Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Guerre contre le Terrorisme


mohamed

Messages recommandés

  • 3 weeks later...

INDE •  C'est la guerre ! 

Après Jaipur, Bangalore et Ahmadabad, c'est au tour de New Delhi d'être frappé par le terrorisme. Encore choqués par les événements du 13 septembre, les journaux indiens tentent de comprendre. 

Ce n'est pas la première fois que les habitants de la capitale indienne sont confrontés au terrorisme ; en octobre 2005, trois bombes avaient explosé sur des marchés populaires à la veille de la grande fête hindoue de Diwali, faisant 62 morts et des centaines de blessés. Le 13 septembre dernier, le scénario était donc familier : cinq bombes déposées dans des lieux très fréquentés ont fait 22 morts et une centaine de blessés en l'espace de quarante-cinq minutes. Mais cette fois les choses sont différentes car ce quintuple attentat s'inscrit dans une véritable série noire qui a déjà endeuillé Jaipur en mai et Bangalore et Ahmedabad en juillet et qui a été revendiquée par les Moudjahidin indiens, un obscur mouvement doté de recrues locales.

Comme l'ensemble de la presse, The Times of India souligne la nécessité de prendre toutes les mesures possibles et de mettre en place des cellules antiterroristes même si, "en ce moment de crise, certaines des libertés qui nous semblaient acquises devront sans doute être limitées pour empêcher les actions terroristes, qui ne suivent aucune norme et n'obéissent à aucune règle".

Pour le quotidien, les circonstances justifient des mesures exceptionnelles puisque le pays "est en guerre" et que, "exception faite de l'Irak, du Pakistan et de l'Afghanistan qui sont à l'épicentre de la guerre contre la terreur, l'Inde est le pays qui a le plus souffert du terrorisme ces dernières années".

La plupart des journaux indiens, du Hindustan Times à l'Indian Express, évoquent eux aussi un probable durcissement à venir. Le gouvernement, dominé par le Parti du Congrès et en place depuis 2004, est déjà montré du doigt pour avoir abrogé une loi de sûreté nationale votée par le gouvernement précédent, aux mains des national-hindouistes du Bharatiya Janata Party [Parti du peuple indien]. Il va donc certainement devoir adopter de nouvelles mesures. Seul The Hindu, grand quotidien du sud du pays, va au-delà des questions sécuritaires et aborde la racine du mal : l'impression qu'ont de nombreux musulmans indiens d'être des citoyens de seconde zone qui ne sont pas traités comme les autres. "La vérité est qu'il ne peut pas avoir de paix sans justice, estime le journal. La société civile, l'administration et les décideurs devraient y réfléchir et régler cette question s'ils veulent que l'Inde gagne la guerre contre le terrorisme."

Ingrid Therwath

 

Il existe toujours des solutions face à cela mais il faut être patient  ...

Les élections approchent, et le temps de l'impunité et complicité cesseront !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

L'ESISC diffuse les dépeches sur le sujet en quasi temp réel, mais on ne peut faire de copier coller avec leur page :

http://www.esisc.org/

Ce 16 septembre, bombe au Mexique (3 morts), au Sri Lanka, affrontement au Caucase russe (7 morts), kidnapping aux Phillipines, détournement de chimiquier en Somalie, bataille entre Palestiniens (11 tués).....

Je me demande parfois si pour cesser tout cela, il faut transformé l'humanité en ''zombie extraterrestre'' comme le film Invasion de 2007 avec Nicole Kidman  :P

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

ça toujours été comme ça et même pire, mais avant on n'avait pas les moyens de communications actuels qui permettent de diffuser l'information aux quatre coins du monde, d'où un effet "cumulatif".

Faut pas oublier que le monde est beaucoup plus pacifique aujourd'hui qu'avant, de nombreux pays sont en paix : on n'a d'ailleurs jamais connu une période de paix aussi longue en europe : plus de 60 ans sans conflit entre l'allemagne, la france, l'angleterre, l'espagne ou l'italie... ! 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

ça toujours été comme ça et même pire, mais avant on n'avait pas les moyens de communications actuels qui permettent de diffuser l'information aux quatre coins du monde, d'où un effet "cumulatif".

Faut pas oublier que le monde est beaucoup plus pacifique aujourd'hui qu'avant, de nombreux pays sont en paix : on n'a d'ailleurs jamais connu une période de paix aussi longue en europe : plus de 60 ans sans conflit entre l'allemagne, la france, l'angleterre, l'espagne ou l'italie... ! 

Exact mais la menace a changé avec de temps en temps une résurgence de "crises" à l'ancienne, style Georgie ou Balkans.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Trouvé sur wikipédia, concernant le coût de la guerre (en Irak seulement) :

Les coûts budgétaires (en dollars) qu'ils identifient se décomposent ainsi :

336 milliards déjà dépensés.

389 milliards de frais de fonctionnement pour les opérations futures

127 milliards pour les indemnités et pensions des anciens combattants

160 milliards pour la démobilisation et le repositionnement de la défense

Les coûts économiques se décomposent selon les auteurs de la façon suivante :

355 milliards de manque à gagner pour l'économie liés aux décès, invalidités, différentiels de coûts des achats liés à la guerre…

300 milliards liés au prix du pétrole sous forme de transferts vers les pays producteurs.

150 milliards liés à une moindre performance économique liée aux même prix élevés.

450 milliards découlant de l'affectation des budgets à la guerre plutôt qu'à des dépenses productives ou à la réduction du déficit.

En début 2008, dans un livre intitulé The Three Trillion Dollar War : The True Cost of the Iraq Conflict. Ils identifient désormais un coût global de 3 000 milliards de dollars (article du figaro du 9 avril 2008) Le coût des opérations a déjà dépassé celui des douze ans de la guerre du Vietnam, et représente le double du coût de la guerre de Corée.

L'Irak à une population de 24 millions d'habitants, si on prends uniquement le chiffre le plus bas (2267 milliards de dollars) ça donne 94458 dollars pour chaque homme, femme et enfant irakien.

Les USA leur aurait versé en liquide cette somme (plutôt que de leur faire la guerre), les irakiens auraient baisés les pieds des américains....

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

HS par rapport au sujet traité mais ces chiffres sont à prendre avec d'extrémes précautions, rien que les 300 milliards sur le prix du pétrole qui n'ont pas grand chose à voir avec l'Irak comme le montre le yoyo des cours des hydrocarbures.

Sinon, attaque échoué contre l'ambassade US au Yémen, les assaillants sont morts mais il y 6 militaires et 4 civils tués... :P

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

HS par rapport au sujet traité mais ces chiffres sont à prendre avec d'extrémes précautions, rien que les 300 milliards sur le prix du pétrole qui n'ont pas grand chose à voir avec l'Irak comme le montre le yoyo des cours des hydrocarbures.

Sinon, attaque échoué contre l'ambassade US au Yémen, les assaillants sont morts mais il y 6 militaires et 4 civils tués... :P

C'est des militaires américains ?

En tout cas, le piège à con qui était censé être l'Afghanistan n'opère pas

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Policiers ou militaires Yémenite, je rappelle que ce pays à de nombreux conflits avec les ''tribus'' qui kidnappent des touristes  tout les 6 mois, et qu'il s'agit de la terre natale de BL, donc la derniére reflexion ne me parait pas fondé car il s'agit de terroristes ''locaux''.

Des locaux qui s'attaque à l'ambassade américaine? où est l'intérêt dans un conflit entre "tribus"?

Pour rappel les kidnappings d'étrangers au Yémen sont l'œuvre de la branche locale d'Al-Qaida

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Attentats à New Delhi: l'Inde désarmée face au terrorisme

Les attentats islamistes perpétrés samedi à New Delhi attisent une polémique en Inde sur les carences de la politique anti-terroriste de cette puissance économique émergente, frappée en moyenne tous les trois mois par des attentats.

«L'Inde peut-elle ou veut-elle empêcher de tels attentats et protéger ses citoyens ?», s'interroge Uday Bhaskar, ancien directeur de l'Institut d'analyses et d'études sur les questions de défense à New Delhi.

Pire, «dans un pays victime du terrorisme depuis des décennies, nous n'avons rien appris du passé», fustige K.P.S. Gill, ex-chef de la police de l'État du Pendjab (nord-ouest) et artisan de la répression d'une insurrection séparatiste des Sikhs dans les années 1990.

Les cinq attentats à la bombe qui ont fait 24 morts dans des quartiers commerçants et touristiques de la capitale ont été revendiqués «au nom d'Allah» par une organisation islamiste locale, les Moudjahidine indiens (MI).

Des portraits-robot ont été rendus publics et deux suspects identifiés étaient déjà recherchés pour seize attentats commis en juillet à Ahmedabad, dans l'État du Gujarat (ouest). Les mystérieux MI s'étaient déjà dits responsables d'attaques en mai à Jaïpur (État touristique du Rajasthan, nord-ouest) et d'attentats coordonnés en novembre 2007 dans trois villes de l'Uttar Pradesh (nord).

Plus de 150 personnes ont ainsi perdu la vie en moins d'un an.

Depuis quatre ans, l'Inde est le théâtre d'un attentat tous les trois mois. Avec 3.700 morts entre janvier 2004 et mars 2007, c'est même le pays le plus meurtri au monde par le terrorisme, à l'exception de l'Irak, selon des chiffres du gouvernement américain datant de l'été 2007.

Ces statistiques ne tiennent toutefois pas compte de la vague d'attentats au Pakistan qui a fait environ 1200 morts depuis plus d'un an.

«Nous sommes en guerre!», prévenait cette semaine le journal Times of India, exigeant la mise sur pied d'une «stratégie nationale anti-terroriste» inspirée des modèles américain, britannique, français ou espagnol.

Dès son arrivée au pouvoir en mai 2004, le parti du Congrès (centre gauche) avait abrogé une législation anti-terroriste adoptée par le gouvernement précédent du parti nationaliste hindou (BJP, droite) après les attentats du 11 septembre 2001. Le premier ministre Manmohan Singh redoutait que la police ait recours à ces lois d'exception pour de simples affaires de droit commun.

Aujourd'hui, les forces de sécurité et de renseignement en Inde manquent de ressources pour prévenir tout attentat en milieu urbain, relèvent des experts.

Certes, la sécurité est draconienne dans les aéroports, mais La Presse se gausse de la faiblesse des équipements (télé-surveillance, détecteurs de métaux...) dans les gares, hôtels, restaurants, magasins et lieux de culte.

Et puis jusqu'à récemment, les autorités mettaient chaque attentat sur le compte d'«organisations terroristes islamistes» venues du Pakistan ou du Bangladesh voisins, deux pays musulmans nés de la partition de l'Empire britannique des Indes d'août 1947 et de l'indépendance en 1971 de l'ex-Pakistan oriental rebaptisé Bangladesh.

Dorénavant, des responsables indiens et occidentaux reconnaissent que la 10e puissance économique mondiale est confrontée à un «terrorisme islamiste local».

Nigel Inkster, de l'Institut international pour les études stratégiques à Londres, confirme que «de plus en plus d'attentats terroristes islamistes sont perpétrés par des groupes indiens, même si ils sont planifiés et soutenus depuis l'étranger».

Cette «irruption d'un terrorisme local pose une grave menace sociale», prévient M. Bhaskar, dans une «Inde gigantesque, complexe et diverse culturellement, religieusement, socialement», peuplée de 1,1 milliard d'âmes --dont 80% d'hindous et 14% de musulmans-- à l'histoire jalonnée de violences inter-religieuses.

Le terrorisme : c'est comme la lutte contre la pauvreté, cela fait des décennies que les gouvernements corrompus actuels et précédents ne font riern et cela continuera ainsi ...  =(

Les nationalistes avaient proposé un renforcement de la sécurité nationale et un durcissement contre le terrorisme et le séparatisme mais les défenseurs des droits de l'homme et les partis de gauche préfèrent promouvoir les droits des terroristes à commettre leurs actes ignobles !!!!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour le Yemen, le kidnapping est surtout l'oeuvre de tribus qui y trouve une source de ''revenu complémentaire''; Pour les attentats dans ce pays, les gus n'ont pas trop besoin de l'aide ''djihadistes internationaux'' qui vont en Afghanistan et en Irak.

Pour ce qui qu'interresse à l'actualité du terrorisme et qui sont anglophone, je signale le journal PDF en ligne ''Combating Terrorisme Center Sentinel'' :

http://ctc.usma.edu/sentinel/

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Inde: la police tue un responsable d'une vague d'attentats islamistes

NEW DELHI (AFP) — La police indienne a tué vendredi à New Delhi le chef d'un groupe islamiste responsable d'attentats ces derniers mois en Inde, au moment où le pays reconnaît être la cible de "terroristes" indiens et non plus seulement de ceux venus du Pakistan ou du Bangladesh.

Une fusillade à l'arme légère entre policiers et islamistes a duré près d'une heure, en pleine après-midi, dans le quartier musulman populaire de Jamia Nagar, où des enquêteurs traquaient des suspects d'attentats à la bombe perpétrés le 13 septembre en plein coeur de New Delhi, qui ont fait 24 morts et cent blessés.

Au cours de ces accrochages, rarissimes dans la capitale, "Atif alias Bashir, l'un des principaux dirigeants des Moudjahidine indiens, a été tué", a déclaré à la presse le commissaire de la police municipale Y.S. Dadhwal.

"Il est lié à la vague d'attentats dans le pays", a-t-il assuré.

Un deuxième "terroriste a été abattu", un troisième a été interpellé mais deux autres ont réussi à s'échapper dans l'entrelacs de ruelles de ce district animé du sud de New Delhi, a précisé l'officier.

Les forces de l'ordre sont sur les dents depuis l'explosion de cinq bombes qui ont ensanglanté samedi le coeur commerçant et touristique de la ville, une action audacieuse revendiquée "au nom d'Allah" par cette organisation islamiste locale, les Moudjahidine indiens.

Ce mystérieux groupe avait déjà revendiqué seize attentats commis en juillet à Ahmedabad, grande ville de l'Etat du Gujarat (ouest), ceux en mai à Jaïpur (Etat touristique du Rajasthan, nord-ouest) et des attaques coordonnées en novembre 2007 dans trois villes de l'Uttar Pradesh (nord).

Plus de 150 personnes ont ainsi perdu la vie en moins d'un an.

Ces carnages attisent une polémique en Inde sur les carences de la politique antiterroriste de la dixième puissance économique mondiale, forte de ses dizaines de millions d'Indiens des classes moyennes, frappée en moyenne tous les trois mois par des attentats.

Certes, la sécurité est draconienne dans les aéroports. Mais la presse se gausse de la faiblesse des équipements (télé-surveillance, détecteurs de métaux...) dans les gares, hôtels, restaurants, magasins et lieux de culte.

Le gouvernement a bien promis 7.000 policiers supplémentaires et des caméras de surveillance, tout en reconnaissant que ses services du renseignement ne sont pas à la hauteur d'une menace "terroriste" urbaine incarnée dorénavant par des islamistes indiens.

Jusqu'à récemment, les autorités montraient du doigt des organisations extrémistes étrangères, soutenues par le Pakistan ou le Bangladesh, deux pays musulmans nés de la partition de l'Empire britannique des Indes d'août 1947 et de l'indépendance en 1971 de l'ex-Pakistan oriental rebaptisé Bangladesh.

Admettant aujourd'hui l'irruption de ce "terrorisme islamiste indien", les autorités avancent tout de même sur des oeufs dans un pays de 1,1 milliard d'habitants --avec 80% d'hindous et 14% de musulmans-- dont l'histoire est jalonnée d'émeutes inter-religieuses.

D'ailleurs, un dignitaire musulman a prié ce mois-ci la police et l'armée de cesser les "arrestations arbitraires", voire les "assassinats" de ses coreligionnaires au cours d'opérations antiterroristes.

"Nous, les musulmans, nous sommes toujours les terroristes", pestait ainsi un adolescent après la fusillade de vendredi.

"Nous avons peur d'une police partiale et peur que nos enfants soient pris pour cible", s'est plaint Faiyaz Ahmad Khan, professeur d'ingénierie à l'université de Jamia Millia et qui avairt assisté aux échanges de tirs.

A mon avis, ce n'est pas suffisant !

Il faut surveiller toutes les écoles coraniques, les mosquées, leurs lieux de rassemblement, leurs quartiers, ... bref la minorité musulmane doit être davantage surveillée et fichier tous ses individus au scribe. Soit contrôler leurs mouvements de liberté ou les restreindre, pour cela il faut instaurer un état policier comme aux Etats-Unis.

Il faut prendre exemple sur la Chine à ce niveau.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité barbaros pacha

A mon avis, ce n'est pas suffisant !

Il faut surveiller toutes les écoles coraniques, les mosquées, leurs lieux de rassemblement, leurs quartiers, ... bref la minorité musulmane doit être davantage surveillée et fichier tous ses individus au scribe. Soit contrôler leurs mouvements de liberté ou les restreindre, pour cela il faut instaurer un état policier comme aux Etats-Unis.

Il faut prendre exemple sur la Chine à ce niveau.

Un "democrate" qui se prend pour un "dictateur"...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un "democrate" qui se prend pour un "dictateur"...

<Barbaros, a ta place je la ramenerais pas de trop au vu de tes dernières oeuvres sur le forum, on t'a largement laissé exprimer tes "penchants" alors tu es gentil tu laisses parler les autres sans faire de commentaires ni d'amalgames desobligeants  >:(>

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Surveiller un minimum des éléments de la population qui pourraient nuire à l'ensemble, ce n'est pas nuire à la démocratie, bien au contraire vu que c'est implicitement protéger le plus grand nombre.

Par contre, faire un cas d'une population de par ses origines ou ses croyances, c'est réducteur et c'est un terrain pentu ...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Surveiller un minimum des éléments de la population qui pourraient nuire à l'ensemble, ce n'est pas nuire à la démocratie, bien au contraire vu que c'est implicitement protéger le plus grand nombre.

Par contre, faire un cas d'une population de par ses origines ou ses croyances, c'est réducteur et c'est un terrain pentu ...

Je suis désolé Tactac mais les attentats se répètent à maintes reprises et tuent des milliers de personnes, il faut prendre des mesures draconiennes.

Que penses-tu alors du plan Vigipirate ?!

Or, la France n'a pas subi grand chose comparer à l'Inde actuellement

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité barbaros pacha

Je suis désolé Tactac mais les attentats se répètent à maintes reprises et tuent des milliers de personnes, il faut prendre des mesures draconiennes.

Que penses-tu alors du plan Vigipirate ?!

Or, la France n'a pas subi grand chose comparer à l'Inde actuellement

Pourquoi ne pas aussi surveiller aussi les Hindous??

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pourquoi ne pas aussi surveiller aussi les Hindous??

parceque jusqu'a preuve du contraire (ce qui serait clair si tu reflechissais plus de 2 secondes avant de faire direct dans la provoc) ce ne sont pas les Hindous qui deposent des petits sacs plastiques garnis d'explosif et de clous sur les marchés, dans des trains ou des bus frequentés majoritairement par d'autres hindous

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité barbaros pacha

parceque jusqu'a preuve du contraire (ce qui serait clair si tu reflechissais plus de 2 secondes avant de faire direct dans la provoc) ce ne sont pas les Hindous qui deposent des petits sacs plastiques garnis d'explosif et de clous sur les marchés, dans des trains ou des bus frequentés majoritairement par d'autres hindous

Ah bon??

Tu ne suit pas trop l'actualite mon cher Akhilleus...

Alors qui a poser les bombes dans les marcher Musulmans?Et les represailles contre les Chretiens?

Un attentat contre une mosquée fait onze morts dans l'Etat d'Andhra Pradesh (Françoise Chipaux)

Le Monde - 20 mai 2007 (1/8 de page)

"Au moins onze personnes ont été tuées, vendredi 18 mai, dans l'explosion d'une bombe dans une mosquée d'Hyderabad, capitale de l'Etat indien d'Andhra Pradesh. Deux autres ont été tuées dans des affrontements qui ont suivi avec la police. L'attentat s'est produit dans la plus grande et ancienne mosquée de la ville, qui rassemble chaque vendredi environ 10 000 personnes. Cet acte, qui n'a pas été revendiqué, ranime les craintes de troubles interreligieux dans cette ville de sept millions d'habitants dont 40 % sont de religion musulmane."

Le calvaire des chrétiens face aux nationalistes hindous (Pierre Prakash)

Libération - 19 août 2006 (1/10 de page)

Au centre de l'Inde, "dans les Etats du Chhattisgarh et du Madhya Pradesh, dirigés par le Parti du peuple indien [bJP], les chrétiens sont accusés de prosélytisme et harcelés" par les fondamentalistes hindous, dont le BJP est l'émanation politique.

"Intimidations des fidèles, églises vandalisées, agressions physiques sur des pasteurs : la minorité chrétienne a fait l'objet d'une vingtaine d'attaques dans la région ces derniers mois, sans que personne n'ait jamais été arrêté."

Les accusations de prosélytisme relèvent davantage de l'intolérance que de la réalité car la proportion des chrétiens, qui ne dépasse pas 2,3% de la population indienne, a diminué ces dernières années. Une loi "anticonversion" sanctionne même les ""conversions forcées" et "frauduleuses", à savoir celles qui seraient obtenues en échange de cadeaux ou d'argent." Pour l'archevêque du Chhattisgarh, cette loi qui est une "aberration" a pour but de contenter l'électorat hindou le plus radical.

"Mais si la loi ouvre la porte à tous les abus, les accusations de prosélytisme chrétien ne sont pas pour autant totalement infondées. Dans les campagnes, des évangélistes, souvent financés par des organisations occidentales, parcourent en effet les villages dans ce but en prêchant la bonne parole."

Face à ces assauts chrétiens, les fondamentalistes hindous ont lancé une campagne de même nature pour essayer de ramener à l'hindouisme les convertis au christianisme.

Extrémistes hindous contre terroristes musulmans (The Asian Age, New Delhi)

Courrier International - 20 au 26 juillet 2006 (1 page)

"Depuis les émeutes interconfessionnelles de 1992 et la vague d’attentats qui a suivi, Bombay est devenu le théâtre d’affrontements entre les fondamentalistes de tous les bords."

Pour beaucoup, les attentats du 11 juillet sont liés à l'affrontement entre le parti ultranationaliste hindou et régionaliste du Shiv Sena et les "forces réactionnaires musulmanes".

L'hindouisation forcée a commencé (Mahesh Langa)

Courrier International - 3 au 9 novembre 2005 - (1/3 de page)

En 1998, des manifestations d’organisations d’extrême droite contre l'évangélisation supposée des tribus dans la région de Gujarat ont dégénérés. Trente-cinq églises et lieux de prière ont été incendiés. Pour faire face à ce qui est considéré comme des activités de missionnaires et de prosélytisme envers les tribus locales, "les organisations du Sangh Parivar [littéralement, la famille du RSS] ainsi que d'autres groupes hindous ont recours à des méthodes et outils tout nouveaux dans le but d'hindouiser les populations tribales [qui pratiquent souvent l'animisme ou des formes jugées inacceptables de l'hindouisme], n'hésitant pas, notamment, à inventer de toutes pièces traditions et légendes". C’est qui est prévu à l’occasion du rassemblement religieux, une kumbh mela, le 11 au 13 février prochain, à partir de la croyance qui "veut que le dieu Rama et son frère Lakshman aient traversé la région". Les médias locaux ont rapporté certains des propos de Swami Asheemanandaji, responsable de l’opération : "l'Inde a deux problèmes à résoudre au XXIe siècle : le djihad islamique et les missionnaires chrétiens".

Cependant les populations tribales demeurent farouchement opposées à la tenue de cette kumbh mela. "On s'en prend à notre tissu social. Jusque-là, il y avait sur la colline trois rochers où nous rendions un culte à nos dieux tribaux. Ils y ont construit un temple à Sabari et affirment que c'est elle que les populations tribales honorent à cet endroit. Pur mensonge, ça n'a jamais été le cas", affirme l'ancien maharadjah de la région. Satyakam Joshi, professeur au Centre d'études sociales de la ville de Surat, considère que l'hindouisation n'est pas quelque chose de nouveau. En outre, il estime que "la stratégie des missionnaires chrétiens est au fond la même".

Tu voit? J'ai encore beaucoup d'exemple...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Relis mon post il est pourtant clair : je parles des vagues d'attentats visant les Hindous et qui ont debuté à Bombay et se sont poursuivi ces derniers jours

la différence est pourtant flagrante : d'un coté on a des terroristes d'origine musulmane pilotés par un puissance exterieure (le Pakistan) voir une nebuleuse bien connue qui joue la destabilisation par des vagues d'attentas aveugles

Ca ca releve du contre terrorisme et des services secrets

dans les exemples que tu m'as donné c'est les luttes endemiques dans certaines regions de l'Inde à base communautaire/ethnique et religieuse

et ça relève de la sureté interieure et de la police

quand tu arriveras a faire la différence et à pas tout mélanger on en reparle

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité barbaros pacha

Relis mon post il est pourtant clair : je parles des vagues d'attentats visant les Hindous et qui ont debuté à Bombay et se sont poursuivi ces derniers jours

la différence est pourtant flagrante : d'un coté on a des terroristes d'origine musulmane pilotés par un puissance exterieure (le Pakistan) voir une nebuleuse bien connue qui joue la destabilisation par des vagues d'attentas aveugles

Ca ca releve du contre terrorisme et des services secrets

dans les exemples que tu m'as donné c'est les luttes endemiques dans certaines regions de l'Inde à base communautaire/ethnique et religieuse

et ça relève de la sureté interieure et de la police

quand tu arriveras a faire la différence et à pas tout mélanger on en reparle

Qui te dit que c'est le Pakistan qui est derriere ces attentats?? et l'attentat contre la mosquee Hyderabad (certes datant d'il y a quelques annees)? Ce n'est pas un acte terroriste? Et le pogrom antimusulman du Gujarat? (La terreur contre la population Musulmane)

Que veut dire le mot Terrorisme...

Académie française, 8ème édition

Définition 1 :

terrorisme

Régime de terreur politique.

Wiktionnaire

Définition 1 :

terrorisme

(Vieux) Régime de terreur politique. Lutter contre le terrorisme est un devoir civique.

Définition 2 :

terrorisme

Violence (attentat, assassinats, enlèvements, sabotages…) menées contre des civils, et destinée à frapper l'opinion publique. Le terrorisme est une guerre asymétrique des faibles contre les forts même si, comme le souligne Noam Chomsky, les états et institutions ont aussi recours à cette méthode : c'est le terrorisme d'État.

Si il faut surveiller. faut surveiller tous le monde et non que la population Musulmane ou Chretienne (pourtant aussi menacer)...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
  • Statistiques des membres

    6 003
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    pandateau
    Membre le plus récent
    pandateau
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...