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Projet Constellation de la NASA "Go back to the moon !"


Neowens

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Etonnant ça... pourquoi dans ce cas avoir sorti une ariane 5-ECA avec 10 tonnes satellisables en orbite géostationnaire ? Que fera-t-on si les sats continuent à prendre de l'embonpoint et dépassent les six tonnes ?

Faudra pas non plus espérer lancer un ATV avec...

Je sortais les chiffres de tete,  :-[

Mais j'ai heureusement retrouvé l'article. =)

http://www.flightglobal.com/articles/2009/07/14/329641/has-the-countdown-to-ariane-6-begun.html

Effectivement, le modéle le plus puissant d'Ariane 5 est ECA  : 10 000 kg en GTO.

Il y a modéle ME en développement avec moteur Vinci : 11 500 kg en GTO.

Actuellement, Ariane 6 est envisagé avec un corp central à hydrogéne comme dans Ariane 5. On y ajoute  entre 2 et 6 boosters à poudre dérivé du 1er étage du lanceur Vega.

Cela donne pour ce projet : entre 3 000 kg et 8000 kg en GTO.

L'ESA espére diminuer les tarifs de 40 % mais je ne suis pas rassuré.

Quand à l'ATV... :'(

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  • 3 weeks later...

Bon il est temps de sortir la dame pour un petit tour . (roll out)   lancement prévu  27/10/09

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Image IPB

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Le stick est parti

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vu helicoptère

Une anomalie à noter, la séparation du deuxième étage (factice) s'est mal faite.

Mais pour un première lancement, c'est pas mal,  Ares I enfonce le clou, maintenant ca va être dur pour ses détracteurs.

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  • 3 months later...

Obama va proposer au Congrès d'abandonner le projet de retour sur la Lune, selon la presse; J'espère que cela n'est qu'une rumeur infondé mais avec le budget fédéral qui doit être en partie gelé, ils vont tailladé dans nombres de programmes  :-[

http://www.leparisien.fr/flash-actualite-monde/obama-va-proposer-au-congres-d-abandonner-le-projet-de-retour-sur-la-lune-selon-la-presse-29-01-2010-796371.php#

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Obama va proposer au Congrès d'abandonner le projet de retour sur la Lune, selon la presse; J'espère que cela n'est qu'une rumeur infondé mais avec le budget fédéral qui doit être en partie gelé, ils vont tailladé dans nombres de programmes  :-[ 

C'était prévisible depuis le lancement du programme. Un programme pour retourner sur la Lune, c'est un très cher et ça ne rapporte que politiquement. Sauf que c'est Bush qui l'a lancé (et c'est donc lui ou son parti qui bénéficiera des retombés politiques) mais c'est à l'Obama de le financer (et donc avec son parti d'en assumer le coût politique)
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Ils vont revenir au temps d'après apollo, le temps des vaches maigre est revenu.

Ils vont peut etre finir ares I, après ils feront quelques mission en orbite et sur l'iss.

edit: visiblement, ils vont abadonner aussi Ares 1, je trouve cela idiot et un gros gaspillage, ils auraient du terminer Ares 1 qui était bien avancer, pour avoir de quoi renouveller les navettes, geler ensuite Ares 5 et le reste du programme, ca va etre le chao, dans l'organisation des vols vers l'ISS.

http://www.lesechos.fr/info/aero/300406962-obama-rogne-les-ailes-des-ambitions-spatiales-americaines.htm

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On va attendre lundi mais les carottes sont cuites à mon avis !

AP : Barack Obama devrait annoncer lundi la fin du programme de missions lunaires de la NASA lors de la présentation du budget fédéral 2011, au profit de nouvelles orientations spatiales qui bénéficieront d'une rallonge budgétaire de 5,9 milliards de dollars (4,2 milliards d'euros).

"Il est indéniable que la mission sur la Lune de Bush ne sera pas incluse" dans le prochain budget, a confirmé à l'Associated Press un haut responsable de la NASA, faisant référence au programme initié par l'ancien président George W. Bush en 2004.

Une partie de la rallonge budgétaire promise devrait servir à prolonger jusqu'en 2020 le fonctionnement de la Station spatiale internationale (ISS), soit cinq années supplémentaires. Par ailleurs, des incitations devraient être offertes aux entreprises pour construire des navettes spatiales privées transportant les astronautes vers l'ISS, a-t-on précisé de même source.

Le budget proposé par le président américain ne permettrait donc pas de poursuivre le programme de missions sur la Lune de la NASA qui a déjà coûté 9,1 milliards de dollars (6,5 milliards d'euros) depuis 2004. Un projet d'abandon qui provoque déjà des grincements de dents dans les circonscriptions abritant les centres de la NASA en Floride, au Texas et dans l'Alabama.

"Ce qui enterre la mission sur la Lune est la décision de prolonger l'ISS jusqu'en 2020", commente John Logsdon, expert en politique spatiale. Le projet de Bush d'aller sur la Lune "d'ici 2020 est mort. On ne peut pas financer à la fois la station pour cinq années supplémentaires et aller sur la Lune", ajoute l'ancien conseiller de campagne de M. Obama.

Le président Obama devrait ainsi retenir les options proposées par une commission indépendante d'experts nommée par la Maison Blanche l'année dernière pour définir les nouvelles orientations de la NASA.

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C'est confirmé :

Obama ne veut plus décrocher la Lune

Contraintes budgétaires obligent, la Maison-Blanche a confirmé lundi l'abandon dans le projet de budget 2011 du programme de vols habités spatiaux Constellation, qui consistait à envoyer de nouveau l'homme sur la Lune.

09 Commentaires

Article suivant dans Amériques : Adoption illégale : dix Américains arrêtés en Haïti

Barack Obama USAImage d'archives

Elle rogne les ailes des ambitions spatiales américaines. La Maison Blanche a confirmé lundi l'abandon dans le projet de budget 2011 du programme de vols habités spatiaux Constellation, qui consistait à envoyer de nouveau l'homme sur la Lune, et qui a été victime de la restriction des dépenses.

"Nous proposons l'annulation du programme Constellation de la Nasa, tout en faisant d'autres investissements dans la recherche et développement", a indiqué lors d'une conférence téléphonique le responsable du budget du président Barack Obama, Peter Orszag. Une source proche de la Maison Blanche avait déjà confirmé vendredi cette information d'abord donnée par le quotidien Florida Today.

Le programme Constellation avait été lancé en 2004 par l'ancien président George W. Bush, après l'explosion de la navette Columbia en 2003, et alors que les autres navettes doivent s'arrêter de voler dès cette année. Il prévoyait un retour des Américains sur la Lune à l'horizon 2020 et, au-delà, des vols habités vers Mars.

D'après les estimations, la Nasa a déjà dépensé un peu plus de 9 milliards de dollars dans le cadre de Constellation, qui garde de nombreux soutiens au Congrès. L'exécutif, qui doit proposer d'augmenter le budget de la Nasa de 5,9 milliards de dollars sur cinq ans, souhaite à la place encourager le développement de véhicules et lanceurs commerciaux vers la Station spatiale internationale (ISS), avec un premier vol envisagé pour 2015 voire plus tôt.

http://lci.tf1.fr/monde/amerique/2010-01/obama-ne-veut-plus-decrocher-la-lune-5665173.html

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Autant dire qu'il ne reviendront plus en orbite pendant 10 ans, sauf avec les russes ou avec les vieille navettes

en limitant les lancement,

ils auraient pu construire 3 nouvelles navettes aussi et faire dans la continuité, ils l'ont déjà fait.

Quand aux boites privées, elles n'ont pas la capacité financiere sauf avec l'aide de l'etat

de developper des navettes d'ici 2015.

Meme le projet falcon 9/X reste très  limité, reste l'europe (ATV) et le japon (HTV) avec une version habité.

Je suppose qu'il parle uniquement de boites privées américaine.

A+

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http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/changement-de-cap-pour-la-nasa_846093.html#xtor=AL-447

Après l'annonce de l'arrêt du programme "Constellation" par Barack Obama, des investisseurs privés s'intéressent de près à un partenariat avec la Nasa. La Lune continue de faire rêver.

Des troupes qui, du côté de la Nasa, sont en état de choc, inquiètes quant à l'avenir de l'agence, aux pertes d'emplois; des nostalgiques, un brin cyniques, qui évoquent entre eux un temps désormais révolu (voir cette animation clin d'oeil This sad dancing Moon walker); des parlementaires (issus notamment de l'Alabama, de Floride ou du Texas ) qui, à Washington, évoquent "un pas géant en arrière" et montrent les dents, promettant à l'exécutif une rude bataille législative: l'annonce hier par Barack Obama de l'abandon du programme Constellation, avec, dans la foulée, la remise à plat des engagements de la Nasa en matière de vols spatiaux habités à destination de la Lune, a créé une onde de choc.

Même s'il n'y a pas de réelle surprise dans la décision présidentielle de changer la donne et d'abandonner le statu quo pour des projets innovants supervisés par la Nasa mais menés à bien par le privé, un peu partout c'est "Jean qui pleure"...

Des rapprochements

Mais certains en profitent: à peine l'annonce du président Obama officialisée, ceux qu'on présente déjà comme partenaires incontournables de l'agence s'avancent en rangs serrés. A la fois par l'intermédiaire des groupements auxquels ils participent -The Next Step in Space Coalition (www.nextstepinspace.com) ou la Commercial Spaceflight Federation (www.commercialspaceflight.org)– et en nom propre.

Dans les starting-blocks, une nouvelle génération de pionniers comme Space Adventures, Bigelow Aerospace, la X PRIZE Foundation ou Elon Musk, dirigeant de la startup SpaceX, ou encore Orbital Science. Mais aussi des poids-lourds bien établis: United Launch Alliance (ULA), joint-venture réunissant Boeing et Lockheed Martin, deux mastodontes forts de moult références, dont les fusées Delta IV et Atlas V (voir http://www.ulalaunch.com/docs/product_sheet/AtlasProductCardFinal.pdf)

Un tir groupé auquel il faut d'ores et déjà ajouter d'autres prétendants à ce gâteau de 6 milliards de dollars que Washington se dit prêt à investir au cours des prochaines années pour consolider sa nouvelle approche. Battant le fer tant qu'il est chaud, les officiels de la Nasa n'on en effet pas perdu de temps.

Dans la foulée des premières récrimination sur la fin d'une époque, l'agence a sélectionné hier, outre Boeing et ULA, déjà nommés, trois autres candidats qui vont se partager un contrat de 50 millions de dollars visant le développement de nouveaux concepts en matière de transports orbitaux. Un signal fort, même si la somme reste modeste eu égard aux milliards en jeu. Essentiellement connus des initiés, Blue Origin, Sierra Nevada, Paragon Space Development devraient bientôt faire à leur tour parler d'eux. En quels termes?

A l'heure où certains commentateurs se disent sceptiques quant aux capacités des uns et des autres à se substituer aux programmes gouvernementaux désormais passés par pertes et profits, c'est tout l'enjeu des prochaines années et des grandes manoeuvres qui en coulisse vont maintenant se préciser.

Car si les savoir-faire sont partout incontestables, tous ces partenaires ont connu, à un moment ou un autre, des passages à vide lors de leur montée en puissance spatiale. A l'image du  Falcon 6 de Space X (http://www.spacex.com), toujours en attente d'un lancement.

Peut-on compter sur le privé? Fera-t-il mieux, mais aussi moins cher, que les Soyouz russes pour conduire les futures astronautes à destination d'une station spatiale internationale (ISS) dont le bail se voit renouvelé jusqu'à 2020? Et ne risque-t-on pas de trop se focaliser sur le seul registre des vols en orbite terrestre? Ce qu'on dépensera pour et autour de l'ISS ne freinera-t-il pas d'autres développements –notamment vers d'autres destinations du système solaire? Ira-t-on vers des projets partagés internationalement? Obama l'envisage, évoquant par la bouche de ses conseillers une intensification de la coopération internationale...

Nouvelle donne, donc. "Démarche stratégique sophistiquée", fait valoir John Logsdon, ancien directeur du Space Policy Institute de Washington. Pour l'expert, celle-ci n'exclut rien -et notamment pas l'abandon de vols habités au-delà de l'orbite terrestre. "On investit quelques années sur la technologie, on regarde ce que peut être la contribution de nos partenaires, pour ensuite choisir le format des lanceurs plus puissants." A suivre...

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Peut-on compter sur le privé? Fera-t-il mieux, mais aussi moins cher, que les Soyouz russes pour conduire les futures astronautes à destination d'une station spatiale internationale (ISS) dont le bail se voit renouvelé jusqu'à 2020?

D’ici 2020, je ne suis même pas sur qu’Obama s’attende à ce qu’une entreprise privée (non intégralement financé par l’état) soit capable d’amener des passagers vers l’hôtel orbital que serra l’ISS. Quand à être plus fiable et moins cher que les Soyouz russes qui vont probablement être amélioré d’ici là, c’est carrément utopique.

Et ne risque-t-on pas de trop se focaliser sur le seul registre des vols en orbite terrestre? Ce qu'on dépensera pour et autour de l'ISS ne freinera-t-il pas d'autres développements –notamment vers d'autres destinations du système solaire? Ira-t-on vers des projets partagés internationalement? Obama l'envisage, évoquant par la bouche de ses conseillers une intensification de la coopération internationale...

Bah en fait si on arrive à atteindre l’orbite terrestre, on a fait le plus gros du trajet pour un vol vers la lune ou n’importe quel point du système solaire. Il suffirait de pouvoir se ravitailler sur la station en orbite pour pouvoir aller beaucoup plus loin, si on rajoute des systèmes de catapultages ou des remorqueurs spatiaux doté de moteur à très haut rendement, le plus dur c’est vraiment la mise en orbite basse.

Au contraire ça serrait peut-être plus rentable de se limiter à une maîtrise du vol vers l’orbite basse que directement à un vol vers la lune. D’ailleurs le programme Apollo à peut-être permis la maîtrise des alunissage suivis d’une remise en orbite, mais je ne suis pas sur que ce soit plus utile pour un vol vers Mars que la maîtrise des vols de très longue durées et la construction de vaisseaux géants en orbite.

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Il y a un article très intéressant dans le Ciel&Espace de Février (n°477) sur un nouveau moteur, le Vasimr qui permettrait d'aller sur mars en 39 jours.  Il est développé par Franklin Chang-Diaz et son entreprise Ad Astra. un premier moteur tourne déjà au banc et ils vont envoyer un autre prototype sur l'ISS.

Cette techno à l'air d'être révolutionnaire, si ils arrivent à la maitriser, les USA auront réussi une splendide rupture technologique.

Le Vasimr est un moteur magnétoplasmique à poussée variable.  On ionise de l'argon et on le fait chauffer pour obtenir un plasma à minimum 10000°. le plasma est repoussé des parois par un champ magnétique. L'alimentation électriques est fournie par panneaux solaires ou réacteur nucléaire. Ce type de moteur ne peut fonctionner que dans le vide.

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Vasmir est une technologie intéressante mais limitée par la puissance disponible.

Comparé au moteurs électrique existants,  ce nouveau concept de moteur semble plus puissant, plus fiable, ...

Mais comme tous les moteurs électrique existants, il est limité par la puissance disponible pour alimenter le moteur.

Les centrales nucléaires sur le plancher des vache ont deux avantages :

1 - Pas de limite de masse.

2 - Accés a une source de refroidissement.

C'est pour cela que les différents projets de minicentrales nucléaires spatiales sonts actuellement limités à 100 kW.

L'ISS dispose de 130 kW avec ses ailes géantes.

La Nasa devra faire de long travaux avant d'avoir les MW nécessaires au moteur Vasmir

Quand aux 39 jours, c'est du théorique...

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