Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

MANIPULATION


Messages recommandés

Une équipe d'enquête conjointe ONU-Maroc, attendue la semaine prochaine en Côte-d'Ivoire

New York (Nations Unies) 26/07/07- La Sous-Secrétaire générale et administratrice chargée du Département de l'appui aux missions de maintien de la paix, Jan Holl Lute, a indiqué mercredi qu'une équipe conjointe d'enquête comprenant des représentants des Nations Unies et du Maroc est attendue mardi en Côte-d'Ivoire pour établir une enquête détaillée sur les allégations d'abus sexuels contre des membres du contingent marocain de l'ONUCI à Bouaké.

"Une équipe d'enquête conjointe arrivera mardi à Abidjan avec le soutien ferme du gouvernement du Maroc pour conduire une enquête détaillée et examiner toutes les allégations soulevées", a indiqué Mme Lute, lors d'une conférence de presse à New York, en soulignant qu'une enquête plus poussée était justifiée, après un rapport d'enquête préliminaire.

Elle a assuré, d'autre part, que toute la lumière sera faite sur cette affaire, en précisant que le contingent marocain, une "composante essentielle" de l'ONUCI dans la région et dans cette zone, continue à s'acquitter de "ses devoirs opérationnels dans la journée mais qu'il est cantonné, après, dans le périmètre des casernes".

La partie marocaine n'a pas été impliquée jusque là dans l'enquête préliminaire et aucun soldat n'a été personnellement interrogé, a-t-elle affirmé.

L'ONU a eu des "discussions exhaustives avec les représentants du Maroc durant les derniers jours", après la publication, le 16 juillet, des premiers éléments de l'enquête, a-t-elle par ailleurs ajouté, en soulignant que "le gouvernement du Maroc nous a assuré de son soutien ferme en faveur de la tolérance zéro et reste engagé à travailler avec nous, non seulement dans cette enquête mais également pour les étapes à venir".

Un rapport d'enquête préliminaire conduit sur cette affaire par le Bureau des services de contrôle interne (OIOS), sera remis au siège de l'ONU à New York à la fin de cette semaine ou au début de la semaine prochaine, a poursuivi la responsable de ce département, nouvellement créé au sein des Nations Unies.

Elle a, par ailleurs, estimé qu'il était prématuré de parler des actions à prendre, avant la réception de ce rapport, en soulignant qu'il sera procédé à une évaluation des actions futures, après examen du rapport de l'OIOS à la lumière des faits qui seront révélés dans ce rapport, en concertation avec le pays concerné, le Maroc.

©MAP-Tous droits réservés

Côte d’Ivoire - Onuci -moeurs 

 

 

Les filles de Bouaké avouent avoir été manipulées pour accuser les soldats marocains 

 

APA- Bouaké (Côte d’Ivoire) Treize filles de Bouaké ont avoué avoir été manipulées par une Ong basée dans la ville, quartier général des ex-rebelles ivoiriens, « pour accuser les soldats marocains d’abus sexuels », indique un document de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI).

Selon le texte, qui parle de « 13 filles de la ville de Bouaké auditionnées les 23 et 24 juillet dernier par la responsable du Bureau des droits de l’Homme du secteur Est de la mission onusienne », « les intéressées déclarent être victimes d’une manipulation de la part de la représentante d’une ONG locale moyennant aide et assistance « argent, draps, vêtement, savon », pour témoigner contre les soldats marocains.

Cette version a été confirmée à APA par certaines de ces filles, dont Marie Koffi, qui a indiqué : « une femme du nom de Viviane est venue pour nous faire des promesses pour qu’on mente sur les Marocains. Elle nous a dit que si on témoignait contre les soldats marocains son ONG nous donnerait de l’agent pour faire du commerce, des draps, du savon ».

« Quand elle (Viviane) te demande ton âge et que tu dis par exemple que tu as 24 ans, elle te demande d’annoncer 15 ans pour bénéficier de l’assistance et de l’aide. C’est comme ça qu’elle nous a eues », a précisé Marie Koffi, mère d’un garçon de 21 mois. Elle estime aujourd’hui que la manipulatrice « a atteint son objectif ».

En outre a ajouté Marie, dans l’entretien avec APA, « Viviane s’est acheté une voiture et deux portables de dernière génération, quand elle a eu fini sa bêtise ». On ne la voit plus dans la ville de Bouaké, « mais nous l’a cherchons » prévient-elle.

Mariam Koné, 23 ans, renchérit : « je n’ai ni honte ni peur de parler avec les journalistes parce que je sais que, ce qui est dit est faux. Dieu aime la vérité, c’est vrai que les soldats marocains cherchent des femmes, mais nous que vous voyez, est ce que nous sommes des mineures ? ».

Selon elle, les Marocains ne sont pas les seuls soldats de l’ONU à Bouaké car il y a aussi les soldats français, les Ghanéens.

« C’est dans un bureau au quartier Air France que cette dame qui dit s’appeler Viviane nous a interrogé. Le nom de son ONG est bizarre donc je n’ai pas ça en tête. Quant tu as un enfant qui est noir, elle te demande de dire que c’est un soldat ghanéen qui en est le père. Quant l’enfant est bronzé, elle te dit de dire que c’est un Marocain qui est son père » a encore affirmé Mariam Koné.

Au lendemain de la diffusion de l’information relative à des « harcèlements surs filles mineures » par le contingent marocain, l’ONUCI a annoncé dans un communiqué publié le samedi 21 juillet, la suspension des activités dudit contingent basé à Bouaké, pour « nécessité d’enquête interne sur des cas d’exploitation et d’abus sexuels ».

Le 6éme contingent marocain qui est déployé à Bouaké ( 379 km au Nord d’Abidjan) depuis décembre 2006, dans le cadre de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), est fort de 732 hommes, sur un total de 8.000 soldats onusiens.

Ce sixième contingent a été remplacé par le septième le 6 juin dernier. Après le Bangladesh, le Maroc est le deuxième pays qui fournit le plus grand nombre de soldats à l’ONUCI.

La liste des 13 filles auditionnées par la responsable des droits de l’homme au secteur Est à Bouaké. 1- Sandrine Affoué (19 ans) 2- Marie Koffi (20 ans) 3- Marie Kouakou (20) 4- Marie Ange (24 ans) 5- Konan Aya Viviane (22 ans) 6- Koné Ami (20 ans) 7- Diabaté Assétou (24ans) 8- Dimandé Massandjé (20 ans) 9- Touré Sarah (20 ans) 10- Touré Fatim (19 ans) 11- Zerbo Awa (18ans) 12- Cissé Fatim (29 ans) 13- Koné Mariam (23 ans).

http://www.apanews.net/apa.php?page=show_article&id_article=38601

Fouineur

Ou bien c'est un coup politique: "Je balance les pires accusations qui soient sur le contingent de l'ONU qui entrave mes velleites de domination sur la region". Car Notez que d'apres l'article il n'y avait, avant, pas de probleme avec ce contingent qui serait pourtant coupable "d'abus repetes".

A rapprocher des divers accusation d'on a fait l'objet la force Licorne

Esperont pour les victimes (des mineures) qu'il y aura une enquete serieuse et que si coupable il y a, qu'il soit severement punis (leur couper les bijoux de famille et leur faire bouffer ... par Exemple) mais ne pas grimper au rideau trop vite et garder la tete froide dans une situation (la cote d'ivoire) ou le Pere Laurent n'est plus a un coup de pute pres.

General

Effectivement trés probables aussi, c'est même quasiment certains il parle même de trafic je sais plus quoi....LOL ça voudrais dire que le soldat effectue ces missions quotidienne toujours entourer ensuite a la fin de la journée il fait bosser des jeunes fille Ivoirienne sur le trottoir... le probléme et que l'onu niveaux enquête c'est pas du style police judiciaire et tout le reste ça reste trés sommaire...donc pour mettre en évidence ce méga mensonge c'est pas gagné.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Accuses d`abus sexuels - Les soldats marocains préparent la riposte

   vendredi 3 août 2007 - Par Le Matin d'Abidjan  

Loin de la place publique, se prépare activement une grosse passe d'armes entre la France et le Royaume chérifien au sujet de l'affaire de la suspension du contingent marocain de l'Onuci.

Rebondissement dans l'affaire des sanctions onusiennes prises contre les casques bleus marocains stationnés à Bouaké. C'est que les soldats venus du royaume chérifien, ont, de bonnes sources, décidé de donner le change à ceux qu'ils soupçonnent d'avoir orchestré la " cabale " contre eux. Question, dit-on, de laver leur honneur souillé dans une affaire d'abus sexuel contre des personnes jeunes. S'ils se gardent de le faire sur la place publique, des sources proches du dossier indiquent qu'ils ne sont pas moins actifs sur le terrain diplomatique. En effet, sous la houlette de leur chancellerie en poste à Abidjan, les mis en cause préparent une riposte que l'on annonce musclée, à l'endroit de la France qu'ils accusent d'avoir manœuvré à l'effet de les discréditer et les écarter du dispositif de sécurité de l'aéroport de Bouaké, le jour de la célébration de la " flamme de la paix ". De cette façon, indiquent certains soldats très remontés et ayant requis l'anonymat, " ils (les soldats français, ndlr) auraient été commis à la sécurisation de l'aéroport ". A les en croire, c'est la raison fondamentale qui leur a valu d'être ainsi livrés à la vindicte populaire. Mais ils ne se contentent pas de dénoncer les autorités françaises. Ils ont transmis à la chancellerie, des preuves des dérives sexuelles des soldats français en Côte d'Ivoire, sous forme, dit-on, de bandes filmées. Pour montrer que l'Onu se trompe si tant est qu'elle veut réellement punir les auteurs de dérives sexuelles. Fort de ces éléments, SEM Assane Bennani, l'ambassadeur du Maroc en Côte d'Ivoire a rencontré le président Laurent Gbagbo, le 26 juillet dernier, à qui il a expliqué les tenants et les aboutissants de cette affaire, avec en prime, le danger qui guettait la cérémonie du 30 juillet. Le chef de l'Etat en prendra bonne note avant d'actionner par la suite, le premier ministre Guillaume Soro, qui reçoit le même jour à Bouaké, M. Abou Moussa, le représentant spécial par intérim du SG de l'ONU en Côte d'Ivoire. Au menu des échanges, figure en bonne place l'affaire des Casques bleus marocains. Le chef du gouvernement demande au diplomate onusien la révision de la mesure qui frappe ces derniers. C'est la seconde requête directe, après le courrier à lui adressé le 23 juillet dernier par le colonel Bamba Sinima, au nom des Forces nouvelles, lui demandant de reconsidérer cette mesure contre un " contingent à l'efficacité avérée. " Ainsi donc, à sa sortie d'audience, Abou Moussa confiera au quotidien pro gouvernemental " Fraternité Matin " du 27 juillet 2007 ceci : " Il ne faut pas utiliser le mot suspendre, il faut plutôt dire qu'ils (les soldats marocains,ndlr) sont cantonnés. Il faut corriger cela maintenant. Le plus important est que les soldats marocains sont en poste, ils sont cantonnés là où ils sont affectés… Jusqu'à nouvel ordre, ils vont continuer à assurer toutes les questions de sécurité comme cela a été prévu. " Assurément une véritable reculade si on s'en tient à la détermination affichée quelques jours auparavant par le fonctionnaire onusien. Toujours est-il que le jour de la cérémonie du bûcher de la paix, les Casques bleus venus du royaume chérifien ont été aperçus à l'œuvre, dans tout le périmètre aéroportuaire. Et à l'allure où vont les choses, il y a fort à parier que le " cantonnement " se transforme en une réhabilitation pure et simple. Ce serait, dit-on, pour la maison de l'Onu en Côte d'Ivoire, le moindre mal car les Marocains n'entendent pas se laisser faire. Ils refusent d'être des victimes " innocentes ", accusées sans preuves alors qu'eux détiendraient des éléments en béton contre leurs frères d'armes français, nullement épinglés par l'organisation mondiale. Affaire à suivre.

L'affaire viens a peine de commencer...

Accusé 300 soldat d'abus sexuel sur des mineur âgée pour certaine de 12/13ans, et le lendemains dire a non désoler y'a eu une erreur vraiment ridicule  >:( L'Onu a vite divulguer l'affaire au médias sans réel preuve, maintenant le minimum et des excuses publique....

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai rien compris à l'article du matin d'abidjan, absolument rien  :O

Sinon c'est une histoire bien bizzare, j'espere que les accusations etaient au final infondés, c'est louche, on ne risque pas de connaitre la verité de si tot, cette histoire est bien malsaine...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

ça sent une des manoeuvres habituelle  signé Laurent Bagbo tout craché ,  il ne raterait pas une  occasion  pour taper sur la France  , c'est certain  .

la question est , combien ont ils payé ces filles pour qu'elle aient soudainement  , le souci de rendre justice aux hommes qu'elles ont  faussement accusé  . A la limite ,  je me demande meme si elles ont vraiment été violées maintenant 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

euh un journal pro-gbagbo y'a plus crédible comme source d'information ......

Les filles de Bouaké avouent avoir été manipulées pour accuser les soldats marocains  

c'est l'agence Africaine qui l'annonce aucune erreur possible sur la crédibilité. Mais le matin d'Abidjan et certainement pas très crédible ( l'article reflète bien le sentiment anti-Francais Ivoiriens )

En tous cas l'affaire et véritablement bien tordue

« une femme du nom de Viviane est venue pour nous faire des promesses pour qu’on mente sur les Marocains. Elle nous a dit que si on témoignait contre les soldats marocains son ONG nous donnerait de l’agent pour faire du commerce, des draps, du savon ».

« Quand elle (Viviane) te demande ton âge et que tu dis par exemple que tu as 24 ans, elle te demande d’annoncer 15 ans pour bénéficier de l’assistance et de l’aide. C’est comme ça qu’elle nous a eues », a précisé Marie Koffi, mère d’un garçon de 21 mois. Elle estime aujourd’hui que la manipulatrice « a atteint son objectif ».

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

euh un journal pro-gbagbo y'a plus crédible comme source d'information ......

J'ai rien compris à l'article du matin d'abidjan, absolument rien  :O

Sinon c'est une histoire bien bizzare, j'espere que les accusations etaient au final infondés, c'est louche, on ne risque pas de connaitre la verité de si tot, cette histoire est bien malsaine...

Les gros fil blanc la , vous les voyez? c'est avec ca que les journalistes ivoiriens font de la couture.

La France qui irait plomber le Maroc? Pourquoi faire? Garder l'aeroport? Gnnnnnéééééé?  :P

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

ben ouais quoi .... garder l'aéroport.... pour pauser une peau de banane sur le tarmac, comme ça quand l'avion presidentiel du boulanger d'abdidjan roulera dessus, il va glisser et ira s'encastrer dans le hangar opportunément construit en une nuit a coté de la piste .... hangar qui sera bien evidemment rempli de futs de kérozènes.....et d'une cage avec un singe kamikaze entrainé par la DGSE a allumer un briquet en présence du dis avion .......

Heureusement, le singe appelé Vivi (surement encore un autre diminutif de Viviane).... grimmé à l'aide d'une perruque blonde, d'une robe à fleur et conduisant un 4x4 Vittara en buvant une bouteille de Whisky Jack Daniel a été trahi par les 100 aines de cigarettes Gitanes Maïs dont il jetait negligemment les megots a proximité de l'aéroport

Pour s'en sortir il est donc allé raconter toute cette histoire a Abidjan Matin en toute exclusivité ...........

Et encore un complot machiavélique des français évents

Bon sang mais c'est bien sur.....  ;)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

mais pour quoi cette ONG ivoirienne aurait  chercher a incriminé les soldats marocains qui sont sous commandement de l'onu ??

s'ils avaient chercher a métre la préssion a la france ils se seraient pris au soldats français de la force licorne ou lieu des soldats de l'onu

trés bizzar toutes cette histoire  :rolleyes:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

mais pour quoi cette ONG ivoirienne aurait  chercher a incriminé les soldats marocains qui sont sous commandement de l'onu ??

s'ils avaient chercher a métre la préssion a la france ils se seraient pris au soldats français de la force licorne ou lieu des soldats de l'onu

trés bizzar toutes cette histoire  :rolleyes:

C'était plus crédible d'accuser des Marocains...ils pensaient sûrement qu'après l'accusation aucune enquête aurais étais ouverte, mais là non une délégation Marocaine et vite partie sur place pour vérifier les info finalement fausse.

Dés le premier topic je savais

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'était plus crédible d'accuser des Marocains...ils pensaient sûrement qu'après l'accusation aucune enquête aurais étais ouverte, mais là non une délégation Marocaine et vite partie sur place pour vérifier les info finalement fausse.

Dés le premier topic je savais

Pourquoi ne pas l'avoir dit plus tot alors  :lol:
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

c'est une véritable honte que de crier à la MANIPULATION pour des faits qui ce sont réellement produits au lieu d'incriminer les responsables de tels actes.

il est scandaleux de faire appel à des officines de presse MANIPULABLES pour cacher une vérité.

en fin de compte, ces militaires marocains ont profité de la misère et de la détresse de ces jeunes filles pour assouvir leur instinct sexuelle, au frais de la princesse ONU.

comme d'autres touristes viennent dans certains pays pour les mêmes raisons.

alors si MANIPULATION il y a c'est du côté de celui qui l'a annoncé, et qu'il ne vienne pas nous dire que tous les militaires font cela à l'étranger.

 

http://www.france24.com/france24Public/fr/administration/article-afp.html?id=070806095651.ff39w8sr&cat=afrique

"L'affaire des Casques Bleus marocains n'a guère surpris à Bouaké (centre), où leurs relations sexuelles payées avec des Ivoiriennes désoeuvrées et parfois mineures, un double abus au regard des règles de l'Onu, sont attestées par d'innombrables témoignages.

Une mission d'enquêteurs marocains et de l'Onu est actuellement en Côte d'Ivoire pour confirmer les "nombreux" abus sexuels dont sont accusés par l'Onu une partie des 734 Casques Bleus marocains de Bouaké et ses environs.

Sur place, les multiples témoignages recueillis par l'AFP aux abords des camps marocains, confirmés par plusieurs responsables de l'Onu et d'ONG, montrent l'existence d'un large système de prostitution autour de ces soldats.

Tous décrivent un commerce organisé, parfois même encouragé par certaines familles désireuses d'échapper à la pauvreté, dans cette région tenue par la rébellion, privée de revenus et désertée par la justice.

"Les Casques Bleus ont de l'argent. Et les filles se donnent en échange de 500, 1.000 ou 2.000 F FCFA (0,76, 1,5 ou 3 euros), d'une ration militaire ou autre", explique Suzanne Zongo, présidente de l'ONG locale Femmes face au sida.

"Les Marocains nous donnent tout ce dont on a besoin", explique Prisca Akissi Konan, 24 ans, qui les "suit" ainsi depuis plusieurs années.

Selon les divers témoignages, nombre de Casques Bleus Marocains louaient ainsi pour 5.000 FCFA par mois (7,62 euros) des chambres dans les villages tout proches de leurs camps, où leurs maîtresses les attendaient nuit et jour.

D'autres faisaient venir les filles dans leurs camps.

Le "business" est organisé, avec la complicité de certains chefs de villages et rabatteurs locaux, et des filles "pistonnées" par les plus anciennes.

"Les filles qui fréquentaient un régiment étaient même parfois +transférées+ au régiment qui lui succédait", selon un cadre de l'Onu.

Le présence de mineures, mentionnée par le rapport interne de l'Onu, ne semble pas faire de doute, de nombreux témoignages citant des filles parfois âgées de 13 ou 14 ans, même si l'ampleur du phénomène reste à déterminer.

Certains témoignages, non confirmés, citent des cas d'enfants plus jeunes.

Aucun ne fait en revanche état de cas de viols ou violences.

Nombre d'observateurs soulignent que la prostitution n'est pas nouvelle à Bouaké, tout comme dans de nombreux quartiers d'Abidjan, dont Port-Bouët, où est stationné le camp français du 43ème Bima.

Mais les Marocains semblent se distinguer par le nombre d'enfants que leurs ébats auraient engendrés: au moins une douzaine, selon une source onusienne.

Or chaque Casque bleu retourne au pays après six mois de mission.

"Cela a commencé à poser des problèmes. Des familles qui auparavant poussaient leurs filles à fréquenter des Marocains se sont plaintes de se retrouver avec un enfant de plus à charge sans aucune aide", raconte Mme Zongo.

Alertée par une ONG locale, l'OIS, l'Onu a mené début juillet une première enquête qui "a révélé une exploitation sexuelle de grande ampleur, avec des preuves, des photos", selon un diplomate.

Et jugé certaines violations de son code de conduite, qui interdit toute relation sexuelle payée ou avec des mineurs, suffisamment "avérées" pour décider le 20 juillet de confiner le contingent marocain jusqu'à nouvel ordre.

Mais cette décision a semé la zizanie à Bouaké, où tous ceux qui faisaient commerce d'une manière ou d'une autre avec les Casques Bleus les défendent et crient au complot. Certaines filles accusent ainsi l'OIS de les avoir poussées à mentir sur leur âge et à se déclarer mineures pour accabler les Marocains.

Autant de choses que les enquêteurs s'attachent aujourd'hui à vérifier, dans un contexte d'embarras diplomatique entre Abidjan et Rabat, d'autant plus que le contingent marocain est considéré par de nombreux observateurs militaires comme le meilleur de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire."

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

cette histoire n'a rien d'une manipulation des femme ivoirienne sont tembé  enceinte , aparament sertin politique voudré étoufé l'affaire  =(

"Cela a commencé à poser des problèmes. Des familles qui auparavant poussaient leurs filles à fréquenter des Marocains se sont plaintes de se retrouver avec un enfant de plus à charge sans aucune aide", raconte Mme Zongo.

Selon les divers témoignages, nombre de Casques Bleus Marocains louaient ainsi pour 5.000 FCFA par mois (7,62 euros) des chambres dans les villages tout proches de leurs camps, où leurs maîtresses les attendaient nuit et jour.

D'autres faisaient venir les filles dans leurs camps.

La présence de mineures, mentionnée par le rapport interne de l'Onu, ne semble pas faire de doute, de nombreux témoignages citant des filles parfois âgées de 13 ou 14 ans, même si l'ampleur du phénomène reste à déterminer.

Mais les Marocains semblent se distinguer par le nombre d'enfants que leurs ébats auraient engendrés: au moins une douzaine, selon une source onusienne.

et voila pour quoi ces femmes ont mentie pour protéger les soldat marocains , mais le probléme le plus grave c'est les mineurs

Mais cette décision a semé la zizanie à Bouaké, où tous ceux qui faisaient commerce d'une manière ou d'une autre avec les Casques Bleus les défendent et crient au complot. Certaines filles accusent ainsi l'OIS de les avoir poussées à mentir sur leur âge et à se déclarer mineures pour accabler les Marocains.

http://www.france24.com/france24Public/fr/administration/article-afp.html?id=070806095651.ff39w8sr&cat=afrique

c'est une affaire trés grave , des tétes vont tombé !!
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    6 014
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    gladiateur
    Membre le plus récent
    gladiateur
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...