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une mesure préventive pour éviter un procés couteux.
Diplomatie donc.

A propos, les artilleurs de tsahal ont confirmé qu'ils avaient bien reçu des ordres pour tirer des bombes à sous-munitions contrairement à ce qu'avait affirméle chef d'Etat-major.

Et ils ont gueulé contre Dan Halutz, l'accusant de ne pas avoir été sur le terrain alors qu'eux ils y étaient donc qu'ils savaient de quoi ils parlaient.

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Diplomatie donc.

A propos, les artilleurs de tsahal ont confirmé qu'ils avaient bien reçu des ordres pour tirer des bombes à sous-munitions contrairement à ce qu'avait affirméle chef d'Etat-major.

Et ils ont gueulé contre Dan Halutz, l'accusant de ne pas avoir été sur le terrain alors qu'eux ils y étaient donc qu'ils savaient de quoi ils parlaient.

De toute façon, dans toutes les armées du monde c'est toujours la même chose quand il y a des bavures.

C'est toujours la faute du soldat et jamais c'elle des politique...[26]

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De toute façon, dans toutes les armées du monde c'est toujours la même chose quand il y a des bavures.

C'est toujours la faute du soldat et jamais c'elle des politique...[26]

Mais le problème c'est que Halutz n'est pas un politique justement, c'est le chef de tsahal, mais pas le plus gradé, il n'est que lieutenant-général. [08]

C'est lui qui a dit que ces munitions ont été tirées sans ordres.

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Liban en deuil

Yep, c'est vrai que c'est le big love entre les Libanais et le Hezbollah...

"Nous ne voulons que les armes de l'armée", scandaient les protestataires en allusion au Hezbollah chiite, soutenu par Damas et Téhéran, qui refuse de désarmer et qui est à l'origine, à travers le rapt de deux soldats israéliens, de l'offensive israélienne de l'été sur le Liban. "Le tribunal international immédiatement", "Nous demandons l'application de la résolution 1701" du Conseil sécurité de l'ONU, qui a mis fin le 14 août à plus d'un mois de combats entre le Hezbollah et Israël, et qui réclame notamment le désarmement du parti chiite, proclamaient les banderoles.

Les manifestants conspuaient aussi le chef de l'opposition chrétienne, le général Michel Aoun, lui reprochant son alliance avec le Hezbollah. "Qui a décidé de se désolidariser [des forces antisyriennes] ?", pouvait-on lire sur les portraits du chef chrétien, chassé du pouvoir par Damas et ses alliés libanais en 1990, et alors contraint à l'exil.

mais bon c'est vrai je ne compredens pas que le Hezbollah est l'incarnation du Liban, la seule issue possible pour lui... les pieds devants. [01]

Quand regarderons enfin la vérité en face, le Hezbollah n'est pas le Liban, les Chiites ne sont pas majoritaires et le Hezbollah n'est pas non plus majoritaire chez ces mêmes Chiites...

C'est la Syrie qui a demandé au Hezbollah de ne pas se faire le représentant unique de la communauté chiite en laissant la majorité des sièges de l'assemblée à Amal.

le Hezbollah s'est vu contraint, sur intervention syrienne des plus appuyées, de faire alliance avec son concurrent chi'ite Amal avec qui il entretient des relations des plus désastreuses depuis sa création en 1982.

http://www.globenet.org/archives/web/20 … s64li.html

D'ailleurs ont peu voir la force que peu avoir le Hezbollah au Liban par les manifestations massives qu'elle organise, la dernière a réunit presque 1 millions de personnes.

N'importe quoi, le Hezbollah n'a pas été forcé de faire un score riquiqui aux élections, seulement de s'allier avec le Amal pour contre-balancer le raz de marée anti-syrien... (72 sièges contre 35).

De plus c'est la Syrie qui dirige le Hezbollah alors ??? Dommage pour le chantre de l'indépendance du Liban, prêt à le faire détruire pour récupérer quelques fermes isolées (même si stratégiques) qui officielement appartiennent à la Syrie (qui n'a jamais signé aucun papier pour le céder au Liban, rien ques des phrases, comme dirait dalida : parole, parole, parole... [08] (je l'ai placé juste pour le challenge, cité du Dalida sur un forum dédié à la défense, faut oser...[10]))

Pour les manifestations monstres de 1 million de personnes, pour info il y a au Liban 400 000 réfugiés palestiniens, 1 000 000 de "travailleurs" syriens et environ 900 000 Chiites... Quand aux manifestations de telle ampleur... 30 % de la population dans la rue (50% si on ne compte que les adultes) alors qu'aux élections ils n'ont fais que 27% des voix... je comprends pas là... [11]

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Merci de cette dose de lucidité Duralex, je commencais à desespérer devant tant de conneries.

Pour info, j'ai qd même réussi à placer un refrain de Joe Dassin en titre de topic (l'Amérique, l'Amérique), donc tu es out avec ton modeste Dalida [08]

Une revue de presse vite fait en homamge au Peuple Libanais, étouffé par un régime voisin impérialiste et dangereux qui met en péril toute la région.

Amine Gemayel accuse Emile Lahoud et Michel Aoun

L'ancien président libanais Amine Gemayel accuse l'actuel chef de l'Etat, Emile Lahoud, d'être "la cinquième colonne" de la Syrie au Liban et le général chrétien Michel Aoun de couvrir "le jeu syrien", dans un entretien au Figaro publié le 23 novembre. Pointant du doigt la Syrie dans la responsabilité de l'attentat, M. Gemayel déclare, dans cet entretien, que "la Syrie n'a pas digéré d'avoir dû quitter militairement le Liban". "Elle garde une cinquième colonne dans les institutions, j'entends le président de la République, qui n'est autre que le représentant des intérêts syriens, et le Hezbollah, qui ne cache pas son alliance avec Damas, sans parler des autres partis prosyriens." M. Gemayel estime aussi que le général Aoun "couvre le jeu syrien au Liban". "Je ne l'ai jamais entendu dénoncer les assassinats de ceux qui étaient ses alliés naturels." L'ancien président souligne que tous les "martyrs" assassinés récemment étaient jeunes. "On a ciblé les cadres de l'avenir", dit-il. (Avec AFP.)

Les obsèques de Pierre Gemayel virent à la manifestation antisyrienne

LEMONDE.FR avec AFP | 23.11.06 | 11h57 • Mis à jour le 23.11.06 | 14h51

Le Liban a organisé, jeudi 23 novembre, des obsèques populaires pour Pierre Gemayel, le ministre de l'industrie assassiné mardi, avec un immense rassemblement à Beyrouth que le camp antisyrien a transformé en démonstration de force contre l'opposition alliée de la Syrie. Une cérémonie religieuse a été célébrée à la mi-journée en la cathédrale Saint-Georges des Maronites, entourée par une marée humaine venue rendre hommage au ministre mais aussi crier sa colère contre le président libanais Emile Lahoud,et Bachar al-Assad.

Porté jusqu'à l'église au son des cloches, accompagné de la famille vêtue de noir, en pleurs, le cercueil recouvert du drapeau libanais, reposait face à l'autel. Le patriarche maronite, Nasrallah Sfeir, entouré de très nombreux prélats, a célébré l'office. Lu en français, un message du pape Benoît XVI a dénoncé "l'acte inqualifiable" qui a coûté la vie à Pierre Gemayel. Aux premiers rangs, avaient pris place le chef de la majorité parlementaire antisyrienne Saad Hariri en larmes, le chef druze Walid Joumblatt, le premier ministre Fouad Siniora, ainsi que le président du parlement, Nabih Berri, considéré comme prosyrien. En revanche, le président libanais, dont la majorité réclame la démission, était absent.

"Ils ne feront pas fléchir notre détermination à vivre. Ils ne feront pas fléchir notre détermination à refuser la culture du chagrin et de la mort", a lancé le leader druze Walid Joumblatt, qui parlait sur une estrade protégée par un écran pare-balles sur la place des Martyrs, dans le centre de Beyrouth.Les manifestants, brandissant des drapeaux libanais, ont jeté à terre des portraits des présidents libanais Emile Lahoud, syrien Bachar Al-Assad et iranien Mahmoud Ahmadinejad, qu'ils ont piétinés. "Retirez-le", "Sortez l'agent de Bachar de Baabda" – le palais présidentiel libanais –, hurlait la foule en référence à M. Lahoud.

"LE TRIBUNAL INTERNATIONAL IMMÉDIATEMENT"

"Nous ne voulons que les armes de l'armée", scandaient les protestataires en allusion au Hezbollah chiite, soutenu par Damas et Téhéran, qui refuse de désarmer et qui est à l'origine, à travers le rapt de deux soldats israéliens, de l'offensive israélienne de l'été sur le Liban. "Le tribunal international immédiatement", "Nous demandons l'application de la résolution 1701" du Conseil sécurité de l'ONU, qui a mis fin le 14 août à plus d'un mois de combats entre le Hezbollah et Israël, et qui réclame notamment le désarmement du parti chiite, proclamaient les banderoles.

Certains manifestants conspuaient aussi le chef de l'opposition chrétienne, le général Michel Aoun, lui reprochant son alliance avec le Hezbollah. "Qui a décidé de se désolidariser [des forces antisyriennes] ?", pouvait-on lire sur les portraits du chef chrétien, chassé du pouvoir par Damas et ses alliés libanais en 1990, et alors contraint à l'exil.

Plus tôt dans la matinée, la dépouille mortelle de Pierre Gemayel avait quitté son village natal de Bikfaya, accompagnée par des centaines de sympathisants. Le cercueil, enveloppé du drapeau libanais et de celui des Kataëb – le parti dirigé par son père, l'ancien président Amine Gemayel –, a été porté à bout de bras par ses partisans venus à Bikfaya, dans la montagne à l'est de Beyrouth, pour l'accompagner vers la capitale.

«La Syrie n'a pas digéré d'avoir dû quitter militairement le Liban», explique Amine Gemayel, le père du ministre assassiné.

Rubrique InternationalL'ancien président libanais et père du ministre assassiné dénonce la main du président syrien, Bachar el-Assad, derrière le meurtre de son fils.

LE FIGARO. - Les Gemayel paient-ils un tribut trop lourd à la politique ?

Amine GEMAYEL. - C'est le cinquième Gemayel à être tué. Il y a eu mon frère Bachir, assassiné en 1982, sa fille Maya, tuée à quatre ans dans l'explosion d'une voiture piégée ; deux cousins morts à la guerre... C'est apparemment le destin de la famille. Mais nous continuons le combat, avec tous nos alliés du 14 mars.

Qui est, selon vous, responsable de la mort de votre fils ?

Ce sont les mêmes méthodes, les mêmes appareils depuis l'assassinat de Kamal Joumblatt en 1977 jusqu'à aujourd'hui. Les Syriens ne cachent pas leur objectif. Le président Bachar el-Assad a publiquement déclaré son intention de plonger le Liban dans le chaos.

Pour quelle raison, selon vous ?

La Syrie n'a pas digéré d'avoir dû quitter militairement le Liban. Elle garde une cinquième colonne dans les institutions, j'entends le président de la République, qui n'est autre qu'un représentant des intérêts syriens, et le Hezbollah, qui ne cache pas son alliance avec Damas, sans parler des autres partis prosyriens. Tous ces gens servent les intérêts syriens « avec précision et fidélité », selon une expression arabe. Mais nous tenons tête. Nous avons une majorité au Parlement et au gouvernement. Le vote du Conseil de sécurité a renforcé notre position. C'est un encouragement à continuer.

Pourquoi votre fils a-t-il été ciblé ?

Tous ceux qui ont été tués, tous ces martyrs, étaient jeunes : Gebrane Tuéni, Samir Kassir, Rafic Hariri, qui était relativement jeune, et maintenant Pierre. Ce sont les jeunes qui mobilisent l'opinion publique, plus que la génération précédente. Pierre jouait un rôle important dans la remobilisation du parti Kataëb. On a ciblé les cadres de l'avenir. En assassinant tous ces jeunes martyrs, on veut en outre déstabiliser l'alliance du 14 mars.

Que pensez-vous des positions politiques du général chrétien Michel Aoun, allié du Hezbollah ?

Je ne sais pas quel jeu il joue. Il est en train d'avaliser une ligne politique opposée à tous les principes qu'il prônait il y a peu de temps encore. Il couvre le jeu syrien au Liban ; je ne l'ai jamais entendu dénoncer les assassinats de ceux qui étaient ses alliés naturels.

L'ambiance est très tendue. Craignez-vous une nouvelle guerre civile ?

Non. Les ingrédients d'une guerre civile n'existent pas. Le Hezbollah ne peut pas recourir aux armes contre d'autres Libanais. Il détruirait le prestige acquis sur la scène arabe. Les gens ne sont pas convaincus par ses slogans et ceux de ses alliés, car leur jeu prosyrien saute aux yeux. Cela dit, il ne faut pas mettre de l'huile sur le feu, c'est pourquoi j'ai appelé au calme. Nous avons les moyens de remporter une victoire pour un Liban souverain, sans recourir à la violence.

Walid Joumblatt : "Si le régime syrien croit nous intimider..."

Le dirigeant druze Walid Joumblatt, chef du Parti socialiste progressiste, met directement en cause la Syrie dans l'assassinat de Pierre Gemayel.

Les antisyriens assistent en masse aux obsèques de Pierre Gemayel

LE MONDE | 23.11.06 | 11h07 • Mis à jour le 23.11.06 | 11h14

BEYROUTH CORRESPONDANTE

Le Liban devait porter en terre, jeudi 23 novembre, le ministre de l'industrie Pierre Gemayel, assassiné l'avant-veille par balles dans un quartier de la périphérie de Beyrouth. Des dizaines de milliers de Libanais étaient déjà rassemblés place des Martyrs, au cœur de la ville, jeudi matin, pour ces funérailles, en réponse aux appels des chefs des partis de la majorité.

A travers l'hommage appuyé à la victime, ils ont signifié leur détermination à mener à son terme ce que Samir Geagea, chef des Forces libanaises, appelle "la révolution des cèdres", pour le recouvrement de l'indépendance du Liban et de sa souveraineté ; afin d'obtenir "justice" pour les crimes politiques commis depuis deux ans, a renchéri Saad Hariri, chef du Courant du futur, tandis que Walid Joumblatt, chef du Parti socialiste progressiste, mettait en exergue "la liberté". M. Joumblatt a beau avoir souhaité que ne soit scandé aucun slogan, les obsèques de Pierre Gemayel devaient être hautement politiques.

La cathédrale Saint-Georges des maronites, où la messe de requiem devait être dite, est à un jet de pierre de la place des Martyrs. C'est là que les forces de la majorité ont tenu leurs rassemblements populaires les plus massifs, depuis l'assassinat, en février 2005, de Rafic Hariri. C'est là, au centre de la place, que se trouve la sépulture toujours fleurie de blanc de l'ancien premier ministre et des sept gardes du corps tués dans l'attentat qui l'avait visé.

Dès mardi soir, un dispositif de sécurité conséquent, principalement confié à l'armée, a été mis en place au centre de Beyrouth, pour circonscrire d'éventuels débordements. L'armée et la gendarmerie ont également été déployées aux grands carrefours et aux portes d'accès de la partie est de la capitale, à majorité chrétienne. Ici, les rues, d'ordinaire très animées, étaient pratiquement désertes, mercredi.

PORTRAITS DU MINISTRE ASSASSINÉ

Dans la soirée, des partisans et des amis du parti des Kataëb (Phalanges), dont Pierre Gemayel était l'un des responsables, ont organisé de petites manifestations, notamment sur le lieu de l'attentat. Sur l'autoroute du Nord, jusqu'à la petite ville de Bikfaya, dans la montagne du Metn dont les Gemayel sont originaires, de grands portraits du ministre assassiné ont été placardés. D'autres affichent le visage des cinq victimes d'attentats commis en 2005, avec l'inscription : "Nous n'oublierons pas".

En dépit de l'audition de nombreux témoins de l'assassinat, commis en plein jour par des hommes à visage découvert, l'enquête n'a pas encore permis de dégager une piste sérieuse, a déclaré le ministre de l'intérieur, Ahmed Fatfat. Répondant à la demande du premier ministre, Fouad Siniora, le Conseil de sécurité a accepté, mercredi, que la commission d'enquête de l'ONU sur l'assassinat de Rafic Hariri fournisse une aide technique pour enquêter sur ce nouveau meurtre.

Moins de vingt-quatre heures après l'assassinat, les échanges d'accusations entre la majorité et l'opposition ont repris de plus belle. Dans un langage elliptique, les chefs de la majorité ont annoncé de futures "initiatives" qui, selon le ministre des télécommunications, Marwan Hamadé, "visent à sauver le pays".

Amine Gemayel, président du parti des Kataëb et père du ministre assassiné, a déclaré à la chaîne de télévision Al-Arabiya que "le compte à rebours de la présidence de la République a commencé". Il faisait allusion à la détermination de la majorité de mettre fin au mandat du président Emile Lahoud, qu'elle considère comme le représentant suprême de ce qu'elle qualifie de "régime sécuritaire syro-libanais".

Mouna Naïm

Une pacification de la région passe nécessairement par une souveraineté nette permettant au Liban de faire front à la Syrie, petit vassal de l'Iran dont on connaît les intentions.

Saluons encore une fois (je le répète car je le taille souvent) Chirac qui a bien eu raison de s'émouvoir, au-delà des raisons personnelles, de la mort d'Hariri qui a posteriori amorçait bien une sombre série de tentatives de déstabilisation du Liban de la part du régime syrien.

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en fait duralex , le raid du hezbollah n'avait pas pour finalité d'obtenir les fermes de cheeba mais la libération des prisonniers détenus par l'état d'israél quant au liban, il a lui même accordé au hezbollah le statut de force de résistance et non de milice ; bref il a endossé lui même la lutte du hezbollah pour l'intégrité du térritoire réclamé et les prisonniers la syrie a certes reconnu que verbalement que les fermes de cheeba appartenaient au liban mais c'était déjà ça et de toute façon , le seul état à n'avoir aucune raison légale d'y être est celui d'Israél ..... quant aux manifestations monstres de 1 millions de personnes, tu peux avancer la thése de la présence de non-nationaux mais on peut aussi y voir la preuve que le hezbollah et ses alliés représentent plus que les voix obtenues aux élections......... je te rapelle aussi concernant le nombre de sièges obtenus par le hezbollah qu'au liban, il a un systéme de quotas par religion et que le nombre de siège ne représentent pas la représentation reélle d'un parti ; aux dernières élections le hezbollah a obtenu 14 des 27 sièges attribués aux chiites soit la majorité ches les chiites source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Si%C3%A8ges_r%C3%A9serv%C3%A9s_%28Liban%29 http://fr.wikipedia.org/wiki/Assemblée_Nationale_du_Liban par exemple, les 10000 alaouites ( j'ai utilisé ta source pour la démographie ) ont 2 sièges, les 800000 chiites 27 sièges et les 720000 sunnites 27 les musulmans ( 60% de la population ) ont 64 sièges; les chrétiens ( 40 % de la population ) 64 aussi..... ce sont aussi des élèments à prendre en compte quand on cherche à évaluer l'impact réel d'un mouvement...... pour samson : une pacification de la région passe par le réglement politique des conflits israélo-palestiniens, israélo-syrien et israélo-libanais.........( d'ailleurs c'est l'article 18 de la résolution 1701 )

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Petit article trouvé à l'instant sur un blog :

http://www.mediarabe.info/spip.php?breve82

Le quotidien koweïtien « Al Seyassah », citant des sources libanaises bien informées, affirme qu’un rédacteur de l’Agence de presse syrienne SANA a téléphoné hier, à 15h05 (heure de Beyrouth), à la rédaction d’un journal libanais proche de la Syrie. Il a demandé à ses interlocuteurs des détails sur l’assassinat du ministre de l’Industrie, 55 minutes avant qu’il ne soit exécuté. Médusés, ses interlocuteurs ont démenti que le ministre ait été assassiné. Dix minutes plus tard, le rédacteur syrien rappelle le journal libanais pour s’excuser de s’être trompé. Ce n’est que 45 minutes plus tard que les prophéties du brillantissime journaliste syrien ont été réalisées ! [09][26]...

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en fait duralex , le raid du hezbollah n'avait pas pour finalité d'obtenir les fermes de cheeba mais la libération des prisonniers détenus par l'état d'israél

En fait je parlais plus de leur volonté de ne pas déposé les armes et de continuer de harceler Israël tant que ces fermes ne sont pas libérées (ce sont bien leur dernières revendications, non ?)

Quand aux quotas, il ne s'applique pas au pourcentage de voix obtenue ?

Sinon la présence de réfugiés et de travailleurs Syriens n'est pas une invention de ma part (voir les rapports de l'ONU entre autres)

Sinon tu est bien d'accord avec moi que la situation est bien plus contrastée sur la composition et la volonté du peuple Libanais que ce que peuvent laisser croire un grand nombre de messages sur ce forum et dans les médias ? (Chiites = +- 30 % de la population, Hezbollah non majoriatre chez eux...)

La difficultée vient de l'incertitude de la composition par confession du Liban (dernier recensement 1932) et du nombre faramineux de Libanais de la diaspora (mais revenant souvent au Liban chaque année pour d'assez longue durée)

Il est dur de trouver des chiffres assez représentatifs sur le Liban, beaucoup proviennent de sites "orientés" (pro Chiites ou pro Chrétiens) on trouve de tout 70 % de Musulmans, 50 % de Chrétiens, 55 % de Chiites... Les Chiffres les moins sujets à discuter sont ceux des listes électorales, puisque les Libanais sont incrits d'office dans les listes de leur lieux de naissance... Ce qui donne :

* Alaouites : 18 491 (0,7%)

* Arméniens-catholiques : 19 392 (0,7%)

* Arméniens-orthodoxes : 89 649 (3,4%)

* Assyriens : 2120 (0,1%)

* Chaldéens : 2893 (0,1%)

* Chiites : 638 313 (24,1%)

* Coptes : 83 (0%)

* Druzes : 151 971 (5,7%)

* Grecs-catholiques : 146 644 (5,5%)

* Grecs-orthodoxes : 226 488 (8,5%)

* Juifs : 5956 (0,2%)

* Latins : 11 333 (0,4%)

* Maronites : 606 553 (22,9%)

* Protestants : 18 230 (0,7%)

* Sans confessions : 11 762 (0,4%)

* Sunnites : 674 571 (25,4%)

* Syriaques catholiques : 10 076 (0,4%)

* Syriaques orthodoxes : 14 596 (0,6%)

* Total : 2 649 121 (100%)

D'où

Chrétiens : 43.1 %

dont Maronites: 22.9 %

Grecs Orthodoxes: 8.5 %

Grecs Catholiques: 5.5 %

Musulmans: 56,4 %

dont Chiites: 24.1 %

Sunnites: 25.9 %

Druzes: 5.7 %

Divers: 0.5 % (Juifs, Sans confessions)

Les Libanais ont l'impression d'avoir été spoliés de leur propre pays par leurs voisins (Syrie, Israël) par l'arrivée massive de réfugiés Palestiniens (400 000 soit 15% de la pop) et de Syriens.

Encore une fois en cas de paix, ces chiffres serraient totalement boulversées avec le retour d'une partie de la diaspora (en grande majorité Chrétienne) ce dont ne veulent surtout pas les Chiites (communauté ayant le plus progréssée démographiquement depuis la guerre civile et la fuite de nombreux Libanais)

Qui à donc tout intérêt de ne pas voir se rétablir un Liban souverain et prospère ?

Qui souffre depuis plusieurs années d'assassinats en série politiques dans ses rangs ?

Qui veut reconstruire un Liban fort et indépendant ?

Qui possède les clefs pour le faire (compétences, diplômes, investissements, commerces, industries, banques...)

C'est un cercle vicieux: tant que le Liban sera une zone de non droit, ou la violence et les menaces règnent en maîtressses absolues, il n'y aura pas d'investissements, pas de retour de la population, pas de reconstruction, donc pas de prospérité, pas d'enseignement, pas de liberté de la presse, pas de réelle démocratie...

Le Hezbollah règne sur les ruines et le Chaos, pas sur un pays en paix et prospère... Un Libanais instruit, libre, indépendant dans ses idées et réaliste est l'ennemi mortel de ceux qui prospèrent sur les ruines du Liban.

J'aime le Liban, sa culture et sa multi-confessionalité qui est une richesse depuis son origine, la Suisse du Moyent-orient en est devenue les Balkans.

Ce pays retrouve son intégrité, sa liberté, sa grandeur, ce pourrait être un modèle pour ses voisins...

Pour finir deux dossiers très intéressants:

Syrie-Liban

Historique des Syriens au Liban

[11]

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en fait duralex , le raid du hezbollah n'avait pas pour finalité d'obtenir les fermes de cheeba mais la libération des prisonniers détenus par l'état d'israél

Comment peut-on encore croire à un seul mot de leurs déclarations?

Faut bien se mettre dans le crane que tout le monde dans cette région (israeliens compris) se fout complètement du droit et de la vérité.

Tout n'est que prétextes, mensonges ou propagande, et on ne peut rien y faire, à part s'en tenir aux faits.

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Tout d'abord, Damas prépare un rapprochement avec l'Irak (ndlr : les deux pays ont rétabli leurs relations diplomatiques mardi), et donc indirectement avec les Etats-Unis. Ce rapprochement pourrait être mis à mal par l'assassinat de Pierre Gemayel. De son côté, le Hezbollah s'apprêtait à demander aux Libanais de descendre dans la rue pour manifester contre le gouvernement. Or l'assassinat va renforcer ce dernier contre l'opposition. Enfin, à l'Onu, l'attentat va isoler la Syrie. Il a notamment renforcé la Conseil de sécurité dans sa mise en place du tribunal chargé de juger les tueurs de Rafic Hariri, pour lequel Damas est soupçonné.

http://tf1.lci.fr/infos/monde/moyen-orient/0,,3358832,00-syrie-est-elle-suicidaire-point-.html

Dans les années 60, Israël a assassiner plusieurs civil occidentaux en Egypte pour discréditer le régime égyptien aux yeux du monde et a le faire tomber (Affaire Lavon). Mais cette information a été révélée au grand jour, ce qui a entrainé la démission de Ben Gourion en 1963.

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Comment peut-on encore croire à un seul mot de leurs déclarations?

Faut bien se mettre dans le crane que tout le monde dans cette région (israeliens compris) se fout complètement du droit et de la vérité.

Tout n'est que prétextes, mensonges ou propagande, et on ne peut rien y faire, à part s'en tenir aux faits.

les faits les voilà :

- israél a envahi le liban ( en 78 d'abord ( il me semble ) et en 82 ) et a occupé une partie de ce pays : le hezbollah s'est formé et a résisté à l'occupation tuant 650 soldats israéliens suite à quoi les israéliens ont reculé jusqu'à leur frontière en 2000 à une exception près : les fermes de cheeba territoire syrien occupé par israél et revendiqué par le liban ( et non pas seulement le hezbollah ) SANS relacher ses prisonniers de guerre ni mettre en place un accord avec le gouvernement libanais ou le hezbollah ( un cessez le feu ou un armistice par exemple )

depuis le hezbollah ( avec l'accord du gouvernement libanais ) continue la lutte en invoquant comme objectifs la libération des prisonnier de guerre et la libération du territoire des fermes de cheeba....

la syrie a reconnu oralement ( mais devant témoin de l'ONU ) la souveraineté des fermes par le liban mais s'abstient de le faire par écrit

israél occupe les fermes pour des raisons inconnues à ma connaissance ( j'ai mon idée sur le sujet mais ce n'est pas un fait mais un avis ) et viole la souveraineté libanaise depuis 2000 avec des survols du territoire libanais, des incursions maritimes

enfin, selon l'actuel gouvernements libanais, la Syrie mais aussi Israél ont mené des assassinats sur son territoire......

dernier point, le statut actuel des relations entre le Liban et Israél , c'est la guerre ( il n'y a à ma connaissance aucun accord type armistice ou traité de paix en vigueur ; juste le cessez le feu ( o combien fragile à mon opinion ) de la résolution 1701 et comme celle-ci est quotidiennement violée.....)

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duralex : pour les chiffres de la population, je ne suis pas foulé j'ai pris ceux de ta source maintenant pour en revenir aux principaux points : le systéme politique libanais est basé sur les accords de taef de 1989 qui modifient les quotas dans un sens favorable aux communuatés musulmanes sans toutefois réfléter leur véritable poids démographique ( pour faire simple, ne prenons pas en compte la diaspora dont le retour est hypothétique ) celà donne 64 sièges pour les communautés musulmanes ( 60% de la pop ) eux même répartis ( avec des quotas ) entre chiites, alaouites, sunnites et druzes...... 60% de la pop et 64 sièges pour les communautés chrétiennes ( même chose, là aussi il y a des quotas )... 40% de la pop autre élèment non constitutionnel : la coutume , le président de la république est toujours un chrétien, le premier ministre un sunnite et le président de l'assemblée un chiite et après, il faut réussir à faire fonctionner tout ça ........ bref, le hezbollah est majoritaire en siège chez les chiites ( 14 sur 27 ) ce qui en fait le principal représentant de ce groupe ( pour les voix, je n'ai pas trouvé de sources ........ ) pour la diaspora, elle peut faire évoluer les équilibres démographiques SI elle revient ( et à condition d'avoir la citoyeneté ) mais pas les équilibres politiques car ceux-ci sont figés par les accords de taef ......... je ne partage pas ton opinion que le hezbollah entretient la guerre volontairement pour pouvoir "régner" sur le liban . Quant à ceux qui se servent du liban pour des objectifs autres que l'intérêt de ce pays la liste est longue : syrie, iran, USA ( pour déstabiliser la syrie ), Israél ( selon georges com par exemple .....) bref on rentre déjà dans le domaine de l'opinion. En ce qui concernent les palestiniens, je te rapelle que leur présence est due au refus du gouvernement israélien de les rappatrier chez eux ( c'est à dire sur le territoire israélien ) , je suis sur que eux aussi aimeraient être ailleurs qu'au liban mais pour le moment c'est le liban qui les acceuille .......... ça n'a pas été de tout repos par le passé mais vu la position du gouvernement israélien ( refus absolu du retour des réfugiés ) et l'absence d'un état palestinien ; je pense qu'ils sont encore là pour longtemps. Les revendications du hezbollah pour continuer la lutte sont : - les prisonniers - les fermes de cheeba Je n'en connais pas d'autres ( mais il peut y en avoir que je ne connaisse pas.....) Le jour où Israél quittera ces territoires qui ne lui appartiennent pas et libérera les prisonniers, on pourra vérifier si le hezbollah mentait ou non. pour déposer , les armes c'est plus compliqué : il refusera tant qu'il aura l'impression d'avoir un gouvernement et une armée qui ne font pas leur boulot ( protéger le territoire ) enfin selon ses propos.........( evidemment c'est à la fois vrai que l'armée libanaise est incapable de protéger son territoire et une magnifique excuse pour entretenir une armée privée )

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depuis le hezbollah ( avec l'accord du gouvernement libanais ) continue la lutte en invoquant comme objectifs la libération des prisonnier de guerre et la libération du territoire des fermes de cheeba....

Et tu y crois?

quand les prisonniers seront libérés et les fermes rendues à leur légitime propriétaire ( syrie ou liban ) on pourra vérifier.......
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quand les prisonniers seront libérés et les fermes rendues à leur légitime propriétaire ( syrie ou liban ) on pourra vérifier.......
Ben voyons.

En enlevant des soldats israeliens (acte de guerre), le Hezb savait tres bien quelle serait la réaction d'Israel. Ils sont peut-etre inférieurs militairement, mais sont loin d'etre idiots.

A qui le crime profite?

-Au Hezbollah en tant que parti politique, qui avait meme pris soin de mettre de coté un budget pour jeter une croute de pain aux victimes des bombardements.

(Ils sont donc responsables des dernières destructions ce qui en fait des criminels).

-Et donc aux ennemis bien connus d'Israel.

En tous cas, si c'était pour les fermes de cheba et les prisonniers, c'est raté [29]

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plusieurs rappels : - il y avait déjà la guerre entre Israél et le hezbollah et celà depuis 1983 et la création du hezbollah contre l'invasion et l'occupation du liban par israél donc juridiquement ce n'est pas en 2006 que celle-ci a éclatée ( et depuis 2000 cette guerre a continué mais de façon plus réduite .......) : désolé mais c'est bien israél qui a déclenché les hostilités en 1982 et comme depuis aucun accord de paix ou armistice n'a été trouvé.... c'est bien Israél qui porte la responsabilité de cette guerre - "le hezbollah savait obligatoirement quelle serait la réaction d'israél" : tu as une preuve ? en fait le hezbollah menait depuis des années une "petite" guerre sans de telles réactions et il a démenti avoir anticipé la réaction israélienne quant à la réaction israélienne elle s'inscrit dans une tentative ( ratée ) d'éradiquer le hezbollah qui sert d'allié stratégique à l'iran : si ça avait réussi le "crime" aurait profité à israél et aux USA et à personne d'autre......

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En tous cas, si c'était pour les fermes de cheba et les prisonniers, c'est raté [29]

attends la fin de la chanson avant d'applaudir :

a) le hezbollah a maintenant une monnaie d'échange contre ses prisonniers

b) l'ONU doit indiquer sa solution pour les fermes ( résolution 1701 )

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plusieurs rappels :

- il y avait déjà la guerre entre Israél et le hezbollah et celà depuis 1983 et la création du hezbollah contre l'invasion et l'occupation du liban par israél donc juridiquement ce n'est pas en 2006 que celle-ci a éclatée ( et depuis 2000 cette guerre a continué mais de façon plus réduite .......) : désolé mais c'est bien israél qui a déclenché les hostilités en 1982 et comme depuis aucun accord de paix ou armistice n'a été trouvé.... c'est bien Israél qui porte la responsabilité de cette guerre

...1982... ça fait quand meme un long entracte, à considerer comme une paix. genre coree du nord et du sud.

- "le hezbollah savait obligatoirement quelle serait la réaction d'israél" : tu as une preuve ?

en fait le hezbollah menait depuis des années une "petite" guerre sans de telles réactions et il a démenti avoir anticipé la réaction israélienne

C'est ça, ils ont pas fait exprès [50]

une preuve? Un système défensif cohérent, enterré, profond, beton,.. préparé depuis des mois, des armes récentes, des conseillers iraniens sur place pour l'occasion,... si c'est pas de la préméditation...

quant à la réaction israélienne elle s'inscrit dans une tentative ( ratée ) d'éradiquer le hezbollah qui sert d'allié stratégique à l'iran : si ça avait réussi le "crime" aurait profité à israél et aux USA et à personne d'autre......

Et toi, t'as des preuves?
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petit rappel : la guerre a démarré en 1982 mais elle a continué depuis SANS interruption ( en 2000 les israéliens étaient encore dans le sud liban et depuis sur les fermes ........) ça fait donc 24 ans que ça dure........( avec une baisse d'activités depuis 2000 ) des preuves de la préméditation : oui des fuites dans les journaux aux USA, la livraison de bombes perforantes , les projets US vis à vis de l'Iran ( qui obligaient à faire place nette au liban d'abord ) etc.......( le fait aussi que Israél s'est vanté d'avoir détruit les missiles sol-sol longue portée en moins de 24h, ce qui signifie un travail de repérage préalable ) tes preuves : les fortifications et les livraisons d'armes sont logiques vu l'état de guerre ( la syrie fait de même pour les fortifications depuis 30 ans ) et tu ne m'as toujours pas expliqué pourquoi les combats continuaient depuis l'an 2000 si c'était la paix, pourquoi le hezbollah a annoncé depuis le début de l'année que cette année serait celle des prisonniers , pourquoi il n'avait pas de défense sol-air moderne ( SA16 etc.....) avant le conflit ( ce sont les armes que l'iran lui livre ....) etc.....

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Un article pour bien se marrer [08]

Assassinat de Gemayel, et si c'était le régime khomeyniste ?

Par Lucien-Samir Arezki Oulahbib, sa biographie

Cet article a été rédigé par un reporter d'AgoraVox, le journal média citoyen qui vous donne la parole.

La Syrie dément avec force, montrant du doigt plutôt Israël (comme d'habitude, et notons que nombre d' "experts" français font de même, du moins plus implicitement... ), mais admettons que, pour une fois, ce ne soit en effet pas elle. Pourquoi ? Si l'on écarte Israël, parce que ce pays n'a aucun intérêt à éliminer des éléments antisyriens ; reste l'Iran, dont la stratégie est au moins double.

D'une part, accentuer sa prégnance sur l'enjeu israélo-palestinien afin de compenser l'origine shiite de son panislamisme ; d'autre part, brouiller les pistes en Irak en acceptant de retenir les milices qu'il influence et en tentant de négocier avec les benladenistes et autres islamo-baathistes afin de soulager ce front de la présence de 160 000 soldats occidentaux qui pourraient être une menace non négligeable lorsque le conflit avec Israël prendra la dimension programmée depuis l'arrivée au pouvoir, et cette fois apparente, des Gardiens de la Révolution. Ainsi, tuer Gemayel, c'est une provocation qui sert à exciter les chrétiens libanais pour qu'ils reprennent les armes et entrent dans le cycle sans fin de la vendetta. Puis, au lieu que cela soit la Syrie, le Hezbollah serait appelé pour assurer la "paix civile" via un gouvernement croupion, celui du coup d'Etat rampant déjà à l'oeuvre de toute façon. Les chrétiens matés ou défaits, cette situation permettrait de provoquer les Israéliens en accentuant le trafic d'armes et les connexions de plus en plus évidentes avec les groupes totalitaires palestiniens en passe de transformer Gaza en tête de pont du djihadisme international (comme il était prévu... D'où, peut-être, l'accident vasculaire de Sharon, semblable par certains biais à celui de Lénine lorsqu'en 1919 il vit que la seule issue était la fuite en avant dans l'hypertyrannie...). Deux options, au moins, sont alors possibles à ce stade : soit la provocation du trafic d'armes exacerbe les Israéliens qui tentent de l'empêcher sans passer par le cycle long du Conseil de sécurité, mais ceci au risque d'un incident militaire avec l'armée française, de toute façon recherché, de son côté, par le président de la République française pour susciter une union nationale, séduire le vote "musulman", et ainsi se représenter en 2007 en bien meilleure position. Soit le Hezbollah, en liaison avec les groupes palestiniens à Gaza, décide de passer à nouveau à l'attaque sous un prétexte divers et, en même temps, s'en prend implicitement à la Finul via des attentats non signés, et ceci au fur et à mesure que son engagement contre Israël prendrait de l'ampleur. Celui-ci réagissant, son attitude inciterait de son côté la Finul à choisir entre deux positions : soit se retirer à terme, comme cela a été fait il y a vingt ans avec les deux attentats sanglants organisés par le Hezbollah contre les militaires français et les marines américains ; soit engager ses forces contre le Hezbollah, mais, dans ce cas, ce serait un prétexte rêvé pour que le régime khomeyniste entre dans la danse. Du moins en faisant en sorte que les Américains se soient repliés ou partis d'Irak avant, ce qui veut dire, en manipulant bien les démocrates et l'opinion américaine, (via des attentats bien ciblés), au moins six mois à un an... A ce stade, les deux scénarios fusionnent et le régime khomeyniste se trouve en première ligne contre l'Occident et Israël, ce qui ne peut pas ne pas être un élément décisif pour rallier tout le courant djihadiste international, puisqu'Al-Kheida a désormais donné son feu vert en août pour soutenir le Hezbollah dans son effort contre Israël. Israël en proie au doute stratégique, les USA fragilisés par leur opinion, la France en soutien de fait, jamais la situation n'aura été aussi favorable pour accentuer la pression, poursuivre la guerre qui a débuté "il y a plusieurs centaines d'années", avait dit le chef khomeyniste en novembre 2005. Que de chemin parcouru depuis ! L'assassinat de Gemayel sonne comme le second des trois coups nécessaires pour le lever de rideau, le premier a été le test grandeur nature du mois d'août pour créer ce front panislamiste désormais bien ancré dans le paysage, même si, pour des raisons strictement locales, il n'a pas encore fait la décision en Irak. Observons néanmoins que la prochaine rencontre à trois, entre la Syrie, l'Irak et l'Iran, aura lieu à... Téhéran. Précisément pour aplanir le chemin, avant le retentissement du troisième coup... En même temps, j'espère totalement me tromper...

Il est bon de regarder les critiques que recoit Lucien-Samir Arezki Oulahbib [29]

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=15944

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petit rappel : la guerre a démarré en 1982 mais elle a continué depuis SANS interruption ( en 2000 les israéliens étaient encore dans le sud liban et depuis sur les fermes ........) ça fait donc 24 ans que ça dure........( avec une baisse d'activités depuis 2000 )

De toute évidence, ils auraient du y rester.

des preuves de la préméditation : oui des fuites dans les journaux aux USA

Beuh? me souviens pas. Un lien, quelque chose?

la livraison de bombes perforantes

Entouré d'ennemis, Israel doit s'armer. Mais il me semble qu'il a été dit dans des posts précédent (quelque part dans les 119 pages) que Tsahal a reçu en urgence tout un lot de bombes en provenance des USA, au début des hostilités pour pouvoir faire face.

les projets US vis à vis de l'Iran ( qui obligaient à faire place nette au liban d'abord )

obligaient ? Non, je vois plutot ça comme un luxe.

( le fait aussi que Israél s'est vanté d'avoir détruit les missiles sol-sol longue portée en moins de 24h, ce qui signifie un travail de repérage préalable )

ça prouve surtout qu'Israel a de bons satellites.

les fortifications et les livraisons d'armes sont logiques vu l'état de guerre ( la syrie fait de même pour les fortifications depuis 30 ans )

Avant 2006, il n'était pas question de guerre mais de terrorisme, de telles fortifications et la livraison d'armes adéquates, c'est nouveau. De toute évidence, il s'agissait d'un piège.

pourquoi le hezbollah a annoncé depuis le début de l'année que cette année serait celle des prisonniers

voir post #2945

pourquoi il n'avait pas de défense sol-air moderne ( SA16 etc.....) avant le conflit ( ce sont les armes que l'iran lui livre ....) etc.....

Ce genre de defense sol-air est pas super rentable et surtout pas indispensable pour ce type de guerre, l'efficacité des bombardements étant réduite. (Défense enterrée et camouflée)

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si on te résume bien taka takatak, le fait que le hezbollah s'arme signifie qu'il veut attaquer alors même que si Israél s'arme c'est pour se défendre...... trés drôle [08] plusieurs faits : - avant les opérations de cet été, le hezbollah ( donc le liban ) et Israél étaient en guerre suite à l'invasion du liban par Israél en 1982 ce qui a amené une suite ininterrompue d'opérations de 1983 ( création du hezbollah ) à 2000 ( retrait militaire d'israél de ses positions au sud liban et des opérations de moindre importances depuis ( combats pour les fermes de cheeba , survol du liban etc.....) tes fameuses preuves ( abris, armes "récentes" ( ça veut dire quoi ? ), conseillers iraniens ( tu as des preuves ? ) .....) prouvent juste que le hezbollah est un mouvement en guerre bien préparé et bien entrainé ; en aucun cas ça ne prouve la préméditation de cette guerre.......( sauf à considérer qu'avoir des armes signifie vouloir mener une guerre ) as-tu des preuves que les livraisons se sont accélérées ces derniers mois ? non les armes sol-air , pas rentables : désolé mais c'est faux et d'ailleurs l'iran devrait en fournir au hezbollah selon jane's ( j'ai mis le lien sur ce topic plus en avant ) la livraison de bombes perforantes à israél , un lien : remontes le sujet, on en a parlé sur ce même topic....... si tu veux t'en tenir aux faits, c'est simple tu n'apportes aucune preuve de ce que tu avances ( à savoir que le hezbollah a prémédité cette guerre ) ; tu ne crois pas aux déclarations du hezbollah : ok mais prouve au moins que le hezbollah a reçu ses armes et construit les bunkers récemment : tu en es incapable ....... tu m'as sorti que la guerre a connu un entracte depuis 82 : complétement faux, il y a eu une guerre assez active ( 650 soldats israéliens tués ) de 1983 à 2000 et encore active ( mais de façon plus réduite ) : la preuve , tu ouvres n'importe quel bouquin d'histoire pour le premier et pour le second, tu vas sur le topic ça chauffe au liban ( 1 ) , tu verras sur quoi ça démarre........ maintenant, puisque tu veux des faits , les voici : a) le liban et israél sont en guerre depuis 1982 ( dans le cas du liban, il s'agit de différents milices dont le hezbollah ) b) le hezbollah avait prévenu dès le début de cette année que ce serait celle des prisonniers ( donc de leur libération ) et ça bien avant les opérations de l'été c) tu es incapable d'apporter des faits prouvant que le hezbollah a fait plus que mener une attaque mineure comme il s'en produit depuis 20 d) tu es incapable de prouver que l'armement reçu ou les bunkers creusés l'ont été récemment ( pour les bunkers certains dateraient de la période ALS ) pour des sources : http://www.csis.org/media/csis/pubs/060911_isr_hez_lessons.pdf page 19 : l'iran et la syrie ont conduit un armement massif du hezbollah sur 5 ans !! ( et non quelques mois comme tu le dis ) en résumé, jusqu'à preuve du conraire , l'attaque du hezbollah était bien une attaque mineure visant à prendre des prisonniers même document page 3 : "israél fought an optional war in wich it choose to unilaterally escalate from a MINOR hezbollah attack on july 12"

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