victor Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 je crois que c'est toi qui est tombé dans la propagande du hezbollah (groupe terroriste islamiste) en reponce a je crois que c'est toi qui est tombé dans la propagande de Georges B je ne me réfère pas a des livres ou des écrits de journaliste selon le journal choisie les conclusions sont différentes idem pour les télévisions si c'est cela les preuve que tu demande ? chacun choisi en fonction de c'est valeurs et mes valeurs ne me porte pas vers des gens qui envoient des enfants garçons et filles (le seul acte on elles sont égal aux hommes) ce faire sauter avec une ceinture d'explosif ce n'est qu'un article de presse et je ne le prend pas pour argent comptant http://tf1.lci.fr/infos/monde/0,,3323391,00-tsahal-amorce-retrait-liban-.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ManuG Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 Un expert estime qu'Israël a déjà perdu la guerre BERNE - Israël a déjà perdu son conflit asymétrique face au Hezbollah, estime un expert en matière de renseignement et de terrorisme, le Suisse Jacques Baud. Il estime que seule la résolution de la question palestinienne peut mettre fin à l'affrontement. "Israël peut réduire le Liban en cendres, cela ne servira à rien. Sauf à exacerber la haine. Cette guerre, Israël l'a déjà perdue", déclare M. Baud dans un entretien publié samedi dans le quotidien "24 heures". Selon lui, la logique israélienne et occidentale basée sur les "rapports de force" ne fonctionne pas dans ce type de conflit. "Il n'y a pas de solution militaire". "En face, vous avez des gens qui se battent pour des valeurs identitaires et religieuses qui, pour eux, priment sur tout. Parvenir à résister est déjà ressenti comme une victoire", fait-il remarquer. M. Baud ne croit pas non plus qu'un cessez-le-feu résoudra la crise actuelle entre la milice chiite et l'Etat hébreu. "Au mieux, on gèlera le conflit", souligne-t-il. La fin de l'affrontement passe en revanche par la résolution de la question palestinienne et la prise en compte des "notions de justice, de politique" en plus de la force militaire, insiste-t-il. Cette vision implique de chercher à "comprendre et à accepter l'autre". "En Israël, quelques rares stratèges défendent cette approche, mais on ne les écoute pas", conclut M. Baud. SDA-ATS source: http://www.swissinfo.org/fre/international/agences/detail/Un_expert_estime_qu_Isra_l_a_deja_perdu_la_guerre.html?siteSect=143&sid=6967710&cKey=1155365185000 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
victor Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 On est pas ICI pour faire le procès de l'islam radical............Si t'as envie dans parler ouvre un topic dans la section approprier, mais viens pas polluer le forum Liban avec ce com...et d'autres, parce que c'est lourd à la fin de lire toujours les mêmes clichés... On sait tous que l'islam radical n'est pas une solution, alors arrête un peu de nous rabacher les oreilles avec ça........ Moi je suis pas musulman, je suis pas d'origine arabe non plus. Ramène de l'info, des photos du conflit..........mais en ce qui concerne la religion garde le pour toi [14] pour moi hezbollah est l'islam radical donc dans le bon post Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
victor Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 La guerre au Liban finira le mois prochain (expert libanais) 20:55 | 27/ 07/ 2006 Version imprimée BEYROUTH, 27 juillet - RIA Novosti. La guerre au Liban finira en août prochain, a estimé jeudi dans un entretien avec le correspondant de RIA Novosti le politologue libanais et journaliste au quotidien beyrouthin "Al-Safir", Sakr Abu-Fahr. "Le Hezbollah fait face à Israël, mais aussi et surtout éprouve de très puissantes pressions politiques à l'intérieur même du pays", a poursuivi l'expert. Et d'expliquer: la guerre a chassé de leurs foyers quelque 750 000 Libanais. A l'heure actuelle, ces gens sont hébergés dans des locaux scolaires à Beyrouth ou dans la montagne. Et si d'ici la rentrée scolaire, les réfugiés ne libèrent pas ces écoles et ne regagnent pas leurs villes et leurs villages dans le sud du pays, de très sérieuses divergences interconfessionnelles pourraient s'annoncer. "C'est que la plupart des réfugiés sont des chiites qui ont trouvé abri dans les régions sunnites et chrétiennes. Les leaders de ces deux communautés, regroupées en "Coalition du 14 mars" et épaulées par les Etats-Unis, ont déjà déclaré haut et fort que le problème devait être réglé avant le 1-er septembre prochain. Et le Hezbollah ne peut pas ne pas compter avec cela", a poursuivi le politologue libanais. http://fr.rian.ru/world/20060727/51937968.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 libération ce matin : Les armes se sont tues. A 7 heures, heure française, et après des offensives de dernière minute des deux côtés, le cessez-le-feu conclu sous l'égide de l'Onu pour mettre un terme à la guerre entre Israël et le Hezbollah libanais est entré en vigueur. Une trève fragile, qui est censée être la première étape d'un processus de sortie de crise et qui prévoit, plus tard, le déploiement d'une force internationale dans la zone. «Nous entrons dans la phase de cessez-le-feu», a lancé un haut responsable de l'armée israélienne pour demander à ses troupes de ne plus faire usage de leurs armes, selon la chaîne israélienne Channel 2. «Nous espérons que le cessez-le-feu tiendra. Nous vous demandons de rester vigilants car le Hezbollah pourrait le rompre et parce que nous devons nous tenir prêts à aider nos forces à l'intérieur du Liban qui pourraient avoir besoin de notre soutien». Israël a réalisé de nouvelles frappes aériennes moins d'un quart d'heure avant l'entrée en vigueur officielle du cessez-le-feu, à 08h00 locales (05h00 GMT). De source médicale, on a notamment indiqué que sept civils qui circulaient à bord d'une camionnette près de Baalbek, dans l'est du Liban, ont péri dans une frappe réalisée quelques minutes seulement avant la trêve. Des unités de l'armée israélienne ont commencé à se retirer du Sud Liban, a indiqué Tsahal. «Mais il va en rester suffisamment», a indiqué un porte-parole de l'armée qui a refusé de quantifier ces mouvements de troupes. On estime que 30.000 militaires israéliens ont été déployés dans le Sud du Liban. Et Tsahal prévoit de maintenir son blocus aérien et maritime du pays. Dès l'entrée en vigueur de la trêve, des milliers de Libanais ont commencé à prendre la route du retour vers le Sud-Liban, qu'ils avaient fui du fait des combats.Tôt lundi matin, la sécurité libanaise faisait pourtant encore état de raids aériens sur le Sud-Liban et signalait des combats acharnés entre forces israéliennes et Hezbollah. Neuf civils ont été tués et 33 autres blessés lors du bombardement aérien dans la nuit de la localité de Brital, dans la plaine de la Bekaa proche de la frontière libano-syrienne. Tsahal a également affirmé qu'environ 530 combattants du Parti de Dieu avaient été tués au pays du Cèdre depuis le déclenchement des hostilités le 12 juillet, à la suite de l'enlèvement de deux militaires israéliens par un commando du Hezbollah. Dimanche, le gouvernement israélien a officiellement entériné la résolution 1701 de l'Onu prévoyant une cessation des hostilités et le déploiement d'une force des Nations unies forte de 15.000 hommes environ. Le gouvernement libanais et le Hezbollah ont également accepté ce texte. Mais dans les deux camps, on a affirmé que l'on riposterait à toute violation du cessez-le-feu par la partie adverse. Des responsables israéliens ont jugé que la résolution autorisait Israël à recourir à la force pour empêcher le Hezbollah de se réarmer et pour détruire des positions de la guérilla au Sud-Liban. «Si le Hezbollah continue à tirer des roquettes ou à tirer sur nos soldats, alors il nous faudra riposter» a déclaré Gideon Meir, un responsable de la diplomatie israélienne. «Il n'y aura pas de violation (du cessez-le-feu) de notre côté». Des diplomates occidentaux craignent que l'interprétation très large du concept d'actions défensives par l'armée israéliennes ne débouche sur des accrochages qui entraveraient le déploiement d'une force internationale élargie. Le Hezbollah a annoncé qu'il respecterait la trêve mais qu'il se réservait le droit de combattre les militaires israéliens toujours présents sur le sol libanais. Tzipi Livni, la chef de la diplomatie israélienne a réaffirmé que les quelque 30.000 soldats de Tsahal au Liban ne se retireraient que quand la force de l'Onu se déploierait. Les Nations unies ont laissé entendre que ce déploiement pourrait prendre une dizaine de jours. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
victor Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 A l’issue de la guerre menée actuellement par Israël au Liban le mouvement chiite Hezbollah sera dépossédé de toutes ses positions, estime le politologue libanais Sati Nur al-Din interrogé par RIA Novosti. Selon le commentateur vedette du quotidien beyrouthin As Safir, "le potentiel militaire du mouvement sera considérablement réduit, ses positions seront affaiblies et sur le plan social il ne sera plus à même de jouer le rôle qu’il assumait précédemment". Selon cet expert, le Hezbollah (Parti de Dieu) sera inévitablement vaincu dans l’affrontement avec Israël. Pour Sati Nur al-Din, le Liban vit actuellement une catastrophe à l’origine de laquelle la plupart des libanais voient le Hezbollah. http://www.armees.com/Le-Hezbollah-va-perdre-toutes-ses-positions-au,5310.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 un autre article de libération : Ce matin à 8 heures (7 heures en France), les armes devaient théoriquement se taire après 33 jours de conflit entre Israël et le Hezbollah. Israël a entériné hier la résolution 1 701 de l'ONU appelant à la cessation des hostilités, tout comme le Liban, malgré les réserves du Hezbollah. Israël gagne du terrain «Lundi à 8 heures l'armée arrêtera son offensive, mais conservera son droit à l'autodéfense», a indiqué le patron de Tsahal, le général Dan Halutz. Ses troupes devaient toutefois poursuivre leur assaut jusqu'au tout dernier moment, afin de contrôler le plus de terrain possible au sud du fleuve Litani avant l'entrée en vigueur du cessez-le-feu négocié par le secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan. Des combats très rudes ont opposé les forces israéliennes au Hezbollah ce week-end, les miliciens islamistes défendant âprement leur territoire face à quelque 30 000 hommes. De violents accrochages se sont déroulés samedi autour de Ghandouriyé, une hauteur qui surplombe le Litani. À Yater, autre colline importante, la milice chiite a abattu un hélicoptère de transport engagé dans la plus importante opération aérotransportée déclenchée par Israël pour tenter de verrouiller les routes de repli du Hezbollah. Les affrontements se sont prolongés hier cinq soldats israéliens ont été tués et plus de vingt blessés , alors que les équipes de secours israéliennes cherchaient à récupérer les corps de son équipage. Enfin, Tsahal a de nouveau bombardé le sud de Beyrouth, et dix corps ont été retirés des décombres. D'ores et déjà, les responsables israéliens tentent de convaincre une opinion publique sceptique que le conflit se conclue sur une victoire de Tsahal. La résolution 1 701 est «bonne pour Israël dans la mesure où le Hezbollah ne sera plus un Etat dans l'Etat au Liban», a assuré le Premier ministre Ehud Olmert. «Nous avons fini plus ou moins vainqueurs sur le plan politique et militaire», déclarait pour sa part Shimon Pérès, ajoutant : «Nous avons commencé lentement et sommes maintenant à plein rendement, alors que le Hezbollah a débuté très fort, mais il est relativement épuisé.» Les miliciens du parti chiite ont toutefois tiré de nouvelles salves de roquettes, hier, sur le nord d'Israël et jusqu'à Haïfa, la troisième ville du pays. «Aucune armée au monde n'aurait pu désarmer le Hezbollah avec seulement des moyens militaires. Nous savions qu'un effort parallèle serait nécessaire sur le plan diplomatique», a expliqué Tzipi Livni, la ministre des Affaires étrangères. La décision de déclencher cette vaste offensive terrestre au moment où l'ONU votait la résolution 1 701 s'inscrit d'ailleurs dans cette stratégie : prendre des gages sur le terrain pour s'assurer de l'application ultérieure des engagements internationaux à désarmer le Hezbollah. Réunion annulée à Beyrouth Cela ne sera pas chose facile. Ainsi, une réunion extraordinaire du gouvernement consacrée aux modalités de mise en oeuvre de la résolution devait se tenir hier à Beyrouth. Elle a été annulée à la dernière minute en raison d'un désaccord sur l'armement du Hezbollah. «Lors de notre dernier conseil, samedi, les ministres du Parti de Dieu n'ont pas du tout apprécié que l'on aborde la question de leur arsenal dans la zone frontalière», témoigne sous couvert d'anonymat un ministre. «Or l'armée ne peut pas se déployer au Sud, comme le stipule la résolution de l'ONU, si leurs combattants ne se retirent pas. Mais, pour eux, l'image d'un retrait s'apparente à l'image d'une défaite.» Selon la ministre des Affaires sociales, Nayla Moawad, le problème est plus profond. «Nous devons prendre une décision quant à l'Etat dans lequel nous voulons vivre, déclarait-elle à Libération. Et nous devons trancher le débat autour du rôle du Hezbollah dans notre pays.» La semaine dernière, les ministres du Parti de Dieu avaient et c'était une première approuvé la proposition du chef de l'exécutif, Fouad Siniora, d'envoyer 15 000 réservistes dans le sud du pays, une évolution dont la résolution 1 701 a largement tenu compte. Et c'est à l'issue d'une séance marathon que le Conseil des ministres, unanime, a adopté samedi la résolution. «Quand nous disons que le gouvernement accepte la résolution, cela signifie qu'elle sera appliquée», avait notamment déclaré le ministre de l'Information. Hier soir, un autre ministre estimait que cette décision n'était pas remise en cause par l'ajournement de la réunion qui devait être consacrée au désarmement du Hezbollah, et qu'un accord serait rapidement trouvé. «C'est le moment de vérité, et ils ne veulent pas livrer leurs armes, résumait un membre du cabinet. Nous avons préféré accepter de reporter la réunion pour permettre la poursuite des consultations.» Inquiétudes à l'ONU La «cessation des hostilités» prévue par la résolution de l'ONU doit quoi qu'il en soit entrer en vigueur ce matin à 8 heures. Votée vendredi soir à l'unanimité des quinze membres du Conseil de sécurité quelques heures après son dépôt, ce texte prévoit la «cessation immédiate par le Hezbollah de toutes les attaques, et la cessation immédiate par Israël de toutes les offensives militaires». Cette formulation inquiète les diplomates arabes car, interprétée librement par Israël, elle suggère que les opérations «défensives» peuvent être poursuivies. Chacun s'est pourtant félicité d'un texte dont le point d'équilibre a permis son acceptation par tous. Arrivé vendredi à New York, le ministre français des Affaires étrangères, Philippe Douste-Blazy, a ainsi estimé que la résolution prenait en compte à la fois «l'indépendance, la souveraineté, l'intégrité du Liban» et «le droit à la sécurité d'Israël». La France s'est dit prête à participer au renforcement de la Finul (Force intérimaire des Nations unies) dont l'effectif passera de 2 000 à un maximum de 15 000 hommes , qui appuiera les troupes libanaises, notamment pour «contrôler la cessation des hostilités». Reste à en préciser les modalités de constitution et de déploiement. Israël tient à ce qu'elle puisse affronter et désarmer le Hezbollah. Mais Philippe Douste-Blazy a indiqué qu'elle ne serait pas habilitée à le faire. En attendant, la fermeté de Paris lui a permis de préserver une crédibilité mise à mal auprès du monde arabe après le rejet du premier texte par Beyrouth. Chirac va devoir décider maintenant de l'ampleur de la contribution française à la Finul. Autant dire, notait un diplomate, «choisir entre le souvenir du Drakkar [l'attentat meurtrier contre le contingent français à Beyrouth en 1983, ndlr] et notre influence dans la région». Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
victor Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 Le Hezbollah : parti politique ou organisation terroriste ? Le Hezbollah ("le parti de Dieu", en arabe) a la particularité d’être en même temps un mouvement politique sur des bases religieuses et disposé d’une branche militaire, terroriste pour les uns et résistante pour les autres. C’est cette double particularité qui occasionne des confusions et des débats, au niveau libanais et international. Ce mouvement politico-religieux chiite est le produit d’un double mouvement identitaire et politique. Identitaire, parce qu’il a réussi à exploiter le fait que les chiites, qui représentent près du tiers de la population libanaise, ont longtemps vécu sous un statut de seconde classe. Politique, parce que, fondé en 1982, il va rapidement s’imposer socialement, politiquement et militairement, après avoir évincé les autres tendances chiites et avoir été un des éléments armés contre l’occupation du Sud du Liban par Israël entre 1990 et 2000, en éliminant aussi les autres composantes de la résistance, en particulier les groupes armés communistes. Dans les zones où il s’est implanté, il impose un ordre social religieux comparable à celui de l’Iran des mollahs. Soupçonné d’avoir initié des attentats suicides contre les “Marines” - 200 morts - et les parachutistes français - 58 morts - le 28 octobre 1983, le Parti de Dieu est vite catalogué de "mouvement terroriste". http://www.temoignages.re/article.php3?id_article=16623 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 je ne me réfère pas a des livres ou des écrits de journaliste selon le journal choisie les conclusions sont différentes idem pour les télévisions si c'est cela les preuve que tu demande ? oui tu peux illustrer tes propos en citant tes sources ( et vu que chacun amène les siennes , ça fait une pluralité salutaire ), tu as aussi le droit de donner tes propres analyses mais argumente un minimum dans ce cas..... enfin pour une réfléxion plus large tu peux citer des ouvrages universataires historiques voire mieux faire le ponit sur l'historiographie actuelle du conflit arabo-israélien......... chacun choisi en fonction de c'est valeurs et mes valeurs ne me porte pas vers des gens qui envoient des enfants garçons et filles (le seul acte on elles sont égal aux hommes) ce faire sauter avec une ceinture d'explosif là tu fais erreur, le hezbollah n'envoie pas d'enfants comme kamikazes, il s'agit du hamas ( mais eux respectent une trêve des attentats à ce jour ), du djihad islamique et des brigades des martyrs al aqsa : bref les groupes palestiniens ( le dernier n'est pas un groupe islamique ). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
lefoudeladefense Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 je crois qu israel a perdu cette guerre..vu le nombre de pertes http://www.defencetalk.com/news/publish/US_Involved_In_Planning_Israel_s_Operations_In_Lebanon.php les etats unis seraient impliqué dans l elaboration de plans d attaques..... cette guerre a permis aux usa de tester leurs bombes en grandeur nature.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
victor Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 Les tirs d’Israël sont-ils justifiés par ceux du Hezbollah ? Il faut pour juger bien prendre garde à l’enchaînement des événements. 1/ Le 12 juillet, les deux soldats israéliens sont enlevés vers neuf heures du matin par le Hezbollah. Huit autres sont tués dans les combats. Notable : Le gouvernement libanais désavoue l’opération du Hezbollah. D’autre part, le Hezbollah propose d’échanger ses prisonniers contre des Libanais détenus pour certains depuis des années en Israël. http://www.infosplusgabon.com/article.php3?id_article=542 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
victor Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 Sommaire * 1 La montée des périls (1966-1975), le problème palestinien * 2 Le problème palestinien * 3 La guerre du Liban o 3.1 La « guerre des deux ans » (1975-1976) o 3.2 L'intervention syrienne o 3.3 « Ni guerre ni paix » (1977-1981) o 3.4 « Paix en Galilée » (juin 1982) o 3.5 Sabra et Chatila o 3.6 Le mandat d'Amine Gemayel o 3.7 La « guerre de la montagne » (1982 - 1984) o 3.8 La renaissance chiite o 3.9 « Guerre de libération contre la Syrie » (1988 - 1989) o 3.10 L'accord Taëf (1989) * 4 Le Liban sous influence Syrienne o 4.1 La scène politique o 4.2 Démarrage de la reconstruction o 4.3 Des indicateurs favorables o 4.4 Les retombées sociales de la guerre * 5 Le Liban après le retrait Syrien * 6 Données générales o 6.1 Le cadre physique o 6.2 La mosaïque confessionnelle o 6.3 « L'absence de consensus sur le passé comme sur l'avenir du pays » o 6.4 Pourquoi le Grand-Liban ? o 6.5 Un contexte international défavorable o 6.6 L'écho des crises du Proche-Orient o 6.7 Tensions avec la Syrie, impérialisme syrien o 6.8 Une terre d'émigration et d'immigration o 6.9 Les déséquilibres économiques o 6.10 Les forces politiques au pouvoir : le clientélisme o 6.11 Bilan de la situation o 6.12 L'influence de Damas * 7 La fin des combats * 8 Chronologie précise de la guerre http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_du_Liban Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tomcat Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 attentas suicide????Un camion piégé n'est pas un attentas suicide. qui est le terroriste dans l'histoire. L'Israel qui tue plus de civile que de combatant du Hezbollah ou le Hezbollah qui tue plus de militaire que de civile? De toute facon on peut dire que cette operation a été une echec pour l'armé Israelienne,elle n'a pas reussie à recuperer ses deux soldats,elle n'a pas reussie a arreté les tire de roquettes,elle n'a pas reussie de frappé un coups fort le Hezbollah (capture de chef),elle n'a pas su atteindre son objectif (seule quelques soldats sont parvenues a atteindre le fleuve de Litani),l'image de son armé vien de prendre un sacré coups (destruction de leurs meilleurs equipements),elle a aussi perdu la guerre politique..... PS:RIP pour toutes les victimes civiles Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 un article du figaro sur les futurs problèmes de la FINUL : La tâche des Casques bleus s'annonce difficile pour synchroniser le retrait israélien et la prise en charge du sud du pays par les troupes de Beyrouth. DEPUIS que le siège des Nations unies l'a réveillé, samedi avant l'aube, pour lui annoncer qu'une résolution appelant à la cessation des hostilités avait été votée, le général Alain Pellégrini est régulièrement en conférence vidéo avec New York, depuis son vaste bureau de Naqoura au Liban-Sud, d'où l'on entend les bombardements. Le chef de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) tient à clarifier cette résolution 1701, qui donne à ses hommes un rôle accru pour apaiser la situation entre Tsahal et le Hezbollah, mais dont les contours restent imprécis. «Nous ne sommes plus une force d'observation, puisqu'il est dit que nous pouvons résister par la force à toute action entravant nos troupes, mais nous ne sommes pas encore une force pleinement contraignante qui agirait sous le chapitre VII des Nations unies», concède ce connaisseur du Liban, où il effectue sa troisième mission longue depuis 1983. Pour lui, malgré le cessez-le-feu, «les combats vont durer encore quelques jours». Vue de Naqoura, la tactique israélienne vise en effet à occuper le maximum de terrain, avant d'entamer un retrait progressif du Liban. Après être remonté vers Tibnine pour que les combattants chiites ne puissent faire la jonction avec la plaine de la Bekaa, Tsahal cherche maintenant à atteindre la côte jusqu'à Tyr. D'urgence, l'état-major de la Finul tient à conclure un accord de coopération avec l'armée libanaise pour définir les règles d'engagements de cette dernière, voire créer un état-major commun. Pour la première fois depuis quarante ans, les troupes régulières vont se déployer pour assurer la sécurité à la frontière avec l'État hébreu. L'ONU plaide pour un déploiement le plus rapide possible, afin d'éviter un vide sécuritaire. Beyrouth prétend que 48 heures sont suffisantes. La Finul table plutôt sur une semaine. Ensuite, cette dernière jouera les intermédiaires entre les Israéliens et l'armée libanaise. Pièges en tout genre «Nous allons dire aux Israéliens : vous nous cédez ce secteur que vous avez évacué, on l'inspecte, on le démine, on vérifie qu'il est propre, et ensuite on dit à l'armée libanaise d'y aller», raconte un responsable onusien. Pour progresser et gagner la confiance des Israéliens, la Finul compte impliquer «au maximum» les forces régulières libanaises sur le terrain. «Qu'elles soient avec nous pour veiller au respect du cessez-le-feu, et qu'elles s'engagent à honorer ce qui aura été signé», jure ce responsable de la Force. «Nous ne voulons pas aller seuls au casse-pipe», prévient ce militaire habitué aux pièges en tout genre. La synchronisation entre un retrait israélien et la montée en puissance de l'armée libanaise s'annonce délicate. Les chausse-trappes ne vont pas manquer. Le long de la frontière, Tsahal a largué de nombreuses sous-munitions, impossibles à localiser. La partie libanaise va sans doute être tentée de monnayer son déploiement. A la Finul, on se souvient qu'en début d'année déjà, les autorités libanaises avaient promis d'envoyer 500 gendarmes et autant de soldats dans certaines zones du Sud. Sans suite. Des contingents arabes Pour la Finul, il faudra environ six mois pour que les conditions d'application de la résolution 1701 soient réunies. Beaucoup dépendra en fait de la vitesse avec laquelle les Israéliens vont se retirer. Certains redoutent «un repli certes rapide mais qui détruirait tout sur son passage». Cela risquerait d'alimenter la volonté du Hezbollah de continuer d'en découdre. D'autant que le Parti de Dieu va sans doute devoir remettre son arsenal de missiles à l'armée libanaise. Acceptera-t-il cette concession sur son désarmement ? De son côté, l'armée peut-elle l'y contraindre ? Pour d'autres, les Israéliens ne se retireront de leur dernière poche, dans la partie occidentale du Liban-Sud, qu'au fur et à mesure de la liquidation des miliciens, si ceux-ci sortent de leurs bunkers. Le processus pourrait durer. Dans l'immédiat, la Finul planifie un déploiement de troupes additionnelles. De 2 000, ses effectifs doivent passer à 15 000. Outre l'Italie et la France, la Finul estime que des contingents arabes pourraient renforcer une mission élargie à l'humanitaire, sur une portion du territoire libanais beaucoup plus étendue qu'actuellement. «Il y aura des clashs entre tous ces protagonistes, anticipe le général Pellégrini, notre rôle sera justement d'en réduire la portée.» Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
victor Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 http://www.terrorwatch.ch/fr/hizballah.php (Parti de Dieu) (autres orthographes: Hesbollah, Hizbollah) Mouvement chiite fondamentaliste créé en 1983 au Liban avec pour objectif la création d'un état islamique sur le modèle iranien, et l'élimination de toute présence non-islamique au Moyen-Orient. Jusqu'en 1986, il s'appuie sur la Fraction Armée Révolutionnaire Libanaise (FARL) et sur l'Armée Secrète Arménienne de Libération de l'Arménie (ASALA) pour mener ses opérations. Son budget annuel est évalué à 100 millions de dollars (1995), qui sont en grande partie couverts par l'aide accordée par l'Iran. Ses effectifs au Liban sont évalués à 40 000 hommes (1993). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 le figaro encore , sur le hezbollah : Malgré son relatif succès militaire, l'organisation chiite voit sa position sur la scène politique libanaise fragilisée. VICTORIEUX sur le terrain, pour avoir tenu tête pendant un mois à la plus puissante armée du Proche-Orient et lui avoir infligé des pertes conséquentes, le Hezbollah se trouve en revanche dans une position délicate sur le plan politique. Après un mois d'une guerre qui a dévasté le sud du pays, détruit de nombreuses infrastructures dans les autres régions libanaises et fait plus d'un millier de victimes civiles, le Parti de Dieu a au moins réussi à mettre à mal le mythe de l'invincibilité de l'armée israélienne. La sixième guerre israélo-arabe, engagée par un parti chiite qui s'est érigé en un quasi-État sur le sol libanais, a vu pour la première fois des combattants arabes déterminés, pugnaces et bien entraînés se mesurer, d'égal à égal, avec l'armée israélienne, malgré la colossale supériorité technologique et numérique de l'adversaire. Le Hezbollah a continué hier de tirer des roquettes contre le nord d'Israël malgré quatre semaines de bombardements israéliens contre ses positions. Les combats au sol ont été encore plus cuisants pour les Israéliens. A Bent Jbeil d'abord, où Tsahal a dévasté la ville sans pour autant parvenir à éliminer les combattants du Hezbollah, qui ressurgissent dès que leurs troupes se retirent. A Khiam ensuite, ou l'attaque des blindés de Tsahal a été repoussée ces derniers jours par des combattants du Hezbollah utilisant parfaitement le terrain et leurs missiles antichars. «Pour la première fois dans les annales du Proche-Orient, l'ennemi s'avère incapable d'imposer sa loi sur le champ de bataille, écrit Issa Goraieb, l'éditorialiste du quotidien L'Orient-Le Jour. Huit mille sorties aériennes et plus de cent mille obus d'artillerie n'ont pu venir à bout de ce Hezbollah que se promettaient d'annihiler les généraux d'Israël. De toutes les options caressées par l'état-major de Tel-Aviv, ne subsistait plus hier que celle consistant à repousser la Résistance jusqu'au cours du fleuve Litani.» Quels que soient les dommages infligés à l'appareil militaire du mouvement chiite, son succès symbolique face à Israël ne peut guère plus être contesté. Hassan Nasrallah lui-même a fini par se prononcer en faveur d'une suspension des hostilités qui lui permettrait de clamer sa victoire. Même s'il a annoncé samedi que la «guerre n'était pas terminée» et que la résistance se poursuivrait «tant que l'ennemi continuera son agression», le secrétaire général du Hezbollah a tout de même accepté la résolution 1701, malgré son caractère «injuste et inéquitable, notamment parce qu'elle rend le Hezbollah responsable du déclenchement de l'agression». Succès d'estime dans la rue arabe Le chef du Hezbollah a aussi accepté du bout des lèvres le déploiement de l'armée libanaise dans le sud du pays, mesure à laquelle il s'opposait depuis le retrait israélien de l'an 2000. «Une fois que le déploiement de l'armée et de la Finul aura été décidé, elles trouveront de la part de la résistance toute la coopération souhaitée, a-t-il dit. Nous ne ferons obstacle à aucune décision prise par le gouvernement libanais. Nos ministres émettront des réserves sur la résolution et sur certains de ses termes.» Malgré le succès d'estime dans la rue arabe que lui a valu sa ténacité face à Israël, le Hezbollah voit sa position sur la scène politique libanaise devenir beaucoup plus délicate qu'elle ne l'était il y a encore un mois. Les efforts de Nasrallah pour présenter son mouvement comme une organisation de Résistance nationale en dépit du retrait d'Israël du territoire libanais, allant jusqu'à transformer la question des Fermes de Chebaa en un enjeu crucial pour le Liban justifiant le maintien de sa milice sous les armes, ont été réduits à néant. La question de l'armement du Hezbollah, déjà soulevée au moment de la fin de l'occupation syrienne l'an dernier, est de nouveau posée avec une acuité accrue au Liban, après les destructions infligées au pays en riposte à la politique aventureuse du mouvement. Et même si les Israéliens n'ont pas réussi à briser militairement le Hezbollah, les dégâts infligés à la branche civile de l'organisation ne sont pas négligeables. Son bastion de la banlieue sud de Beyrouth a été entièrement détruit. Les habitants du quartier, qui constituaient la base du mouvement, ont été dispersés. Tout comme les centaines de milliers de chiites du Liban-Sud, chassés de leurs villages bombardés vers le reste du pays. Les écoles, centres sociaux, cliniques et divers organismes par lesquels le Parti de Dieu exerçait son pouvoir sont en ruines. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 http://www.terrorwatch.ch/fr/hizballah.php (Parti de Dieu) (autres orthographes: Hesbollah, Hizbollah) Mouvement chiite fondamentaliste créé en 1983 au Liban avec pour objectif la création d'un état islamique sur le modèle iranien, et l'élimination de toute présence non-islamique au Moyen-Orient. Jusqu'en 1986, il s'appuie sur la Fraction Armée Révolutionnaire Libanaise (FARL) et sur l'Armée Secrète Arménienne de Libération de l'Arménie (ASALA) pour mener ses opérations. Son budget annuel est évalué à 100 millions de dollars (1995), qui sont en grande partie couverts par l'aide accordée par l'Iran. Ses effectifs au Liban sont évalués à 40 000 hommes (1993). 40000 hommes ça me semble beaucoup par rapport aux estimations actuelles ( voir cordesman par exemple : http://www.csis.org/component/option,com_csis_pubs/task,view/id,3359/type,1/ ) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 enfin le rôle de la syrie par le figaro : Tenue à l'écart de la résolution de l'ONU, la Syrie «appuie» pourtant la décision du Liban de l'accepter. LA SYRIE «appuie» la décision libanaise d'approuver la résolution 1701, «ainsi que les réserves libanaises officielles», a annoncé hier l'agence officielle syrienne Sana. C'était la première fois que Damas se prononçait sur les percées diplomatiques qui se sont négociées sans lui. En prenant acte laconiquement de la décision du gouvernement libanais, «prise à l'unanimité», souligne l'agence, Damas entérine la décision de son allié le Hezbollah, tout en reconnaissant son absence dans le débat. L'ex-tuteur du Liban, dont les troupes ont quitté officiellement le pays du Cèdre en avril 2005 sous la pression internationale, est vu par nombre d'analystes occidentaux comme le grand perdant de la guerre. «Tout s'est fait sans elle. C'est la deuxième sortie syrienne du Liban», affirme un observateur privilégié. Le silence diplomatique observé par les Syriens depuis le début du conflit accrédite la vision d'un gouvernement isolé, qui aurait perdu la main. Pour la première fois, un règlement diplomatique régional s'est déroulé sans le pays qui avait toujours su se rendre indispensable. Le ministre des Affaires étrangères, Walid Mouallem, s'est fait même retoquer assez violemment par ses pairs à la réunion de la Ligue arabe, à Beyrouth il y a une semaine. Le ministre syrien avait abordé la rencontre au cri de «Bienvenue à la guerre régionale !», au moment où la Ligue arabe avait décidé de soutenir la volonté de compromis du premier ministre libanais, Fouad Siniora. Ce tableau noir est nuancé par un expert syrien bien informé, qui refuse d'être cité «tant la période est délicate». Selon cet analyste, «l'isolement» de la Syrie doit être nuancé. Des pays européens repartiraient à l'offensive pour briser l'embargo des relations diplomatiques instauré par la France et les Etats-Unis. Le ministre des Affaires étrangères allemand SPD, Frank-Walter Steinmeier, qui avait reporté son voyage, serait attendu mercredi à Damas, selon des sources syriennes. Il est l'auteur d'un «plan de paix pour le Proche-Orient», entériné par son parti. «Désormais, la dissuasion est mutuelle» L'expert syrien veut voir dans ces ouvertures les prémices d'une nouvelle page des relations syro-libanaise, où Damas «élaborerait une politique envers le nouveau Liban», qui impliquerait la reconnaissance de l'indépendance de ce dernier, avec ouverture d'ambassades dans les deux pays. Ce qui constituerait un virage à 180 degrés pour la Syrie. «Dans la sphère dirigeante, dit le spécialiste syrien, les modérés, ceux qui voulaient tendre la main aux Etats-Unis ou à l'Europe, ont été marginalisés par l'intransigeance de Washington et de l'Union européenne. Toute la politique actuelle de la Syrie s'explique par la victoire du camp qui pense que la tête de la Syrie est sur le billot, quoi qu'elle fasse. Selon eux, notre pays n'a pas besoin de l'Occident, car il a des alliances avec l'Iran et le Hezbollah, avec la Russie et avec la Chine. Mais nous ne pouvons pas continuer comme ça.» La Syrie tenterait donc de revenir dans le jeu diplomatique pour obtenir en premier lieu la réalisation de son obsession, le retour du plateau du Golan, conquis par Israël en 1967. «Aucun dirigeant syrien n'abandonnera ce rêve», prévient le cinéaste et opposant Omar Amiralay. «Il suffirait que les Etats-Unis offrent ne serait-ce que l'espoir d'une reprise des négociations pour changer beaucoup de choses», plaide l'expert syrien. Dans l'esprit syrien, les Etats-Unis devraient se montrer plus réceptifs : «La résistance du Hezbollah montre que leur rêve de refaçonner unilatéralement le Moyen-Orient est mort.» La Syrie espère bien «transformer une défaite en victoire», ironise Amiralay, et faire valoir à Washington qu'ils ont besoin d'un pouvoir sunnite fort pour équilibrer la puissance iranienne, qui inquiète tant les alliés arabes de l'Amérique. Ces arguments d'un pays prêt à tout pour revenir sur la scène internationale s'accompagnent cependant d'une menace. La Syrie aurait tiré les leçons de la guerre. «Le mythe de l'invincibilité israélienne est mort. Désormais, la dissuasion est mutuelle. Les deux côtés savent que la guerre leur coûte cher. Israël n'a en outre pas réussi à tenir le conflit hors de son territoire», professe l'analyste syrien. Selon lui, «l'avenir est à la guerre asymétrique, que l'Occident appelle terrorisme». A Damas, on évoque une «guerre d'usure» au Liban si les forces israéliennes ne se retirent pas. Une hypothèse, qui, comme les autres, sera mise à l'épreuve de la réalité sur le terrain. Réagir dans le forum Haut de page ^ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
victor Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 c'est bien pour ça loki que je ne prend pas les écrit au pied de la lettre et qu'après avoir lu je me fait mon opinion "C'est que la plupart des réfugiés sont des chiites qui ont trouvé abri dans les régions sunnites et chrétiennes. d'où risque d'une nouvelle guerre civil au liban j'espère me tromper Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
madmax Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 Je crois que tu as raison sur toute la ligne VICTOR.Il est temps dire les choses comme elles sont et arreter de ce cacher derriere des paroles convenus.Les intégristes ne méritent qu'une seule chose s'en prendre plein la geule,car eux quant ils le pourront ils n'hésiterons pas. Enlever les libertés fais partie de leurs objectif et ils ont deja commencés.Les médias n'ont meme plus le droit de montrer une caricature de mahomet sans que cela ne fasse un carnage général de plusieurs morts.Les islamistes sont les ennemis de la démocratie et nos ennemis faut les buter a dix ,dans le dos car le reste c'est de la littérature (salut a akhilleus a qui je dois cette citation) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ManuG Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 De toute facon on peut dire que cette operation a été une echec pour l'armé Israelienne,elle n'a pas reussie à recuperer ses deux soldats,elle n'a pas reussie a arreté les tire de roquettes,elle n'a pas reussie de frappé un coups fort le Hezbollah (capture de chef),elle n'a pas su atteindre son objectif (seule quelques soldats sont parvenues a atteindre le fleuve de Litani),l'image de son armé vien de prendre un sacré coups (destruction de leurs meilleurs equipements),elle a aussi perdu la guerre politique..... Le but officiel de récupérer ces soldats enlevés est un échec total, puisque non récupéré, d'ailleurs, plus grand monde en parle, comme quoi, ce n'est pas la cause première de l'engagement de Tsahal dans ce conflit....au final. Israel a causé de gros dégâts (7000 logements détruits, 900 sites à caractère économiques détruits), c'est une évidence, mais la racine n'a pas été touché. Même si le Hezbollah n'a plus bcp de temps à vivre (du moins sous ça forme actuelle, car faut pas rêver cette organisation n'est pas prête à disparaître) elle a su casser le "mythe Tsahal".... Beaucoup de libanais ont une dent contre le Hezbollah sans doute à l'heure actuel, mais faut pas ce mentir non plus, la rencoeur envers Israel l'est tout autant. Et c'est pas demain la veille que le Liban pardonnera à Israel la disproportion des frappes aérienne qu'ils ont subit.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 Je crois que tu as raison sur toute la ligne VICTOR.Il est temps dire les choses comme elles sont et arreter de ce cacher derriere des paroles convenus.Les intégristes ne méritent qu'une seule chose s'en prendre plein la geule,car eux quant ils le pourront ils n'hésiterons pas. Enlever les libertés fais partie de leurs objectif et ils ont deja commencés.Les médias n'ont meme plus le droit de montrer une caricature de mahomet sans que cela ne fasse un carnage général de plusieurs morts.Les islamistes sont les ennemis de la démocratie et nos ennemis faut les buter a dix ,dans le dos car le reste c'est de la littérature (salut a akhilleus a qui je dois cette citation) ça serait bien que tu ouvres un topic spécifique à ce que tu penses des mouvements islamistes dans le monde . là je vois pas ce que tu apportes au forum sur le liban. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 il est clair qu'il va y avoir des négociations sérieuses au liban entre le hezbollah et les autres forces politiques , conservera t il ses armes je le pense ( sauf si l'armée libanaise lui donne des garanties sur sa capacité de résistance à israél ), pourra t il continuer à mener une diplomatie à part, ça j'en suis moins sur. en israél aussi ça risque de chauffer : - entre olmert et l'armée - à l'intérieur de l'armée entre les responsables de l'aviation ( c'est un aviateur l'actuel chef d'état major si je me trompe pas ? ) et ceux de l'armée de terre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Redgh¤st Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 Je crois que tu as raison sur toute la ligne VICTOR.Il est temps dire les choses comme elles sont et arreter de ce cacher derriere des paroles convenus.Les intégristes ne méritent qu'une seule chose s'en prendre plein la geule,car eux quant ils le pourront ils n'hésiterons pas. Enlever les libertés fais partie de leurs objectif et ils ont deja commencés.Les médias n'ont meme plus le droit de montrer une caricature de mahomet sans que cela ne fasse un carnage général de plusieurs morts.Les islamistes sont les ennemis de la démocratie et nos ennemis faut les buter a dix ,dans le dos car le reste c'est de la littérature (salut a akhilleus a qui je dois cette citation) +1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
karim1218 Posté(e) le 14 août 2006 Share Posté(e) le 14 août 2006 en tout cas c'est une defaite militaire totale de israel vendredi ils ont reussi a prendre marjaioun mais ils se sont trouver encercler tandis que la ville de khiam ils n'ont pas reussi a la prendre c'est une defaite militaire totale de israel et maintenant olmert va s'acharner sur peretz qui s'acharnera sur halotz qui s'acharnera sur ses genereaux etc... mais en tout cas ce sera un vrai tremblement politique en israel depuis 73 je sent que des elections vont pointer leurs nez prochainement en israel mais connaissant les israeliens ils se vengeront un jour ou l'autre ils sont rancuniers a 2000% et ils raseront a nouveau israel j'en suis sur quand prochainement peut-etre dans 2 ans ou 3 ans mais ils le feront Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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