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Leonardo


Lordtemplar

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Choquant que cet escroc puisse garder son poste et sa liberte.  

https://www.defensenews.com/industry/2020/10/15/leonardo-ceo-found-guilty-of-fraud-in-previous-job/

Quand on compare avec Carlos Ghosn qui a ete emprisone et vire de son poste avant meme de passer au tribunal.  L'Italie c'est vraiment le pays de la mafia.

Modifié par Lordtemplar
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26 minutes ago, 13RDP said:

C'est leur loi.

Et habitant un pays ou des Balkany -entre autres- sont toujours au calme, je me garderais bien de porter pareil jugement. 

 

De là a ouvrir un topic dédié...

Il n'y avait pas de fil specifique Leonardo, donc j'ai cree un "topic".  Leonardo est un industriel majeur de l'armement, donc un fil dedie a cette entreprise est tout a fait justifie. 

Leonardo est une societe controllee par l'etat.  Une societe privee l'aurait ejecte il y a longtemps.  Ce n'est pas comme s'il etait mis en examen et en attente d'un jugement.  Ce mec a etait condamne par un tribunal.   Qu'il fasse appel a cette decison c'est son droit, par contre qu'il garde son poste c'est un scandal et cela devoile une culture malsaine chez Leonardo, pas genial pour les actionnaires et clients.

Je ne dis pas qu'en France il n'y a pas de scandal, mais ce n'est pas institutionel comme en Italie, ex. Juge Falcone, etc...

Si tu trouves cela normal tant mieux pour toi.

Modifié par Lordtemplar
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  • 4 years later...

https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/03/12/roberto-cingolani-l-ingenieur-en-chef-de-leonardo-bras-arme-de-l-industrie-de-defense-italienne_6579655_3234.html

Roberto Cingolani, l’ingénieur en chef de Leonardo, bras armé de l’industrie de défense italienne

« L’économie de la guerre » (3/6). Le directeur général du groupe d’armement a, depuis 2023, rendu son entreprise indispensable au sein du complexe militaro-industriel en Europe, multipliant les alliances et les projets. Ultratechnophile, il ne cache pas ses doutes sur la classe politique européenne.

Roberto Cingolani est un homme pressé. Les formalités ne l’intéressent guère, pas plus que les méandres de la politique. Ce physicien distingué croit au primat de la technologie débarrassée de régulations jugées envahissantes et des atermoiements de la vie démocratique. Agé de 63 ans, il est connu pour son style direct et son goût pour l’approche long-termiste, chère aux géants de la tech, et pour son aversion pour les cravates. L’administrateur délégué de Leonardo, grand groupe d’armement et d’aéronautique italien, appréhende la question urgente de la défense européenne avec plus de foi en la capacité des industriels à conjuguer leurs efforts que dans celle des gouvernements à jouer un rôle moteur.

« En France, en Allemagne, en Italie, nous avons, comme groupe de l’industrie de défense, un important devoir social, revendique Roberto Cingolani, lors d’une rencontre avec Le Monde. Les gouvernements sont de sensibilités diverses et ont du mal à se coordonner. Si nous trouvons des accords entre nous, puis que nous en montrons les avantages aux Etats, nous indiquerons la voie. »

Depuis sa nomination, en 2023, à la tête de Leonardo et des 53 600 employés répartis sur 111 sites de production, cet ancien conseiller de la présidente du conseil italienne, Giorgia Meloni, chargé du dossier énergétique, a multiplié les alliances avec des groupes étrangers, qu’il présente comme fondées en premier lieu sur des considérations technologiques. Milanais, passé par des universités japonaise et américaine, professeur de physique à l’université de Lecce, dans les Pouilles, en 2000, puis directeur de l’Institut italien de technologie, M. Cingolani est titulaire d’une trentaine de brevets.

Il entre chez Leonardo en 2019, où il prend la tête de l’innovation technologique. Deux ans plus tard, dans le gouvernement d’unité nationale à coloration technocratique rassemblé par Mario Draghi pour affronter la pandémie de Covid-19, il prend le poste de ministre de la transition écologique. De crise en crise et d’un pouvoir à l’autre, il n’a cessé de cheminer sur les sommets de l’establishment italien.

« Nous vivons une avant-guerre »

« Roberto Cingolani est un manageur scientifique. Son mandat correspond à un moment où l’industrie de défense doit intensifier sa dimension technologique avec des capacités de calcul étendues, l’intelligence artificielle et les systèmes autonomes », explique l’expert en innovation Alessandro Aresu. « Il entend à la fois participer à l’augmentation des capacités productives en s’alliant avec d’autres acteurs européens et étendre la transformation technologique de l’entreprise », précise M. Aresu, par ailleurs ancien conseiller de Mario Draghi.

...

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