Anzar Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 Ca existe des nageurs de combat algériens ? Tout a fait, mais plutôt dans la marine Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
fifou Posté(e) le 5 novembre 2011 Share Posté(e) le 5 novembre 2011 Les USA cherchent à vendre des armes à l’Algérie Les Etats-Unis d’Amérique ont exprimé jeudi à Alger leur intention de vendre des équipements militaires à l’Algérie dans le cadre de la coopération dans la lutte contre le terrorisme et le trafic d’armes et de drogue. L’annonce a été faite par le sous-secrétaire d’Etat adjoint américain chargé du Maghreb, Raymond Maxwell, lors d’une conférence de presse au siège de l’ambassade à l’issue de sa visite en Algérie. «Nous sommes en train de définir les voies et moyens de vendre des équipements militaires à l’Algérie dans le cadre de la lutte antiterroriste», a déclaré M. Maxwell, qui a souligné que «les efforts des Etats-Unis visent à stopper la propagation des activités d’AQMI (Al Qaïda au Maghreb islamique) dans la région et lutter contre le trafic de drogue, d’êtres humains et toutes sortes de trafics». Le responsable américain a rappelé l’existence entre l’Algérie et les Etats-Unis d’un partenariat dans plusieurs domaines, dont la lutte antiterroriste, l’échange de renseignements et la lutte contre le trafic d’armes. A propos de ce dernier point, il a précisé que «l’objectif est d’éviter la prolifération d’armes à partir de la Libye». Revenant sur les entretiens qu’il a eus avec les responsables algériens durant sa visite, M. Maxwell a indiqué avoir abordé avec le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel, des «préoccupations communes» concernant la région. «Nous avons parlé de la Libye et des relations algéro-libyennes», a-t-il dit, soulignant que les Etats-Unis espèrent que les pays voisins de la Libye «vont appuyer le CNT (Conseil national de transition) à créer une nouvelle démocratie à partir d’une situation fragilisée». Evoquant, par ailleurs, les réformes politiques engagées en Algérie, il a affirmé que le gouvernement algérien a choisi la «bonne voie». «Je crois qu’il est très facile de constater que le gouvernement algérien (...) a choisi la bonne voie en adoptant des réformes politiques», a-t-il noté, saluant par la même occasion «l’immense liberté» dont jouit la presse en Algérie. Sur le plan de la coopération entre les deux pays, le responsable américain a rappelé l’existence d’un partenariat «important» entre l’Algérie et les Etats-Unis fondé sur «l’amitié», exprimant le souhait de son pays de renforcer davantage les relations bilatérales. Il a indiqué que les nombreuses visites de responsables américains en Algérie «ne font que souligner la qualité des relations algéro-américaines». «Les deux pays ont beaucoup d’intérêts communs», a-t-il dit. http://www.lefinancier-dz.com/index.php/vivvo_general/4027.html ça sera quel genre d'armes à votre avis ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 5 novembre 2011 Share Posté(e) le 5 novembre 2011 Je verrais bien des Cessna Caravan II en configuration surveillance. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FULCRUM Posté(e) le 5 novembre 2011 Share Posté(e) le 5 novembre 2011 Des AC-130, des P-3 et des A-10 plutôt :oops: Oopp ce sont de gros menteurs ils ne vendront rien de rien Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 5 novembre 2011 Share Posté(e) le 5 novembre 2011 Des A-10 ? Surement pas, ils ne sont plus en production depuis des décennies et l'USAF à grand besoin des siens. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FULCRUM Posté(e) le 5 novembre 2011 Share Posté(e) le 5 novembre 2011 C'était ma wish list, nous n'aurons rien des USA Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
scorpion-rouge35 Posté(e) le 23 novembre 2011 Share Posté(e) le 23 novembre 2011 la constitution algerienne n'autorise par notre armée d'intervenir au dore de nos frontière mais l’Algérie a entamé une révision de ça doctrine de défense national et vue que ça se passe a nos frontières ça risque de changer plus vite qu'on ne le croit mardi 22 novembre 2011 Ils l’ont qualifiée de première force militaire dans la région Des militaires africains appellent l’Armée algérienne à intervenir contre Al-Qaida dans des pays voisins Des experts militaires des pays du Sahel ont accusé l’Algérie de former une barrière face à la lutte antiterroriste, suite au refus de l’Armée algérienne d’autoriser à ses troupes d’exercer dans les territoires des pays voisins. L’Agence française de presse AFP a rapporté d’un diplomate du Niger ayant refusé de dévoiler son nom : « la balle est dans le camp de l’Algérie dont le budget de la défense est six fois supérieur au budget de l’Etat de la Mauritanie Des dirigeants militaires des pays du Sahel associés dans la commission des opérations militaires, siégeant à Tamanrasset, font appel à l’Armée algérienne de participer dans des opérations militaires combinées sur leur sol. Dans ce cadre, l’AFP a rapporté d’experts dans les questions militaires ayant participé à la réunion des chefs d’Etats Majors du pays du Sahel à Bamako au Mali, leur propos incombant la responsabilité à l’Algérie qui a refusé de mettre à leur disposition son Armée pour les aider sur le terrain dans leur lutte antiterroriste. Selon l’Agence France presse, AFP, ces experts ont critiqué le rôle de la commission des opérations à Tamanrasset, qui se contente seulement de la collecte et l’échange des renseignements, sans charger les Armées de mener des opérations combinées et coordonnées dans les frontières d’étendant de la Mauritanie jusqu’à l’Est du Niger. http://fr.elkhabar.com/?Des-militaires-africains-appellent Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
docleo Posté(e) le 23 novembre 2011 Share Posté(e) le 23 novembre 2011 http://wikileaks.org/cable/2009/11/09ALGIERS993.html C O N F I D E N T I A L SECTION 01 OF 02 ALGIERS 000993 SIPDIS ADDIS ABABA FOR USMISSION AU E.O. 12958: DECL: 11/05/2019 TAGS: PGOV [internal Governmental Affairs], PREL [External Political Relations], MARR [Military and Defense Arrangements], MOPS [Military Operations], AG [Algeria], UK [united Kingdom], IR [iran] SUBJECT: UK DEFENSE SECRETARY AINSWORTH VISIT TO ALGERIA, BOOSTS BILATERAL SECURITY TIES REF: (A) ALGIERS 959 (B) STATE 101027 ALGIERS 00000993 001.3 OF 002 Classified By: William Jordan, Deputy Chief of Mission. Reasons: 1.4 (b), (d) Summary ------- ¶1. © The UK Ambassador in Algiers told us that the UK Secretary of State for Defense, during his October 26-27 visit to Algiers, signed a bilateral defense cooperation agreement that establishes a framework for UK training of Algerian military, information exchanges and joint exercises. A helicopter sales agreement involving British/Italian-manufactured aircraft underscores Algerian interest in diversifying their sources for arms purchases after being burned by the Russians. End summary. Bilateral Agreement ------------------- ¶2. © UK Secretary of State for Defense Robert Ainsworth visited Algiers October 26-27. UK Ambassador Henderson told us November 2 that Algeria and the UK during the visit signed a defense cooperation agreement that sets the framework for UK training of Algerian military here and in the UK and also covers information exchanges and joint exercises. He noted that the agreement had been under discussion for four years. The UK hoped the agreement would lead to annual defense staff talks. Security in the Region ---------------------- ¶3. © Ainsworth met with Algerian Minister of State for Defense Guenaizia and President Bouteflika. The latter said that Algeria had good CT information exchanges with Mauritania and Niger but that Mali was problematic. The UK Ambassador recalled that at a meeting with a visiting delegation of the Royal College of Defense Studies a few weeks earlier, Minister Delegate for Maghreb and Arab Affairs Abdelkader Messahel had been especially hard on Mali, saying its leaders could not be trusted and did not live up to agreements. Ainsworth told the Algerian president that Algeria was the only country in the region capable of bringing the countries of the Sahel together. Bouteflika also asked Ainsworth for more help with English language instruction. Henderson commented that the UK hopes to conduct more naval exercises with Algeria, largely because the UK has found these much easier to arrange than anything involving Algerian territory or airspace. Defense Sales ------------- ¶4. © Henderson confirmed that Algeria has concluded a deal for 30 Augusta-Westland helicopters (to be built in Italy) and is looking for a larger contract for A-101 helicopters (that would be built in the UK) as well as a possible order for four frigates (which Henderson said the Algerians really do not need). The latter faces stiff competition from the Germans, Italians, and French, although Henderson doubted the Algerians would buy French due to political sensitivities. The Algerians are looking at buying second-hand, British-made patrol boats from Brunei but are running into end-use monitoring restrictions over equipment the Algerians want to mount on these boats. The Algerians are heavily focused on counter-IED technology and occasionally asking for unrealistic weapons systems :lol: , partly to test what suppliers might offer (in this context, Henderson noted they would not get the Sea Wolf missiles that normally go with the Bruneian patrol boats). ¶5. © In the UK view, the Russian sale of defective Russian aircraft earlier this decade had soured the Algerians on Russian equipment and was motivating them to look anew at Western weapons systems. Upcoming UK security visits include General Searby, the PM's special CT adviser for the Maghreb, scheduled to arrive later in November and Lord West, Under Secretary for Counterterrorism in the Home Office, for whom the UK embassy has requested meetings December 7-9. UK-Algeria "Contact Group" ---------------------------- ¶6. © We asked about the status of the UK-Algerian "contact ALGIERS 00000993 002.4 OF 002 group" to which Algerian Presidential CT Adviser Rezag Bara referred in his meeting with DASD Huddleston. (Comment: Rezag Bara claimed that Algeria has such security discussion groups with the UK, Russia, and the Netherlands and suggested setting one up with the U.S., per ref a) Henderson answered that it is still under discussion and has not been stood up. He described considerable internal discussion over whether the UK lead should come from the military (his DATT's preference), Lord West (his CT officer's preference), or FCO Director of the Office of Defense and Strategic Threats Simon Manley (Henderson's choice). In Henderson's view, the group's structure should be flexible enough to permit interagency participation by a variety of UK entities based on the topics to be discussed at any given time. Iran and the Middle East ------------------------ ¶7. © President Bouteflika argued to Ainsworth that the U.S. must engage Iran seriously. The Iranian leadership considered the UK and France compromised, since it believed they were behind the post-election protest in Iran. This left the U.S. as the only country that could lead the effort for a deal with Iran. Bouteflika also expressed to Ainsworth his continued support for a nuclear weapons free zone in the Middle East. Ainsworth had countered that the discovery of the Qom nuclear facility had undermined the climate of confidence that a nuclear agreement needed. Comment ------- ¶8. © UK/Algerian ties are developing well, and Henderson seemed pleased overall with the increased engagement in the security area. Indeed, local newspapers made much recently of the decision to establish a permanent position at the UK embassy here to deal with illegal immigration. A sub-text in Henderson's presentation was that he was rather pleased to be able to relate to the Algerians as a major non-French EU player (something that was helping in terms of the tough competition over frigate sales, since the difficult state of French-Algerian ties largely took the French out of contention) and as an alternative to the USG. The only significant irritant in the bilateral relationship is the lengthy wrangle to extradite fugitive Algerian financier Rafik Khalifa, who fled to the UK in 2003 after the collapse of his financial empire. HMG has sought to send him to Algeria to face trial, but successive moves by his lawyers to block or delay such action have caused much frustration in Whitehall as well as Algiers. Although Bouteflika did not raise the case when he met with Ainsworth, FM Medelci sidled up to Henderson afterward to complain about the most recent delay, which has pushed a court decision back to at least December 7, i.e., when Lord West is due in Algiers. End comment PEARCE http://wikileaks.org/cable/2008/06/08ALGIERS739.html# S E C R E T SECTION 01 OF 03 ALGIERS 000739 SIPDIS E.O. 12958: DECL: 06/26/2028 TAGS: PREL [External Political Relations], PHUM [Human Rights], PTER [Terrorists and Terrorism], MARR [Military and Defense Arrangements], AG [Algeria] SUBJECT: BOUTEFLIKA SAYS HE WANTS BETTER U.S. TIES Classified By: CDA Thomas F. Daughton; reasons 1.4 (b, d). ¶1. (S) SUMMARY: During the Ambassador's farewell call June 24, a reasonably healthy-looking President Abdelaziz Bouteflika wistfully wondered why American relations with Algeria couldn't be more like those the U.S. enjoys with Morocco and Tunisia. The Ambassador noted that as Algeria opened up more politically and economically, the U.S. was engaging more. However, weak Algerian administrative capacity limited what we and our private sector could do with the Algerians. When Bouteflika hinted that he would like to see more senior American visitors in Algeria, the Ambassador observed that the U.S. does not judge the quality of a relationship on the basis of visits but rather of concrete cooperation. In addition, the Algerians have not tried to send any high-level delegations to the U.S. Bouteflika bemoaned the failure to sell night-vision goggles to the Algerian military and the Ambassador reminded him that the end-user verification issue had to be resolved first. Bouteflika sighed that moving the Algerian generals would take time. Bouteflika thanked the U.S. for our efforts to improve education in Algeria, especially English teaching. He agreed to the Ambassador's request that Algeria accept some detainees back from Guantanamo Bay, clearing the way for another attempt which may or may not succeed. Bouteflika was less flexible on the issue of pressuring evangelical Christian groups here, calling it a major security issue. He said local officials and the evangelicals need to have a better dialogue as a start. As we think about how to advance bilateral relations during the rest of the Bouteflika government -- however long that is -- we need to recognize that this government is keenly risk-averse and lacks vision. We should work with those government officials and private Algerians who are trying to advance reform in their small ways. When the issue is urgent and really important, we need to by-pass the usually unhelpful Algerian bureaucracy and make high-level representations to Bouteflika himself since he genuinely appears to want closer bilateral relations. Discussions on Iran and Western Sahara reported septels. END SUMMARY. BOUTEFLIKA WISHES FOR VISITS ---------------------------- ¶2. © President Bouteflika told the departing Ambassador June 24 that Algeria wanted better relations but he felt that the U.S. hadn't tried very hard. He wondered why bilateral relations could not be more like those the U.S. enjoyed with Morocco and Tunisia , although he then readily acknowledged our history with those two states had been different back to the 1960s. The Ambassador told Bouteflika that the U.S. perceived that relations in many areas were improving, including cooperation in fields such as fighting terrorism, education, judicial reform, parliamentary reform, banking and tax administration reform and increased business. The Ambassador noted that we had proposed additional programs in all these areas, but the Algerian administrative capacity was limited and there were obvious limits to what we, or our companies, could do in the current climate. Bouteflika acknowledged the greater activity in the relationship, but he wanted more. Sensing that what Bouteflika really meant was a high-level visit, the Ambassador told Bouteflika directly that while we understood the utility of senior visits, the U.S. also measured the quality of a relationship by the cooperation between the states and the resources the two sides put into it. Bouteflika immediately perked up and said that in Algerian culture, high-level visits were an important indication of the importance given to a particular country . The Ambassador noted that the President and the Secretary were spending copious amounts of time trying to advance the Israeli-Palestinian negotiations and this left less time for visits to other countries in the region. Bouteflika also acknowledged this point. The Ambassador added that while there have not been high-level visitors from the U.S., neither have the Algerians sent delegations to Washington, and Bouteflika acknowledged this as well. (Comment: It is no accident that MFA Secretary General -- the number two at the foreign ministry -- volunteered to the Ambassador on June 25 that Algeria should be more proactive in sending high-level visitors to Washington. End Comment.) AND MILITARY EQUIPMENT ---------------------- ¶3. (S) Bouteflika then threw out another complaint: the U.S. had refused to share advanced reconnaissance equipment such as infra-red vision equipment with the Algerian military. Bouteflika said this was hard to understand :consol: , as we both face a common threat from Islamist extremists returning from places like Afghanistan and Iraq. Moreover, the U.S. was going much farther with Morocco, preparing to sell F-16s there :44: . Ambassador rejoined that we had repeatedly stressed our willingness to consider sales of vision equipment. However, Algeria had to accept the same end-user verifications that other military sales recipients accepted; we had sent multiple teams here to discuss this. Bouteflika clearly knew the issue. The problem, he acknowledged, was that even if the verifications were a mere bureaucratic process for the Americans, as a result of the bitter independence war against France the Algerian military was very sensitive about allowing any foreign state leverage over its equipment. The generals will be hard to budge, he observed. (Comment: It was clear from his comment that Bouteflika didn't think he could budge them. End Comment.) Bouteflika concluded that the U.S. should be patient while the Algerian military's thinking slowly evolves. If there were additional inducements the U.S. could provide (he named nothing specific and said specifically he didn't mean money) that might help shake a change in the Algerian army's thinking. EDUCATION - A THANK YOU ----------------------- ¶4. (U) Bouteflika noted that he knew the U.S. was putting more effort into education programs here and he appreciated it. He said Algeria needed to have more people able to do business in English. U.S. engagement in Algerian education was very welcome, he stated. (Comment: The MFA Secretary General highlighted this enhanced work on education as a major advance in relations during his conversation with the Ambassador June 25. End Comment.) GTMO - POSSIBLE MOVEMENT ------------------------ ¶5. (S) The Ambassador said there were issues troubling us as well. He noted that we wanted to move forward on closing Guantanamo, but the disposition of Algerian prisoners was a problem for us. We had been ready to return a small group in August 2007 and the Algerians at the last moment had stopped the transfer. Since then, while we have indicated our willingness to be flexible on how the transfer is undertaken, the GoA has refused even to talk to us. Bouteflika asked if we were sure the detainees were Algerian and Ambassador stressed that they were. In a rambling commentary, Bouteflika said that if the U.S. was still holding these Algerians they must be dangerous men. They might pose a security problem for Algeria, and Algeria already has enough security problems, he observed. Bouteflika said the transfer of the group from last year should be allowed to go forward, but the Americans could help Algeria by sharing what it knows about the individuals so that the Algerians understand what they have to deal with. (Comment: Later that evening, a senior Algerian security official telephoned to start working out details of a transfer. It is still too early to say this will work smoothly, but it is the most movement we have seen in ten months. End Comment.) RELIGIOUS FREEDOM - TOUGH LINE ------------------------------ ¶6. © The Ambassador raised also the issue of the Christian community in Algeria and the damage to Algeria's reputation as a tolerant society from some of the actions taken against Christians. He pointed to the recent letter from a group of members of Congress to Bouteflika about the issue. The Ambassador noted that we were not telling Christian groups to disobey Algerian law, but if the Algerian government insisted on groups registering for approval for their activities, the government should not just automatically refuse requests. Bouteflika said that the Algerian government had no problem with the Catholic or Protestant churches: it knew them and their activities were fine. He had sharper words for Evangelicals who, he said, were causing political and security problems, especially in the Kabylie region. The Ambassador asked what Bouteflika meant by political problems, and in a rambling response Bouteflika indicated that major efforts to convert Algerian Muslims recalled French colonial practices and provoked Islamist extremist responses. He underlined again that above all he considered the Evangelical issue to be a security problem. Bouteflika said that there needed to be more of a dialogue with the Evangelicals and that the U.S. should encourage Evangelical groups in Algeria to seek out local officials and discuss how they could conduct their activities legally. COMMENT ------- ¶7. © Bouteflika always speaks softly, but he was animated and in apparently good spirits. His complaints were a rehash of what we heard in March during the visit of A/S Welch from either Bouteflika or then-Prime Minister Belkhadem. Interestingly, however, Bouteflika several times in the conversation wanted a sense of how to work with Washington -- he asked about the effectiveness of his ambassador in Washington, for example. ¶8. © Looking forward, as we think about how to improve relations with the Bouteflika government, we see a frail Algerian president whose health and term of office are uncertain. He wants better relations with the U.S., but his political weight within the system has limits and he cannot fix in any short term the bureaucratic failings of his government. Largely isolated in his big palace, Bouteflika appears to follow foreign policy events fairly closely, but he is not a creative thinker. We are thus left with the need to help the sclerotic Algerian state try to implement changes and reforms that can help it forestall even worse discontent on the streets here. We have to find those Algerian officials and private Algerians who can and will work with us in reform areas like economic and business climate, education, democratic processes and the judiciary. At best, the state here is inherently very risk-averse and cumbersome; some elements are simply against more liberalization. Thus, reforms in whatever time is left for the Bouteflika government will be halting and always tenuous. When the issue is urgent and important enough to us, and we are blocked, we need to go around the mid- and upper bureaucratic levels and via a high-level message reach Bouteflika directly. This was the only way we may finally get movement on the GTMO issue, for example. DAUGHTON Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 23 novembre 2011 Share Posté(e) le 23 novembre 2011 Envoyer l'armée intervenir contre AlQaida en dehors de l'Algérie ne risque pas d'entraîner des représailles sur le sol algérien ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
scorpion-rouge35 Posté(e) le 25 novembre 2011 Share Posté(e) le 25 novembre 2011 Envoyer l'armée intervenir contre AlQaida en dehors de l'Algérie ne risque pas d'entraîner des représailles sur le sol algérien ? L'algerie est déjà la cible numéro 1 d'aqmi avec ou sans intervention algérienne dans les pays voisin , au contraire ça sera mauvais pour Aqmi de perdre son sanctuaire au sahel Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
scorpion-rouge35 Posté(e) le 10 décembre 2011 Share Posté(e) le 10 décembre 2011 AN/TPS-703/78 [NorthropGrumman] http://www.es.northropgrumman.com/solutions/tps78/assets/tps_78.pdf The AN/TPS-78 and the TPS-703 are the latest generation of state-of-the-art radars made possible by the technological advances in high power transistor design. Fielded and operationally proven by the United States Air Force and customers worldwide, the S-Band long-range AN/TPS-78 and the midrange TPS-703 are in 24-hour-a-day operation around the world. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
fifou Posté(e) le 10 décembre 2011 Share Posté(e) le 10 décembre 2011 C'était ma wish list, nous n'aurons rien des USA question à l'ambassadeur américain en Algérie : L'Algérie et les USA sont convenus de renforcer leur coopération en matière de lutte contre le terrorisme et il est question que l'Algérie puisse acquérir des équipements technologiques militaires. Où en sont les choses ? Aux Etats-Unis, il existe une loi connue sous l'appellation Anduze Monitotoring sur le bon usage des armes. Les USA doivent s'assurer que l'acquisition des armes ne va pas servir à un autre objectif que celui convenu entre les deux parties. Cette loi est appliquée pour tout le monde. Je ne peux pas tout dire pour le moment que les USA ont convenu de vendre des armes et des équipements technologiques à l'Algérie, mais les procédures sont en très bonne voie. http://www.lexpressiondz.com/actualite/144232-%C2%ABles-armes-libyennes-nous-%C3%A9chappent%C2%BB.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
scorpion-rouge35 Posté(e) le 11 décembre 2011 Share Posté(e) le 11 décembre 2011 AN/TPS-703/78 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
scorpion-rouge35 Posté(e) le 11 décembre 2011 Share Posté(e) le 11 décembre 2011 concernant la future usine qui produira les blindé Fuchs 2 et divers autre véhicule tous terrain avec le MDN c'est pour 2012 :) Mercedes à Alger Une importante délégation de Mercedes-Benz devrait arriver demain à Alger pour une ultime rencontre avec les responsables du ministère de l’Industrie, avant la signature des statuts de la future société qui produira à Rouiba divers véhicules de cette marque. Cette société est le fruit d’un protocole signé entre le ministère de la Défense nationale et l’émirati Aabar Investments et les constructeurs automobiles allemands Mercedes-Benz et Daimler. Elle devrait commencer à produire des véhicules à partir de l’année 2012. http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2011/12/11/article.php?sid=127053&cid=3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dr HK Posté(e) le 11 décembre 2011 Share Posté(e) le 11 décembre 2011 Pour se protéger contre les incursions venant des frontières sud de l'Algérie, pourquoi vous ne construisez pas des murs comme ceux qui le Maroc a construit ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
scorpion-rouge35 Posté(e) le 12 décembre 2011 Share Posté(e) le 12 décembre 2011 impossible les frontières algérienne sont beaucoup trop grande , il faudra au moins un mure 3 ou 4 fois plus long que se lui au Sahara occidental . de plus ce n'es pas le même contexte le mure de défense marocain est un ouvrage militaire fait pour la guerre a grand échelle comprenant des fortifications et des champs de mines par million ! il a était construire pour crée un no man's land et faire face contre la guérilla du polisario avec qu'il était en guerre ouverte , le maroc a sacrifier 22 % du sahara occidental pour pouvoir défendre l'autre partie rien avoir avec le cas de l’Algérie qui doit faire la chasse a AQMI sur son territoire sur les territoire de ces voisins , c'est pas avec un mure de se type qu'elle es arrivera mais avec un autre type de mure , un mur électronique , c'est un gigantesque projet il sera construit progressivement a commencer par la frontières marocaine mais avec le conflit libyen et l'arrivé massive d'arme en tous genre dans le sahel il a va être lancer sur tous les frontières sans exception . d'ailleurs la concurrence est rude , se projet intéressent beaucoup de monde Frontière électronique : bataille Chine-USA L'américain Northrop Grumman fait face à une sérieuse concurrence chinoise pour l'installation d'un système de surveillance électronique le long de la frontière algéro-marocaine. (...) http://www.africaintelligence.fr/MC-/cercles-de-pouvoir/2011/11/24/frontiere-electronique-bataille-chine-usa,94785454-ART Mme Merkel, pour sa part, a également évoqué un projet allemand visant à aider l'Algérie à renforcer la sécurité à ses frontières. "Nous souhaitons coopérer avec l'Algérie et avec des entreprises allemandes qui en ont la technologie à un projet de protection des frontières", a affirmé la chancelière dans donner plus de détails. http://www.romandie.com/ats/news/101208125740.vr3if3l6.asp Le chef d’état-major de l’ANP en visite au Brésil Le système de surveillance de l’Amazonie intéresserait l’Algérie L’Algérie voudrait accroître le contrôle sur le Sahara, une immense étendue désertique utilisée par les trafiquants de tous bords pour faire transiter drogues, armes et produits de contrefaçon. Le général de corps d’armée, Ahmed Gaïd Salah, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), effectue depuis hier une visite officielle au Brésil, a indiqué un communiqué du ministère de la Défense nationale. Cette visite, à l’invitation du ministre brésilien de la Défense, M. Nelson Jobim, s’inscrit “dans le cadre du processus de développement des relations de coopération militaire bilatérales”, précise le communiqué laconique du ministère de la Défense nationale qui se contente de noter que ce séjour “permettra aux deux parties d’examiner les questions d’intérêt commun”. Si ce type de visite participe des échanges entre les départements de la Défense des deux pays et tendant au renforcement des relations déjà solides dans d’autres domaines, notamment l’économie, le séjour du patron de l’ANP sera sans aucun doute l’occasion de renouveler l’intérêt de l’Algérie pour un certain nombre d’armes fabriquées au Brésil. Mais ce qui semble susciter une attention particulière chez les responsables algériens, ce sont surtout les systèmes de surveillance aérienne mis au point par le Brésil pour pouvoir contrôler un territoire aussi vaste que complexe, l’Amazonie. L’Algérie, en effet, serait prête à acquérir le procédé brésilien dont l’efficacité serait prouvée. Mais à quelle fin ? Accroître le contrôle sur le Sahara, une immense étendue désertique utilisée par les trafiquants de tous bords pour faire transiter drogues, armes et produits de contrefaçon. Ce désert, le plus vaste au monde, est même devenu aujourd’hui un sanctuaire pour certains groupes islamistes armés qui y ont érigé des bases arrière. L’intérêt algérien pour ce système radar, utilisé par les Brésiliens pour asseoir leur autorité sur l’immensité amazonienne, avait d’ailleurs été confirmé par l’ambassadeur du Brésil à Alger, lors d’une visite qu’il avait effectuée à Liberté il y a trois années. Cette occasion, qui se prêtait à une œuvre de promotion de cette technologie de pointe mise en place par son pays, avait été saisie par le diplomate brésilien pour expliquer les caractéristiques et les atouts d’une telle méthode comparativement aux systèmes similaires produits dans d’autres pays. L’Amazonie étant une immense jungle menacée par tous genres de trafics, allant de la contrebande à la drogue en passant par le terrorisme, le gouvernement brésilien a déployé d’immenses efforts pour son contrôle afin d’asseoir sa souveraineté sur la région au-delà, bien entendu, de la protection des ressources naturelles. “Nous avons développé un système de surveillance aérien de radars éparpillés dans toute la région, aidés en cela par des satellites et des avions de style Awacs. Et grâce à la fondation Atek qui a amélioré le Software, nous avons pu maîtriser et développer le système qui en est aujourd’hui à sa troisième génération”, avait expliqué le représentant du Brésil. Même les mouvements d’avion, aussi petit soit-il, sont détectés grâce à ce système dont l’efficacité, selon lui, est démontrée dans le contrôle des ports et aéroports, au sein des services des douanes. Reste à savoir maintenant si l’Algérie est réellement décidée à acquérir cette technologie dont on ne connaît pas pour le moment le coût. Tout se saura peut-être à l’issue de la visite de Gaïd Salah dans le pays amazonien. Liberte Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
scorpion-rouge35 Posté(e) le 28 décembre 2011 Share Posté(e) le 28 décembre 2011 10 milliards USD pour le Budget du ministere de la defense nationale pour l'année 2012 Répartition du budget de fonctionnement 2012 par département ministériel ALGER - Le texte de Loi de finances 2012, signé mercredi par le président de la République Abdelaziz Bouteflika, prévoit un budget de fonctionnement d’un montant de 4.608 milliards de DA. Défense nationale 723.123.173.000 DA http://www.aps.dz/Repartition-du-budget-de,27482.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Anzar Posté(e) le 5 janvier 2012 Share Posté(e) le 5 janvier 2012 Les Pantsyr S1 livrés à l'Algérie sont des versions inconnues jusqu'à présent et équipées d'un nouveau type de radar RLM- SOC un AESA double-face (surnommé aussi Janus). Plus agile, plus résistant au jamming, plus agile http://mirabilis-ru.livejournal.com/677.html]http://mirabilis-ru.livejournal.com/677.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 6 janvier 2012 Share Posté(e) le 6 janvier 2012 Est-ce qu'un remplaçant à l'AKM a déjà été envisagé pour l'infanterie algérienne ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FULCRUM Posté(e) le 6 janvier 2012 Share Posté(e) le 6 janvier 2012 Rien pour l'instant Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wolf111 Posté(e) le 7 janvier 2012 Share Posté(e) le 7 janvier 2012 bonjour ;je me demande si la DAT algérienne envisage d'acheté les missile de moyenne porté boka ce missile détecte les cible aérienne a 100 km et il les détruis a 45km sur une altitude de 22 km et elle engage 6 cible simultanément c mieux que le panstir s1 non ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FULCRUM Posté(e) le 7 janvier 2012 Share Posté(e) le 7 janvier 2012 Tu parle certainement du Buk?? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wolf111 Posté(e) le 7 janvier 2012 Share Posté(e) le 7 janvier 2012 oui certainement en tous les cas les caractéristique donne une idée de koi je parle et merci de bien de vouloir me répondre . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
don_ccicci Posté(e) le 7 janvier 2012 Share Posté(e) le 7 janvier 2012 Entre les S-300 PMU2 et les Pantsir-S1, on ne peut pas dire qu'il y ait beaucoup de place pour du Buk.Le Pantsir offre une distance d'engagement allant jusqu'à 20km et 15 000m d'altitude. Il couvre parfaitement le domaine "courte" portée, tandis que les S-300 couvrent parfaitement la moyenne et la longue portée.Et comme en plus les Algériens se dotent d'une aviation de DA d'un excellent niveau, l'achat de Buk parait superflus.Si l'Algérie pense manquer de batteries sol-air, autant acheter des pantsir et/ou S-300 supplémentaires. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Algerino Posté(e) le 7 janvier 2012 Share Posté(e) le 7 janvier 2012 L'ANP négocie avec BAE systems la production sous license de gilet pare-balles modernes ( :oops: Enfin )http://i1090.photobucket.com/albums/i378/boobaa1133/Screenshot-06_01_201212_03_24.jpgL'EM a également envoyé des instructeurs à Fort Bragghttp://i1090.photobucket.com/albums/i378/boobaa1133/Screenshot-01_01_201218_24_15.jpgBy Kratos , sur forcesdz Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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