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Le conflit irakien : les risques, conséquences futures, ...


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TONY Blair feared George Bush would "nuke the s**t" out of Afghanistan in revenge for 9/11, a sensational documentary will claim this week.

Giving the inside story on the war, former British ambassador to the US Chris Meyer reveals: "Blair's real concern was that there would be quote unquote 'a kneejerk reaction' by the Americans... they would go thundering off and nuke the s**t out of the place without thinking straight."

Nuclear strikes would have resulted in hundreds of thousands of deaths - and sparked a wave of al-Qaeda attacks.

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In Channel 4's candid two-part documentary The Rise and Fall of Tony Blair, Mr Meyer claims the threat explains why the Prime Minister vowed to stand "shoulder-to-shoulder" with Bush over the invasion of Iraq and Afghanistan - to thwart his allguns blazing battle plan.

But it meant sending British troops to Iraq knowing Washington had NOT made preparations for its post-war reconstruction.

Mr Blair's ally Peter Mandelson tells award-winning documentary - maker Andrew Rawnsley: "Obviously more attention should have been paid to what happened after, to the planning and what we would do once Saddam had been toppled. But I remember him saying at the time, 'Look, you know, I can't do everything. That's chiefly America's responsibility, not ours'."

Sir Jeremy Greenstock, Britain's envoy to Baghdad after the war, blames the lack of preparation for today's problems in Iraq in the programme, to be shown on Saturday at 7pm.

Liberal Democrat leader Sir Menzies Campbell blasted the revelations as "a devastating indictment" of the PM's policies.

Mr Rawnsley said last night: "But for Iraq, Tony Blair would probably not be leaving Number 10 in 10 days' time."

Meanwhile, a suicide bomber blew up a police bus carrying new recruits in the Afghan capital of Kabul yesterday killing 24.

And in Kandahar, three soldiers and their interpreter died when a coalition vehicle was hit by a roadside bomb

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  • 3 weeks later...

Début de retrait US possible en janvier dans le nord de l'Irak

- Les Etats-Unis pourraient commencer à retirer leurs troupes du nord de l'Irak en janvier prochain, a estimé Benjamin Mixon, général américain en poste dans la région.

Si l'armée américaine et les forces irakiennes continuent à faire des progrès dans la sécurisation de cette zone du pays, un retrait est envisageable d'ici janvier, a-t-il indiqué, mais il a mis en garde contre toute réduction d'effectifs le courant de l'année 2007.

Dans le cadre d'un processus "très méthodique et bien pensé -et je ne parle que pour la division multinationale Nord-, nous pourrions avoir une réduction de la force qui pourrait débuter en janvier 2008", a estimé le haut-gradé.

Mixon est en charge de la sécurité d'une zone couvrant les villes de Kirkouk, Tikrit, Mossoul et la province agitée de Diyala, théâtre ces dernières semaines d'opérations militaires de grande ampleur dirigées contres les activistes d'Al Qaïda.

S'adressant par vidéo-conférence à des journalistes réunis au Pentagone, Mixon a indiqué que sur les cinq ou six brigades dont il était en charge, les effectifs pourraient être réduits de moitié sur une période de 18 mois.

Les effectifs des brigades de l'armée américaine présentes en Irak varient généralement entre 3.000 et 5.000 hommes.

SUPPORT LOGISTIQUE, CONTROLE AERIEN, ASSISTANCE MEDICALE

Mixon a fixé comme condition la continuité des progrès dans la sécurisation de la zone concernée et l'assurance que les forces irakiennes de sécurité poursuivent leurs efforts afin d'être plus efficaces.

Le général américain a précisé que ce transfert de compétences aux forces irakiennes permettrait ainsi à l'US army de se concentrer sur des activités diverses comme le soutien logistique, le contrôle aérien et l'assistance médicale.

Le président américain, George Bush, est de plus en plus sous pression au sujet de sa stratégie militaire en Irak. Malgré un véto présidentiel, la majorité démocrate de la Chambre des Représentants a voté jeudi un retrait unilatéral des troupes stationnées dans le pays d'ici le 1er avril 2008.

Bush a réclamé du temps aux parlementaires américains hostiles à sa politique, estimant que toute prise décision avant la publication en septembre d'un rapport sur la situation irakienne serait prématurée.

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