement plus réticent à choisir la guerre plutôt de la diplomatie ?

Le déséquilibre est tel qu'aucun ennemi n'est assez dingue pour lancer un combat de char (Leclerc vs T55) en plaine ou un duel aérien (Rafale vs Mig21) contre nous.

Conséquence : les chars leclercs et rafale sont sous-utilisés alors qu'ils nous coutent précisément une fortune... Les leclerc font tapisserie au Liban, les Rafale font du COIN à 50 000 euros de l'heure et le Charles de Gaulle fait des ronds dans l'eau !  C'est le syndrome "Bombe Atomique", ça coûte cher à avoir et à entretenir mais on ne l'utilise jamais.

C'est une bonne chose de DSI en parle mais à mon avis le sujet mériterai même un Hors Série sur la facture technologique pour nos armées (comment s'en sortir, que font les autres pays, etc...). On voit notamment que les USA utilise des turboprop civils pour de la reco...

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Des Géorgiens équipés à l'Occidentale ont été défait par des Russes rustiques mais qui en voulaient, là où les Géorgiens ont vite flanchés.

On saisit l'idée générale, mais l'exemple géorgien est hors de propos: l'armée géorgienne commençait à peine sa mue (il est difficile de faire d'elle une "armée occidentale") et sa seule brigade aux standards modernes était pour l'essentiel en Irak d'où il a fallu la rapatrier en urgence, et de toute façon trop tard. L'armée géorgienne était peu entraînée, équipée de matos en grande majorité ex-soviétiques, et de toute façon petite, qui plus est sur un terrain réduit et sans profondeur stratégique.

Mais surtout, faut être sérieux: on va pas comparer la Russie et la Géorgie!!!!!! Y'a comme une différence de taille. La Russie a foutu près de 10% de toutes ses ressources militaires et budgétaires dans ce micro-conflit contre un état lilliputien!

Et encore, les Russes ont galéré et ont du constater les énormes merdages de leur outil militaire: besoin de moyens disproportionnés, aviation inefficace, imprécision des bombardements, coordination mauvaise, entraînement insuffisant.... On va pas ma parler de la "rusticité" des soldats russes, là. Surtout face à quoi? Des Géorgiens ramollis par le "confort" occidental décadent? C'est pas comme si la géorgie était un pays riche.

Sinon, pour le fond, on est tous d'accord, et ce débat rappelle notamment aux USA l'exercice majeur où une force type RMA (army et navy) était confrontée à une force de défense "à l'ancienne" (marines) qui avait bien préparé son affaire et l'a emporté haut la main, si bien que les autorités militaires (plutôt militaro-politico-industrielles) ont aussitôt "ressuscité" les unités RMA démolies pour que l'exercice soit déclaré gagnant pour elles. Le général commandant la force des Marines a démissionné juste après (me souvient plus du nom de l'exercice et du dit général).

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Selon le concept de tout ces RMA et consorts, même le Luxembourg pourait étriller la Chine, ces concepts font totalement fi de toutes logique quantitative et humaine. Pour les Russes ils ont des maux qui leurs sont propres (aviation à la ramasse du début à la fin, ne connaissent pas encore l'existence de la radio,...), mais en ce qui concerne l'imprécions des bombardements elle est en partie volontaire. Ne pas oublier que les ratés de la campagne aérienne on touchés des civils, dont on sait que la doctrine russe préconise de leur mettre une certaine pression pour déstabiliser le pays. Que dire des Israéliens qui déciment des enfants par grappes entières et qui ne le font même pas exprès dans ce cas la ? Si la Russie se donnait les moyens de mettre à exécution ses plans de modernisations de ses forces on ne serait pas loin du bon concept : des forces assez nombreuses, mais dotées de matériels assez modernes (chars T90, hélicoptères Mi-28, radios de communications,...) qui ne coûterait pas non plus une fortune tout en restant d'un entretien raisonnable. Sans oublier que tout notre bordel ultra-technologique n'a pas qu'un coût à l'achat, ce qu'on semble oublier. Il faut l'entretenir, maintenir les compétences des utilisateurs et remplacer ce matériel lorsqu'il est hors d'usage. Sur ce dernier point on ne me fera pas croire que tout notre matériel bardés de puces, capteurs et électroniques aura une durée de vie supérieure à du matériel plus rustique. Un FAMAS Félin tiendra t'il aussi longtemps qu'un AK-74, un G36 voire un Colt M4A1 en Afghanistan dont on connaît les contraintes climatiques et envrionnementales ? Idem pour un hélicoptère Tigre par rapport à un Apache ou un Mi-24, un Leclerc à un T-72 modernisé,...

Maintenant comme tu le soulignes, Tancrède, la collusion entre militaires et industriels aux Etats-Unis est un exemple à ne pas suivre à mon sens. On a vite des généraux vite plus intéressés par l'état de leurs comptes bancaires,  leurs plans de pensions (petits emplois bien rémunérés comme « consultants » auprès des industries de Défense) que la vie de leurs hommes et femmes et la réussite des missions qui leurs sont confiées. Ralph Peters en parlait d'ailleurs dans un DSi des « industriels avec leurs lots de fausses promesses, de corruption,... ». On ne mélange jamais les affaires publiques/Etat avec les intérêts privés. Le corps des officiers supérieurs US devrait être sérieusement élagué.  

On nous a longtemps bassinés avec ces concepts techno vomitifs, ceux qui refusaient d'y adhérer étaient des has-been, mais maintenant cette pensée unique craque de partout. Un débat est indispensable et innévitable maintenant. On ne peut plus continuer comme ça, on va droit dans le mur en béton. Là pour l'instant on est déjà sorti de la piste et on traverse le bac à gravier...

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Au fait, j'ai hier regardé la série télévisée Sleepers Cells qui racontent la vie d'une cellule terroriste islamiste. C'était assez intéressant car on y expliquait leur mentalité, conviction, leur façon de voir et vivres les choses qui est évidemment totalement différente de la nôtre. On y voyait aussi leur quotidien et leur vie régie par l'Islam (prières, façon de penser,...). Je me suis dit pourquoi pas un DSi hors-série sur la culture musulmanne et sont rapport à la façon de combattre ? Je veux dire que quand on imagine un terroriste islamiste on pense toujours à un barbu quasiment illetré qui passe sa journée à prier avec son AK-74 sur les genoux alors qu'en fait on voyait que c'était différent de ce qu'on peut penser. Certains de ces islamistes ont fait l'université, il y avait aussi une mère de famille occidentale qui est comme "l'américaine modèle",... Ce serait bien d'avoir une vision plus claire de comment l'Islam voit la guerre, la façon de la mener, les valeurs qui sont les leurs(elles sont différentes des nôtres mais ce n'est pas pour ça qu'il n'y en a pas, amalgame pourtant très souvent commis), quels leurs interdits (notion de fair-play comme on dit en Occident),... Analyser le décalage entre ce qui est prôné par l'Islam et ce que mettent réellement en pratique les terroristes, comment ils recrutent,...     

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euh.. on va peut-être pas commencer à prendre une série télévisée comme source d'analyse et d'étude.

C'est du divertissement post 9/11 et rien d'autres.

Rien ne te prouve que le profil des personnages correspond en quelque chose à des ou un profil type de terroristes convaincus.

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En attendant un éventuel HS de DSI sur le sujet, vous pouvez toujours vous tourner vers notre nouvelle revue "MOYEN-ORIENT" (même éditeur que DSI). Le sous-titre de la revue est "Géopolitique, géoéconomie et géostratégie du monde arabo-musulman). La revue est dirigée par le géographe (et géopolitologue) Frank Tétart, ancien co-réalisateur de l'émission "Le Dessous des Cartes" sur Arte.

Ci-dessous la couverture du n°02 actuellement en kiosque :

(octobre-novembre 2009 • 100 pages • 10,95 €)

Image IPB

Pour info, le 1er numéro (août-septembre 2009) portait sur l'Iran...

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Bonjour tout le monde,

Mon chef a effectivement raison, nous disposons d'un début de réponse éditoriale. Je dis "début" dans la mesure où l'interraction entre facteurs religieux et militaires dans l'islam est éminement complexe : rien que pour les sunnites, les 5 grandes écoles juridiques ont des impacts différenciés en matière d'art de la guerre. Ce sont ces écoles qui expliquent notamment le monde de différence entre un Ouzbèke et un Malais, entre un Egyptien et un Soudanais. En bref, il n'y a pas "un islam" (ce sur quoi je renverrais à l'excellent bouquin d'Anne-Claude Dero-Jacob, Sociétés et institutions traditionnelles de l'islam, qui m'a servi de syllabus à l'époque).

Du coup, dire qu'il y a un "art de la guerre musulman" est aussi faux que de dire qu'entre USA, Europe et Australie les perceptions politiques sont identiques (j'en profite pour conseiller aux courageux les travaux de Jean-Paul Charnay). Il y a des lignes de continuité, certes, mais bon... au-delà, ça devient complexe : un HS ne peut pas se substituer à une thèse de doctorat... Autre pépin : la matière est très, très peu traitée par les auteurs accessibles. Conclusion, l'idée est intéressante mais si on veut la pousser à bout et en la comparant à nous, ça reviendrait à parler d'un seul art de la guerre occidental sur 100 pages. Bref, en plus du problème des sources, ça serait méchemment dillué... D'un autre côté, je me vois mal proposer à mes lecteurs un HS sur "l'art de la guerre dans l'école juridique shaféite". Ce serait assez rigolo de travailler là-dessus bien sûr mais c'est pas dit que ce serait une réussite commerciale. Or, on doit vivre, aussi... 

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Ah je ne pensais pas qu'il y avait tant de divisions en Islam ! Je connaissais Sunnites et Chiites mais que eux même se subdivisaient en différentes écoles...  :O

Moi je trouve le thème intéressant car si on connaît la façon de combattre de l'autre, c'est toujours un atout. On ouvre de grand yeux devant leurs méthodes alors qu'elles sont peut être écrites noir sur blanc dans les livres religieux musulmans. Est ce que l'intercation entre religion et guerre est aussi poussée dans le christianisme ?

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Sinon, pour le fond, on est tous d'accord, et ce débat rappelle notamment aux USA l'exercice majeur où une force type RMA (army et navy) était confrontée à une force de défense "à l'ancienne" (marines) qui avait bien préparé son affaire et l'a emporté haut la main, si bien que les autorités militaires (plutôt militaro-politico-industrielles) ont aussitôt "ressuscité" les unités RMA démolies pour que l'exercice soit déclaré gagnant pour elles. Le général commandant la force des Marines a démissionné juste après (me souvient plus du nom de l'exercice et du dit général).

L'exercice était le "Millennium Challenge 2002", dans lequel une force combinée devait montrer la supériorité des techniques de "transformation", nouvelles tactiques basées sur l'utilisation du Réseau.

L'adversaire était un pays du golfe officiellement non cité  =) mais l'Irak et l'Iran étaient visés.

L'objectif de cet exercice était de montrer comment les nouvelles technologies pouvaient démultiplier la puissance des forces armées en dépensant 250 millions de  dollars.

Les forces averses étaient dirigés par le lieutenant-general Paul K. Van Riper des Marines. Un soldat qui pense que la technologie ne peut pas tout et qui l'a prouvé.  :lol:

Pour ce faire, il s'est efforcé de contrecarrer les points forts de l'armée US :

- pas de communication par radio qui vous trahissent,

- saturer les radars de la flotte US en sortant tout ce qu'il disposait comme bateau ce qui en plus lui a révélé la position de ses adversaires,

- tirer tout ses missiles anti-navires en même temps,

- terminer par des attaques de bateaux suicides.

Ces attaques auraient pu causer la perte de 16 navires dont un porte-avions et la mort de 20 000 soldats.

Au vu du fiasco, le Pentagone a décidé de "dé-couler" les bateaux et de se limiter a des exercices au scénario fixé a l'avance.

Van Riper a décidé de démissionner en apprenant cette décision. :'(

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Nous avons de nouveaux projets dans nos cartons. Ils sont actuellement sur le point de déboucher et qui, si vous êtes lecteurs, vous concernent directement. On ne fera pas la révolution sans vous, qui nous soutenez et parfois même nous conseillez !

DSI : world invasion

Première révolution : la France va enfin disposer d'une revue publiée intégralement en langue anglaise, Technology and Armament Review. L'occasion pour DSI-T d'en revenir à ses origines (il était bilingue français/anglais) mais aussi de prendre une assise non plus régionale mais bien globale. Le tout, dès juin 2010 et le salon Eurosatory. C'est une vraie révolution : souvent demandée, jamais mis en place concrètement, une revue faite en France et à vocation globale manquait ;

Un max de DSI...

Mais les lecteurs francophones, me direz-vous ? Et bien, c'est très simple : face au succès de DSI (plus de 120.000 lecteurs tous les mois, tout de même), il va évoluer, profondément même. Il va gagner en taille – il sera un peu plus grand (mais pas au point de perdre son identité visuelle) – mais aussi en épaisseur, passant de 100 à 116 pages.

Ce qui va nous permettre de faire évoluer la bête. Tous les mois, le regard de JL Promé - fraichement promu rédacteur en chef adjoint, tout comme Véronique Sartini – permettra de revenir en profondeur sur un dossier.

De la technologie, vous n'en manquerez pas, c'est promis. En fait, vous aurez plus d'informations, d'articles, de photos. Si nous conservons le reste de nos rubriques, nous réservons également quelques (bonnes) surprises. Et le tout, à partir du prochain numéro, celui de décembre.

Donc le DSI-T va devenir un magazine en anglais uniquement, c'est bien ça ? si c'est le cas c'est dommage j'aimais bien ce magazine. J'allais justement m'abonner.

A moins de trouver l'équivalent des articles en français dans le DSI mensuel.

Donc en résumé il n'y aurait plus que 2 magazines en français, DSI et DSI HS ?

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La version anglaise ne sera pas disponible en France d'après ce que j'ai lu. Sinon l'anglais s'améliore justement en lisant. Au début moi je ne le comprenais pas du tout, mais à force de lire j'en ai maintenant une bonne compréhension, et ça viens assez vite. Pas besoin de lire trois livres par jour, lire un petit peu régulièrement, et ça viens. Il y a des points de grammaire qu'il faut vraiment étudier (verbes irréguliers, principes de conjugaison,...) mais dans l'ensemble, pour la compréhension, ça deviens vite intuitif.

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Juste un petit coup de pub en vitesse, mais qui peut rapporter : jusqu'au 30 novembre, le prix des abonnements à DSI reste inchangé.

Or, le prix du DSI "nouvelle formule à 116 pages et agrandi" va légèrement évoluer à la hausse. Le papier, malheureusement, se paie mais le résultat devrait très largement compenser cette hausse.

Ce qui veut dire, concrètement, que pour un an ou deux d'abonnement, vous en restez au prix de l'abonnement du DSI "100 pages/ancienne formule". Du moins si vous souscrivez avant le 30/11.

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Cette fois, nous y sommes : des dizaines de milliers de DSI 54 sortent des rotatives avant d'atterrir dans les kiosques le 1er décembre ;o) Quelques infos sur la nouvelle génération du magazine ici : http://athena-et-moi.blogspot.com/2009/11/zoom-sur-dsi-54.html

Et puis, petite info prix, avec une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise d'abord : vu l'augmentation de la taille du magazine et de sa pagination (il passe à 116 pages), on a été obligé d'augmenter le prix, qui passe à 6,7 Eur en France.

La bonne à présent : le prix de l'abonnement annuel reste à 50 EUR pour la France. En fait, une partie non négligeable du prix en kiosque revient aux NMPP. Sur les abonnements, nous ne répercutons évidemment pas ce coût supplémentaire. L'un dans l'autre, sur un an, 11 DSI en kiosque (soit tout de même 1276 pages et environ 1375 photos) vous reviennent à 73,7 Eur contre 50 via l'abonnement...

Autre info, des abonnements à DSI HS (6 numéros par an) ont été créés (40 Eur sur la France), de même qu'un abonnement couplé DSI/DSI HS (80 Eur par an sur la France). Bon, ben plus bas, on pouvait pas faire...

Voilà, c'était ma minute commerciale ;o)

   

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Autre info, des abonnements à DSI HS (6 numéros par an) ont été créés (40 Eur sur la France), de même qu'un abonnement couplé DSI/DSI HS (80 Eur par an sur la France). Bon, ben plus bas, on pouvait pas faire...

Voilà, c'était ma minute commerciale ;o)

   

Voilà une bonne nouvelle. Je pense qu'après avoir acheté 53 numéros au kiosque, c'est un magazine qui m'intéresse  ;)

Y a t il un autre moyen de s'abonner en ligne que cette url http://www.areion.fr/boutique/ ?

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Et voilà, nous y sommes : il sera demain dans les bacs ;o)

Sommaire DSI n°54 – décembre 2009

116 pages, nouveau format, En kiosque dès le 1er décembre

Editorial

Agenda et nominations et contrats du mois

Veilles contre-terroristes

Industrie française. Matériel du mois : Thales Spy Arrow

Veilles stratégiques

La chronique de Carl von C. : « L’Europe pour les nuls »

Stratégie

Peut-on penser une campagne COIN en stratégie aérienne ? L’apport de Warden

Par Joseph Henrotin, chargé de recherche au CAPRI

Chronique : repenser l’attrition

Par Benoist Bihan, doctorant en histoire

Y-a-t-il un pilote dans le drone ? Une approche en termes de compétences des opérateurs

Par Pierre Barbaroux, Grégory Boutherin, Cyril Camachon, et Christophe Pajon, enseignants chercheurs au Centre de recherche de l’armée de l’air (CReA/EOAA)

« Perdre ou changer » Stalingrad en Afghanistan…!?

Par Olivier Entraygues, lieutenant-colonel, doctorant en histoire des doctrines stratégiques, auteur de Afghanistan, 1979-2009. Une approche militaire de l’Afghanistan

Face aux réalités. Fin de la RMA et révolution des doctrines militaires américaines

Par le général de division Vincent Desportes, directeur du Collège Interarmées de Défense (CID).

La fin du pétrole dans l’aviation

Par le commandant (armée de l’Air) Philippe Locatelli, stagiaire de la promotion « Maréchal Foch » du Collège Interarmées de Défense (CID).

Armées

Marine sud-africaine. Quel avenir ?

Par Joseph Henrotin, chargé de recherche au CAPRI

Tableau de bord : la marine sud-africaine

Par Philippe Langloit, chargé de recherche au CAPRI

Unités

BAN de Landivisau. L’autre porte-avions

Par Véronique Sartini, journaliste

Encadré : les chiffres

Encadré : une formation longue et exigeante

Encadré : le Rafale standard F3

Encadré : SEM standard 5+

Une adaptation au « chausse pied »

Entretien avec le capitaine de vaisseau Patrick Zimmermann, commandant la base aéronautique navale de Landivisiau

Technologies

Soldato Futuro. L’infanterie italienne de demain

Par Emmanuel Vivenot, journaliste spécialiste des questions de défense

Alphajets : faire du moins que neuf avec du plus que vieux...

Par Frédéric Lert, journaliste spécialiste des questions de défense

Combat naval : la mutation des patrouilleurs et corvettes

Par Joseph Henrotin, chargé de recherche au CAPRI

Fiches techniques

La classe Huyga

Par Joseph Henrotin

L’EA-18G Growler

Par Joseph Henrotin

Archer FH-77 BW L55

Par Pierre Petit

FAMAS

Par Stéphane Ferrard

Enquête

Une page se tourne pour l'ALAT

Par Jean-Louis Promé, rédacteur en chef adjoint

Carte : Dotations des unités de l’ALAT (au 1er décembre 2009)

Encadré : Parcs opérationnels de l'ALAT au 1er décembre 2009:

Afghanistan: examen de passage réussi pour le Tigre. Un COMALAT heureux!

Entretien le général de division Tanguy, commandant le Comalat.

Retour vers le futur pour l'Alat!

Par Jean-Louis Promé

Encadré : Du NTI au NSO/NSI: la maintenance évolue

Comment « économiser » les Tigre et TTH-90 ?

Par Jean-Louis Promé

Encadré : Les Tigre ont un féroce appétit

Critiques de lectures

Stratégie de l’âge nucléaire de Pierre Marie Gallois

Europa, n°1, décembre 2009.

Afghanistan, 1979-2009. Une approche militaire de l’Afghanistan d’Olivier Entraygues

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