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Le Japon, ce copain


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Shinzo Abe en visite de reconnaissance à ParisALAIN BARLUET. Publié le 12 janvier 2007Actualisé le 12 janvier 2007 : 08h48 Le premier ministre nippon veut renforcer les liens entre les deux nations qui célébreront en 2008 150 ans de relations diplomatiques.

AP

Le premier ministre nippon veut renforcer les liens entre les deux nations qui célébreront en 2008 150 ans de relations diplomatiques.

APRÈS Londres, Berlin et Bruxelles, Shinzo Abe arrive cet après-midi à Paris pour une visite officielle de moins de vingt-quatre heures au cours de laquelle il s'entretiendra avec Jacques Chirac, aujourd'hui, Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy, demain. À moins de cent jours de la présidentielle, le chef du gouvernement nippon tenait à faire connaissance avec les deux principaux candidats qui, l'un et l'autre, ignorent tout, ou presque, du Japon. La première revient de Chine qu'elle a qualifié de « nouvelle frontière » pour l'économie française. Le second s'était illustré, naguère, en raillant le sumo et la prédilection de Jacques Chirac pour ce sport traditionnel japonais. « L'un ou l'autre représentera probablement la France au prochain G 8, en Allemagne, en juillet prochain, c'est mieux de s'être déjà rencontrés avant le sommet », avance-t-on, côté japonais, pour justifier ces entretiens.

À l'Élysée, où il dînera ce soir, Shinzo Abe aura, en revanche, un interlocuteur passionné qui n'ignore rien du Japon. À tel point d'ailleurs que les échéances à venir suscitent quelque appréhension, d'un côté comme de l'autre. « Le départ de Jacques Chirac sera une grande perte », glisse un diplomate nippon. Certes, les liens diplomatiques, qui remontent à 1858, sont placés sous le sceau de la continuité. Mais au Gaimusho, le Quai d'Orsay de Tokyo, on ne peut que se féliciter d'avoir « un ambassadeur à l'Élysée », comme le dit un diplomate nippon en faisant allusion à Maurice Gourdault-Montagne, conseiller diplomatique du chef de l'État et ex-représentant de la France dans l'Archipel (1998-2002). Un haut responsable français : « Le problème avec le Japon, c'est qu'il n'y a pas de problèmes... »

Shinzo Abe souhaite donner une nouvelle impulsion à ces relations réglées comme une montre à quartz. Pragmatique, il souhaite aussi que le renforcement du partenariat franco-japonais contribue à l'objectif principal qu'il s'est assigné : favoriser l'essor de Tokyo sur la scène internationale. Souvent décrit comme un « faucon conservateur », le premier chef du gouvernement nippon à n'avoir pas connu la Seconde Guerre mondiale (il est né en 1954) a surtout fait preuve de réalisme depuis son arrivée au pouvoir, en septembre dernier. Quelques jours plus tard, il s'envolait pour la Chine et la Corée du Sud afin de faire retomber la tension avec ces voisins. Pour apaiser leur ire, il s'est abstenu de visiter le sanctuaire de Yasukuni, haut lieu du nationalisme nippon. Après l'Asie, il a choisi l'Europe, plutôt que les États-Unis comme ses prédécesseurs. Ainsi que le soulignait mercredi le quotidien Asahi Shimbun, « il est naturel que le Japon tente de renforcer ses liens avec l'Europe (...) au moment où l'Administration américaine conduite par George W. Bush voit son leadership s'éroder avec la victoire des démocrates aux élections du mid-term et reste entravée par l'enlisement en Irak ».

Le nucléaire d'abord

Cette semaine, Shinzo Abe a répété son credo : compte tenu de son poids économique et politique, le Japon doit assumer davantage de responsabilités mondiales. Il le soulignera ce matin encore au siège de l'Otan, avec laquelle Tokyo veut coopérer plus étroitement.

Ces ambitions diplomatiques ne sont pas neuves. Mais M. Abe espère enfin les concrétiser dans un cadre multilatéral, insiste-t-il, en s'appuyant sur « les pays qui partagent les mêmes valeurs que le Japon ». La France se trouve en bonne place sur cet échiquier. Il compte notamment la sensibiliser à l'entêtant dossier nord-coréen, le nucléaire d'abord mais aussi les Japonais enlevés par Pyongyang (lire ci-dessous). Le Japon est en quête de soutien pour une résolution de l'ONU mentionnant ces enlèvements.

Paris et Tokyo veulent accroître les exportations et les investissements.

VOILÀ des années que Paris et Tokyo appellent de leurs voeux un renforcement des relations économiques franco-japonaises, qui sont « insuffisantes », expliquait encore le premier ministre, Shinzo Abe, avant sa tournée européenne. Si les déclarations d'intention sont légion, les chiffres, eux, ne sont, pas très éloquents.

Le Japon est le cinquième investisseur étranger en France, derrière les États-Unis ou l'Allemagne. La France, elle, occupe le quatrième rang dans l'Archipel, derrière les États-Unis et même les Pays-Bas. Quant à notre part de marché, elle ne parvient pas, depuis dix ans, à décoller au-dessus d'un petit 2 %.

Les Japonais goûtent pourtant notre « vision industrielle », largement portée par Carlos Ghosn, une icône dans leur pays depuis qu'il a ressuscité le constructeur automobile Nissan, acheté par Renault en 1999. Tout comme ils goûtent aussi nos compétences en recherche et développement et aimeraient coopérer plus étroitement avec la France.

L'alliance nouée en octobre entre Areva et Mitsubishi pour fabriquer ensemble des réacteurs nucléaires de troisième génération est, à ce titre, une bonne illustration de la coopération souhaitée par Paris et Tokyo. « Le Japon est un marché exigeant », explique Christine Lagarde, le ministre délégué au Commerce extérieur, qui a fait de ce pays une destination prioritaire dans le cadre de son plan d'action « Cap export ». Si la France sait vendre des métros, « elle doit maintenant vendre des partenariats technologiques de longue haleine », dit-elle. Une référence à peine voilée à la faiblesse des ventes d'Airbus (6 % de parts de marché) par rapport à son concurrent américain Boeing. « Les États-Unis ont instauré depuis longtemps une politique de partenariat industriel : nous pouvons et devons faire de même. »

Terre de mission

Mais certains clichés ont la vie dure. Si les grandes entreprises japonaises, à l'instar de Toyota avec son usine de Valenciennes, louent la bonne marche de leurs affaires en France, les petits patrons nippons, eux, restent perplexes. « La rigidité de votre législation du travail, une qualité qui laisse parfois à désirer et des retards de livraison fréquents sont des freins pour nous », explique l'un d'entre eux.

Avec une économie en pleine renaissance, qui a tourné le dos à la « décennie perdue », cette période de récession des années 1990, le Japon est plus que jamais une terre de mission pour les entreprises tricolores. Mais à charge pour Shinzo Abe, qui souhaite doubler les investissements directs étrangers au Japon dans les cinq ans qui viennent, d'ouvrir un peu plus le marché nippon. Pour ce faire, Tokyo doit assouplir sa législation sur la taxation des fusions-acquisitions réalisées par des firmes étrangères. Un dispositif « discriminatoire », pour bon nombre de patrons européens.

Voilà un partenaire précieux qu'il serait bon de conserver et avec qui à mon humble avis les perspectives de partenariat sont alléchantes.

Pour info, ils sont parmi nos premiers créditeurs pour notre dette.

Je me suis souvent ennervé ici sur les opportunités jadis gâchées par les douteux à la tête du pays ces deux dernières décennies (Europe de l'Est, Afrique etc) mais avec le Japon il reste de nombreuses opportunités. Chirac, grand amoureux du Japon, y a contribué, il faut bien le reconnaître.

Ca serait un bon point de départ pour une nouvelle politique étrangère.

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Le Japon a toujours été un bon partenaire économique parce qu'il est discret politiquement (comme l'Allemagne). Pas de raisons de se fâcher par conséquent. Je ne sais pas trop ce qu'on pourrait faire de plus vis-à-vis de nos relations commerciales... Le Japon est assez protectionniste je crois, en fait, nous profiterions plus des investissements japonais chez nous (merci Toyota...). Je ne vois que la recherche scientifique et les hautes technologies à étoffer.

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On ne peut rien faire tant que les patrons jap' nous verront comme une économie fermée et incompréhensible (ce ne sont pas les seuls, un sondage de la Tribune de cette semaine je crois, montrait que la France était avant-dernière aux yeux des patrons européens s'agissant de son attractivité) et tant que le Japon sera hostile par défaut à toute intervention étrangère. Voilà, ça c'est la situation début 2007. Mais Abe, qui veut ouvrir le Japon aux investissements étrangers et qui a besoin de la France pour émerger sur la scène internationale offre de sympathiques perspectives. Il faut s'y engouffrer. Et puis comme tu l'as rappelé, nous avons les prérequis : - un partenariat solide - des collaborations passées qui sont des réussites : Ghosn, Toyota. Voilà, avec l'Allemagne qui repart et avec sa présidence de l'UE, la Fr au 2ème semestre 2008, des points de départ pour un sursaut.

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@Samson Ce partenariat Franco-Japonnais et la volonté de voir accéder ce pays au CS de l'ONU ne serait il pas directement lié au monde multipolaire que prone la diplomatie de notre président J-Chirac , celle la meme qu'il t'arrives de condamner ?

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Brièvement :

Ce que je n'aime pas dans la multipolarité c'est cette espèce d'enthousiasme par défaut envers tout ce qui vient contrebalancer le poids des USA.

L'idée est simple : avec la fin de la guerre froide, la Fr a perdu son rôle de trait d'union entre les 2blocs. Ménager la France pour les USA revenait à s'assurer une passerelle vers l'Est et le tiers-monde y répondant.

Dorénavant, nous ne sommes pas en tête des préoccupations des USA qui distribuent les cartes sur la scène internationale.

Toutes mes idées découlent de ce postulat.

L'opposition grandiloquente à l'Irak a été contre-productive. Elle n'a servi à rien sur l'instant et a suscitée un sursaut d'orgueil chez les USA qui au vu du déroulement des évènements auraient pu faire appel à la France a posteriori pour trouver une sortie de crise. Un nième Traité de Paris pour règler la crise irakienne avec la Fr. Ca aurait été un rôle bcp plus noble. C'est un exemple. Les USA auront besoin tôt ou tard de considèrations sur la scène internationale. Voilà une bonne occasion pour la Fr de s'en rapprocher tout étant constructif.

La France doit se trouver un nouveau rôle sur la scène internationale. Je ne crois pas au tiers-mondisme ou au soutien d'un monde multi-polaire,car j'observe que le réalisme est le maître-mot chez les pseudo-émergents et que donc tout est biaisé. Pour parallèle, c'est comme le respect du libre jeu de la concurrence (<=>le monde multipolaire) avec des mecs qui se contre-balancent de l'environnement et qui n'ont aucune contrainte sociale. J'ai du mal à croire que le rayonnement de la Fr réside dans la courtoisie de l'invitation de ceux qui nous croqueront.

Il faut trouver de nouvelles orientations : l'indépendance sans la marginalisation (l'asphyxie industrielle de la France n'est qu'une question de volonté pour les autres : cf Rafale), l'UE sans l'effacement, le soutien au développement des DH sans verser dans un mièvre idéalisme...etc

De nouveaux partenariats, de nouvelles alliances, de nouvelles méthodes (les Musées, des lycées fr, des Universités... sur ce point Chirac a fait des efforts).

Le tout ayant comme pré-requis le sursaut car nous perdons du terrain.

Moi, sincèrement, la politique étrangère fr me fait vraiment penser à une politique de fin de règne, de décadence assumée, de fin annoncée, de tour d'honneur. On recycle les mêmes schémas, ça put le circuit intelectuel fermé.

Concrètement, la France a qui comme alliés? Quelle est la cohérence et l'horizon de la politique fr? Le monde multipolaire (quels sont nos partenaires chez les pressentis?)?

Ca n'a ni queue ni tête par manque de perspective.

En fait les français confondent indépendance et isolement. Très franco-français : notre pseudo-modèle social est le bon, c'est la jungle et l'enfer chez les autres et on se pavoine dans la conviction que les autres n'ont pas l'intelect suffisant pour déceler les subtilités et les bienfaits de notre modèle. L'indépendance ce n'est pas construire des Rafale en produisant tout de A à Z (ça relève "uniquement" d'une puissance technologique), c'est pouvoir rentabiliser le programme (asseoir et imposer sa puissance). Car à perte, on ne fera pas long feu et les savoir-faire disaraîtront.

Pour les jap, mon enthousiasme est plus d'ordre économique et parce qu'Abe aura besoin de la Fr pour le CS.

Bon, les choses sont plus complexes que telles qu'elles sont exposées ici mais j'abrège.

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Je trouve que le Japon reste encore beaucoup trop tourné vers les USA, et en général pour le reste les delcaration politique et autres accords ne servent pas à grand chose et n'aboutissent a strictement aucun resultat. Il n'y a qu'a voir les tentatives de penetration du marché japonnais par Airbus, avec des contrepartie industrielle et de promesses japonnaise poli mais jamais tenu. Alors certe la visite du premier ministre jap est un bon signe mais je ne crois plus a une relation entre nos deux pays. Ou alors je l'attend par les faits.

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Tient! je rejoins l'avis de Samson sur ce coup la ... Y va tomber quelque chose!

Aux japon tout comme en Coree du Sud, si il n'est pas question de remettre en question les partenarias et alliance avec les USA, Il est clair qu'il y a une tendance a reduire l'influence de ces derniers.

Cette tendance c'est amorcee apres les attentats du 09/11 et c'est amplifiee avec l'invasion de l'Irak dont les motivations pas tres clair ont suscitees une de prise conscience vis a vis d'un amis qui inspire soudain une certain crainte et apparait un peu trop present dans les decision politiques internes et externes du Japon et de la Coree du S. Des pays ou la question de souverainete nationale est plutot du genre sensible.

il y a la une carte a jouer pour la France, l'un des rare pays qui peu contrebalancer les US sur le plan technologique. Maintenant j'ai vraiment du mal a comprendre mes compatriotes. Il y existe une etrange attitude parmis les industriels francais, un melange d'arrogance sado masochiste qui les pousse a considerer leurs partenaires comme de la merde tout en continuellement etre en train de se plaindre et de geindre, toujours un pet de travers. Quand Je traite avec eux, ce comportement immature ne m'aide pas a les prendre au serieux.

Bien sur je parle de maniere generale, mais c'est une impression globale que ressent nombre des entreprises Chinoises qui ont eu a traiter avec des boites francaises et forcement cela retombe sur l'ensemble de la communaute francaise.

Alors j'imagine si ils ont le meme comportement avec des boites nippones (Non ce n'est pas dur de bosser avec des japonais, ils sont organises et ultra-reactifs)

les petits patrons nippons, eux, restent perplexes. « La rigidité de votre législation du travail, une qualité qui laisse parfois à désirer et des retards de livraison fréquents sont des freins pour nous » , explique l'un d'entre eux.

Et paf!

C'est peut-etre ca qui pose probleme aux boite francaise, la franchise a la japonaise. Alors que des qu'une tuile arrive, le franchouille vas tout faire pour rejeter la faute sur quelqu'un d'autre sans sans jamais vouloir prendre de responsabilite et surtout ne pas resoudre le probleme, le japonais, ou le coreen, vas s'excuser prendre sur lui, meme si les tort sont partages et foncer pour rattraper le retard. Respect! A la fin tout le monde est content et on finit au resto avec une bonne bouteilles.

Aller! J'arrete ou on vas finir par m'accuser de declinologie et puis tant que les petites chinoises continuent a nous trouver romantique, moi ca me va. [10][08]

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Le Japon est un pays certes discret a bien des égards , ce n'est pas pour cela qu'il faut minorer sa reactivité , dans tous les cas il y a eut par le passé des accrocs notamment cette affaire avec le deputé qui avait fait grêve de la faim , cela n'a pas du tout fait bonne impression auprés des investisseurs japonais. Pour ce qui concerne l'aspect economique , il est evident que la legislation du travail en France est completement inadaptée face aux defis internationaux , même s'il l'on dit qu'il y a de plus en plus d'invesstissements en France , quel est l'impact réel de celui-ci sur le travail ou sur le chomâge. Il est evident que les japonais ne viendront pas en France si c'est pour avoir d'un côté des conflits sociaux a repetition ou de l'autre un état qui les ponctionne aux 1/3 ou 1/2 des benefices réels. Dans tous les autres cas le Japon demeure la deuxieme puissance economique mondial n'en deplaise a la Chine et aux Russes.

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Ouais enfin si on vous ecoute ce n'est plus une question de partenariat mais de se jeter dans les bras des japonnais a tout prix. Un partenariat c'est lorsque chacun donne de façon équilibré si il faut refaire la france pour avoir un peu d'attention des japonnais je vois pas trop d'interet, et si il veulent y mettre du leur pour nouer des partenariat en europe ca se fera, les initiative européenne son relativement nombreuses et ca n'a pas aboutit pour autant.

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Pas forcement , les japonais ont une idée claire de ce que doit être le travail , ils veulent des gens qui bossent et qui sont loyaux en affaire , malheuresement ces deux points me semblent abscent de l'idee que se font les français eux mêmes du travail.

Je me doutais bien qu'on allait arriver ladessus. Les français sont des glandeur qui ne bossent jamais ont plus de jours ferié que de jours de travail etc...
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Je suis désolé la population vieillit et il y a de moins en moins d'actifs , tu comptes les payer comment tes retraités si on se retrouve deficitaires. Tu as mal interprété mes propos je dis tout simplement qu'en se moment la France est a contre courant de tout ce que font les autres pays par ailleurs, le jour ou il faudra faire des reformes, il faudra pousser l'âge de la retraite jusqu'a 70 voir 72 ans tu peux me dire comment on va faire passer la pilule. Les japonais prennent leur retraite tres tard car pour s'arrêter de bosser c'est pas une chose qu'ils aprecient particuliérement, c'est une question assez importante pour eux. au passage j'ai entendu hier sur France Info que Toyal risque d'être delocalisé pour cause de non respect par l'etat de ses engagements au moment du conflit.

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Je suis désolé la population vieillit et il y a de moins en moins d'actifs , tu comptes les payer comment tes retraités si on se retrouve deficitaires.

Sur ce coup la ca n'a plus aucun rapport avec le Japon.

Et bizarrement on arrive a avoir de bonne cooperations avec des pays asiatiques, qui ont une culture du même ordre que le japon. Ca n'empeche rien.

Ils ont peur que les américains les laisse tomber en cas de problème si ils faisaient ça

Je crois que le problème c'est la très forte proximité qu'il y a entre le Japon et les USA. De ce fait ils préférent garder leurs lien très privilégié avec les USA plutot que se risquer sur d'autres partenariats.
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  • 1 month later...

La ministre française de la Défense Michèle Alliot-Marie, attendue jeudi à Tokyo, a réaffirmé "le soutien" de la France à "l'ambition légitime" du Japon d'obtenir un siège de membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies.

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Cela n'a pas d'importance,l'adaptation des structures de l'ONU au changement dans la repartition des forces et necessaires. L'Organisation actuelle date de 1945 et est serieusement daté.Un jour ou l'autre il faudra bien accorder l'importance qu'ils meritent au au poid lourd du XXIeme siecle. L'inde en fera partie,quand au Japon si sa politique etrangere continue dans la direction actuelle il faudra bien s'y resoudre. Si on ne reforme pas l'ONU elle risque un jour de perdre toute efficacité. Pour caricaturer,imagine qu'un jour les USA soit un pays du tiers-mond dans le conseil de securité et l'inde un pays riche.Tu ne trouverais pas particulierement etrange que le conseil ne change pas? Si l'UNSC ne represente pas un peu les grandes puissances,à la fin personne n'aura quoique ce soit à cirer des resolutions meme celle soutenue par la france. Notre soutien n'est donc pas de la generosité mais un interet bien compris.

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